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- Après-match
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- Par amalinho
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Les hommes de Jacky Duguépéroux débutaient leur saison 2015-2016 en accueillant la réserve du FC Bayern Munich, ce samedi, au Stade de la Zorn à Weyersheim.
Bien que le prestige de cette victoire n'est pas comparable à celle qui attend les hommes alsaciens à la fin du mois de mai, elle a toutefois une douce saveur estivale.
Ce samedi 11 juillet 2015, le FC Bayern Munich se déplaçait au Stade de la Zorn de Weyersheim. Du moins, c'est ce qu'auront eu la naiveté de croire les myopes détenteurs du billet, déshabillé de leur paire de lunettes. Pour les autres, ils auront bien entendu vu du premier coup d'oeil l'inscription "Réserve" en miniature sur le billet du match. Alors qu'étaient attendus la jeune garde bavaroise de talent, à savoir Gaudino, Ribéry, Scholl et Kurt, est arrivé un groupe rajeuni et bien moins impressionnant sur la feuille de match, si ce n'est l'orthographe exubérant de certains d'entre eux. Sans citer Angelos OIKONOMOU, Matthias STROHMAIER ou le proche homonyme d'une légende londonienne, Gerrit WEGKAMP, évidemment.
Les objectifs de cette rencontre amicale étaient paradoxalement similaires. Les Alsaciens avaient à cœur de montrer un bon visage et bien commencer la saison, se mettre en confiance dès le début de la préparation, en récompense de 10 jours très physiques. De l'autre côté, les Bavarois concluaient à Weyersheim leur préparation et devaient dissiper les doutes restants, physiquement et tactiquement plus à l'aise.
Les premiers à s'illustrer dans cette rencontre seront les malheureux organisateurs locaux. En effet, dès les premières circulations de balle, Léo Schwechlen, joueur surprise à l'essai, ainsi qu'Alexandre Oukidja demandaient un changement de ballon impératif. Quelques secondes et un ballon plus tard, le match commençait réellement, sous l'animation des supporteurs munichois déplacés en comité non négligeable, qui ne perdaient pas de temps pour déclencher un premier fumigène. Le spectacle n'était hélas pas sur le terrain pendant le premier quart d'heure. De quoi frustrer quelques supporters mécontents d'avoir investi la somme demandée par le club local de la SS Weyersheim.
Les premières minutes auront surtout permis au Bayern II de montrer un pressing redoutable, étouffant les Strasbourgeois dans leur camp. Jusqu'à la 6ème minute de jeu et l'erreur d'Eric Marester, titulaire à droite de la défense, qui provoqua un corner suite à une simple glissade. Corner qui sera dégagé sans difficulté. Mais le jeu ne se décantait pas. Les Allemands avaient certes la mainmise sur le ballon, néanmoins le bloc alsacien était imperturbable et très solide.
Le quart d'heure disputé, la tendance s'inverse et le Racing Club de Strasbourg s'inspire du pressing de son adversaire en jouant haut à son tour, tout en étant agressif. Les espaces se libéraient un peu plus, et le FCB en profitait pour effectuer la première frappe du match, par Daniel Häggler à la 18ème minute de jeu. Celle-ci manquait de précision et mourrait largement à côté du poteau droit d'Oukidja. Les premiers aboutissements de ce jeu haut et agressif viendront à partir de la 20ème minute de jeu, alors que Blayac subit une faute à environ 25 mètres des buts d'Andreas Rössl, l'ainé de l'équipe du haut de ses 28 ans. La patte gauche de Dimitri Liénard trouve Jérémy Blayac, isolé, dont la tête atterrit sans peine dans les bras du gardien. Quoiqu'il arrivait, l'issue était un coup-franc puisque l'attaquant alsacien était signalé hors-jeu.
