Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

La SIG

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Flux RSS 8469 messages · 1.364.520 lectures · Premier message par rcsmick · Dernier message par chrisneudorf

  • guialsace a écrit, le 26/05/2015 08:12 :
    g0lddiggaa a écrit, le 25/05/2015 15:22 :

    L'autre speaker, un "ambianceur" professionnel de ce que jai compris, qu'on avait en Eurocup, est trois fois meilleur.


    Pour info, le speaker qui était là en Eurocup et samedi pour les playoffs, c'est le même ;) ! Et moi je le trouve également plutôt bon (même s'il a fait effectivement des erreurs au début) et qu'il a crié sur des and-ones inexistants, mais bon dans le public y en a aussi plein qui ont cru que les paniers étaient accordés !
    Et preuve que ce speaker est assez bon : c'est quand même le speaker officiel, entre autres, du Paris Levallois, du PSG handball, de l'équipe de France de basket et de handball ! C'est pas rien ;)
    Il est en tout cas bien meilleur ambianceur que celui présent depuis quelques années (le monsieur chauve, je ne sais pas comment il s'appelle) que je trouve vraiment mou du genou !


    Gros mea culpa de ma part alors, j'étais persuadé que c'était justement le monsieur chauve dimanche !

    Sinon cela ne sent pas très bon. Jamais je ne pensais qu'on en serait arrivé là pour ce 1/4 de PO.

    J'ai l'impression qu'hier on a eu du mal sur beaucoup d'attaques et Diot a dû prendre bien souvent prendre des shoots en fin de possession.
    Chalon a trouvé nos faiblesses et joue à fond avec elles. Beaucoup de personnes parlent de "pression" pour les joueurs. Elle commence à avoir bon dos cette pression.
    Il n'est pas normal de faire 2 matchs "nuls" contre le 8ème de saison régulière, qui plus est lorsque l'adversaire n'a que 6 pros et que son meneur joue 40min.

    Pour moi le principal problème ces des derniers temps, est Diot. Il ne distribue plus le jeu comme il sait si bien le faire. Seul Traoré arrive à tirer son épingle du jeu.

    Peut-être que la blesure de Howard sera un mal pour un bien concernant Leloup et Dragicevic. Leur temps de jeu sera plus important et auront beaucoup plus de responsabilités.

    RDV mercredi dans un Rhénus qui ne devrait pas être plein.
  • Je ne le sens pas trop ce match de mercredi a vrai dire...
    Avec l'élimination de Nanterre, il ne manquerait plus que la SIG se fasse également sortir.
  • C'est exactement le même scénario que la saison dernière jusqu'à présent. La SIG leader affronte Chalon huitième au premier tour des PO, une manche partout avant la belle au Rhenus.. Espérons la même conclusion et malgré l'enchaînement des rencontres, nul doute que le public répondra présent et jouera à nouveau son rôle de sixième homme. Allez la SIG, un titre se mérite.
  • Syndrome Gravelines 2013...:|s
  • Ce qui me gêne avec ce speaker professionnel, c'est justement qu'il bosse pour d'autres clubs. C'est le speaker de Paris, de l'équipe de France... Ca ne m'intéresse pas d'avoir le même speaker que sur la moitié des parquets de France. On n'a vraiment aucune personnalité en l'employant. Le speaker doit être une des spécificités d'un club à mon avis.
    L'habituel a peut-être tous les défauts du monde (quoique...) mais au moins c'est un vrai fan de la SIG, qui n'a pas eu besoin de potasser ses fiches pour savoir comment prononcer "Wantzenau" avant le match.
  • kitl a écrit, le 26/05/2015 11:13 :
    Syndrome Gravelines 2013...:|s


    La différence c'est que Gravelines s'était déjà fait avoir la saison précédente.
  • Mea culpa, je pensais justement à la saison 2012 (27 victoire / 3 défaites) du BCM O:)
  • Même si c'est tentant, la comparaison s'arrête là car la SIG a tout de même été deux fois de suite finaliste des PO, alors que le BCM a été incapable de passer le premier tour lorsqu'il dominait la Pro A en saison régulière.
  • La révolte ou… les vacances

    Poussés à un match 3 décisif par des Chalonnais survoltés, mais aussi par leur incapacité à jouer à leur vrai niveau, les basketteurs de la SIG ont 40 minutes, ce mercredi à partir de 20h (live score sur sigbasket.fr), pour se remettre la tête à l’endroit. Sous peine de gâcher une saison si bien conduite jusqu’ici… Dans un Rhenus survolté, tout doit être mis en œuvre pour repartir vers les sommets.

