La SIG
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rcsforeverLe constat est général concernant le basket français et ne se limite pas à la SIG, sauf à Limoges par exemple. Au contraire de ce que l'on peut voir en football, le public est plus spectateur qu'acteur, sauf lors des grands rdv. On est bien loin de la Lituanie où le basket est une religion. -
A Nancy Chalon-sur-Saône Gravelines et sans doute bien d autres endroits on chante et encourage
A la Sig comme par exemple à Rei's on tape gentiment dans les mains
Un peu de culture Meinau facon quart de virage ne nuirait pas a la sig -
Gentilly à la rigueur, lorsque le SLUC tourne bien, il faut bien compenser avec la cathédrale de Picot.. Pour le reste l'ambiance n'a rien d'extraordinaire non plus et au niveau de l'affluence la SIG n'a rien à envier à de nombreux clubs. Et concernant la Meinau, l'ambiance se limite souvent au virage comme tu le soulignes si bien, voire à la tribune Ouest, alors que dans d'autres secteurs du stade quelqu'un qui chante est limite dérangeant.. En fait le Rhenus c'est une petite Meinau sans les ultras, on est d'accord sur ce point.
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rcsforever a écrit, le 11/01/2015 03:54 : strasbourg972 a écrit, le 10/01/2015 22:04 : le quart sera vs Denain (Pro B) au Rhénus :)
Le tirage au sort a déjà eu lieu ? En tout cas ce serait un petit évènement, la SIG n'ayant plus disputé une rencontre de Coupe de France à domicile depuis 2010...
Finalement c'est la SIG qui se déplacera à Denain au mois de mars, il ne fallait pas rêver non plus.. Bon ça reste jouable sur le papier (contre le 4e de Pro B) à condition de se souvenir de Boulogne.. En attendant il y a une qualification pour le prochain tour de l'EuroCoupe à chercher, en commençant par un déplacement à Prague pour affronter Nymburk, ce mercredi 18h30 et en direct sur Alsace 20. -
à la Meinau et dans le football, au contraire de la SIG, il y a une culture chant depuis longtemps. De mon expérience de SigX, qui se résume à 2,3 rencontres alléchantes ou gratuites par saison, je serais incapable de citer autre chose que Defence ...
Après y a des clapclapes, des trompettes et des sales gosses avec des cornes de brumes. C'est plus ça la SIG, ça peut changer mais faudra du temps. -
Niveau chants, grâce au nouveau speaker "applaudissements sportifs", il y a l'air de Seven nation army repris à tue-tête par le public
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Il n'empêche que ce "nouveau" speaker, je le trouve bien meilleur que l'autre. Même si par moment il est plus neutre et moins chauvin, contre Kazan il était vraiment bon.
En parlant des clapclap, cela fait plusieurs matchs qu'il n'y en a plus, j'espère que c'est juste un problème de stock, parce que niveau bruit et rythme cela est préférable d'en avoir. -
Le clapclap c'est aussi une bonne excuse pour ne pas chanter. L'un semble exclure l'autre.
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guigues a écrit, le 28/01/2015 11:13 : Le clapclap c'est aussi une bonne excuse pour ne pas chanter. L'un semble exclure l'autre.
Oui sauf que les gens ne tapent pas des mains. Du coup en dehors des paniers, il peut y avoir 0 bruit en dehors du "kop" de la Wantzenau. -
Tout à fait. Du coup la SIG ça me fait plus penser au bruit de clapclap pour l'ambiance, ce qui n'est déjà pas si mal.
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C'est surprenant mais l'ambiance avait commencé à baisser lors du changement de salle et de dimension pour la SIG, alors qu'à l'époque où le club visait la montée dans l'élite, le Tivoli ressemblait à un chaudron malgré sa faible capacité. D'ailleurs mes plus beaux souvenirs au niveau ambiance datent de cette époque avec l'inoubliable derby contre le MBC.
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La SIG n'était pas dans un grand soir avec une défaite (72-66) contre Nymburk. Heureusement que Kazan s'est imposé contre St-Pétersbourg, ce qui nous permet de conserver la 2e place du groupe avant les deux dernières journées.