Sûrs de leur force et convaincus d'un pressing payant, les Strasbourgeois ne se décourageaient évidemment pas et continuaient à effectuer un pressing d'école. À la 22ème minute de jeu, Massiré Kanté, très haut, harcèle la défense Bavaroise et récupère le ballon proche de la ligne des 6 mètres. Ce dernier profitait à Abdelhak Belahmeur qui s'introduisait dans la surface avant d'effectuer un centre à ras-de-terre qui passait au travers de tout le monde, jusqu'à Mayoro N'Doye, dont la frappe du gauche était totalement dévissée.
Il fallut attendre la 26ème minute de jeu et la pause fraicheur pour vivre la première frappe cadrée du match. Elle était l’œuvre des Allemands, plus particulièrement de Patrick Pucheggler, latéral monté aux avant-postes, dont le tir était repoussé par Oukidja de manière peu académique, mais l'essentiel y était.
Ce match ne semblait pas amical pour tout le monde. Du moins, on en doutait lorsque Liénard et ... Pucheggler s'étaient accrochés. Les esprits étaient bien heureusement très vite calmés, et le Belfortain pouvait botter le coup-franc qu'il avait provoqué. Sans donner de suite cette fois, puisque Massiré Kanté, libre de tout marquage (il était peut-être marqué mais vu sa taille, ça ne change rien), ratait sa remise de la tête. A la 33ème minute de jeu, N'Doye interceptait la relance de la défense munichoise et lançait dans la foulée l'ex-Angevin Blayac, dont la course était interrompue par une petite bousculade de Matthias Strohmaier que l'arbitre transformait gentiment en penalty. Contre toute attente, c'est Oumar Pouye qui se présentait face au gardien Rössl. Sans trembler, Pouye inscrivait le premier but du RC Strasbourg de cette nouvelle saison. Logiquement, les Bleus et Blancs menaient au score.
La mi-temps approchait désormais, et il ne restait que 10 minutes avant de souffler et de découvrir un nouveau "onze" concocté par Jacky. En attendant, Blayac continuait d'animer le secteur offensif, mais, désaxé, faisait le mauvais choix en centrant directement. La défense dégageait dans les pieds de Marester, dont la frappe aurait pu heurter le car des joueurs du Bayern Munich. La dernière occasion du premier acte est encore Strasbourgeois, signé Oumar Pouye, très actif et motivé. A la suite d'un corner mal renvoyé, Oumar Pouye contrôle, se débarrassait aisément de son vis à vis et concluait d'une frappe croisée du gauche qui flirtait avec le poteau gauche de Rössl.
Monsieur Mercier sifflait ensuite la mi-temps. Dans des conclusions hâtives d'une première période bouclée, Léo Schwechlen s'imposait comme son statut le voulait et montrait un sang-froid admirable, doté d'une justesse dans tout ce qu'il entreprenait. Il ne restait que quelques minutes à patienter pour découvrir, sans trop de difficultés, la deuxième composition d'équipe.
Composition d'équipe à partir de la 62ème minute
L'on pouvait s'y attendre. La deuxième mi-temps était nettement moins haletante, mais les supporteurs du Bayern en profitaient pour ne pas avoir fait le voyage pour rien, à défaut de voir des buts. Blondel, Salmier, Munch, Grimm, Weissbeck, Aguemon, Sabo et Bahoken entraient en jeu. Les rescapés étaient Schwechlen, N'Dour et Liénard au moment d'entamer la deuxième mi-temps.
Si Corentin Munch donnait satisfaction sur son côté droit, Milos Pantovic, l'ailier gauche du Bayern, avait bien décidé de rendre la tâche difficile au jeune Strasbourgeois. Alors que l'on jouait depuis onze minutes dans la deuxième période (56ème), son adversaire direct le dribblait et pouvait effectuer un centre dangereux. Abdallah N'Dour était présent dans l'axe de la défense et permettait à Blondel de ne pas s'exprimer trop rapidement en dégageant d'un geste acrobatique. Les choses semblaient s'accélérer quelques minutes plus tard, alors que Liénard se disputait le ballon sur l'aile gauche et sauvait une touche, son centre trouvait Stéphane Bahoken, dont la frappe terminait... *roulements de tambours* au-dessus ! Cette action était la dernière de l'ex-mulhousien qui sortait avec ses deux camarades rescapés, N'Dour et Schwechlen, aux profits respectifs de Ieraci, North et Sikimic. Sikimic. SIKIMIC.
