Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Fais pas le guignol chez les branquignols

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Avant-match
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Par il-vecchio
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Épinal par beau temps © manacor67

Afin de préserver le Mouette-gang d’un séjour à Cayenne, Guantanostub ou pire, Guantano-sur-Vologne, je me risque à une fade présentation contextuelle de l’adversaire de ce vendredi.

Les Vosges, was esch denn dàs?

Un charmant hôtel-restaurant en face de la gare me répondront les Obernois, mais surtout un massif montagneux tout en longueur à deux versants bien que balloné.
Le versant Est, pure merveille, inondé du soleil matinal qui dissipe la brume, sèche et fait mûrir le raisin gorgé de sucre tandis que le vis-à-vis teuton doit se contenter d’une aigre piquette aux vendanges. Le versant Est laisse éclater les couleurs au printemps lors de la fête des jonquilles à Mittlach, il regorge de ferme-auberges où déguster le repas marcaire après avoir crapahuté sur les milliers de sentiers qui le sillonnent. Riche en cours d’eau, forêts et châteaux-forts, il permet également la pratique du ski lorsqu’il neige. Ce versant recèle un volcan éteint, le Champ du Feu bien connu des Strasbourgeois tandis que la Meinau est un volcan actif lâchant un jour quelque panache de fumée noire grondant d’une folle rumeur un autre jour où frémissent d’angoisse toutes les équipes amateurs du CFA2 au National qui y passent.

Le versant Ouest pour faire simple, c’est l’austérité grecque sans le soleil. Il est si triste que les corbeaux le survolent sur le dos pour rédiger quelques mémoires d’outre-tombe une fois parvenus à destination. Une partie du versant Ouest a également donné son nom au département éponyme lui aussi empreint d’austérité à tant faire pâlir un Grec bronzé qu’on le confondrait avec un Finnois au sortir de l’hiver. Alors que par le passé on menaçait les préfets indociles de mutation en Corse, aujourd’hui on brandit un cliché de la préfecture d’Épinal et aussitôt se dresse la moustache du sous-préfet terrifié qui rentre immédiatement dans le rang.

Des forêts sombres, épaisses, sans la gaieté de celles de l’Est. Pas de canal à se pendre, mais des cours d’eau tristes à y balancer sa progéniture histoire de la préserver du chômage. Hé oui, les cours d’eau procurèrent une énergie à bon marché tant aux scieries qu’à l’industrie textile, mais la Chine est plus “compétitive” (comprendre esclavagiste). Quant à la forêt, mon bon monsieur, aujourd’hui les gens veulent des Schissdrack Mewel üss Blastik ou des meubles en bois exotique histoire de frimer, tant pis pour la forêt amazonienne et avec 75% d’électricité d’origine nucléaire qui donc chauffe encore au bois? Du bois, mais il y en a tant et plus qu’on vient à peine d’éponger le stock de chablis, joo non pas du premier cru, le chablis tombé le 26 décembre 1999 sous le souffle de Lothar, dont le nom est à l’origine de la région “Lorraine”, la Lotharingie. Damnée Lorraine!

Le climat des Vosges, gìbt ‘s Sonna?

Le climat vosgien est d’une grand simplicité. Il n’existe que deux saisons, l’hiver et le 15 août. Il arrive toutefois que le soleil brille en hiver mais c’est très très exceptionnel. Prouve nous que l’hiver dure longtemps et qu’il arrive au soleil de briller hurlent les deux ou trois grandes gueules vosgiennes (pléonasme) présentes sur le site.

2 juin 2013, stade de la Colombière, Epinal.

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Porter une parka sur le coup de 15h00 un 2 juin est bien le signe d’une température hivernale. “L’hiver la-bas les bêtes sauvages meurent”.

Les Vosgiens, wàs sìn das fer Litt?

