-Kgu, on a un memory leak sur le serverpatrol.
-bordel de merde
-Tu es au courant de rien?
-GF m'a dit qu'il avait killer le code de SRG, mais j'ai rien détecté.
-Vois avec MR, alors.
-Ok. quelqu'un veut boire quelque chose?
Mitt m'a lâchement abandonné en plein désert (certainement victime du racisme anti-mormon). Tant pis.
Consolons nous avec ce vieux speech en français. Ce lien vous y emmène, wonderful!
Par la rue Bondgenot, le promeneur arrive en contournant l'église St Pierre sur l'impressionnant hôtel de ville. Bien que de modestes proportions, l'édifice fourmille de détails, de statuettes dans un décor flamboyant, si bien que pris d'un léger vertige, il s'assoit sur le banc en face et regarde le ciel comme le bâtiment lui en a intimé l'ordre.
Remember ! moi et mon pote Lionel consulting, quelque peu en souffrance, revient sur le devant de la scène pour relancer l'industrie musicale ou pour parler comme France culture, "l'industrie culturelle".
RTL 9 a de moins en moins de moyens pour sa production télécinématographique, alors bon an, mal gré, on fait un peu de récupération avec des bandes tombées du jt.
Dernièrement ,c'est les agitations étudiantes et la dérive fasciste des casseurs de lunettes qui nous occupèrent. Nous restons dans les parages il y a peut-être de la castagne et de la résistance.
Olympique Lyonnais 5 Racing 0, encore une victoire du foot business, vous diront sans ciller les fièrs Jean-Claude Darmon et consorts. Comme je sais que vous rêvez secrètement de victoire et de cours d'action aussi pimpante qu'une échappée de Johansen dans les entrailles de Graouly, voici un article sur le foot business avec des ordres de grandeur à faire passer des banderolles commémoratives pour des manifestations capricieuses de mauvais goût.
Vous l'avez peut-être entendu le journal économique "Les échos" va passer dans le portefeuille d'un homme d'affaire français. Petit lecteur parmi les lecteurs, je suis dépité par cette nouvelle. Il y a quelques années, le magnat Murdoch a racheté le prestigieux Time Magazine et de l'avis de tous, sa qualité a décliné.
Ici bas la lettre de son rédacteur en chef.
La France va fermer était une sitcom qui a disparu sans bruit, peut-être est-ce la saga de l'accompagnateur qui lui fait de l'ombre, toujours est-il que les scénaristes essoufflés proposent laborieusement une nouvelle mouture de la sitcom qui vous réconciliera avec l'entreprise, avec le futur et avec les patrons (j'espère sinon vous ferez des scénaristes chômeurs).
Ce n'est que l'introduction.
Le roi de la Zap avait orné ce site de ces impressions, c'est à nous de lui faire honneur. Et quel plus beau compliment pour un roi moderne que de lui présenter un beau bilan comptable.
Notre doux et tendre Alexandre Adler, qui est un peu devenu notre Paco Rabanne, est rentré de vacances. Il y a longtemps qu'il n'a pu se racheter une légitimité, depuis qu'il déclara que Kerry allait gagner ou que la guerre d'Irak n'aurait pas lieu et que de surcroît, il a fait publier cet été un livre sur le mystère ésotérique de Rennes-le-château, son agent a bien des difficultés à le caser dans les tables rondes surfacturées. Notre éminent kremlinologue n'a plus rien prévu, n'a eu aucune vision, aucune prophétie, rien à se mettre sous la dent pour les mondanités.
Ce matin était la rentrée des classes de l'ami Finkielkraut, dont le sujet de l'émission polémique fut en droite ligne avec les thèmes sociétaux et passionnés, dans l'air du temps de la fin de saison dernière, comme je le regrettais. Espérons que cela ne serve qu'à échauffer les esprits.
Un magazine américain livre une série de reportage pour décrire les mutations du travailleur. Comme on a un faible pour la futurologie - et surtout comment on perçoit le futur à partir d'une époque-, on vous livre en pâture un résumé tiré des Echos. L'oeil sociologique pompe un article des Echos qui synthétise des articles anglophones d'un magazine américain, car en ce qui concerne les blogs, la parcellisation du travail joue à plein pendant l'été des années 2000.
- Dites-moi, Roi de la Zap, pourquoi les femmes qui passent autant de temps à faire du shopping, ne savent-elles pas replier les vetêments sur les étales? Se prennent-elles pour leur fils aîné?
