Nouha Dicko
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athorEn Angleterre, les clubs ont la possibilité d'effectuer des prêts de joueurs sur des durées de quelques semaines à peine. Ça permet à des jeunes de prendre plus d'expérience qu'au sein des championnats de réserves, surtout s'ils jouent contre des vieux briscards de D3, entre kick'n'rush et vissés de 18.
Pour Dicko, son parcours outre-Manche est plutôt intéressant, notamment ses deux passages à Blackpool, où il s'était imposé comme un bon élément de D2. En plus, il possède vraiment les qualités pour s'imposer dans ses championnats, avec sa vitesse et son physique. Etant donné qu'il est en fin de contrat en juin avec Wigan, j'espère pour lui qu'il trouvera un bon petit club de D2 pour jouer régulièrement, prendre du coffre, et pourquoi tenter la Premier League d'ici 3-4 ans. -
Connaissant le nombre de clubs qui débarquent en Premiership avec un effectif peu référencé, ça peut le faire. Crystal Palace et Cardiff pour cette saison par exemple.
Et il y a aussi un sacré turnover au niveau des promus en Angleterre.
Tout ceci participe de l'affaiblissement relatif de ce championnat...
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Il vient d'être rappelé de son prêt par Wigan, après avoir inscrit 6 buts en 5 matchs de D3.
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Dont un doublé le week-end passé, me semble-t-il.
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J'ai vraiment l'impression que Wigan le prend pour un bouche trou. Il le prête quand il n'en veulent pas et des qu'il marque il le rappelle... pour être sur le banc.
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Ce message est une brève publiée par manacor67.
L'ancien Strasbourgeois Nouha Dicko, s'est engagé avec Wolverhampton (D3 anglaise).
Source: footmercato -
Il est chaud bouillant depuis sa signature à Wolverhampton, avec 8 titularisations pour 8 buts, synonymes d'autant de victoires. Les Wolves caracolent en tête de la League 1 et devraient monter sans problèmes en Championship.
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Merci pour cette info,
un grand bravo à lui,
lui souhaitant encore mieux à l'avenir.
ALLEZ RACING !!! -
Dicko : « En France, on nous fait croire qu'on aime le football »
Nouha Dicko, 21 ans, est un attaquant français qui roule sa bosse en League One anglaise. Après avoir été prêté la majeure partie du temps par Wigan à d'autres clubs anglais, l'ancien Strasbourgeois s'est enfin posé. A Wolverhampton. Dans l'Angleterre, la vraie.
12 titularisations à Wolverhampton, 9 buts. Pas mal pour une recrue hivernale !
Ça se passe super bien ouais ! J'ai signé pour deux ans et demi, l'équipe tourne bien, on est premiers du championnat et puis sur le plan personnel, ça se passe plutôt bien aussi. Je joue et j'arrive à montrer ce que je sais faire sur le terrain donc c'est très important.
Après avoir très peu joué à Wigan en début de saison, est-ce que tu t'es dit que la fin de saison allait être difficile ?
C'est vrai que le début de saison à Wigan ne s'est pas passé comme je l'aurais voulu mais bon, il y a quand même eu des bonnes choses. J'ai pu rentrer en Europa League même si ce n'était que pour quelques minutes. J'essaye quand même d'en garder du positif. Mais je pensais surtout à la saison prochaine, vu que j'étais en fin de contrat en juin. Et puis avec mon agent, on a discuté et on s'est mis d'accord sur le fait que je devais partir en prêt pour engranger du temps.
Avant de signer chez les Loups, t'as été prêté dans un autre club de League One, Rotherham United. Là aussi, un « succès ».
Oui, j'ai été prêté là bas courant novembre, pour environ 6 semaines. C'était vraiment une superbe expérience, le coach me voulait, j'ai enfin joué au poste qui me correspond le mieux, c'est-à-dire en pointe. Et voilà, grâce à Dieu, j'ai fait de bonnes performances (6 buts en 6 matchs). Mon adaptation était parfaite même s'il n'y avait pas de Français là bas. Le prêt a été très bénéfique pour moi et puis quand le mercato a ouvert ses portes, j'ai été rappelé par Wigan. Rotherham était quand même parmi les quelques clubs qui ont tenté de me faire signer chez eux.