J’éviterai ici les clichés dénués de tout fondement qui valurent l’an passé à leurs auteurs une sévère réprimande. Le Vosgien n’est pas con, mais il y a des cons. Le Vosgien n’est pas d’un naturel sanguin sauf si on le pousse un peu trop. Et certains “Vosgiens” sont plus facilement provocables que d’autres. Les Vosges, terre de punition, terre d’exil, terre de déportation hébergent des repris de justice en tous genres dans ses forêts. Le Vosgien d’exil c‘est la grande gueule type surtout le samedi soir lorsqu‘il descend “dans le pays”. Il vaut mieux changer de trottoir pour croiser ces “Nénesse”. Les Vosges peuvent vous ravager un homme en quelques années. Je m’abstiendrai de vous conter la pathétique et trop longue histoire de cette pauvre femme née à Dakar (Sénégal) contrainte de grandir à Chamagne, petit village situé à 36km de notre adversaire du jour. Elle ressortit si ravagée des Vosges qu’aujourd’hui on la surnomme la folle du Poitou.
Méfiez vous des Vosgiennes, je veux dire des femmes je n’évoque pas ici cette race de vaches. Les Vosgiennes sont à l’image du pays. A la fête annuelle on trouve toujours au moins “deux femmes inscrites pour le titre du meilleur schlitteur.“ Toutefois, pour qui sait chercher au fond des bois, la gent féminine propose quelques rares perles à la blondeur enjôleuse et au regard ensorceleur, un peu Juliette de “la grande vadrouille”.

Certaine serait même membre éloignée de cette famille qui fit l’objet d’un examen par le @stub-digestif dont le style n’est pas sans rappeler celui du mouette-gang. Examen pas assez approfondi, puisque ce présumé ancêtre du mouette-gang ne redoute rien de plus qu’une expédition dans les forêts vosgiennes.

Les loisirs dans les Vosges, die sìn bsondersch trürig.

Autant oublier cette notion. Les loisirs se limitent à jouer et à boire dans les bistrots, ainsi qu’à chanter Léon-Léon. Une fois l’an, les Vogsiens se rendent à Vagney à LA fête du département que l’on nomme fête des bûcherons davantage pour s’y battre que pour festoyer. Les nuits, les longues nuits de l’hiver vosgien sont sinistres. Sur sa mobylette, le juge Lambert rentre chez lui, dans le lointain les bûcherons dorment comme des cons.

L’économie vosgienne, gìbt’s noch Arwet?

Aussi surprenant cela puisse-t-il paraitre 24 entreprises textiles subsistent dans les Vosges ayant même créé en janvier 2011 le label Vosges terre textile.

L’agriculture y est encore présente mais tout aussi sinistrée que dans le reste de pays. Pas de verdammti Söjerei vu Maïs, ni de vignobles, l’ensoleillement et le climat ne s’y prêtant pas, mais de l‘élevage que l’on tenta de mettre en valeur lors du salon de l’agriculture 2011.

Demeurent les niches. Naaa pas celle de Waldi ou du Loulou, les niches de l’économie comme par exemple la confiserie des Hautes-Vosges dont la qualité des produits est bien connue depuis près de 20 ans auprès des clients des Christkìndelsmärik d’Alsace. (wann I met dam z‘ Wihnàchta kè Bumbum um e sonscht bikumm esch’s z’m hiila).

Gìbt’s kè Holzhaüer meh?

Argl! La question qui tue. Me faut il donc me lancer dans l’évocation de la filière bois dans les Vosges sous le regard sévère de Maître Dom, avocat des Vosges près la Stub au barreau du sapin scié (un très gros barreau) qu’il ne faut pas prendre pour une bille. Ne reculant devant rien je tente.

