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- Après-match
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- Par marc
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Le Racing a dominé d'insipides Rennais de la tête et des épaules mais une erreur inhabituelle de Stéphane Cassard et une inefficacité offensive désolante lui ont été fatales.
L'an dernier, c'était lors de la 11ème journée que le RCS avait enfin débuté sa saison. Tout le monde espérait que l'histoire se répéterait cette année... raté !
Le Racing débute pourtant bien la rencontre avec notamment un bien remuant Amara Diané, invité surprise du Onze titulaire. Les Rennais, privés d'Utaka et de Frei et rapidement contraints à faire sans Kallstrom sorti sur blessure, paraissent bien pâles mais contiennent bien les offensives strasbourgeoises.
Boka d'une bonne frappe vicieuse inquiétait dès le quart d'heure de jeu le portier suédois Isaksson. Pontus Farnerud par deux fois tentait lui aussi de tromper la vigilance du gardien breton mais sans réussite. La plus belle occasion est à mettre au crédit de Le Pen qui, bien servi par un centre en retrait de Diané lancé par Pagis, rate l'immanquable. Face au but pratiquement vide, l'ailier du Racing ajuste mal sa frappe du pied droit. Le Racing continue de faire le jeu et est à deux doigts de profiter des hésitations d'Isaksson, particulièrement maladroit tout au long du match (il finira d'ailleurs par sortir sur blessure). Après un cafouillage dans la surface rennaise, le gardien breton est tout heureux de voir la frappe d'Hosni repoussée sur sa ligne par sa défense.
Une soirée maudite pour les gardiens ? Peut-être... en tout cas elle l'était pour Stéphane Cassard. A la demi heure de jeu, Gourcuff lance le jeune Briand sur le côté droit, le long de la ligne de touche. L'attaquant rennais part de son camp et file en contre à toute vitesse. Cassard juge mal l'action et sort à la rencontre du Rennais qui garde son sang froid et lobe le portier alsacien d'une trentaine de mètres. Première action rennaise, premier (et dernier !) ballon à négocier pour Cassard, premier but de la partie. RCS 0-1 Rennes (30ème)
Profitant de ce but inattendu, les Rennais verrouillent derrière et jouent très bas. Démarre alors une heure d'attaque-défense qui voit les Strasbourgeois faire le siège du camp rennais. Une quinzaine de corners, presque autant d'occasions de but (ou quelque chose y ressemblant tout du moins), mais rien n'y fait. Strasbourg est impuissant et se montre incapable de scorer. La Meinau y a pourtant cru notamment sur cette magnifique occasion ponctuée d'une tête décroisée à bout portant de Pagis idéalement servi par Le Pen (53ème). Mais c'était insuffisant et les sifflets ont fini par remplacer les encouragements. Le Racing aurait pu jouer 48 heures ce soir, il n'aurait de toute façon pas marqué.
Cette nouvelle défaite est préoccupante. Avec 6 points au compteur, Strasbourg réalise un début de saison catastrophique. Pourtant, difficile de pointer du doigt untel ou untel, les hommes de Duguépéroux n'ont pas été mauvais (même si en cherchant bien...). Nul doute que si les Bleus étaient parvenus à ouvrir le score, l'issue du match aurait été toute autre, notamment en raison de la faiblesse criante de l'adversaire du soir. Dommage qu'avec des « si » on ne puisse pas refaire le monde...
Tous les jokers sont brûlés. Il ne reste plus qu'à se refaire un moral à Bâle jeudi en Coupe UEFA et à signer une première victoire face au Mans dans la foulée. Facile !
Le Racing débute pourtant bien la rencontre avec notamment un bien remuant Amara Diané, invité surprise du Onze titulaire. Les Rennais, privés d'Utaka et de Frei et rapidement contraints à faire sans Kallstrom sorti sur blessure, paraissent bien pâles mais contiennent bien les offensives strasbourgeoises.
Boka d'une bonne frappe vicieuse inquiétait dès le quart d'heure de jeu le portier suédois Isaksson. Pontus Farnerud par deux fois tentait lui aussi de tromper la vigilance du gardien breton mais sans réussite. La plus belle occasion est à mettre au crédit de Le Pen qui, bien servi par un centre en retrait de Diané lancé par Pagis, rate l'immanquable. Face au but pratiquement vide, l'ailier du Racing ajuste mal sa frappe du pied droit. Le Racing continue de faire le jeu et est à deux doigts de profiter des hésitations d'Isaksson, particulièrement maladroit tout au long du match (il finira d'ailleurs par sortir sur blessure). Après un cafouillage dans la surface rennaise, le gardien breton est tout heureux de voir la frappe d'Hosni repoussée sur sa ligne par sa défense.
Une soirée maudite pour les gardiens ? Peut-être... en tout cas elle l'était pour Stéphane Cassard. A la demi heure de jeu, Gourcuff lance le jeune Briand sur le côté droit, le long de la ligne de touche. L'attaquant rennais part de son camp et file en contre à toute vitesse. Cassard juge mal l'action et sort à la rencontre du Rennais qui garde son sang froid et lobe le portier alsacien d'une trentaine de mètres. Première action rennaise, premier (et dernier !) ballon à négocier pour Cassard, premier but de la partie. RCS 0-1 Rennes (30ème)
Profitant de ce but inattendu, les Rennais verrouillent derrière et jouent très bas. Démarre alors une heure d'attaque-défense qui voit les Strasbourgeois faire le siège du camp rennais. Une quinzaine de corners, presque autant d'occasions de but (ou quelque chose y ressemblant tout du moins), mais rien n'y fait. Strasbourg est impuissant et se montre incapable de scorer. La Meinau y a pourtant cru notamment sur cette magnifique occasion ponctuée d'une tête décroisée à bout portant de Pagis idéalement servi par Le Pen (53ème). Mais c'était insuffisant et les sifflets ont fini par remplacer les encouragements. Le Racing aurait pu jouer 48 heures ce soir, il n'aurait de toute façon pas marqué.
Cette nouvelle défaite est préoccupante. Avec 6 points au compteur, Strasbourg réalise un début de saison catastrophique. Pourtant, difficile de pointer du doigt untel ou untel, les hommes de Duguépéroux n'ont pas été mauvais (même si en cherchant bien...). Nul doute que si les Bleus étaient parvenus à ouvrir le score, l'issue du match aurait été toute autre, notamment en raison de la faiblesse criante de l'adversaire du soir. Dommage qu'avec des « si » on ne puisse pas refaire le monde...
Tous les jokers sont brûlés. Il ne reste plus qu'à se refaire un moral à Bâle jeudi en Coupe UEFA et à signer une première victoire face au Mans dans la foulée. Facile !