Après un déplacement à Kazan (le 4 février), la SIG affrontera St-Pétersbourg (le 10) au Rhenus dans une rencontre qui s'annonce bouillante.. Un calendrier compliqué pour les hommes de Collet qui devront également se déplacer lors des deux prochaines journées de Pro A, à Dijon (4e) ce samedi puis à Villeurbanne (le 7). -
Effectivement ce fut un triste match et la qualif va être compliquée.
Sinon c'est un peu une blague que Dijon - SIG ne soit pas télévisé alors que Nanterre - Cholet l'est ... -
Je suis extrêmement frustré ! une belle avance creusée au bout de 10 minutes !
et un 3 pts à la 9 : 55 qui symboliquement est lourd de conséquence la fameuse barre des 10 Pts résultat +9 au lieu de +12 et après ils ont a peut prêt tout rater à partir du 2 éme, d'habitude ils craquent au 3 éme mais là les 3 derniers on était assez catastrophique !
Dommage la SIG aurait pu faire un grand pas ! va falloir serré les dents et arraché les deux derniers............ chaud ! -
Une victoire (par au moins 6 points d'écart) contre le Zenit lors de la dernière journée nous assurerait la qualif. En cas d'exploit à Kazan on pourrait même viser la première place.
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Victoire 74-70 à Dijon ! Superbe perf quand on connait la difficulté de s'imposer là-bas.
On attend de connaitre le diagnostic exact de la blessure de Diot au genou. Apparemment c'est un coup donc ca devrait aller. -
Dijon avait remporté 8 de ses 9 premières rencontres à domicile en Pro A, sauf que la SIG est la meilleure équipe du championnat à l'extérieur avec 9 succès en 10 déplacements. Une victoire qui permet à la SIG de reprendre seule la tête du classement, en attendant le duel entre Nanterre et Cholet, mais surtout de laisser son adversaire du soir à 3 longueurs. Bref (presque) que du positif...
Victime d’un coup sur le genou, hier soir à Dijon à la 9e minute, alors qu’il n’avait joué que quatre minutes, Antoine Diot a dû quitter le terrain sans plus pouvoir fouler le parquet ni participer à la belle victoire alsacienne en Bourgogne (70-74). Ce matin, le meneur de la SIG a consulté le Dr Moncade qui a pu constater qu’« il n’y a aucune lésion, pas de rupture ligamentaire ». Pour le médecin de la SIG, « le coup, reçu à l’intérieur du genou, est très douloureux. Il faudra attendre que la douleur se résorbe ». Pour l’instant, sa participation au match de mercredi (17h00) à Kazan reste suspendue à la capacité du meneur international à récupérer. Aucune garantie, mais tout de même un peu d’espoir… -
2e défaite consécutive ce soir pour Limoges face à L'ASVEL, prochain adversaire de la SIG. Le CSP qui compte à présent 2 victoires de retard sur nous, tout en sachant qu'il pourrait perdre 1 point supplémentaire...
Gelabale joue le 28 décembre avec la SIG sur le parquet de Boulogne-sur-mer pour le compte de la 16e journée de Pro A. Mais en janvier, il signe au Limoges CSP. Le 10 janvier, sa nouvelle équipe joue à son tour son match de la 16e journée de Pro A contre Cholet. Le match avait été décalé en raison du calendrier compliqué du club, qui évolue aussi en coupe d'Europe. C'est la participation du joueur à cette rencontre qui pose problème : la Ligue Nationale de Basket et le club de Cholet ne veulent pas laisser passer cette situation contraire au règlement : un joueur ne peut pas disputer deux matchs de la même journée avec deux clubs différents. -
Un adversaire qui nous a pris de haut ? Une SIG trop forte ce soir ? Qu'importe, les hommes de Collet viennent de réaliser une sacrée perf en écrasant (60-82) Kazan sur son parquet.. Qualif et première place en jeu mardi prochain contre St-Pétersbourg au Rhenus.
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Bel exploit de la SIG de battre Kazan sur les deux matchs ! Mais dommage de perdre Matt Howard sur blessure :(
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Cette équipe est incroyable (c'est là ou tu regrette les déplacements à St-Pétersbourg & Nymburk )
Car après un premier 1/4 compliqué (-6 à 17-11 ) le reste du match à était un récital ! +10 à la Mt avec un 1/4 à 28-12 ( 39-29) un troisième 1/4 perdu (16-15) et un récital dans le dernier (28-15) pour Gagné 82-60 face à l'un des favori de la compétition !