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/SIG-Chalon-po-Matc...

    « Il va falloir trouver ce qu’il s’est passé ». Vincent Collet, dépité, mais aussi en colère, ne comprend pas. Devant la vidéo du match, pendant une partie de la nuit qui a suivi cette deuxième manche perdue (79-71), il ne reconnaît plus son équipe. Et il n’est pas le seul… Tétanisés par l’enjeu, lâchés par quelques joueurs-cadres, incapables de se mettre en mode play-offs, ils ont subi pendant près de 40 minutes.

    Ils ont retrouvé du jeu, mais égaré leurs valeurs

    Une part du mérite en revient évidemment à Chalon. Les joueurs ont trouvé un supplément d’âme dans la blessure de Jason Rich, arrivé sur le banc de touche en cours de match. Jean-Denys Choulet a trouvé les mots et la stratégie qui ont fait balbutier leur basket aux hommes de Vincent Collet. Et les Chalonnais se sont appuyés sur un public exalté, ont mis un maximum d’agressivité dans leur engagement, aux rebonds, parfois trop même, à l’image de Lessort ou d’Evtimov. Pris à la gorge, les Strasbourgeois ont répondu en deuxième mi-temps, parfois naïvement, et à l’arrivée, le différentiel de fautes (27 à 21) et de lancers-francs (20 tentés contre 30) s’est retourné contre eux… Un comble !

    « On a tout de même mieux joué en attaque que samedi. On a été patient, on a retrouvé notre jeu intérieur (NDLR : 19 sur 29, soit 66% mais aussi 19 passes) », insistait Collet. Mais c’est encore la maladresse extérieure – 8 sur 48 en cumul sur les deux matches – sur des tirs très ouverts transformés en sous-marins et en air-balls, et aux lancers-francs (10 sur 20), cumulée à une mauvaise entame en défense, qui ont plombé la SIG.

    Thérapie de groupe

    « On souffre parce qu’on a des joueurs-cadres qui sont en-deçà de leur niveau », regrettait le coach. Dans le collimateur, Antoine Diot (3 sur 11 après le 3 sur 16 de l’autre soir) et Jérémy Leloup, bien sûr, mais ils ne sont pas les seuls. Ali Traoré a surnagé lundi soir, efficace en attaque, vaillant en deuxième mi-temps (7 rebonds dont 6 offensifs), mais il était trop seul. Lacombe et Toupane ont joué à l’envers, Dobbins et Dragicevic sont dans le dur depuis un moment, et les éclairs de Campbell n’ont compensé que partiellement les bévues du capitaine – balles perdues et mauvais choix – qui ont provoqué le premier décrochage (de 11-10 à 19-10 dans le premier quart).

    Il faut maintenant qu’un esprit de révolte souffle sur le vestiaire strasbourgeois. Que les joueurs se mobilisent pour aller au combat et ne pas gâcher tout ce qui a été (si bien) réalisé depuis septembre. A eux de se parler, de faire l’union sacrée. A la manière des handballeurs français… Disciple de la méthode Onesta, Collet devrait souscrire à cette initiative. « Notre jeu ne peut pas disparaître en deux ou trois jours. On paie sans doute les matches trop faciles disputés contre Orléans, Rouen, Nanterre qui n’a pas joué, ou Bourg-en-Bresse. On n’a plus eu de vrai match depuis la finale de la Coupe de France. Alors que Chalon est resté sur la dynamique qui lui a permis de décrocher sa 8e place ».

    Vincent Collet sait que le collectif si précieux et savamment mis en place peut retrouver des couleurs aussi vite qu’il les a perdues. Mais il faudra d’abord de l’engagement, des soldats, poussés par un public aussi chaud que lors du match 1.