T'as été surpris d'être rappelé par Wigan après tes bonnes performances ?
Surpris ? Oui et non. C'est assez courant en Angleterre que les coachs rappellent un joueur qui fait des performances ailleurs. Il y a souvent une clause de rappel dans le contrat. Après, quand le club qui t'a prêté n'a pas les résultats qu'ils espèrent, il a le droit de te rappeler. Mais j'ai quand même été surpris parce que bon, j'ai fait toute la préparation estivale avec Wigan, j'ai été présent de juillet à novembre sans vraiment avoir de temps de jeu voire pas du tout, à part un match de coupe, une entrée en Europa League et le Community Shield. Mais bon, c'était un nouveau manager qui venait d'arriver et qui ne me connaissait pas. J'étais frustré de ne pas « enjoy » mon football. Souvent sur le banc, pas d'entrée, je jouais avec l'équipe réserve... Quand tu pars en prêt et que tu es performant, que tu puisses t'exprimer sur un terrain de foot et qu'on te retire ce plaisir, c'est un peu chiant mais bon, c'est ça le football.
Tu as senti un manque de confiance en toi de la part du staff lors de ces années à Wigan ?
Non, je ne peux pas dire ça parce que quand je suis arrivé à Wigan, je suis arrivé de Strasbourg. Le club venait de tomber en CFA 2 à cause de la relégation administrative et moi, je jouais plus souvent avec la CFA 2 qu'avec l'équipe de National. Je suis arrivé par la petite porte, j'ai fait mon essai tranquillement. Au début, je suis beaucoup resté avec la réserve de Wigan et petit à petit, j'ai réussi à accéder à l'équipe première. Je pense que je n'avais pas fini ma formation quand je suis arrivé chez les Latics et c'est pour cela que j'ai été prêté plusieurs fois. J'ai pas vraiment de regret par rapport à ce passage à Wigan.
Surtout que c'est le club qui t'a donné ton premier titre !
Oui ! Même si je n'ai pas fait énormément de match dans la compétition (3 matchs), je suis content d'avoir participé à un bout de l'histoire de ce club ! C'était fantastique pour un petit club comme Wigan dans une région de football qui compte des équipes comme Manchester United et Liverpool... Réussir à faire son trou dans une compétition comme la FA Cup, c'est juste énorme.
T'as eu une expérience en Championship avec Blackpool. Tu étais à une marche de la Premier League...
Oui, pendant mon premier prêt, ça s'était super bien passé, on a joué les playoffs et on a réussi à atteindre la finale contre West Ham à Wembley. Malheureusement, on a perdu. Mais c'était une expérience fantastique, il y avait une ambiance de fou. Les fans étaient en transe derrière l'équipe, il y avait une ambiance exceptionnelle dans la ville.
C'est quoi les grandes différences de culture entre la France et l'Angleterre ?
Je dirais que les Anglais sont vraiment des bons vivants. Malgré le mauvais temps, ils ont toujours le sourire, ils sont toujours de bonne humeur. Ils aiment aussi beaucoup faire la fête. Ouais, c'est clairement des bons fêtards.
D'ailleurs, Wolverhampton est considéré comme une ville triste. Y'a quoi à faire là bas ?
C'est vrai que ce n'est pas une grande ville comme Londres ! C'est une petite ville comme Wigan quoi. Y'a Birmingham à 30 minutes donc pour faire du shopping ou aller au resto, y'a de quoi faire. Contrairement à Londres où t'es pas dépaysé de la France, tu sens vraiment que t'es en Angleterre quand t'es à Wolverhampton.
Et footballistiquement parlant ?
Moi je n'ai pas connu le football à haut niveau en France mais bon, ça se voit à la télé hein et c'est flagrant : la ferveur qu'il y a autour du football en Angleterre n'a rien à voir avec celle qu'il y a en France. En France, on nous fait croire qu'on aime le football mais quand tu viens en Angleterre, c'est un autre monde. Par exemple, quand tu vois qu'en League One, on a des matchs le mardi soir à l'extérieur, à 300-400 kilomètres et que la tribune away est toujours pleine en sachant que ces mêmes supporters vont travailler le lendemain, tu te dis que c'est quelque chose quand même. Ca, c'est être passionné de son équipe.