Une victoire la semaine prochaine de 7 pts et plus (ou une simple victoire si Nymburk gagne ce soir) nous assurerait la 1 er place ! -
Par au moins 6.. points d'écart dans le pire des cas.
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Une simple victoire contre le Zénith ne suffit elle pas?
Nous avons 3 V actuellement ; si le Zénith gagne ce soir il en sera aussi à 3V et donc même avec 1 point d'avance mardi on leur passe devant! non? -
Exact, le succès à Kazan était tellement inattendu que l'on a oublié de ranger la calculette. Bref une victoire contre St-Pétersbourg (qui au passage vient de s'incliner face à Nymburk) nous offrirait la première place du groupe, alors qu'une défaite...
Une démonstration !
La SIG a réussi une performance historique et pris une option sur la première place de sa poule en « découpant » Kazan dans sa salle : 60-82. Un match-référence qui l’oblige malgré tout à battre Saint-Pétersbourg la semaine prochaine pour se qualifier ! Sans Matt Howard sans doute out pour plusieurs semaines. Un succès collectif, construit en défense grâce à un état d’esprit exceptionnel. Quelle équipe !
« Le rebond et les balles perdues seront peut-être les clés du match. Il faudra y veiller. Mais ce que je veux avant tout, ici, ce sont des guerriers ! » Pour clore la séance vidéo du matin, Vincent Collet avait voulu appuyer sur les points essentiels, sans nier l’ampleur de la tâche ni la valeur de l’équipe russe. La dernière (et seule) fois que la SIG s’était déplacée ici, dans la superbe capitale du Tatarstan, enfouie sous la neige en ce début février, elle avait pris une jolie rouste (94-57), punie de l’outrecuidance d’avoir remporté le match aller au Rhenus (78-66). C’était le 18 décembre 2007.
On allait donc savoir si cette fois, le club a grandi. Car à l’aller aussi, formidables d’abnégation et de solidarité, les Strasbourgeois avaient fait déjoué cette équipe pétrie de talents. « C’est au-delà de nos espérances. Ils n’ont pas trouvé la solution face à notre défense », dira Collet, qui n’avait jamais gagné en Russie dans sa carrière, à l’issue de cet exploit sans précédent.
Le gang des gauchers frappe d’abord
D’emblée, la défense avait tenu le choc, gratté quelques ballons, mais l’attaque était à la peine. Dobbins avait remplacé Diot dans le cinq, Fofana était logiquement titulaire à la place de Traoré et Pashutin faisait confiance à Ponkrashov plutôt qu’à Jerrells. Kaimakoglou, toujours masqué depuis sa fracture du nez de l’aller, avait ouvert la marque et la SIG avait dû attendre un « primé » de… Matt Howard pour scorer enfin à la 3e’… Campbell décochait aussi derrière l’arc (4-6, 4e’) avant un premier éclat. En un rien de temps, deux flèches de Langford et Jerrells, les gauchers, une contre-attaque de White et un dunk « and one » de Fischer avaient provoqué un 11-0 et fait sentir le danger qu’on pressentait : 15-6 (6e’).
La SIG se rebiffe
Collet lançait Diot qui serrait les dents, puis Traoré. Le meneur international scorait (15-8) mais perdait aussi deux ballons… Et Fischer (quatre rebonds déjà), symbolisait la menace de la domination sous le cercle (10 rebonds à 5 à la fin du premier quart). C’est avec l’entrée de Lacombe et de Toupane que la SIG changeait de visages. Parfaitement dans ses schémas défensifs, elle faisait déjouer Kazan (12 balles perdues à la mi-temps pour 10 interceptions alsaciennes !) et trouvait du jus en attaque. Un 2-17 à cheval sur les deux périodes donnait à la rencontre une autre allure : 17-23 (13e’). Kazan avait ’’consommé’’ deux temps morts, mais provoquera rapidement cinq fautes contre… zéro. De retour dans la partie à 23-25, Kazan trouvait à qui parler. Même si, coup sur coup, Diot, Traoré puis Fofana se retrouvaient à deux fautes et que le géant Sokolov faisait un chantier dans la raquette. Pas de quoi démonter Toupane, impeccable, Campbell ou Howard, qui donnaient 11 points d’avance (28-39), même si la SIG lâchait aussi quelques lancers francs en route.