    Mettre la pression sur Anthony Ireland

    Jean-Denys Choulet, fidèle à sa roublardise, a déjà entamé la « belle », dès la fin du match 2. « Il faut raison garder. C’est bien d’écrire l’Histoire, mais il faut quand même quelques soldats pour l’écrire. J’ai confiance dans mon groupe, dans son engagement. Mais je ne suis pas sûr qu’on ait la puissance physique suffisante, pour reproduire le même match, 48 heures plus tard. Eux, je suis certain qu’ils l’ont. On ne peut pas multiplier ce qu’on n’a pas. Et Strasbourg sera revanchard… »

    « Très clairement, c’est peut-être nous qui sommes fatigués, répond Collet. Howard est blessé, Rich chez eux, cela va s’équilibrer. Il faudra s’inspirer de ce que Chalon a fait chez lui ». Pour le coach chalonnais, l’absence de Matt Howard – comme face à… Saint-Pétersbourg – ne changera rien. « Ce n’est pas sur un poste qui nous gêne. Ils pourraient avoir six intérieurs, je m’en fous. Le problème, c’est que je n’ai qu’un meneur, à l’origine une rotation derrière Tchicamboud. Pour vous dire, on a même fait travailler William Gradit et Axel Bouteille à la mène ». Et comme un mauvais coup n’arrive jamais seul, Paul Lacombe est lui aussi incertain. Touché à la cheville gauche, il a quitté le terrain en boîtant. La radio passée ce mardi n’a rien révélé de grave mais la douleur est vive. Les médecins prendront une décision avant le match quant à sa participation.

    Méfiance bien sûr, car l’Élan ne rendra pas les armes facilement. Ce n’est pas le genre de la « maison Choulet ». Elle sera tout de même tributaire de la performance d’Anthony Ireland, souvent fragile, qui devra subir une pression plus importante que dans la deuxième manche. « On espère qu’il pourra rééditer sa performance mais on sait à quoi s’attendre à Strasbourg. Et pour la première fois depuis belle lurette, vous avez trouvé un public qui a répondu comme jamais, jamais, je n’avais entendu le Rhenus », ajoute son coach.

    Cette fois encore, le 6e homme que Collet se félicite d’avoir enfin trouvé, jouera un rôle déterminant. Aux joueurs d’être à nouveau sublimés par ce soutien inconditionnel et indispensable. La demie, dès samedi, est à ce prix !

    Le chiffre : 7 sur 8

    Alors que le format actuel des play-offs est utilisé cette année pour la 23e saison, c’est la 9e fois seulement que le premier de la saison régulière est poussé dès les quarts de finale à une troisième manche.

    Lors des huit premières « belles », le leader est passé à sept reprises, et notamment l’an dernier dans un… SIG – Chalon de feu. Il n’a trébuché qu’une seule fois, en 2012, quand Cholet a surpris Gravelines dans sa salle.

    (Jean-Claude Frey / site officiel)
  • Qualification dans la poche mais ce n'est qu'une étape, l'objectif c'est le titre et rien d'autre, Allez la SIG !


    Les guerriers sont de retour

    Encore paralysée par l’enjeu pendant les premières minutes, menée 2-13, la SIG s’est révoltée, poussée par un fabuleux public. Et quand les vertus défensives, alliées à la patience offensive, furent elles aussi de retour, Chalon, qui a chèrement vendu sa peau, finit par craquer : 78-65. Strasbourg se qualifiait ainsi pour la quatrième demi-finale de son histoire et affrontera dès samedi (18h30) le Mans, vainqueur de l’ASVEL (69-60).

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/SIG-CHALON-PLAYOFF...

    Au-delà du résultat sportif, joueurs, dirigeants et spectateurs, savaient que cette manche décisive allait avoir des conséquences énormes. Et bien que motivés, décidés à être plus patients et plus adroits que samedi, plus vaillants que lundi, les joueurs de la SIG ne parvenaient pas à se libérer. Chalon proposait sa zone 3-2, mobile et agressive, et Diot et ses camarades piochaient, perdaient quatre ballons d’entrée et se trouvaient menés 2-13 à la 6e’ ! Le temps mort de Collet, pris très tôt, n’avait pas enrayé l’élan chalonnais et il fallut attendre la… 7e minute pour voir Leloup inscrire le premier panier alsacien.

    Le Rhenus en fusion ne lâchait pas ses favoris, poussant, les encourageant comme jamais pour les exorciser de ce mal qui les paralysait depuis le début des play-offs.

    Un 15-0 qui fait du bien

    Collet avait même lancé Duport très rapidement et s’il signait son entrée d’un panier du poste, il commit aussi rapidement trois fautes ! Toupane avait relancé la machine de deux primés dans le corner (12-13, 9e’) et Choulet changeait de défense. Surtout, le temps mort bourguignon s’avérait bénéfique puisque Dove (cinq points) et Ireland passaient un 0-7 qui faisait mal : 12-22. Toupane trouvait encore la mire au-delà de l’arc et un lancer de Leloup fixait le score à la fin de la période : 16-22. Un moindre mal car la SIG avait payé cher ses huit ballons perdus.

