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Le Racing remonte sur le podium, ses supporters descendent dans le Sud... Comment ces choses-là sont-elles possibles ?
Rien de tel qu'une victoire pour commencer la semaine ! Eurosport l'a bien compris et propose aux Strasbourgeois de prolonger le week-end par une escapade dans le Gard. Au programme : soleil, pastaga et football.
Une fois n'est pas coutume, c'est dans une ville qui sent le foot que se retrouvent les supporters du RCS. Le foot des années 80 certes, mais le foot tout de même. Les Costières sont le mythique antre des Crocos nîmois, le stade dispose d'une capacité d'un peu moins de 20 000 places, mais il a fière allure et même un petit air de ressemblance avec le stade de Gènes et ses tours encadrant les tribunes. Les Costières sont en fait le petit frère du stade Stadio Luigi Ferraris, puisque les deux sont l'oeuvre des architectes Marc Chausse et Vittorio Gregotti.
Malgré la saison cauchemardesque que vivent les Nîmois le public a répondu présent pour ce match de la dernière chance et ce sont 8000 spectateurs qui attendent que leurs joueurs se battent comme des gladiateurs.
Les « Gladiators » sont depuis 1991 les principaux animateurs de la tribune Pesage et du stade des Costières (à noter la présence des Red Warriors à notre droite, mais même motivés, ils ne sont en fait qu'une douzaine).
Pour la réception de Strasbourg, les Gladiators réalisent une petite animation sympa à base de bandes plastiques ayant pour thème le carnaval. Le carnaval ? Un rapport avec ce qui se passera sur le terrain, aucune idée.
Il se murmure que des Mulhousiens étaient présents dans les travées pour rendre visite à leurs amis nîmois et accessoirement voir du foot de plus haut niveau que ce qu'ils peuvent voir en championnat amateur...
L'ambiance sera au final bien mais pas au top. La faute à un match poussif et surtout aux deux réalisations des Bleus.
Du côté de la tribune visiteur (qui est particulièrement "old school" : bancs et rambardes pour suivre le match debout), une trentaine de fans alsaciens ont pris place pour encourager leurs favoris. Au grillage, la banderole UB90 est comme toujours présente.
Durant la rencontre divers chants seront lancés et repris avec plus ou moins de succès. Pas une grosse ambiance mais l'on sent que le RCS recommence à faire vibrer... un peu.
On pourra néanmoins regretter l'absence de sandwichs et l'emplacement des toilettes (au dernier étage) qui donneront lieu à quelques scènes cocasses (oui cocasse sera l'adjectif de ce côté tribune).
Dernier détail intégriste et amusant, le programme du match fait également et surtout office de guide TV pour les deux prochaines semaines. Merci le NO.
Stéphane aime-t-il encore le public, bien que ce dernier l'ait trompé avec Régis ?
Vont-ils se réconcilier ?
Comment Kébé sera-t-il accueilli par ses anciens supporters ?
Grégory parviendra-t-il à vivre sous les sifflets ?
Le scénario nous offrait de multiples rebondissements mais la soirée fut relativement calme.
Kébé aura le droit à quelques chants en son honneur Kébé ********* de la part des sudistes. Le joueur ne laisse décidément pas les stades de France (et de Corse) indifférents.
Paisley reprendra lui sa place dans l'indifférence, même s'il évolue maintenant sans le brassard.
Stéphane Cassard nous saluera à nouveau. Mais du rond central, comme le reste de l'équipe à la fin du match.
La tension n'est plus de mise, mais ce n'est pas encore le grand amour entre le RCS et ses supporters.
La réception d'Angers offre à l'équipe une occasion de se réconcilier avec son public. Occasion à ne pas rater !
Enfin un vrai stade de foot !
Une fois n'est pas coutume, c'est dans une ville qui sent le foot que se retrouvent les supporters du RCS. Le foot des années 80 certes, mais le foot tout de même. Les Costières sont le mythique antre des Crocos nîmois, le stade dispose d'une capacité d'un peu moins de 20 000 places, mais il a fière allure et même un petit air de ressemblance avec le stade de Gènes et ses tours encadrant les tribunes. Les Costières sont en fait le petit frère du stade Stadio Luigi Ferraris, puisque les deux sont l'oeuvre des architectes Marc Chausse et Vittorio Gregotti.
Entrez dans l'arène
Malgré la saison cauchemardesque que vivent les Nîmois le public a répondu présent pour ce match de la dernière chance et ce sont 8000 spectateurs qui attendent que leurs joueurs se battent comme des gladiateurs.
Les « Gladiators » sont depuis 1991 les principaux animateurs de la tribune Pesage et du stade des Costières (à noter la présence des Red Warriors à notre droite, mais même motivés, ils ne sont en fait qu'une douzaine).
Pour la réception de Strasbourg, les Gladiators réalisent une petite animation sympa à base de bandes plastiques ayant pour thème le carnaval. Le carnaval ? Un rapport avec ce qui se passera sur le terrain, aucune idée.
Il se murmure que des Mulhousiens étaient présents dans les travées pour rendre visite à leurs amis nîmois et accessoirement voir du foot de plus haut niveau que ce qu'ils peuvent voir en championnat amateur...
L'ambiance sera au final bien mais pas au top. La faute à un match poussif et surtout aux deux réalisations des Bleus.
Du côté de la tribune visiteur (qui est particulièrement "old school" : bancs et rambardes pour suivre le match debout), une trentaine de fans alsaciens ont pris place pour encourager leurs favoris. Au grillage, la banderole UB90 est comme toujours présente.
Durant la rencontre divers chants seront lancés et repris avec plus ou moins de succès. Pas une grosse ambiance mais l'on sent que le RCS recommence à faire vibrer... un peu.
On pourra néanmoins regretter l'absence de sandwichs et l'emplacement des toilettes (au dernier étage) qui donneront lieu à quelques scènes cocasses (oui cocasse sera l'adjectif de ce côté tribune).
Dernier détail intégriste et amusant, le programme du match fait également et surtout office de guide TV pour les deux prochaines semaines. Merci le NO.
Les feux de l'amour ?
Stéphane aime-t-il encore le public, bien que ce dernier l'ait trompé avec Régis ?
Vont-ils se réconcilier ?
Comment Kébé sera-t-il accueilli par ses anciens supporters ?
Grégory parviendra-t-il à vivre sous les sifflets ?
Le scénario nous offrait de multiples rebondissements mais la soirée fut relativement calme.
Kébé aura le droit à quelques chants en son honneur Kébé ********* de la part des sudistes. Le joueur ne laisse décidément pas les stades de France (et de Corse) indifférents.
Paisley reprendra lui sa place dans l'indifférence, même s'il évolue maintenant sans le brassard.
Stéphane Cassard nous saluera à nouveau. Mais du rond central, comme le reste de l'équipe à la fin du match.
La tension n'est plus de mise, mais ce n'est pas encore le grand amour entre le RCS et ses supporters.
La réception d'Angers offre à l'équipe une occasion de se réconcilier avec son public. Occasion à ne pas rater !