Qui dit Vosges, dit Vologne bien sûr, mais dit aussi bûcheron. Le bûcheron souffre d’un terrible cliché de bourrin aux gros biscottos avec une cervelle de moineau et il y a de quoi! Il y a de quoi, la faute en incombe aux Vosgiens. Mais à dire vrai, il y a le bon bûcheron et le bûcheron bourrin, le bûcheron de cliché. Ils sont plus faciles à distinguer que le bon chasseur du mauvais chasseur. (à 3‘00“)

Le bon bûcheron sait discerner au premier coup d’œil un arbre sain d’un arbre malade. Le bon bûcheron gère parcimonieusement son lot, n’abat pas toute la parcelle en la laissant aussi nue qu’après le largage d’une Daisy Cutter. Il pense, car le bon bûcheron pense oui Messieurs-dames, à la régénération de la forêt et à l’avenir, le sien et celui des générations futures. Le bon bûcheron détermine sa méthode d’abattage en fonction de l’environnement et des caractéristiques de l’arbre. Le bon bûcheron choisit soigneusement l’axe de chute de l’arbre afin de préserver les autres. Le bon bûcheron prépare l’arbre à abattre pour préserver ceux l’entourant ainsi que l’intégrité et la valeur du tronc à couper. Le bon bûcheron sécurise la parcelle avant tout abattage. Le bon bûcheron est soucieux de sa propre sécurité et vous détaille un arbre abattu avec la finesse d’un orfèvre. Au risque de vous surprendre, la forêt vosgienne grouille de bons bûcherons dont le travail alimente les quelques scieries. Homme rude au mal le bon bûcheron car “faut pas oublier qu’on a six mois sous la neige“.

Mais comme évoqué plus tôt, si on voulait du formica chez Jean Ferrat aujourd’hui on exige du plastique ou de l’exotique alors les bûcherons vivent plus chichement que les Grecs.

Demeure encore le tourisme, doch doch, pour faire rentrer quelques subsides. Mais quel tourisme? La plage de Lépanges-sur-Vologne est aussi funeste qu’un vol de corbeaux freux en octobre, quant au climat il est trop rude. Reste justement à exploiter le filon de la filière bois à la scierie du Lançoir dernier haut-fer du département, abandonné en 1965 tout comme celui du Haut-Beilliard mais relancé pour le tourisme. Comme “le Vosgien c’est de la petite race” et que “ça chausse petit” il a fallu faire appel à de la main-d’oeuvre étrangère venue des Amériques avec des colosses qui vous dévisagent les touristes de haut, à peine vêtus d’un tricot de peau négligemment déchiré faisant tourner de l’oeil les Parisiennes et tomber en pâmoison les comtesses qui comparent les bras de ces géants à des essieux d’autobus.

Les Vosges, ce département rural, rustique, rugueux dispose de revenus uniques au noir tirés de la formation. Oui, oui, on forme dans les Vosges.

D’r Generalràt het in d’Vogese g’leert.

Chez ces gens-là on ne boit pas Monsieur, on ne boit pas, on forme. On forme les conseillers généraux rebaptisés conseillers départementaux par la seule volonté de notre bien-aimé et adulé monarque républicain. De très jeunes garçons, (avant la parité dans les assemblées départementales) excités, insolents, hyper-actifs, parfois primo-délinquants très souvent dotés d’une structure intellectuelle rudimentaire sont envoyés en centres d’éducation ouverts dans ce sinistre département. Lorsque je dis centre ouvert, c’est littéral, c’est le plus souvent à ciel ouvert. Des centres en pleine montagne, loin de la voie ferrée, loin de la route, loin de tout. Il y a “deux heures de marche pour descendre voir une fille ou boire un coup”. Leurs éducateurs n’ont rien à voir avec ces surdiplômés en pédagogie, l’air intellectuel, tout gentils, en costume sombre les yeux cerclés de lunettes. Ce sont des Vosgiens, pas des Ménardeau, des durs au mal qui considèrent que c’est par l’exercice physique qu’on retrouve le droit chemin. Mens sana in sano corpore, voilà leur principe hormis qu’ils ignorent le latin et le nom même de Rabelais, faut pas leur demander ça, ce sont des Vosgiens. Les éducateurs vosgiens n’y vont pas de main morte, leurs “clients” se lavent en plein air à l’abreuvoir alimenté par l’eau ferrugineuse du torrent et apprennent le respectable métier de bûcheron. Ils les dressent en les obligeant à descendre le bois à la schlitte. La schlitte, “cette sale bête, ça vous crève son homme à la montée et ça vous le tue à la descente.” Mais voilà, de par leur caractère, leur QI, s’ils savent manier la hache et la Husqvarna en quittant le centre ils y ont développé sous la férule des Vosgiens une haine féroce et une crainte maladive de l’arbre. De retour dans leurs départements qui se sont saignés aux quatre veines pour les redresser, les voici élus conseillers généraux.