    Les Strasbourgeois retrouvaient enfin leur défense, piquaient des munitions pour filer en contre-attaque et d’un… 15-0 à cheval sur deux quarts temps, faisaient exploser le Rhenus : 27-22. En 2’40’’, l’évaluation était passée de 17-25 à 33-20, soit un différentiel de 21. Enorme ! Chalon ne lâchait rien pourtant, et si le passage sur le parquet de Lessort ou Michineau fut bref, celui de Bouteille sera plus profitable : 29-28 (17e’). Heureusement Diot et Leloup signaient un 7-0 qui permettait à la SIG de reprendre de la marge (38-31) et de virer en tête à la pause : 38-35. Rien n’était fait et la maladresse à trois points des Chalonnais (0 sur 7) contrastait cette fois avec celle de la SIG (4 sur 10).

    Ali Traoré, plus patient, et Paul Lacombe, à trois points, avaient maintenu la SIG à flots dès la reprise (43-37) mais fidèle à sa réputation, Chalon ne lâchait pas et revenait à 43 partout sous l’impulsion de Dove et Evtimov. La « belle » était relancée. Le match devenait crispant (51-50, 27e’) mais les hommes de Collet, qui avaient aussi retrouvé Diot – paniers, lancers-francs, passes et grosse défense –, reprenaient de l’air grâce à Campbell et Dragićević : 58-50 et 62-55 à la fin de la 3e période.

    Le retour des guerriers

    Duport et Traoré faisaient enfin passer l’écart au-dessus de la dizaine (66-55, 32e’). Choulet arrêtait aussitôt et la partie, demandait à nouveau une défense de zone et la SIG sera muette pendant quatre minutes. Mais peu à peu, elle prit la mesure de cette défense, « portée par un Paul Lacombe des grands jours », comme le dira Collet. Heureusement, les guerriers étaient de retour, même sans leur tête de pont, Matt Howard. Campbell avait repris le flambeau de la vaillance et apportait aussi des paniers précieux. Et Chalon n’inscrira son premier point du quart temps qu’à la 35e’ sur un rebond offensif de Lessort. Evtimov ajoutait le « 2+1 » et Chalon rappliquait dans le rétroviseur : 66-60. De plus, la SIG avait déjà commis cinq fautes, Chalon… zéro.

    Mais avec l’aide d’un fabuleux public, excellent sixième homme, la SIG ne lâchera plus sa demi-finale : 78-65. Le public, debout, pouvait exulter. Rendez-vous samedi à 18h30 face aux Manceaux, les derniers à s’être imposés au Rhenus.

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/SIG-CHALON-PLAYOFF...

    (Jean-Claude Frey / site officiel)
  • Début de match cata, j'ignore ce que la SIG serait devenue si Toupane n'avait pas rentré trois 3pts à la file, dont le dernier à 45° très gonflé. La suite du match a montré qu'il ferait mieux de se restreindre à shooter dans le corner.

    Quelle défense de Chalon ! Choulet est une tête de lard mais il n'est pas passé loin deux années de suite de bouter la meilleure équipe de la saison régulière avec des équipes un peu bancales. Sachant que lorsqu'il a recruté Salyers, Spencer et Harper il est allé au bout avec Roanne et trois bouts de ficelle...

    Grosse entrée de Lacombe qui n'a pas hésité à perforer la zone, Traoré aux mains glissantes, Dragicevic pas loin d'être minable hormis un gros shoot permettant de prendre de l'air.
    Collet a enfin resserré sa rotation en utilisant Fofana et Dobbins avec parcimonie : ils ne sont pas assez dangereux en attaque pour être alignés. Même carrément dangereux pour leur équipe I-)

    Public un peu frémissant, mais qui a vraiment besoin que ce speaker bruyant et insupportable l'assiste et le materne sans arrêt.
    Tout speaker officiel de la Fédé qu'il est, ce type est un boulet avec ses encouragements éculés empêchant toute spontanéité, ses 'je vais maintenant vous demander de vous lever", "je demande aux filles puis aux mecs de crier".
    Le meilleur moment de la soirée : lorsque la sono est tombée en rade juste avant le match...

