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- Par jpdarky
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La semaine promotionnelle de la spécificité régionale continue sur le stub avec en point de mire la visite de l'EAG, plus connu sous le nom de le club au président durant les 90's, qui, curieusement (ou pas), coïncident avec son bref moment de gl
Au moment où ces lignes sont écrites le résultat de la rencontre contre nos amis corses n'est pas connu, il ne sera donc pas question ici d'enjeu sportif ni de considérations technico-tactiques, ce n'est pas le lieu de toute façon.
Guintruc n'existe sur la carte de France, la géographique ou la footbalistique, que par la volonté et la ruse d'un seul homme : Le Graët.
Guinmoufle, apparemment située dans les Côtes du Nord, a bénéficié à plein à la fois de la présidence de Pâques Le Graët à la Ligue Nationale de Football à l'époque, entre 1991 et 2000 (toutes les 90's), et de sa fonction de maire de Guinmitaine et ami des puissants entre 1995 et 2008.
L'opportunisme, mais aussi la détermination et la roublardise machiavélique de Toussaint Le Graët ont permis l'ascension de ce club. Une ascensinn parsemée de troublantes concidences. Hormis le sponsoring sans flamme de Guinmanique, on pourrait voir en la trajectoire de ce club le prototype de toutes ces success-story bâties de toute pièces et dont le représentant actuel est évidemment Evian-Thonon-Gaillard pour la face réussite (pour le moment), et Arles-Avig¨non, pour la face déconfiture ridicule du modèle parasitaire à croissance foudroyante".
Guintruc n'a commencé son existence professionnelle qu'en Juillet 1984, Ascension Le Graët préside le club depuis 1972. Et, chance incroyable, la même année, il est élu au conseil d'administration de la LNF... (points de suspension mystérieux, silencieux et à la fois qui hurlent des kilotonnes d'insinuations). Sérieusement, qui peut croire que tout à coups le collège des votants pour le CA du foot pro se réveille en se disant, tiens, on va mettre un type que l'on ne connaît pas et qui débarque à peine dans le football pro au sein de notre Conseil d'Administration, génial ? Il est évident que ceux qui tirent les ficelles ont un plan pour Pentecôte Le Graët.
Une des qualités du bonhomme, c'est la patience, contrairement à certains présidents au sang bouillonnant, plein de sèves et d'idées révolutionnaires, voire chaotiques. Il sait, tel le boa faisant le mort des semaines entières tapi dans une vieille souche, attendre son heure, et cultiver son jardin afin de tirer les marrons du feu.
En 1991, Epiphanie Le Graët se fait élire Président de la LNF avec un score de politburo, ou de Dassault, selon le bord politique que l'on s'est choisi : l'unanimité des voix. Hé ouais. Mais, curieusement, alors que le club sort d'une bonne période en D2, Guinmachin se voit reléguer en National, rapport à la fusion des deux groupes de D2. Mais ce n'était qu'un pas en arrière pour rebondir sur le trampoline des succès mal acquis. Le club obtient deux montées successives, et arrive tout souriant, mais l'âme noircie d'obscures compromissions et d'infâmes corruptions à la D1 en 1995, en companie de ... l'OM, autre grande vierge pure de notre football professionnel. Tout cela sous la présidence bonhomme du bon Assomption Le Graët à la LNF. Et attention, Guinbidule ne la joue pas profil bas, pendant les trois saisons de D1 successives, le club obtient l'Intertoto, et l'accès par ce biais à l'UEFA.
Et c'est là que Dimanche-des-Rameaux se révèle totalement : tout ce cirque footbalistique l'aide considérablement à obtenir le poste de Maire de Guinchose. Car finalement c'est cela la leçon de ce parcours historique, tout ce que Transfiguration Le Graët a obtenu pour ce club fantoche, il l'a obtenu afin de se ménager un destin, pour servir ses propre desseins. Ce club a été en réalité L'En Avant Graët.
Avant de quitter la LNF, il obtient tout de même une remontée truquée en 2000 afin de sauver les apparences, la supercherie aurait été trop évidente si, une fois son objectif atteint (la Mairie de Guinmachinchouette), il avait laissé le club aller à ce que sa juste valeur le destinait. Preuve de l'aberration que constitue cette montée, l'entraineur était Moustache, on se doute bien que ce n'est pas possible naturellement.
Le reste, Drogba, Malouda, la 7éme place en D1, ne sont que des effets spéciaux placés comme écran de fumée pour assurer ses arrières.
Ne nous y trompons pas, et ne versons pas dans le régionalisme béat, ce n'est pas un vrai club, ni de football, ni breton qui vient nous voir, c'est le moule originel du faux club monté de toutes pièces afin d'atteindre un but précis. Certainement pas pour servir le football, the beautiful game, contrairement à la quête permanente et sans fin de notre Racing à travers les âges. Pour certains, ETG, le but est de créer un jackpot marketing sorti de nul part, telle une chanteuse artificielle de reality show, pour d'autre, comme l'EAG, le but était de servir de booster à poudre pour la navette du succès personnel d'un seul homme à l'ambition démesurée : devenir Maire de Guindaube. Le vrai football breton est ailleurs, à Brest ou Vannes, mais pas là.