Le moment de vérité
A la mi-temps, en tous cas, cela ressemblait fort à un tremblement de terre pour Kazan. Il fallait alors tenir le choc dans le fameux troisième quart. Howard marquait d’entrée (29-41) avant de se blesser à la cheville. Il ne reviendra plus en jeu… Langford (11 points dans le quart temps) sortait de sa boîte et les Russes se rapprochaient à 38-43 (25e’). Diot prenait même sa troisième faute mais cinq lancers francs de suite du meneur de la SIG et un panier bonifié de Dragićević redonnaient de l’air : 38-51. Et à la fin de ce quart si redouté, Kazan s’était cassé les dents sur la défense sans faille des Strasbourgeois : 45-54.
Un festival à trois points, Diot en mode patron
Tout restait bien sûr possible mais la SIG avait faim. Trop faim… A l’image d’un Campbell (6 sur 10 à trois points, 21 d’évaluation) exceptionnel à trois points, d’un Antoine Diot taille patron. Un différentiel de +31 lorsqu’il était sur le parquet, alignant aussi 16 points à 4 sur 5, 7 sur 7 aux lancers, 5 passes et 4 rebonds pour 24 d’évaluation.
Revenu à 47-54, Kazan était dans les cordes, inscrivant son premier panier de cette période cruciale après… cinq minutes ! La SIG avait filé à 47-69 puis 53-80, l’écart maximal sur les épaules de Diot et Campbell, mais aussi de Leloup, Traoré et Toupane, auteur d’un match de titan.
Cet exploit hors normes ne sera toutefois validé que par une victoire la semaine prochaine, contre une solide équipe de Saint-Pétersbourg qui voudra sauver l’honneur russe. Et se glisser en huitième. Mais un Rhenus transformé en chaudron pour cette authentique finale, pourrait l’en empêcher.
Les réactions
Vincent Collet : « C’est une grande victoire. Nous avions gagné à l’aller mais il manquait deux joueurs à Kazan. Même si nous avions bien défendu au début, on était à la peine en attaque et les Russes ont pris de l’avance. Mais on est revenu parce qu’on a continué à bien défendre et dans le dernier quart, on a trouvé des shooteurs exceptionnels avec Campbell notamment, puis Diot et Leloup. Notre défense a été la clé du match. On a réussi 17 interceptions contre cette équipe et notre pourcentage à trois points a fait le reste. Malheureusement ce succès ne change rien. Il faudra gagner mardi prochain, sans Matt Howard. Si on y parvient, on sera premiers du groupe et ce sera magnifique. Si on perd, on regardera les 8es de finale à la télé ! Il faut garder cette rage et cette concentration ».
Antoine Diot : « On savait que cela allait être très difficile mais on y a cru et c’est le plus important. On a prouvé que le match aller n’était pas un coup de chance. Mais il ne faut pas en faire des tonnes, mais garder les pieds sur terre. Ce match ne nous donne malheureusement pas la qualification. On a encore un match à gagner… Ma douleur au genou, je l’ai sentie mais je n’avais aucune crainte ».
Paul Lacombe : « J’avais un bon pressentiment pour ce match, je ne sais pas pourquoi. On a défendu à huit. Ils n’ont rien compris… Mais ce qui est frustrant c’est qu’en cas de défaite la semaine prochaine, ce succès ne servira à rien ».
Tadija Dragićević : « Je suis venu ici quatre fois, l’an dernier encore, et je n’ai jamais gagné. Cette victoire est extraordinaire, par l’écart et la manière dont on l’a obtenue. Il faudra confirmer contre Saint-Pétersbourg ».
(A Kazan, Jean-Claude Frey / Site officiel) -
Quand je voyais les 5premières minutes du match où on n'arrivait pas à entrer dans leur raquette, j'avais peur. Traoré a bien permis de mettre enfin la balle poste bas.
Bref énorme match, notre meilleur depuis le début de la saison. Campbell avait une adresse juste dingue et semble être en forme en ce moment.
Le souci reste Matt Howard avec cette blessure ... mais Dragicevic est de mieux en mieux donc cela devrait le faire. A voir la durée de l'indisponibilité, peut-être que 20jours suffiront.
Duport ne devrait plus tarder à revenir normalement.
Maintenant place au match à l'Asvel où il est serait intéressant de mettre un gros écart dès la mi-temps si possible.
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