    Les gens sont-ils incapables d'applaudir de leurs mains, de se lever de leur propre chef ? Viennent-ils parce que c'est le spectacle à la mode ? Parce que les bretzels décongelées sont gouteuses ? (à propos comportement scandaleux des VIP qui laissent leurs rangs vides aux débuts de 1 et 3QT)
    Seraient-ils capables de reconnaître un John Shurna vêtu d'un autre maillot ?

    Cette ambiance artificielle, ce kop autosatisfait et incapable de remplir un bus un jour férié pour accompagner son équipe à l'extérieur, ces pompoms recrutées au lycée du coin plutôt que dans un club de fitness ou de pole dance, cette frilosité générale me laisse l'impression que le SIG est un club de parvenus.

    Je vais vite poser ma candidature chez Rue89Strasbourg pour écrire sur la SIG.
  • En parlant de John Shurna, j'aimerais bien qu'il revienne ! C'est un joueur que j'ai beaucoup aimé pendant son passage ici, et il est bien meilleur et mobile que le Serbe actuel, que je trouve aussi mauvais qu'à ses débuts avec la SIG... Depuis son départ de Strasbourg il tourne chaque saison à plus de 10 points de moyenne en Espagne et en Turquie (quand même !), au point d'être sélectionné pour le All-Star turc cette année !
  • J'ai du mal à comprendre qu'on puisse faire une telle fixation sur le public, qui a pourtant joué son rôle dans cette série et surtout dans le match 1, comme l'ont justement souligné les deux coachs. OK le Rhenus ce n'est pas Beaublanc mais la Meinau ce n'est pas non plus le chaudron vert, ce qui n'empêche pas l'ambiance d'être au rdv, la différence principale se situant au niveau du kop (sur ce point on est d'accord), plein de bonne volonté mais manquant d'imagination derrière son panier.. Bref on va retenir l'essentiel, à savoir que la SIG est toujours en course pour le triplé.
  • En play off l avantage terrain sur match d'appui disparaît si le public n'est pas à la hauteur
    En clair le public est essentiel
    Et l'ambiance attire un public supplementaire
  • Sans l'énorme soutien du public lorsque la SIG était plus mal dans le match 1, je ne suis pas persuadé que l'on rêverait toujours de triplé aujourd'hui.. Dans le match 3 l'ambiance était également au rdv mais le scénario différent, Chalon étant cramé dans le 4e QT et ne donnant pas l'impression de pouvoir revenir. Même Choulet (coach de Chalon) qui n'est pourtant pas le premier à faire des compliments en général, a souligné l'importance du public strasbourgeois dans cette série..


    "Pour la première fois depuis belle lurette, vous avez trouvé un public qui a répondu comme jamais, jamais, je n’avais entendu le Rhenus "
  • Répondre aux animations pétaradantes du Microman, oui, mais j'attends plus de spontanéité dans les réactions. Le club fait le nécessaire en fournissant ces bouts de cartons et des T-shirts rouges, encore heureux qu'il ait un minimum de répondant.

    Mais je suis peut-être trop exigeant, trop critique pour être un "vrai supporter" :)
  • Ce n'est pas une question de "vrai" ou de faux supporter (c'est quoi d'ailleurs ?), on a tous le même but en allant à la salle, voir notre équipe gagner. Je ne sais pas si tu étais présent au match 1 mais le public n'a pas eu besoin qu'on lui tende le micro, il a senti le danger, a eu peur de voir son rêve s'envoler, a compris que rien n'était acquis malgré une saison régulière de rêve, a joué son rôle à fond en poussant son équipe vers une victoire précieuse. Et une dernière chose, si on veut que le public se serve plus souvent de ses mains et de sa voix, qu'on arrête de distribuer ces fameux "bouts de cartons" que je ne peux plus voir personnellement et qui à mes yeux sont un tue l'ambiance. Rien ne vaut les chants de supporters dans un lieu qui résonne.
  • Oui faut demander au speaker ce qu'est un "vrai" supporter, c'est une expression d'une puissance intellectuelle rare qu'il emploie fréquemment.

    Et qu'on dégage ces tap-tap me ferait un plaisir fou, mais l'armée d'automates qui s'en sert à l'air d'apprécier.
  • Sans tap-tap, il n'y aurait plus d'ambiance. C'est une certitude, c'est arrivé à certains matchs cette saison.

