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- Après-match
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Soirée plaisante et match ouvert à la Meinau, conclu sur une victoire au finish du Racing, grâce à un superbe geste de son emblématique avant-centre.
Première soirée de printemps à la Meinau, et par une belle fin de journée les spectateurs se mettent plus à leurs aises tandis que la pelouse retrouve des couleurs plus chlorophylées après la teinte jaunâtre post-gelée des dernière sorties.
Première également au coup d'envoi, puisque l'illustre @anais qui a fêté un grand chelem de dix ans en déplacement quelques semaines plus tôt a l'honneur de botter en premier, effectuant sans grande surprise une passe pour l'emblématique goleador sundgauvien porteur du numéro 9. Anaïs est ainsi la première équipière du stub à tâter du cuir à la Meinau après que @taitaihou eût été le premier membre du site à s'ébrouer au « Théâtre des rêves du grand Orient de la France » - et à s'y faire expulser. A ce rythme, l'on suspecte que @conan devrait remplacer Vauvenargues Kéhi dans les buts à l'occasion du match contre Forbach. Probablement vers la 72'. Ce qui sera forcément « mythique ».
Mais feignons de faire fi de ces mondanités pour dérouler le script d'une rencontre bien plus ouverte que celles entrevues précédemment à la Meinau. Dès la première minute de jeu, David Ledy place une frappe sur le poteau d'un Jean-Daniel Padovani archi battu. Le Racing est bien entré dans le match mais Dijon n'est pas en reste, et il faut toute la vigilance de Vauvenargues Kéhi pour préserver une marque vierge suite aux dangereuses incursions bourguignonnes. Une équipe de Dijon qui franchit souvent, et trop facilement, le milieu alsacien, grâce à notamment à une belle pléiade de pros envoyés en réserve, dont le nippon Daisuke Mastsui en numéro 7. En face, le Racing est bien en place mais très brouillon en attaque, la faute notamment à un Saidou Sow peu altruiste, et qui provoque l'une ou l'autre pointe d'irritation au sein des travées meinauviennes.
Idéalement décalé face au but, David Ledy place une tête de peu au-dessus, et la pause est atteinte sur la marque de 0-0. Un score nul et vierge qui ne doit pas inciter au pessimisme au sujet d'une partie bien plus rythmée et technique que celles entrevues ces derniers temps sur les bords du Krimmeri.
Au retour des vestiaires, les Strasbourgeois jouent plus haut, plus compact et en récoltent les fruits. Maîtres du ballon, ils multiplient les appels dangereux dans le dos de la défense dijonnaise. Le plongeon de David Ledy sur l'un d'entre eux est trop évident pour que l'arbitre se laisse abuser à accorder un coup de pied de réparation. Mais ce n'est que partie remise puisque quelques minutes plus tard Saidou Sow est bien déséquilibré à l'entrée des 16 mètres. Penalty sifflé, et transformé par un David Ledy qui signe le contre-pied.
Le Racing va ensuite multiplier, et gâcher les occasions, avant que Dijon ne revienne au score de façon presque fortuite sur un coup-franc relativement anodin. Le fameux syndrome du but bête entachant une partie volontaire semble refaire surface, mais c'est sans compter sur l'avant-centre indispensable du RCS, qui profite d'une déviation de Saidou Sow pour placer un imparable et très beau ciseau du pied gauche. Le score est atteint sur cette marque de 2-1, il ne bougera plus, le Racing empochant une belle victoire au terme d'une partie alerte et plutôt plaisante.
Première également au coup d'envoi, puisque l'illustre @anais qui a fêté un grand chelem de dix ans en déplacement quelques semaines plus tôt a l'honneur de botter en premier, effectuant sans grande surprise une passe pour l'emblématique goleador sundgauvien porteur du numéro 9. Anaïs est ainsi la première équipière du stub à tâter du cuir à la Meinau après que @taitaihou eût été le premier membre du site à s'ébrouer au « Théâtre des rêves du grand Orient de la France » - et à s'y faire expulser. A ce rythme, l'on suspecte que @conan devrait remplacer Vauvenargues Kéhi dans les buts à l'occasion du match contre Forbach. Probablement vers la 72'. Ce qui sera forcément « mythique ».
Mais feignons de faire fi de ces mondanités pour dérouler le script d'une rencontre bien plus ouverte que celles entrevues précédemment à la Meinau. Dès la première minute de jeu, David Ledy place une frappe sur le poteau d'un Jean-Daniel Padovani archi battu. Le Racing est bien entré dans le match mais Dijon n'est pas en reste, et il faut toute la vigilance de Vauvenargues Kéhi pour préserver une marque vierge suite aux dangereuses incursions bourguignonnes. Une équipe de Dijon qui franchit souvent, et trop facilement, le milieu alsacien, grâce à notamment à une belle pléiade de pros envoyés en réserve, dont le nippon Daisuke Mastsui en numéro 7. En face, le Racing est bien en place mais très brouillon en attaque, la faute notamment à un Saidou Sow peu altruiste, et qui provoque l'une ou l'autre pointe d'irritation au sein des travées meinauviennes.
Idéalement décalé face au but, David Ledy place une tête de peu au-dessus, et la pause est atteinte sur la marque de 0-0. Un score nul et vierge qui ne doit pas inciter au pessimisme au sujet d'une partie bien plus rythmée et technique que celles entrevues ces derniers temps sur les bords du Krimmeri.
Au retour des vestiaires, les Strasbourgeois jouent plus haut, plus compact et en récoltent les fruits. Maîtres du ballon, ils multiplient les appels dangereux dans le dos de la défense dijonnaise. Le plongeon de David Ledy sur l'un d'entre eux est trop évident pour que l'arbitre se laisse abuser à accorder un coup de pied de réparation. Mais ce n'est que partie remise puisque quelques minutes plus tard Saidou Sow est bien déséquilibré à l'entrée des 16 mètres. Penalty sifflé, et transformé par un David Ledy qui signe le contre-pied.
Le Racing va ensuite multiplier, et gâcher les occasions, avant que Dijon ne revienne au score de façon presque fortuite sur un coup-franc relativement anodin. Le fameux syndrome du but bête entachant une partie volontaire semble refaire surface, mais c'est sans compter sur l'avant-centre indispensable du RCS, qui profite d'une déviation de Saidou Sow pour placer un imparable et très beau ciseau du pied gauche. Le score est atteint sur cette marque de 2-1, il ne bougera plus, le Racing empochant une belle victoire au terme d'une partie alerte et plutôt plaisante.
