Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[2015-2016] Sedan - RCS | Avant-match

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Flux RSS 94 messages · 42.288 lectures · Premier message par redaction · Dernier message par szczepaniak

  • mouloungoal a écrit, le 02/09/2015 17:05 :
    Ouais ouais, vous pouvez bien dire ce que vous voulez j'ai bien compris que ce n'était qu'une vulgaire ruse pour éviter que les chats noirs @zero-zero et @mouloungoal se pointent. Déjà vous avez du bol que @christou27 ne viennent pas (sauf s'il a changé d'avis).

    La seule victoire de la saison, je l'ai vue, moi... :-w
  • Je confirme.

    De toute façon, si on gagne pas, tu rentres pas à Paris.
  • avant Sedan – Racing, demain (18h)
    La renaissance du sanglier
    Le CS Sedan a vécu une trajectoire proche de celle du Racing. Promu en National, il compte retrouver le monde pro au plus vite. Son ambitieux projet, qui passe par l’Arabie saoudite, en dépend.

    Des décennies de professionnalisme, une image bien ancrée dans le panorama hexagonal, des internationaux en pagaille sous un maillot emblématique pour une liquidation judiciaire qui a ressemblé à un grand fracas : la trajectoire du Racing n’est finalement pas unique. Le CS Sedan l’a imité dans les grandes largeurs, deux ans après, en 2013.

    Après avoir touché le fond et presque disparu, comme les Bleu et Blanc, les Sangliers n’ont pas traîné aux frontières de la sphère fédérale. En deux saisons, ils ont enchaîné deux montées et les voilà en National. Lors du dernier exercice, ça n’a pas fait un pli. Les hommes de Farid Fouzari ont accumulé 24 victoires pour trois défaites, en 30 matches.
    « Les derniers épisodes n’ont pas joué dans le bon sens »

    Les retrouvailles avec le National se sont organisées dans un fauteuil. Néanmoins, la dynamique enclenchée n’a visiblement pas permis d’anticiper. « Lorsque Pascal Urano a jeté l’éponge, les frères Dubois ont pris la suite, à la tête du club, en CFA2, explique Pascal Rémy, journaliste qui suit le CS Sedan depuis des années. Et ils ont construit un projet qui s’appuie sur le centre d’entraînement. »

    Marc et Gilles Dubois, qui indiquent avoir investi 2,2 millions en deux ans, ont ouvert des négociations avec le prince Fahad, le neveu du roi d’Arabie Saoudite, pour construire un complexe bien-être et immobilier autour du Château de Montvillers. L’idée est d’y adjoindre une hôtellerie de luxe, le centre de formation…
    Les parties concernées sont nombreuses – Municipalité, département, club… –, le montage financier complexe et le projet pour l’heure balbutiant. « Il n’est pas question d’être pessimiste par rapport au dossier, poursuit Pascal Rémy. Mais ça se construit étape par étape. Il est clair que cela a pu parasiter le sportif. »

    Pour l’heure, en dépit d’un budget plutôt ronflant à l’échelle du National (2,6 millions), qui le place dans le premier tiers du championnat, le CS Sedan Ardennes a pu être géné aux entournures.
    « Sur le plan financier, on n’a pas pu conserver certains de nos bons joueurs de la saison passée (notamment Romain Armand parti à Orléans, Baptiste Anziani qui a opté pour Fréjus ou Sébastien Célina qui a privilégié le sud et Martigues) , admet Farid Fouzari, l’entraîneur sedanais. C’est sûr que les derniers épisodes n’ont pas joué dans le bon sens. Après, au niveau des présidents, c’est un dossier complexe avec du business. Moi, je fais avec ce que j’ai et avec l’envie d’avancer. »

