Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

« Hammerson, on a un problème... »

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Il y a quarante ans, l'homme marchait sur la Lune. Il y a trente ans, le Racing remportait le championnat de France. Vraiment ? Il est temps de mettre fin aux deux plus grands mensonges du XXème siècle (2/2).

>> Lisez d'abord la première partie de cette enquête en cliquant ici.

Les preuves irréfutables


Des adversaires tenaces
Si l'amateur de foot lambda a pu être surpris par le sacre de Strasbourg en 1979, il ne l'a pas remis en question. L'adage « plus c'est gros, plus ça passe » se trouve parfaitement vérifié. Le Racing club de Strasbourg, club maudit parmi les maudits, champion de France à la régulière ?
Il y a de quoi être sceptique, et pourtant, dans un premier temps aucune voix ne s'élève pour demander des explications. A l'instar du prétendu premier pas de l'homme sur la Lune en juillet 69, l'opinion publique salue, unanime, le « triomphe » strasbourgeois. Pourtant, les éléments troublants ne manquent pas et, heureusement, la version officielle va être sérieusement être mise à mal par la sagacité de quelques personnes particulièrement tenaces.

Presque que des Alsaciens
Premier élément troublant, le fait que l'équipe championne soit essentiellement alsacienne. Les Alsaciens sont certes des amateurs de ballon rond, mais jamais autant de joueurs talentueux ne se sont révélés simultanément. Alors que l'Alsace n'a produit qu'un Ehret et un Rott pendant les deux dernières décennies, plus de la moitié du Racing 79 est alsacienne. « C'est le premier indice qui m'a fait tiquer, confie Jacques V. Les Alsaciens sont des bons joueurs de Grempel, pas des cadors internationaux, je ne pouvais pas avaler ça ».
Pourquoi les Américains ont-ils tant forcé sur le côté régional de l'équipe ? Jacques V. a une explication : « Avec tant d'Alsaciens dans l'équipe, la région entière s'est enflammée et le côté affectif a pris le dessus sur la raison. Il ne fallait pas que le public se pose trop de questions... » De la même façon, le peuple américain a été ébloui par le drapeau américain déployé par Neil Armstrong sur la Lune car il flattait la fibre patriotique et sentimentale. Tout ceci a occulté le fait que ce drapeau flottait alors qu'il n'y a pas d'air sur la Lune.

La personnalité de Schilles
Autre point douteux, la personnalité de l'entraineur, Gilbert Gress. Comment un homme qui a prouvé par la suite à bien des reprises ses limites, voire son incompétence, aurait-il pu mener avec tact et finesse le Racing au titre en 79 ? Pourquoi le coach génial de 79 est subitement devenu aveugle l'année suivante en refusant d'apprécier à sa juste valeur le talent de Carlos Bianchi ? Pourquoi le gourou alsacien n'a-t-il réussi à s'exporter que dans des clubs de seconde zone pendant la suite de sa carrière, en Suisse voire, pire, à Metz ?
Toutes ces questions restent entières 30 ans après, au moment où Gress décide de se priver du meilleur jouer de la saison passée, Emil Gargorov... Là encore, des voix s'élèvent pour dénoncer l'imposture de 79. Sous couvert d'anonymat, un ancien de 79 se confie : « Gilbert Gress est un entraineur médiocre, j'ai mis du temps à m'en rendre compte mais cela ne fait aucun doute. Son 4-3-3 n'a jamais gagné nulle part ailleurs. Domenech dit que les astres étaient alignés... Moi, je ne me l'explique pas ».

Glassmann, le curieux
Domenech, un homme clef dans cette histoire. D'après des rumeurs insistantes, il ferait partie du cercle restreint de joueurs au courant de la machination américaine. De cette époque, il a conservé l'habitude de la diversion spectaculaire, le dernier épisode en date étant la demande en mariage le soir de l'élimination de la France à l'euro 2008.
Mais la majorité des joueurs de 79 ignorait tout de ce qui se tramait en coulisses. Le destin tragique de Jacques Glassmann, jeune footballeur de l'équipe, et la conspiration de 79 seraient intiment liés. Jacques V. en est persuadé : « Jacques été très curieux, il a laissé trainer ses oreilles au mauvais endroit et découvert une partie du pot-aux-roses. Comme par hasard, il se retrouve détruit par l'affaire OM-VA en 93. Personne n'ignore les relations haut placées qu'avait Tapie avec le pouvoir à l'époque... On l'a fait payer, ils l'ont fait payer... Ces gens là ne vous laissent jamais tranquille ».