    Il y a encore pas si longtemps, on t'engueulait quand tu sifflais l'adversaire.

    La meilleure solution serait un autre kop, avec de vrais chants, autres que "go go go, allez allez allez"
  • C'est loufoque l' argument du public dépendant du speaker.
    A la meinau, le kop n' a pas son kapo ?
  • g0lddiggaa a écrit, le 28/05/2015 19:15 :
    Sans tap-tap, il n'y aurait plus d'ambiance. C'est une certitude, c'est arrivé à certains matchs cette saison.


    Il n'y en avait pas au début ou au milieu des années 2000, à l'époque de Jennings, puis celle des frères Greer, des Eidson et compagnie, ce qui n'empêchait pas l'ambiance d'être au rdv. Certains supporters se reposant sur le "tap-tap" finissent parfois par oublier qu'ils ont une voix et des mains..
  • lulmag2 a écrit, le 28/05/2015 19:31 :
    C'est loufoque l' argument du public dépendant du speaker.
    A la meinau, le kop n' a pas son kapo ?


    C'est quoi le rapport entre le speaker et le capo ?

    Déjà avoir un speaker qui officie aussi dans d'autres clubs montre un manque évident d'identité mais bon.
  • Suite à un désistement, je vends un billet pour le match de samedi 18h30 (Porte K)
    Je le vends à la valeur faciale soit 20 euros
  • rcs67200 a écrit, le 28/05/2015 21:20 :
    Déjà avoir un speaker qui officie aussi dans d'autres clubs montre un manque évident d'identité mais bon.

    Sa présence reste exceptionnelle. Certains l'apprécient et d'autres moins mais en temps normal la SIG a (son) speaker.


    Réactions d'après-match :

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/Vincent-Collet-Fic...

    Vincent Collet : « Il fallait être cinglé pour ne pas être inquiet après notre entame. Il a fallu un déclencheur et les premiers changements ont été efficaces. Leloup a pris des rebonds, Toupane a marqué à trois points et Duport, qui n’avait pas joué samedi, a servi de point de fixation. On a fait un break sur l’euphorie mais deux bévues nous ont empêché de mener plus largement à la mi-temps. Mais nous étions enfin entrés dans le match. Après, nous avons plutôt bien attaqué la zone mais ils ont joué ‘’grand’’ et on a dû faire des fautes. On a cependant toujours gardé le contrôle ».

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/Louis-Campbell-Str...

    Louis Campbell : « On a mal débuté mais Axel a débloqué la situation. On était nerveux, il y avait de la pression mais soudain, on a compris comment il fallait jouer et les paniers sont venus au même moment. Je suis content de la victoire mais pas encore satisfait. Ce n’est que la première marche. On a déjà perdu deux finales et la route est encore longue ».

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/Jean-Denys-Choulet...

    Jean-Denys Choulet : « Franchement, sur l’ensemble de la série, je n’ai pas beaucoup de regrets. Sur le dernier match non plus. Sans Rich, c’était presque mission impossible. On a pris l’option de la zone 3-2 avec trois grands pour poster leurs ailiers. Toupane les a sauvés. On savait qu’on ne tiendrait pas tout le match, on savait aussi que Strasbourg était plus fort que nous et qu’on pouvait les perturber. On n’est pas passé loin de solder la série en deux matches. Mais Strasbourg a gagné en toute logique, avec beaucoup plus de banc que nous. Je veux souligner la performance de ‘’Monsieur’’ Campbell. A chaque fois, il nous a tués par sa défense, ses tirs à trois points. Leur première place les a aussi aidés parce qu’ils ont trouvé un public ».

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/Marcus-Dove-Chalon...

    Marcus Dove : « Je suis fier de mon équipe, on n’a jamais renoncé malgré la blessure de Jason (Rich) et on est resté soudés. Je respecte cette équipe et je me souviendrai toujours d’elle. Le match a eu des hauts et des bas. On avait bien débuté, ils sont passés devant, on est revenu et à la fin, Strasbourg était la meilleure équipe ».


    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/Bracket-playoffs-2...
  • J'ai discuté hier soir avec une amie bénévole à la SIG, elle m'a dit qu'il y avait une petite chance que Matt Howard puisse déjà rejouer samedi (rien de sur cependant !). Quand au Mans, Charles Kahudi devrait en théorie être forfait pour l'ensemble des demies-finales !
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