T'as jamais songé à rester en France avant ton départ pour l'Angleterre ?
J'avais des contacts avec des clubs français après Strasbourg et puis j'ai même fait des essais dans quelques clubs français mais ça ne s'est pas fait. Y'avait aussi des clubs comme Nancy qui me voulaient, pour jouer avec la réserve. Mais pour moi, jouer à Nancy alors que je jouais à Strasbourg, ça le faisait pas trop. Quand j'ai su qu'un club anglais m'accueillait à l'essai, j'ai pas réfléchi et j'y suis allé directement.
Tu ne penses pas que c'est risque de partir aussi tôt pour un joueur pas encore pro ?
Si, c'est un risque mais dans la vie faut les prendre ces risques. Même s'ils sont en League One en ce moment, je suis dans un gros club anglais. Après, tout dépend de la mentalité que tu as quand tu vas à l'étranger. Si tu y vas en donnant tout et en montrant ce que tu sais faire, y'a pas de différence entre la France et l'étranger. Le football est un langage universel.
Mais en France, on a l'impression que les clubs sont plus frileux à prendre de jeunes joueurs...
Les clubs français veulent trouver le prochain Neymar avant de faire signer le joueur. C'est vraiment l'impression que j'ai eue quand je suis allé dans certains clubs. J'avais beau être bon ou au niveau d'autres joueurs déjà au club, je pense qu'ils regardaient d'abord ceux qui étaient au club au lieu de prendre un risque. Fallait sortir énormément du lot, être un phénomène pour avoir un contrat. Je trouve ça un peu dommage. C'est un peu pareil dans tous les pays mais en Angleterre, ils donnent plus la possibilité aux jeunes de bosser et de ne pourquoi pas saisir la chance qu'on leur offre.
Sans le foot, tu penses que tu aurais fait quoi ?
Honnêtement, j'en ai aucune idée. C'est vrai qu'au centre de formation à Strasbourg, on nous a vraiment poussé à prendre les études au sérieux; C'est pour ça qu'aujourd'hui, j'ai quand même mon BAC ES, mention assez bien, je tiens à le préciser ! J'aurai quand même pu me retourner mais à partir du moment où j'ai joué en CFA 2, je savais que je voulais jouer au foot.
D'ailleurs, comment s'est passée la fin de parcours à Strasbourg ?
Vraiment pas évident ! A travers les journaux, on avait différentes informations. On ne savait pas à quoi ou qui se fier. Puis un jour, on a appris que le club était rétrogradé administrativement. C'était très compliqué à gérer surtout quand t'es jeune et que tu n'as plus de contrat. Fallait vite se sortir les mains des poches pour se retrouver un club, en sachant que y'a des milliers d'autres jeunes qui sont dans la même situation que toi. Je pense que dans ces moments-là, tu peux passer un cap dans ta vie. Soit tu réussis à trouver un truc rapidement et tu te plonges vraiment dans le métier, soit c'est très vite la fin. Après, c'est aussi une question de mental et de chance.
So Foot -
Wolverhampton vient de décrocher son billet pour le Championship. Vu ses performances depuis son arrivée (15 matchs, 9 buts), Nouha devrait avoir un grand rôle à jouer.
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http://www.sofoot.com/dicko-en-france-on-nous-fait-croire-qu-on-aime-le-football-182695.html
Super interview de Nouha Dicko , je lisais de temps en temps ces tweets il avait l'air d'un gars posé et qui n'a pas le melon et l'interview le confirme !
Mention spéciale lorsqu'il dit qu'il aurait pu signer à Nancy mais que vis à vis de Strasbourg sa se faisait pas alors qu'on ne lui avait pas donner sa chance ici !