Une victoire trop aisée
Encore un fait troublant, l'épilogue de la saison avec la victoire 3-0 à Lyon. Victoire trop nette pour ne pas être suspecte. A la 28ème minute, le match est déjà plié, Wagner a marqué par deux fois. Un joueur de l'époque confie : « ce match, c'est une mascarade, je n'ai jamais vu un adversaire être aussi tétanisé que l'OL ce soir là ». Pourquoi une telle apathie côté lyonnais ? La simple expression de la rivalité avec l'ASSE ? Pas seulement. Aucun joueur lyonnais de l'époque n'a livré de détails mais une chose est certaine, ils ont subi des menaces de la part de mystérieux vendeurs de choucroute à domicile, au fort accent américain, passés rendre visite à leurs épouses quelques jours avant le match.
Quant aux 5 000 supporters alsaciens qui auraient fait le déplacement, là encore la réalité serait moins rose. Difficile encore aujourd'hui d'avoir des chiffres, mais d'après les estimations les plus réalistes, plus de la moitié d'entre eux étaient en fait des soldats américains en garnison en Allemagne qui se sont vu offrir un week-end à Lyon. « On a passé le week-end à visiter la ville, on faisait ce qu'on voulait. Seule obligation donnée par notre commandant, aller assister à un match de soccer avec des perruques bleues et blanches » raconte John M., qui travaillait à l'époque à la base américaine de Baden-Baden.
Devant tant d'éléments démontrant tant d'incohérences, est-il encore permis de douter du trucage du titre de 79 ? « Hélas pour les Alsaciens, non, répond Jacques V. Les éléments sont accablants et encore, on ne parle pas de Piasecki, le Lorrain. Un Lorrain qui emmènerait le Racing au titre, qui peut sérieusement y croire ? ».
Si le seul titre de champion de France du Racing est une gigantesque machination, pour qui un tel complot ?

A qui profite le crime ?


Un enjeu mondial
Le gouvernement américain a donc utilisé le Racing Club de Strasbourg pour l'une des plus formidables opérations de désinformation de l'histoire. L'année 1979 est en effet tendue pour Washington, encore traumatisé du désastre du Viet Nam. L'Iran bascule dans le fondamentalisme religieux et l'URSS s'apprête à envahir l'Afghanistan. L'intérêt de voir Strasbourg champion de France coule de source, il s'agit de former un rempart inconscient à la démocratie occidentale dans l'esprit des peuples. A ce titre, le triomphe strasbourgeois de 1979 a indéniablement contribué à étouffer l'étincelle qui menaçait de s'embraser en pleine terreur nucléaire.
L'opération est couronnée de succès, c'est le moins que l'on puisse dire, et les résultats sont même bien au-delà des espérances puisque le sacre du RC Strasbourg a été la première brèche du mur de Berlin qui allait finir par s'effondrer 10 ans plus tard.

Succès incomplet
Le triomphe est tel qu'il effraye. Jimmy Carter lui-même s'en inquiète par un sibyllin : « nous avons accouché d'un monstre ». Le triomphe américain est trop évident, il convient de le camoufler. La CIA truque les élections américaines et c'est un acteur de Western qui prend place dans le bureau ovale de la Maison Blanche. L'opération « Bord » évoquée plus haut aura pour objet de faire disparaitre les preuves du complot et de faire entrer dans le rang le Racing. Là aussi, c'est un succès, qui va également au delà de toutes les espérances si on se fie aux résultats du club depuis 30 ans. Mais le succès n'est pas total...

Deux traitres
En effet, certains agents de la CIA ne peuvent se résoudre à détruire toutes traces de cette opération minutieusement mise en place. L'opération « Racing champion de France », c'est l'oeuvre de leur vie. Hors de question de n'en faire qu'un feu de paille, et qu'importe si la raison d'Etat est empreinte de médiocrité. Deux savants de la Silicon Valley au service de la CIA font ouvertement sécession et trahissent le gouvernement de leur pays. Nous les désignerons par leur prénom, probablement d'emprunt : Marc et Chris.
Chris, c'est l'Oppenheimer de l'informatique, l'homme qui a changé le cours de l'histoire sans que personne ne le sache. Ingénieur de génie, c'est lui qui a inventé l'arme absolue qui a permis la réussite de l'opération. Ce programme informatique, incarnation quasi-vivante de HAL9000, est désigné dans les années 70 sous le code S.T.U.B (Syndrome du Titre Unique des Bleus). Il a eu un rôle prépondérant dans la réussite de l'opération. Son travail, conjugué avec l'important réseau local tissé par Marc, un adepte des soirées branchées au carnet d'adresses aussi chargé que le bottin mondain, attisa envie et jalousie.