En difficulté, Yannick Aguémon parvenait tout de même à déborder sur son aile avant d'adresser un centre pour Bahoken, qui tentait de reprendre ce centre difficile d'une talonnade digne de Ludovic Giuly. Mais celle-ci manquait de puissance pour inquiéter le portier allemand, capitaine. L'ancien vannetais tentait une nouvelle fois de s'illustrer avec une frappe lointaine, dont la trajectoire prenait la direction de la Zorn située à côté du complexe sportif. A la 80ème minute de jeu, Bahoken, peu avare d'efforts et qui tentait de bons coups, contrôlait difficilement le ballon et profitait à Gaëtan Weissbeck dont la frappe de l'extérieur du pied droit frôlait malheureusement le montant.
En fin de match, c'est autour d'Olivier Blondel, sympathique mais à la peine sur ses relances au pied, de s'illustrer en se servant de ses mains. Admirablement d'ailleurs, puisque sa manchette devant Wegkamp permettait au RCS de garder ses cages inviolées et de préserver l'avantage au score (82e). Les deux dernières occasions du match étaient tranquillement gérées par Strasbourg, notamment Bahoken, impliquées dans celles-ci. Dans la première, il se positionnait à la réception d'un centre de Sabo, et ne pouvait rien faire de mieux que de frapper. Un défenseur se trouvait malheureusement pour Stéphane entre lui et le but. Dans le seconde, et ultime, Bahoken interceptait une passe bavaroise et filait seul au but. Le gardien était bien placé et fermait l'angle de tir à l'aide de son pied.
Après les trois coups de sifflet traditionnels s'en suivait une invasion de la pelouse des supporteurs alsaciens pour retrouver leurs idoles et obtenir quelques clichés avec les vainqueurs du jour. Sans crier gare, l'arrosage automatique s'enclencha, ne manquant pas d'arroser un bon nombre de fans, (trempés mais) hilares.
Ce samedi 11 juillet 2015, le FC Bayern Munich se déplaçait au Stade de la Zorn de Weyersheim. Du moins, c'est ce qu'auront eu la naiveté de croire les myopes détenteurs du billet, déshabillé de leur paire de lunettes. Pour les autres, ils auront bien entendu vu du premier coup d'oeil l'inscription "Réserve" en miniature sur le billet du match. Alors qu'étaient attendus la jeune garde bavaroise de talent, à savoir Gaudino, Ribéry, Scholl et Kurt, est arrivé un groupe rajeuni et bien moins impressionnant sur la feuille de match, si ce n'est l'orthographe exubérant de certains d'entre eux. Sans citer Angelos OIKONOMOU, Matthias STROHMAIER ou le proche homonyme d'une légende londonienne, Gerrit WEGKAMP, évidemment.
Les objectifs de cette rencontre amicale étaient paradoxalement similaires. Les Alsaciens avaient à cœur de montrer un bon visage et bien commencer la saison, se mettre en confiance dès le début de la préparation, en récompense de 10 jours très physiques. De l'autre côté, les Bavarois concluaient à Weyersheim leur préparation et devaient dissiper les doutes restants, physiquement et tactiquement plus à l'aise.
Les premiers à s'illustrer dans cette rencontre seront les malheureux organisateurs locaux. En effet, dès les premières circulations de balle, Léo Schwechlen, joueur surprise à l'essai, ainsi qu'Alexandre Oukidja demandaient un changement de ballon impératif. Quelques secondes et un ballon plus tard, le match commençait réellement, sous l'animation des supporteurs munichois déplacés en comité non négligeable, qui ne perdaient pas de temps pour déclencher un premier fumigène. Le spectacle n'était hélas pas sur le terrain pendant le premier quart d'heure. De quoi frustrer quelques supporters mécontents d'avoir investi la somme demandée par le club local de la SS Weyersheim.
