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Au terme d’un match assez décousu, le Racing a concédé un nouveau match nul face aux Herbiers. Retour sur un match que les Strasbourgeois auraient sans doute dû gagner mais qu’ils auraient très bien pu perdre en toute fin de match.
On joue la 92ème minute, alors qu’on se dirige vers un match nul, une passe vendéenne contrée par N’Doye et Saad, finit dans les pieds de Makulu qui se retrouve seul devant Oukidja et qui expédie le ballon sur la barre transversale. Épilogue d’une soirée qui aurait pu très mal se terminer pour le Racing…
Pour cette quatrième journée de National, le Racing accueille Les Herbiers, un club promu, qui aura sans doute permis à 99,9% des supporters du Racing de connaître cette ville de plus de 15000 habitants. Jacky Dugépéroux a décidé d’aligner le même onze que lors du succès à Béziers, une semaine plus tôt. A une exception près, Seka, de retour de suspension, remplace Salmier.
Si le match aurait pu très mal finir pour le Racing, il a en revanche très mal commencé. On joue la 6e minute, sur un ballon apparemment anodin, Seka loupe son contrôle de la poitrine, Sarr subtilise le ballon et d’une magnifique demi-volée trompe Oukidja, légèrement avancé.
Les Strasbourgeois réagissent. A la 14ème minute, Blayac se présente seul devant Blancheton et croit égaliser mais l’arbitre refuse le but pour un hors-jeu très limite voire inexistant. Six minutes plus tard, Seka marque mais l’arbitre refuse à nouveau le but pour un nouveau hors-jeu de N’Doye qui semblait bien plus net que le premier.
Les vingt minutes suivantes sont bien plus calmes. Dans les derniers instants du premier acte, Blancheton repousse deux tentatives coup sur coup de Liénard (sur un centre de N’dour) et de Belhameur qui avait bien réussi un formidable slalom sur deux ou trois joueurs vendéens. Deux minutes plus tard, le portier vendéen est encore là pour stopper le centre-tir de Blayac.
A force de pousser, le Racing finit par être récompensé : sur un des rares centres réussis de N’Dour, Blayac d’une reprise du pied droit trouve enfin l’ouverture (45+2). Assurément les sept ou huit meilleures minutes du Racing depuis le début de saison.
Un second acte compliqué
On pensait que le Racing avait fait le plus dur. Mais à la 57e minute, Les Herbiers vont inscrire le second but : sur une belle ouverture de Padovani, Schuster part dans le dos de Saad et bat Oukidja d’un plat du pied abandonné par une défense statique.
Dix minutes plus tard, le Racing égalise. Sur un corner de Lienard, Bahoken (rentré six minutes plus tôt) reprend d’un coup de tête rageur, 2-2.
Puis comme en première période, il ne se passe plus grand chose pendant une vingtaine de minutes, la faute à une équipe vendéenne bien regroupée et un Racing avec un jeu trop stéréotypé par moment.
La fin du match est complètement folle : à la 88ème minute, Blayac se présente seul devant Blancheton mais sa demi-volée passe à côté du but. Enfin, il y a cette fameuse transversale à la 92’ des Vendéens. Trois occasion, deux buts et une barre transversale, Les Herbiers ont failli réaliser un hold-up parfait hier soir à la Meinau.
Cinq points sur douze possible, inutile de dire que le ratio n’est pas terrible. Sept buts encaissés en quatre matchs, le Racing se doit de retrouver une certaine rigueur défensive, primordiale pour espérer jouer quelque chose dans ce championnat. Mais ce n’est pas tout : le jeu est par moment trop stéréotypé, trop statique, les placements sont trop approximatifs et le niveau et la condition physique de certains joueurs interrogent ...
Aux Strasbourgeois de corriger tout cela alors que se profile un déplacement à Sedan (samedi 18h) face à un promu qui a remporté hier soir, son premier match de la saison à Bastia (0-1). Ce ne sera pas une partie de plaisir assurément…
Pour cette quatrième journée de National, le Racing accueille Les Herbiers, un club promu, qui aura sans doute permis à 99,9% des supporters du Racing de connaître cette ville de plus de 15000 habitants. Jacky Dugépéroux a décidé d’aligner le même onze que lors du succès à Béziers, une semaine plus tôt. A une exception près, Seka, de retour de suspension, remplace Salmier.
Si le match aurait pu très mal finir pour le Racing, il a en revanche très mal commencé. On joue la 6e minute, sur un ballon apparemment anodin, Seka loupe son contrôle de la poitrine, Sarr subtilise le ballon et d’une magnifique demi-volée trompe Oukidja, légèrement avancé.
Le "show" Blancheton
Les Strasbourgeois réagissent. A la 14ème minute, Blayac se présente seul devant Blancheton et croit égaliser mais l’arbitre refuse le but pour un hors-jeu très limite voire inexistant. Six minutes plus tard, Seka marque mais l’arbitre refuse à nouveau le but pour un nouveau hors-jeu de N’Doye qui semblait bien plus net que le premier.
Les vingt minutes suivantes sont bien plus calmes. Dans les derniers instants du premier acte, Blancheton repousse deux tentatives coup sur coup de Liénard (sur un centre de N’dour) et de Belhameur qui avait bien réussi un formidable slalom sur deux ou trois joueurs vendéens. Deux minutes plus tard, le portier vendéen est encore là pour stopper le centre-tir de Blayac.
A force de pousser, le Racing finit par être récompensé : sur un des rares centres réussis de N’Dour, Blayac d’une reprise du pied droit trouve enfin l’ouverture (45+2). Assurément les sept ou huit meilleures minutes du Racing depuis le début de saison.
Un second acte compliqué
On pensait que le Racing avait fait le plus dur. Mais à la 57e minute, Les Herbiers vont inscrire le second but : sur une belle ouverture de Padovani, Schuster part dans le dos de Saad et bat Oukidja d’un plat du pied abandonné par une défense statique.Dix minutes plus tard, le Racing égalise. Sur un corner de Lienard, Bahoken (rentré six minutes plus tôt) reprend d’un coup de tête rageur, 2-2.
Puis comme en première période, il ne se passe plus grand chose pendant une vingtaine de minutes, la faute à une équipe vendéenne bien regroupée et un Racing avec un jeu trop stéréotypé par moment.
La fin du match est complètement folle : à la 88ème minute, Blayac se présente seul devant Blancheton mais sa demi-volée passe à côté du but. Enfin, il y a cette fameuse transversale à la 92’ des Vendéens. Trois occasion, deux buts et une barre transversale, Les Herbiers ont failli réaliser un hold-up parfait hier soir à la Meinau.
Cinq points sur douze possible, inutile de dire que le ratio n’est pas terrible. Sept buts encaissés en quatre matchs, le Racing se doit de retrouver une certaine rigueur défensive, primordiale pour espérer jouer quelque chose dans ce championnat. Mais ce n’est pas tout : le jeu est par moment trop stéréotypé, trop statique, les placements sont trop approximatifs et le niveau et la condition physique de certains joueurs interrogent ...
Aux Strasbourgeois de corriger tout cela alors que se profile un déplacement à Sedan (samedi 18h) face à un promu qui a remporté hier soir, son premier match de la saison à Bastia (0-1). Ce ne sera pas une partie de plaisir assurément…