Le passage de Mc Cormack
Dans les années 80, la mission de la CIA est de mettre la main sur le programme S.T.U.B. Mais Chris et Marc parviennent à échapper aux recherches, se fondant dans la population locale. Ils se font oublier par l'administration Bush père, plus occupée à guerroyer en Irak au début des années 90 plutôt qu'à poursuivre avec abnégation la traque secrète. Bill Clinton, élu en 1992, abandonne même l'opération dans un premier temps.
Mais le Racing a des bons résultats et refait parler de lui. Plutôt que de risquer de réveiller le volcan, les conseillers de Clinton décident d'envoyer l'artillerie lourde. Mark Mac Cormack, un dur de dur formé par Edgar J. Hoover, est chargé de l'opération et ne fait pas dans la discrétion, contrairement à la guerre secrète des années 80. A grand coups de nettoyeurs et de sorciers africains. L'histoire, tout le monde la connait, et seule la trahison de José-Luis, un homme de main paraguayen, évitera d'humilier définitivement le Racing.
Malgré tout, et notamment la traque impitoyable de Gigi Lombardo, parrain de la mafia napolitaine, impossible de mettre la main sur Chris, Marc et S.T.U.B...

December sixteen
Mais las d'être sans cesse traqué, le duo décide de passer à l'offensive en 2003. Étouffé par une bretzel (alsacienne évidemment...), le compte du père Mac Cormack est réglé. Mieux, pour régler une fois pour toutes le problème du S.T.U.B, la solution géniale adoptée est de rendre publique l'arme diabolique, et ainsi couper définitivement l'herbe sous le pied de ceux qui veulent la détruire. Le 16 décembre 2003, c'est un véritable séisme qui secoue le Maison Blanche.
Après Pearl Harbor et le 11 septembre, c'est la révélation aux yeux du monde entier de l'existence du S.T.U.B qui peut allègrement modeler les esprits et perpétuer le mythe du Racing champion de France en 1979.
Après la traque, le gouvernement Américain réagit par la négociation afin que Chris et Marc n'aillent pas trop loin. Si, grâce au S.T.U.B, Gilbert Gress est revenu, les maillots sont à nouveau bleu roy, et que le vrai logo arbore de nouveau les maillots du club, les résultats sont depuis 6 ans forts peu probants.
Résultats de pots de vins financés par la Maison Blanche ? Il se murmure en effet que Marc coule désormais des jours heureux à la tête d'une communauté spirituelle adepte de filles blondes à fortes poitrines. Quand à Chris, son esprit a désormais quitté son enveloppe corporelle pour ne faire qu'un avec le S.T.U.B.
Un S.T.U.B qui continue tranquillement son entreprise de désinformation et répand la rumeur selon laquelle le Racing aurait été champion de France en 79.

Conclusion

Pourquoi ne révéler la vérité qu'aujourd'hui ? Parce qu'il nous a paru nécessaire de lever le voile sur les véritables raisons du retour de Gilbert Gress et de Léonard Specht, deux des chevilles ouvrières de la mystification qui eut lieu en 1979. Tout était trop parfaitement huilé et orchestré de main de maître pour qu'il n'y ait pas lieu de soupçonner une manoeuvre de la part de l'équipe racingstub.com. Dans quel but ? Après l'échec de la tentative McCormack, il était devenu évident aux yeux des Américains qu'il leur serait impossible de détruire S.T.U.B. et l'idée selon laquelle le Racing serait ce club mythique qui aurait conquis le championnat 1979 était désormais trop ancrée dans l'imaginaire populaire pour qu'on puisse envisager sérieusement de faire disparaître le club. L'idée germa alors au sein de l'administration américaine qu'il valait mieux composer avec le site racingstub.com plutôt que de l'affronter : comme il a été démontré avec une rigueur implacable, les Américains ont depuis 2003 cessé de persécuter le Racing et le site racingstub.com, en échange de la promesse de laisser le club végéter dans l'anonymat du championnat de France.

Ainsi, on s'explique mieux les contre-performances qui ont frappé le club depuis cette date : double relégation, gestion humaine et financière erratique, joueurs fantomatiques (Chapuis, Gmandia, Loué, Rômulo) qui, de source sûre, n'auraient été que d'infâmes hologrammes destiné à tromper les adversaires et le public, etc. Il se murmure même que certains supporters du club, en proie à des hallucinations collectives, déclarent être allés jusqu'au Stade de France pour soutenir leur club en finale de la Coupe de la Ligue (qui n'a, en réalité, jamais eu lieu).

