Alexandre Adler, personnage balzacien

03/01/2007 18:39
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Alexandre Adler, le Pierre Salviac de la géopolitique, ouvre l'année avec une nouvelle expression.
Notre amour immodéré et coupable pour l'éditorialiste obèse nous a porté à consigner toutes ses expressions de bon sens que le quidam eût pu adopter s'il ne préférât reprendre les mimiques de djamel plutòt qu'entendre le docte normalien.

Dans sa dernière chronique, Année électorale pour la France, année capitale pour l'Europe, nous avons noté cette expression sienne : "taper du pied au fond de la piscine pour remonter à la surface".

Il y a quelque temps, l'expression récurrente portait sur le ralentissement d'une économie lorsqu'elle était à un tournant, il expliquait qu'en règle générale, on ralentissait dans un rond point pour changer de direction.
Mais sa favorite qu'il prête à Bismarck ou à un russe ou à lui-même selon les saisons est "on peut tout faire avec des baîonnettes sauf s'asseoir dessus" qui est à peu près l'équivalent de l'expression salvacienne, "le cochon est dans le maïs."

En 2007, nous eûmes droit à "Ce plan n'est pas bsolument waterproof" et "il y a du mou dans la corde à noeud".

Florilège :

-ils ont éteint les lumières du saloon.
-le Kampfplatz, comme aurait dit Kant (peut être utile quand on écrit pour l'Equipe
- un peu comme la monade de Leibniz, "sans porte, ni fenêtre"

Commentaires (1)

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  • Personnellement, je n'ai jamais réussi à me curer le nez avec une baïonette. En même temps, je n'ai jamais essayé, faute de posséder une baïonette.
    Je t'offre en supplément frites d'autres expressions salvaciennes qui fleurent bon la campagne :
    - la cabane est tombée sur la tête du chien
    - c'est le chien qui remue la queue et non la queue qui remue le chien
    - les mouches ont changé d'âne

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