A peine le costume endossé, ceints de l’écharpe qu’ils se ruent sur leur Stihl abattre jusqu’au plus petit arbrisseau bordant les routes de leurs cantons. Pour le conseiller général ce sont les arbres qui agressent l’automobiliste, les arbres qui traversent la route sans prévenir. Fini les belles allées ombragées, on se rend de Schaeffersheim à Meistratzheim sous le cagnard. Éradiqués les platanes dans les virages autour de Bernardswiller. Zigouillés la plupart des platanes de l’alignement remarquable entre le rond-point et St-Nabord. Un convoi exceptionnel à faire passer? La belle affaire, vite 31 arbres abattus! Le CG refusant de répondre à toute question le coupable s’est auto-désigné. Ah, on remarque l’action du conseiller général! C’est lui le mauvais bûcheron, c’est lui qui jette l’opprobre et le mépris sur cet honorable corps de métier.

Bref, on l’a vu le département des Vosges ne respire pas la joie de vivre. “Ça fait penser à un but de promenade et non pas à une existence.” Et le foot, hurle le lecteur. La lectrice aussi, mais Schàtzi si au lieu de briela tu pouvais me le susurrer à l’oreille, wart’s lieb, gall. Hè langsam, wann d’r Mouette-gang schriibt word o net ewer Füassball geredt. Also riäwig!

Le foot vosgien, kenna se Füassball spela?

Le football est universel et se pratique partout même au Groenland alors pourquoi pas dans les Vosges? Déjà en National aux temps maudits de l’Ignoble, le Racing dut se rendre en ces terres hostiles affronter Thaon-les-Vosges. Mais si ce match, pas davantage que les deux rencontres de championnat en CFA2 ne demeurèrent dans les mémoires il en va tout autrement de “la finale“ du CFA Gr. B 2012-2013.

Raon! Raon! Séchet madré, Rossi manipulé, Sous-Préfet terrorisé, Beauvau terrifié par l’immonde légende colportée par les vils Vosgiens traitant les Alsaciens de mangeurs de bébés qui refila l’organisation du match au Préfet. Raon délocalisé, Raon éliminé, mais il s’en fallut d’un cheveu, surement le dernier sur le crâne de David Ledy qui marqua le but du 3-0. Je relis ma phrase, oh verdammi, do steht’s scho 3-2. Wie esch das mejlich?

Et ….. Pinal, singulier de Pinaud fidèle adjoint du commissaire San-Antonio mais dont l’homonyme officia trois saisons durant comme milieu offensif et arrière-droit au Racing. Épinal, une véritable équipe de branquignols la saison passée qui manifesta très rapidement son ambition de décrocher la lanterne rouge que nul adversaire pas même Istres ne vint inquiéter dans son désir d’aller jouer la saison suivante au mythique et mystérieux stade Paul Gasser. Las, la DNCG repêcha le SAS qui n’avait en tout et pour tout que trois minables victoires à domicile à faire valoir. Ja, ja, ich weiss, die hàn numma zwei Mol g’wonna, mais la troisième victoire est morale.

Afin d’égayer la triste et froide nuit vosgienne le club cherche à grand peine à composer une musique d’entrée des joueurs à base de percussions africaines. Ces miséreux sans le sou dans l’impossibilité de payer le déplacement des percussions de Bamako ou de Ougadougou ont été contraints de se rabattre sur les percussions de Roubaix, ville tout aussi glaciale et sinistre qu’Épinal.