- Jeune homme, avide de découvrir la Femme, c'est une bonne question, saches-le. Dans un ouvrage qui fait date, les femmes viennent de Venus, plus aucun américain ne l'ignore. De surcroît, elles font fonctionner les deux parties de leur cerveau, contrairement aux hommes, ainsi elles peuvent faire plusieurs choses en même temps. Hé bien, apprenez qu'en plus, elles sont toutes plus ou moins schizophrènes. Femme et mère aimante et sniper de bonnes affaires et détrousseuses de fripier. Elles peuvent être sans pitié, la terreur des vendeurs. Les furies.
- En temps de soldes, c'est bientôt, l'équivalent pour Elles de la coupe du monde de football, les boutiques de vêtement vont voir débarquer des hordes de hooligans en frou-frou. La femme dans un état second et inquiétant.
-Bien souvent, les femmes raillent le penchant de l'homme pour le football, le canapé, la bière, les cris rauques, mais elles le savent parce que cela se passe dans leur salon. Un homme reste, lui, accoudé au parapet devant les portes du magasin, ils attendent, ignorant de la passion démoniaque qui secoue la mère de leur enfant. qu'il entre dans la boîte de Pandore que sont les grands magasins.
-Brr.. cela fait froid dans le dos...
-Mettons-donc une petite laine sur votre chaleco.
En l'hommage au Colonel Roly, cette peinture d'Emile Claus que nous vîmes avec NV au musée des Beaux-Arts de Bruxelles.
Le Colonel Roly, de son vrai nom, Roland L###, fut ou est encore un universitaire obscur qui terrorisa, tant il était odieux, des élèves, redoutant la foudre arbitraire de l'atrabilaire. Ce fumeur impénitent n'hésitait pas à griller une gitane en salle de cours, s'accordant la pause qu'il ne jugeait pas bon nécessaire pour ses élèves qui le supportait trois ou quatre heures de temps. Il s'en prenait régulièrement à un bouc-émissaire, de préférence une fille très timide, dont il rappellait régulièrement la prestation "merdique". Sa sortie la plus célèbre fut lorsqu'à demi-ivre, il nota au tableau devant deux cent personnes : "Napopoléon".
Colonel Roly, l'addition, s'il vous plaît.
Dans la série des films à faire, vous pouvez plancher, amis scénaristes du samedi, sur une intrigue qui se noue dans notre colonne de droite. M.P contactera-t-il Erika? Surmontera-t-il la maladie des doigts gourds pour faire rejaillir une amitié vieille de vingt-cinq mille ans? Ou laissera-t-il une page se tourner sur le train qui part sans lui?
Il y a en moi, un enfant qui s'amuse, et un pasteur qui l'ennuie, Erika.
Le roi de la Zap, en personne, a choisi un modeste stublog strasbourgeois pour nous livrer ses dernières impressions de la mode. C'est dimanche et il va nous parler musique.
Entre le tournoi de Cannes, le festival de RolandGarros et la valse des entraîneurs de football, la presse française en a peu parlé : le plébiscite sarkozyste ou la majorité silencieuse manifestait dans la rue son soutien total à notre président. L'empathie est totale. Nous avons des photos.
Vous vous demandez si le voile, le foulard islamique ou la burqa sont des symboles d'oppression des femmes ou simplement l'expression de la foi, vous vous questionnez pour savoir si lorsque le régime iranien se durcit, il exige plus d'étoffe près des visages des femmes, il vous arrive aussi de vous interroger sur les conquêtes des féministes aux côtés de la servitude volontaire, vous vous demandez ce qui est plus moderne du string ou de la burqa, si ces doutes vous assaillent, vous déconcentrent, vous découragent, selon certains, vous êtes racistes.
Un point de culture bruxelloise, dans la foulée d'un précédent samedi.
Un zinneke est un chien perdu sans collier, qui ne paye pas de mine, n'est pas de race ni de chasse, mais bien de rue, secoué par les puces, qui n'aboie plus, crache ses chiquots, claudique sur trois pattes, et qui devient malgré tout le toutou, le chienchien à sa mémère ou sa mémé. Carlin bâtard, corniaud bigleux, clébard ménaut, amoure et vairon, sans pedigree, le zinneke était tout juste bon à jeter dans la Senne, qui se disait alors, Zinne, d'où le surnom de zinne-ke.