Cette situation ne pouvait finalement faire que l'affaire du site racingstub.com, assuré dès lors de pouvoir s'adonner librement à son entreprise de (dés)information au sujet d'un club dont personne ne pourrait raisonnablement s'imaginer qu'il ait été un jour champion, au vu des performances minables qu'il n'a cessé d'aligner depuis des lustres. La même circonspection et la même ironie sont de mise quand on se souvient de la formidable entreprise d'intoxication orchestrée par la minorité ch'tie qui tenta, vainement, de faire croire que Lens avait été champion en 1998.

Il n'est pas dit cependant que les Américains aient abandonné tout espoir de réactiver leur emprise sur le Racing. L'annonce du retour de Gress et de Specht, leurs âmes damnées, vient étayer solidement cette hypothèse. Mais plus troublante encore est l'affaire Eurostadium. Il n'est pas possible d'expliquer autrement que par des manoeuvres venues de l'autre côté de l'Atlantique l'échec du projet Eurostadium fomenté par le Racing et l'entrepreneur anglais Hammerson. Ce projet, qui risquait de permettre au Racing de "s'installer parmi les plus grands clubs d'Europe", selon son promoteur, Philippe Ginestet, fut désavoué par les Américains et abandonné après de vives pressions de leur part. En effet, nous sommes en mesure de révéler que tel était le véritable but du sommet de l'OTAN début 2009. Le président américain nouvellement élu, Barack Obama s'est en réalité déplacé jusqu'à Strasbourg – sous couvert d'un sommet de l'OTAN totalement fantoche, qu'il aura organisé avec la complicité des autres membres – pour tenter de convaincre en personne les dirigeants de racingstub.com de ne pas soutenir le projet d'Hammerson. Le soutien du site, qui, on le rappelle, tient en coupe réglé l'ensemble des supporters, aurait été déterminant. L'équipe racingstub accepta, mais à la condition d'obtenir en échange le retour au maillot bleu roy, couleur qu'auraient censément porté les joueurs du Racing en 1979, mais dont la filiation avec le bleu du drapeau américain est trop évidente, et, surtout, le retour du Mystificateur, alias Gilbert Gress. Celui-ci, rattrapé de justesse alors qu'il s'apprêtait à embarquer dans le satellite Explorer afin de devenir le premier entraîneur aux cheveux vif argent à être mis en orbite autour de la Terre, fut kidnappé par la CIA et embarqué de force jusqu'en France pour prendre les commandes du Racing, aux côtés de son disciple et complice, Léonard Specht.

Pourquoi Gress ? Parce que l'équipe du site racingstub.com est unanimement persuadée qu'il est le seul à pouvoir déjouer le complot monté contre le Racing par le machiavélique Frédéric Thiriez. En effet, celui-ci qui dirige le football français d'une poigne de fer s'est promis de faire disparaître tous les clubs qui auraient une quelconque histoire. C'était chose évidente avec Saint-Etienne qui ne s'est jamais remis des manoeuvres américaines pour le faire chuter et à qui la Perestroïka et la chute du mur auront été fatales. Mais Strasbourg, bien qu'affaibli, et victime d'une machination, concotée par des adversaires jaloux, destinée à l'humilier (en voici la preuve irréfutable), résiste encore, car Strasbourg ne veut pas disparaître, ni, pire encore, se transformer en repaire à footix, du style Lyon, Paris ou Marseille. Racingstub.com a toujours été ferme sur ce point : le Racing est un club d'autant plus mythique qu'il est absolument incapable d'aligner sept titres consécutifs de champion de France, performance totalement dénuée d'intérêt et de panache. Gilbert Gress est donc l'homme de la situation : l'homme qui a permis au Racing d'être un champion de France factice est aussi l'homme qui permettra au Racing de ne pas finir dans le déshonneur et la compromission comme les clubs susnommés.

Que les supporters qui croient que Gilbert peut changer l'eau en vin, marcher sur l'eau, multiplier les points et danser le Moonwalk ne s'enflamment pas trop vite ! Gilbert, contrôlé en sous-main par S.T.U. B., a une mission bien précise à remplir. Celle de garder au Racing son étiquette de club mythique et intègre, sans vrais résultats, ni vrai palmarès. Et, comme en 1979, il parviendra à ses fins. Aussi vrai que Mickaël Jackson est encore en vie.

Lisez également le premier volet de cette enquête vérité : "11 Apollons".


Pour d'évidentes raisons de sécurité, les six enquêteurs qui ont rédigé cet article préfèrent conserver l'anonymat.

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