Les premières minutes auront surtout permis au Bayern II de montrer un pressing redoutable, étouffant les Strasbourgeois dans leur camp. Jusqu'à la 6ème minute de jeu et l'erreur d'Eric Marester, titulaire à droite de la défense, qui provoqua un corner suite à une simple glissade. Corner qui sera dégagé sans difficulté. Mais le jeu ne se décantait pas. Les Allemands avaient certes la mainmise sur le ballon, néanmoins le bloc alsacien était imperturbable et très solide.
Le quart d'heure disputé, la tendance s'inverse et le Racing Club de Strasbourg s'inspire du pressing de son adversaire en jouant haut à son tour, tout en étant agressif. Les espaces se libéraient un peu plus, et le FCB en profitait pour effectuer la première frappe du match, par Daniel Häggler à la 18ème minute de jeu. Celle-ci manquait de précision et mourrait largement à côté du poteau droit d'Oukidja. Les premiers aboutissements de ce jeu haut et agressif viendront à partir de la 20ème minute de jeu, alors que Blayac subit une faute à environ 25 mètres des buts d'Andreas Rössl, l'ainé de l'équipe du haut de ses 28 ans. La patte gauche de Dimitri Liénard trouve Jérémy Blayac, isolé, dont la tête atterrit sans peine dans les bras du gardien. Quoiqu'il arrivait, l'issue était un coup-franc puisque l'attaquant alsacien était signalé hors-jeu.
Sûrs de leur force et convaincus d'un pressing payant, les Strasbourgeois ne se décourageaient évidemment pas et continuaient à effectuer un pressing d'école. À la 22ème minute de jeu, Massiré Kanté, très haut, harcèle la défense Bavaroise et récupère le ballon proche de la ligne des 6 mètres. Ce dernier profitait à Abdelhak Belahmeur qui s'introduisait dans la surface avant d'effectuer un centre à ras-de-terre qui passait au travers de tout le monde, jusqu'à Mayoro N'Doye, dont la frappe du gauche était totalement dévissée.
Il fallut attendre la 26ème minute de jeu et la pause fraicheur pour vivre la première frappe cadrée du match. Elle était l’œuvre des Allemands, plus particulièrement de Patrick Pucheggler, latéral monté aux avant-postes, dont le tir était repoussé par Oukidja de manière peu académique, mais l'essentiel y était.
Ce match ne semblait pas amical pour tout le monde. Du moins, on en doutait lorsque Liénard et ... Pucheggler s'étaient accrochés. Les esprits étaient bien heureusement très vite calmés, et le Belfortain pouvait botter le coup-franc qu'il avait provoqué. Sans donner de suite cette fois, puisque Massiré Kanté, libre de tout marquage (il était peut-être marqué mais vu sa taille, ça ne change rien), ratait sa remise de la tête. A la 33ème minute de jeu, N'Doye interceptait la relance de la défense munichoise et lançait dans la foulée l'ex-Angevin Blayac, dont la course était interrompue par une petite bousculade de Matthias Strohmaier que l'arbitre transformait gentiment en penalty. Contre toute attente, c'est Oumar Pouye qui se présentait face au gardien Rössl. Sans trembler, Pouye inscrivait le premier but du RC Strasbourg de cette nouvelle saison. Logiquement, les Bleus et Blancs menaient au score.
La mi-temps approchait désormais, et il ne restait que 10 minutes avant de souffler et de découvrir un nouveau "onze" concocté par Jacky. En attendant, Blayac continuait d'animer le secteur offensif, mais, désaxé, faisait le mauvais choix en centrant directement. La défense dégageait dans les pieds de Marester, dont la frappe aurait pu heurter le car des joueurs du Bayern Munich. La dernière occasion du premier acte est encore Strasbourgeois, signé Oumar Pouye, très actif et motivé. A la suite d'un corner mal renvoyé, Oumar Pouye contrôle, se débarrassait aisément de son vis à vis et concluait d'une frappe croisée du gauche qui flirtait avec le poteau gauche de Rössl.