En conséquence de quoi, ne nous laissons pas impressionner, sus à l'usurpateur.
Blourg.Oui
Guintruc n'existe sur la carte de France, la géographique ou la footbalistique, que par la volonté et la ruse d'un seul homme : Le Graët.
Rastignac et galettes au beurre
Guinmoufle, apparemment située dans les Côtes du Nord, a bénéficié à plein à la fois de la présidence de Pâques Le Graët à la Ligue Nationale de Football à l'époque, entre 1991 et 2000 (toutes les 90's), et de sa fonction de maire de Guinmitaine et ami des puissants entre 1995 et 2008.
L'opportunisme, mais aussi la détermination et la roublardise machiavélique de Toussaint Le Graët ont permis l'ascension de ce club. Une ascensinn parsemée de troublantes concidences. Hormis le sponsoring sans flamme de Guinmanique, on pourrait voir en la trajectoire de ce club le prototype de toutes ces success-story bâties de toute pièces et dont le représentant actuel est évidemment Evian-Thonon-Gaillard pour la face réussite (pour le moment), et Arles-Avig¨non, pour la face déconfiture ridicule du modèle parasitaire à croissance foudroyante".
Mascarade de longue haleine
Guintruc n'a commencé son existence professionnelle qu'en Juillet 1984, Ascension Le Graët préside le club depuis 1972. Et, chance incroyable, la même année, il est élu au conseil d'administration de la LNF... (points de suspension mystérieux, silencieux et à la fois qui hurlent des kilotonnes d'insinuations). Sérieusement, qui peut croire que tout à coups le collège des votants pour le CA du foot pro se réveille en se disant, tiens, on va mettre un type que l'on ne connaît pas et qui débarque à peine dans le football pro au sein de notre Conseil d'Administration, génial ? Il est évident que ceux qui tirent les ficelles ont un plan pour Pentecôte Le Graët.
Une des qualités du bonhomme, c'est la patience, contrairement à certains présidents au sang bouillonnant, plein de sèves et d'idées révolutionnaires, voire chaotiques. Il sait, tel le boa faisant le mort des semaines entières tapi dans une vieille souche, attendre son heure, et cultiver son jardin afin de tirer les marrons du feu.
En 1991, Epiphanie Le Graët se fait élire Président de la LNF avec un score de politburo, ou de Dassault, selon le bord politique que l'on s'est choisi : l'unanimité des voix. Hé ouais. Mais, curieusement, alors que le club sort d'une bonne période en D2, Guinmachin se voit reléguer en National, rapport à la fusion des deux groupes de D2. Mais ce n'était qu'un pas en arrière pour rebondir sur le trampoline des succès mal acquis. Le club obtient deux montées successives, et arrive tout souriant, mais l'âme noircie d'obscures compromissions et d'infâmes corruptions à la D1 en 1995, en companie de ... l'OM, autre grande vierge pure de notre football professionnel. Tout cela sous la présidence bonhomme du bon Assomption Le Graët à la LNF. Et attention, Guinbidule ne la joue pas profil bas, pendant les trois saisons de D1 successives, le club obtient l'Intertoto, et l'accès par ce biais à l'UEFA.
Le masque tombe
Et c'est là que Dimanche-des-Rameaux se révèle totalement : tout ce cirque footbalistique l'aide considérablement à obtenir le poste de Maire de Guinchose. Car finalement c'est cela la leçon de ce parcours historique, tout ce que Transfiguration Le Graët a obtenu pour ce club fantoche, il l'a obtenu afin de se ménager un destin, pour servir ses propre desseins. Ce club a été en réalité L'En Avant Graët.
Avant de quitter la LNF, il obtient tout de même une remontée truquée en 2000 afin de sauver les apparences, la supercherie aurait été trop évidente si, une fois son objectif atteint (la Mairie de Guinmachinchouette), il avait laissé le club aller à ce que sa juste valeur le destinait. Preuve de l'aberration que constitue cette montée, l'entraineur était Moustache, on se doute bien que ce n'est pas possible naturellement.
Le reste, Drogba, Malouda, la 7éme place en D1, ne sont que des effets spéciaux placés comme écran de fumée pour assurer ses arrières.
Le football n'en sort pas grandi
Ne nous y trompons pas, et ne versons pas dans le régionalisme béat, ce n'est pas un vrai club, ni de football, ni breton qui vient nous voir, c'est le moule originel du faux club monté de toutes pièces afin d'atteindre un but précis. Certainement pas pour servir le football, the beautiful game, contrairement à la quête permanente et sans fin de notre Racing à travers les âges. Pour certains, ETG, le but est de créer un jackpot marketing sorti de nul part, telle une chanteuse artificielle de reality show, pour d'autre, comme l'EAG, le but était de servir de booster à poudre pour la navette du succès personnel d'un seul homme à l'ambition démesurée : devenir Maire de Guindaube. Le vrai football breton est ailleurs, à Brest ou Vannes, mais pas là.
En conséquence de quoi, ne nous laissons pas impressionner, sus à l'usurpateur.
Blourg.Oui
