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Deuxième partie de l'entretien avec Robert Wurtz, consacrée à sa carrière d'arbitre.
Nous les avons tant aimés : Robert Wurtz, le "Nijinski du sifflet" (2)
Commentaires (5)
Flux RSS 5 messages · Premier message par athor · Dernier message par cernay68
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athorDommage qu'on n'entende plus "aux chiottes l'arbitre" dans les stades... -
Un régal comme l'épisode 1. Dommage que l'arrêt soit brutal. Comme s'il n'y avait plus de pellicule. Une pensée pour ce pauvre @inter qui se tape un boulot de recherche très sérieux et fouillé (mon ami François-tu-voudras-bien-publier si tu me lis....), rédige une flopée de questions sur son cahier à spirale alors que trois auraient suffi, car une fois lancé on n'arrête plus Robert Wurtz.
Une remarque à l'attention de la post-prod. Dans "paroles d'entraineur" il y avait un générique musical. Le même ou un autre ne dépareillerait pas dans cette série. -
Eh ben quand on entend les sanglots dans la voix encore plus de 40 ans après on se rend compte que ça a vraiment dû l'affecter profondément ces critiques après son loupé en finale de la CdF. On sent qu'il a aimé arbitrer, qu'il y a mis toute sa passion et tout son coeur. Et quelle mémoire des noms et des dates, moi qui ne me rapelle déjà plus des noms de mes profs de lycée...
On peut même dire qu'il était clairement en avance sur son époque, en tant que précurseur du football spectacle en vigueur aujourd'hui. Il était capable de redonner à lui seul des couleurs à un match morose, pour le plus grand bonheur des specateurs. -
Génial cette interview je me suis régalé !
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Pareil, vraiment très intéressant !