Épinal, son stade de la Colombière, stade qui porte en lui une certaine malédiction anti-strasbourgeoise. En effet, je ne sais quel vaudou, ou veau d’or, euh non pauvres comme ils sont les Vosgiens n’ont pas d’or, quel insecte maléfique des forêts fait marquer deux buts en fin de chaque rencontre contre le Racing. L’ogre strasbourgeois qui a lamentablement loupé son début de saison a intérêt à ne pas venir façon grand méchant loup pour dévorer la galette du petit chaperon rouge qui à Épinal est vêtu en jaune et bleu. Le rude climat vosgien fait en effet souffrir les habitants du cru de graves pathologies chromatiques. Le stade de la Colombière est d’ailleurs en piteux état. Il s’écrivit en juin 2013 sur la Stub que la tribune Wassmer, tremblante, pleine à craquer, menaçait ruine et qu’il eût suffi de se baisser pour ramasser quelques débris de béton et les lancer sur la pelouse. Mais le supporter alsacien sait se tenir, il est juste un peu bruyant.
http://ub90.free.fr/_FILES/photos/2012-2013/gr/araon10.jpg

Je m’étonne que ce stade soit encore homologué puisque le vestiaire visiteur devrait faire l’objet d’un arrêté de mise en péril. Les vitres et surtout les murs sont couverts de lézardes aussi terrifiantes qu’après un séisme de force 7 sur l’échelle de Richter. En fait de séisme il s’agit de la mise au point murmurée, chuchotée, beuglée, gueulée, hurlée par Jacky Duguépéroux après le pathétique 2-2 de la saison passée.

Si le Vosgien est pauvre ne croyez pas qu’il “suffit de demander gentiment“ aux dirigeants de revendre la rencontre. Ils l’ont toujours refusé, ce sont des dirigeants d’un club de foot, pas des exploitants forestiers. Certains peuvent être tentés de croire que la montée se joue aux dés, il n’en est rien au risque de descendre et de la voir s’évanouir dans les brumes vosgiennes. Il va falloir fermer la baraque, garer le bus devant le but car prendre sept pions en quatre matchs Saadépasse l’entendement, d’autant que la loi non-écrite de La Colombière en accorde d’office deux aux locaux. A cet effet si une bonne âme spinalienne voulait bien avoir l’obligeance d‘inscrire 2-0 au tableau d’affichage lors du coup d’envoi je lui en saurais gré.

Donc, Messieurs les joueurs, sortez vous les doigts. Qu’on therraz l’adversaire afin de ne pas terminer le regard hagard du sagard devant sa scierie en feu.

il-vecchio

Commentaires (4)

Flux RSS 4 messages · Premier message par domarchivsas · Dernier message par rcs67200

  • Exceptionnel l!!!!
    Celle là (présentation),je la mets sous verre.
    Beaucoup d'humour,de clins d'oeil ,mais aussi qq clichés tenaces.
    Mais surtout ....une grande connaissance de la face ouest de la montagne.

    Si le Mouette-gang se voit préserver d’un séjour à Cayenne et compagnie.....,certains vont rêver de la mise en bière (metéor bien sûr) de mon ami Il Vecchio!!!!

    Plus sérieusement........Bravo(+)(+)(+)

    PS/Petite précision:le SAS n'a pas gagné 3 matchs à domicile la saison passée.....mais 1 seul et 2 au total:(
  • Vous avez oublié de parler du Rallye Vosgiens qui est l’événement sportif du week end avec la venue du Racing...
    A noté le samedi 2 spéciales à CORCIEUX !!!
  • Excellent,
    Comment arriver de parler du massacre de rd 426 entre Meistratzheim et Schaeffersheim sur un sujet sur Epinal.. =D

    Un vrai régal à lire, B.R.A.V.O.
  • Très bon, j'aurai aimé plus d'alsacien dans le texte .

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