En tout cas si on avait fait plus confiance aux jeunes comme lui ou Morgan on en serait surement pas la aujourd'hui c'est dommage et bonne continuation à lui en tout cas ! -
Tombé sur cette belle photo de notre ami Dicko qui discute foot avec un spectateur. Elle date de la saison dernière mais on peut dire que son adaptation au championnat anglais est réussie. -
Encore une interview de Dicko, sur Hat-Trick, où il revient notamment en détail sur son passage à Strasbourg:
Citation: « J’ai commencé le foot tout petit, à 6 ans, dans un petit club de quartier qui s’appelle la Jeanne d’Arc Maison-Alfort, et j’y suis resté jusqu’à mes 12 ans. C’est là que les dirigeants du club, et même des parents qui travaillaient bénévolement pour le club, m’ont conseillé de partir à Créteil, le gros club du coin. Ils pensaient que c’était mieux pour moi, pour ma progression. Je suis parti faire des essais là-bas, et ça c’est bien passé. Ils m’ont pris en fin d’année de benjamins, ça devait être en 2004.
Ensuite, j’ai passé trois bonnes années là-bas, et dès mes débuts, Renaud Paviot, un recruteur de Strasbourg qui venait voir nos matchs, m’avait proposé de venir faire des essais. Finalement ça ne s’est pas fait tout de suite, je ne suis parti en Alsace qu’après trois saisons.
Franchement, c’était dur. Quand on vient de Paris, on croit que les autres villes à part Marseille et Lyon, c’est la campagne (rires) ! Mais c’était une bonne surprise, j’ai appris à découvrir une belle ville. Après, tu es loin de ta famille mais au bout de quatre, cinq mois tu commences à t’habituer.
Par contre dès le début, j’ai eu pas mal de blessures, donc ça n’aidait pas non plus : quand le sportif ne va pas, ça atteint forcément le reste. La première année, j’étais avec les 15 ans DH, donc l’équipe régionale. Je m’entraînais avec les 16 ans nationaux, et je faisais parfois des bouts de matchs avec eux, mais pas souvent. Pour finir en beauté, je me fais une fracture de la malléole et ma saison était terminée en avril…
La saison d’après, je reprend définitivement avec les 16 ans, mais j’ai du mal à reprendre à 100% car j’ai toujours des soucis avec ma cheville, des tendinites, et d’autres conneries comme ça. Je suis un peu mis de côté. Pendant six mois, je ne jouais pas trop. C’était frustrant, surtout quand tu vois que les joueurs qui jouent ne sont pas forcement meilleurs que toi. Mais j’arrive à bien terminer la saison en marquant pas mal, c’était de bon augure.
Celle d’après, je m’en souviens très, très bien : je fais un super début de saison. Sans me vanter j’étais vraiment en forme. Je jouais avec les 18 ans. Du coup, je suis vite monté avec la CFA. Pour mon premier match, je marque en plus. J’avais pratiquement fait toute la saison avec eux. C’était compliqué car on était descendu, mais moi, j’ai vraiment énormément appris cette année-là. J’avais même pu m’entraîner avec les pros l’année où ils sont descendus en National
J’ai ensuite débuté la saison avec la CFA 2, mais on était quelques jeunes à être montés avec l’équipe première, notamment Brian Amofa, qui lui est toujours à Strasbourg. Je me souviens très bien, c’était un contexte super délicat parce qu’ils avaient un peu peur de mettre des jeunes : si le club ne montait pas, c’était la catastrophe financièrement. Et c’est ce qui s’est passé…
Mais bon, moi, j’ai quand même eu de la chance car c’est comme ça, en faisant des bouts de match en National, qu’un recruteur anglais m’avait vu la première fois.
Déjà, il faut savoir que le centre de formation de Strasbourg était vraiment de qualité. Nancy, Fribourg, Metz ou Troyes étaient venus prendre plein de jeunes. Moi, j’avais quand même quelques pistes, mais ce n’était pas toujours très concret. J’étais parti faire des tests à Valenciennes, à Marseille avec la réserve, et j’étais parti aussi à Lens.
Lens, ils me voulaient pendant la saison et ils étaient prêts à racheter mes indemnités de formation. Mais le président de Strasbourg à l’époque, Jafar Hilali, était un peu trop gourmand, donc ils avaient lâché l’affaire. Enfin, ça ne me dérangeait pas trop, je n’étais pas très chaud pour partir là-bas.