Il ya quelques mois, j'avais ouvert une amicale de téléspectateurs fort plaisante, trouvais-je, où avec mon ami Kevin, nous devisions sur les programmes télédiffusés d ela veille, en général du foot, en général des matchs survendus que nous rabaissions à de plus étiques proportions. Cette amicale a fait long feu de tout bois. Mon compagnon occupe désormais des fonctions professionnelles très élevées que je me garderais de dévoikler, car vous me regarderiez alors avec une délictueuse concupiscence. J'aimai la manière dont ce mauavais coucheur houspillait T.Gilardi, qu'il avait d'ailleurs rencontré personnellement dans un face-à-face mémorable où le remplaçant de T. Roland portait ses mains au-dessous de la ceinture. Mais dorénavant, cet ami se meut dans des sphères sis stratosphèriques que le seul Gilardi qu'il croise est italien, joue au MAC et nie. C'est pourquoi, il ne passe plus apr la peine de me saluer. Il y a quelques mois, je dois dire, un Strasbourg-Brest arait valu de longues discussions, anecdotes, bruites de couloirs, railleries, quolibets. Là silence radio, même pas un Télégramme. J'ai également découvert que K. avait semé d'anciens compagnons avec qu'il a paratgé sa couche, son pot de Nutella, sa saxo et les plats mijotés par sa douce mère. mais, moi, je ne lui garde aucune rancune, je l'aime. for ever. Je vais donc mettre sur pied une amicale des anciens amis de Kevin, en compagnie de tous ceux qui eurent affaire (ou pas) avec l'ancien stoppeur de G....... et nouvelle tête pensante ( sans nous) de l'...A.
Un historien amateur au firmament en 2048 nous livre en exclusivité les meilleures pages de son livre, la France, les années 2000 et des poussières. Retour dans le présent anticipé.
Le professeur Bondo, dont le père était un grand maître du spiritisme est un scientifique danois de renom, spécialiste de l'hépato-sarcôme, une maladie du foie extrêmement rare. Au rigets hospitalen, ce n'est qu'une fois tous les dix ans qu'un patient décèdent de cette maladie. Lorsque la famille de Zakariasen refuse le don d'organe, Le Pr. Bondo est désespéré qu'un foie aussi malade lui soit ôté pour des raisons légales. Il décide donc de se faire greffer le foie malade quelques minutes avant de reprendre le sien, avec le concours de ces collègues au nom du progrès de la science. L'opération tourne mal et Bondo doit garder en lui la maladie.
Bondo apprend aussi aux internes à chérir les cadavres selon un amour mystique pour la recherche. Il ne sera pas très content lorsque Mosgaard aura tranché et maquillé une tête à la morgue pour faire croire que par amour, il offrirait sa tête à sa bien-aimée, la responsable du laboratoire d'étude du sommeil.
Une des fiertés de notre club est la présence du lumineux alexandre Adler parmi nous. Il y a certes longtemps que nous n'eûmes de ces nouvelles pour nous éclairer de son rayonnement tendre sur la dureté des relations internationales,des secrets d'alcôve. Alors faisons lui place nette ces prochains jours dans les justes proportions de son volume cubique.
Strip-tease est une émission belge célébre qui a permis de dévoiler des natures. Par hasard, nous avons dégoté un gros belge, typiquement bruxellois. Notons que cet homme a rencontré Bill Clinton et a connu internet.
Pour les stagiaires hyperactifs, les cadres dynamiques, les organisations patronales mais aussi les cyclistes ou les buveurs d'eau, cette délicieuse publicité du monde de l'entreprise.
La campagne ne ressemblant qu'à un vol au dessus d'un nid de coucou c'est nous, oú les Etat-majorettes déjouent les champs de mines en rassemblant au maximum les pigeons qui sauteront avec eux, c'est vers les extrêmes, oú les déflagrations, qui font parties du quotidien ont causé le plus de sinistre et vers lequel nous jeterons nos regards. La campagne a une chance de se jouer au poing. fight club de station-service.
Petite querelle qui passsera inaperçu chez les spectateurs de Claire Chazal, de l'inspecteur Derrick et de Melissa Thériau.
"Le client qui attendait sa femme près de l'entrée a du moins entrevu une autre vie, sans elle, le temps d'un vertige, comme lorsque le teinturier, brandissant la perche munie du crochet, hésite à dépendre pour nous un manteau étranger. Et qu'il nous fait cadeau, déjà, de ce flottement".