Monsieur Mercier sifflait ensuite la mi-temps. Dans des conclusions hâtives d'une première période bouclée, Léo Schwechlen s'imposait comme son statut le voulait et montrait un sang-froid admirable, doté d'une justesse dans tout ce qu'il entreprenait. Il ne restait que quelques minutes à patienter pour découvrir, sans trop de difficultés, la deuxième composition d'équipe.
Composition d'équipe à partir de la 62ème minute
L'on pouvait s'y attendre. La deuxième mi-temps était nettement moins haletante, mais les supporteurs du Bayern en profitaient pour ne pas avoir fait le voyage pour rien, à défaut de voir des buts. Blondel, Salmier, Munch, Grimm, Weissbeck, Aguemon, Sabo et Bahoken entraient en jeu. Les rescapés étaient Schwechlen, N'Dour et Liénard au moment d'entamer la deuxième mi-temps.
Si Corentin Munch donnait satisfaction sur son côté droit, Milos Pantovic, l'ailier gauche du Bayern, avait bien décidé de rendre la tâche difficile au jeune Strasbourgeois. Alors que l'on jouait depuis onze minutes dans la deuxième période (56ème), son adversaire direct le dribblait et pouvait effectuer un centre dangereux. Abdallah N'Dour était présent dans l'axe de la défense et permettait à Blondel de ne pas s'exprimer trop rapidement en dégageant d'un geste acrobatique. Les choses semblaient s'accélérer quelques minutes plus tard, alors que Liénard se disputait le ballon sur l'aile gauche et sauvait une touche, son centre trouvait Stéphane Bahoken, dont la frappe terminait... *roulements de tambours* au-dessus ! Cette action était la dernière de l'ex-mulhousien qui sortait avec ses deux camarades rescapés, N'Dour et Schwechlen, aux profits respectifs de Ieraci, North et Sikimic. Sikimic. SIKIMIC.
En difficulté, Yannick Aguémon parvenait tout de même à déborder sur son aile avant d'adresser un centre pour Bahoken, qui tentait de reprendre ce centre difficile d'une talonnade digne de Ludovic Giuly. Mais celle-ci manquait de puissance pour inquiéter le portier allemand, capitaine. L'ancien vannetais tentait une nouvelle fois de s'illustrer avec une frappe lointaine, dont la trajectoire prenait la direction de la Zorn située à côté du complexe sportif. A la 80ème minute de jeu, Bahoken, peu avare d'efforts et qui tentait de bons coups, contrôlait difficilement le ballon et profitait à Gaëtan Weissbeck dont la frappe de l'extérieur du pied droit frôlait malheureusement le montant.
En fin de match, c'est autour d'Olivier Blondel, sympathique mais à la peine sur ses relances au pied, de s'illustrer en se servant de ses mains. Admirablement d'ailleurs, puisque sa manchette devant Wegkamp permettait au RCS de garder ses cages inviolées et de préserver l'avantage au score (82e). Les deux dernières occasions du match étaient tranquillement gérées par Strasbourg, notamment Bahoken, impliquées dans celles-ci. Dans la première, il se positionnait à la réception d'un centre de Sabo, et ne pouvait rien faire de mieux que de frapper. Un défenseur se trouvait malheureusement pour Stéphane entre lui et le but. Dans le seconde, et ultime, Bahoken interceptait une passe bavaroise et filait seul au but. Le gardien était bien placé et fermait l'angle de tir à l'aide de son pied.
Après les trois coups de sifflet traditionnels s'en suivait une invasion de la pelouse des supporteurs alsaciens pour retrouver leurs idoles et obtenir quelques clichés avec les vainqueurs du jour. Sans crier gare, l'arrosage automatique s'enclencha, ne manquant pas d'arroser un bon nombre de fans, (trempés mais) hilares.