On voulait aussi me faire signer stagiaire pro à Nancy mais ça ne me disait trop rien, parce que c’est quand même un club rival et que j’ai beaucoup de respect pour Strasbourg. A la base, j’étais vraiment attiré par l’Allemagne. Tout le monde voulait aller en Angleterre, mais moi, c’était l’Allemagne, ça avait l’air vraiment bien. J’avais eu une opportunité d’aller à Fribourg, mais ça ne s’était pas fait non plus.
Quand Strasbourg, ça c’est fini, la situation était très délicate (ndlr, en août 2011, le Tribunal de Grande Instance de Strasbourg annonçait la liquidation judiciaire du RC Strasbourg, le club étant relégué administrativement en CFA, puis, à sa demande, en CFA 2). Tu n’y crois pas, tu ne penses même pas que ça va arriver en fait, tu penses que ça n’arrive qu’aux autres. A l’époque, c’était la première fois qu’un gros club français tombe en redressement, donc je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre.
Quand les essais n’étaient pas passés… tu te poses des questions. Moi, j’avais la chance d’avoir mon bac en poche, donc je me suis dit qu’il allait peut-être falloir que je retourne en région parisienne, que je me remette dans les études et retourner dans un petit club, à Créteil en réserve s’ils voulaient de moi… -
Citation: Mais bon, moi, j’ai quand même eu de la chance car c’est comme ça, en faisant des bouts de match en National, qu’un recruteur anglais m’avait vu la première fois.
Cette phrase m'a vraiment étonné, je ne pensais pas qu'il y avait des recruteurs étrangers qui venaient voir les matchs de National !
Et pourtant à y réfléchir, j'imagine que c'est comme ça que les recruteurs cherchent à faire de 'bonnes affaires' : en essayant de trouver des joueurs inconnus ou presque avec un bon potentiel, dans les divisions plus anonymes des grands pays européens...
Mais ça surprend quand même ! -
A la fin de la saison 2010/2011, à mesure que l'issue fatale s'approchait, il y avait souvent 3-4 charog... recruteurs aux matchs de la réserve, en CFA2.
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OK, c'était donc spécifique à cette époque funeste, les vautours guettant leurs futures proies...
Ça n'est donc apparemment pas habituel 'en temps normal', des recruteurs en National ? (ou beaucoup moins) -
Beaucoup de clubs pros français ont des observateurs dans les divisions inférieurs, au moins jusqu'en CFA. Dijon notamment excelle dans ce domaine, avec pas mal de bons coups ces dernières années (Bauthéac, Corgnet, Philippoteaux, Tavares...).
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Ce passage me surprend aussi
Citation: On voulait aussi me faire signer stagiaire pro à Nancy mais ça ne me disait trop rien, parce que c’est quand même un club rival et que j’ai beaucoup de respect pour Strasbourg.
Outre le fait que la rivalité avec Nancy n'est pas si grosse que ça, il y a vraiment des joueurs qui prennent ça en compte dans leur carrière, ou c'est un petit mot sympa pour faire plaisir aux supporters ? -
En équipe de jeunes les "derbys" sont souvent assez musclés. On se connaît, on se rencontre souvent, on veux se prouver qu'on est le meilleur centre du coin. Du coup cela semble cohérent qu'il n'est pas envie d'aller à Nancy même si niveau centre c'est plus avec Sochaux & Metz qu'on se tirait la bourre comme disent les djeuns.
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Il a conclu une superbe saison avec Wolverhampton en D2 anglaise avec 14 buts et 7 passes décisives en 37 matchs, au point d'avoir une chanson en son honneur au stade Molineux. S'il confirme la saison prochaine, a priori toujours chez les Wolves, il devrait vite découvrir l'échelon supérieur. Bravo Nouha ! (+)
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Il s'est gravement blessé au genou et sera absent jusqu'à 9 mois (source). Autant dire que sa saison est déjà terminée.
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Des nouvelles de sa convalescence, sur l'excellente site Hat-Trick.
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Premier joueur du Racing à rejoindre les Tigers à ma connaissance. Le club vient de descendre en seconde division après une fin de saison catastrophique mais reste un des principaux animateurs des descentes / montées des dernières années.
Good luck ! -
Il a signé hier au Vitesse Arnheim
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Vitesse Arhnem
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