    Après deux défaites pour commencer, les Sedanais se sont remis un peu d’équerre, glanant quatre points en deux matches, dont trois au CA Bastia dans le match des mal classés. Le promu doit prendre la mesure d’un championnat qu’il découvre et où les surprises ne manquent pas.
    « Ce n’est pas à Strasbourg qu’on va dire le contraire, le National, c’est compliqué, poursuit Farid Fouzari. Je l’avais découvert avec Quevilly (dont il avait entraîneur en 2012-2013). Tout le monde peut battre tout le monde. Même les équipes les plus huppées ont du mal. »

    Sur le papier, Sedan apparaît correctement armé mais son recrutement a été tardif et ce sont des jeunes qui devront assurer un « peu mieux que le maintien », pour reprendre les objectifs des dirigeants.
    « Strasbourg, le PSG du National »

    Les Wachter, Lavenant (Lorient), Oudrhiri (Lens), Garcia (Guingamp) ont débarqué en août et sont priés de s’aguerrir à vitesse grand V. Dans le processus, le match du Racing apparaît comme une étape passablement alléchante.
    Si les Sangliers sont passés par un sacré trou d’air, ils conservent de l’importance dans le panorama ardennais. Près de 8 000 spectateurs face à Croix en CFA2, près de 9 000 pour le match au sommet, la saison passée, face à Quevilly. Même si Césarine, le sanglier, mascotte du club, a cassé sa pipe en mars, le CSSA peut compter sur un public fidèle pour continuer à regarder vers le haut.

    « Il y aura plus de monde au stade, samedi, parce que ce sera Strasbourg en face, le PSG du National, conclut Farid Fouzari. Pour nous, c’est la grosse affiche. » Et le stade Louis-Dugauguez se rappellera quelques belles tranches du passé. Entre glorieux anciens.
    DNA
  • Je viens de prendre mes billets
    500 billets vendus à hier soir à la meinau
    Ceci étant le parcage visiteur fait environ 1000 places
    Le stade 20000
    Il y aura de la place même le jour du match
  • Le kop strasbourgeois sera comme chez lui dans le virage, il y a un (petit) air de déjà vu...

    http://www.info-stades.fr/uploads/stades/sedan-stade-louis-dugaug...
  • Ce message est une brève publiée par athor, via Site officiel :
    Le groupe strasbourgeois : Blondel, Oukidja ; Aguemon, Bahoken, Blayac, Grimm, Kanté, Lienard, Marester, Ndour, Ndoye, Saad, Sabo, Salmier, Seka, Sikimic.
  • Ils ont un stade fermé des quatre côtés ?
  • affirmatif
  • North n'apparaît ni dans le groupe ni dans les absents ?

    Sinon Belhameur serait malade.
  • Effectivement Belhameur, n'est pas dans le groupe, ça m'étonne..
  • Billet en poche!
    Je reviens du stade, 483 places ont été vendues dans le parcage strasbourgeois. Ça promet une belle fête!

    Pour info, ceux qui veulent se procurer un billet directement au stade pourront sans problème puisque le parcage peut accueillir 1200 supporters adverses, ça change de Raon l'étape :D
  • Ma composition d'équipe pour demain :

    Titulaires :

    Equipe


    Remplaçants :

    Equipe



    OU


    Titulaires :

    Equipe


    Remplaçants :

    Equipe
  • Ce message est une brève publiée par katzo68, via CSSA sur Facebook :
    Le groupe sedanais face au Racing : Maeyens, Ndiaye, Jacquet, Dibassy, Wachter, Camacho, Garcia, Vardin, Simothé, Baning, Lavenant, Durand, Leroy, Oudrhiri, Rocchi, Laplace-Palette, Goba, Seck.
  • Sedan – Racing, aujourd’hui (18h)
    En terrain miné

    À Sedan, dans une enceinte qui ne lui a presque jamais réussi, le Racing est en appel avec la nécessité de rattraper le retard pris dans sa conquête des sommets.
    En une affiche qui ramènera à la surface quelques splendeurs du passé, il y a certaines réalités du présent à ne pas perdre de vue, même si celles d’hier ne sont pas sans intérêt.

    Sedan – Racing, c’est un grand classique du foot français, mine de rien, n’en déplaise aux moins de vingt ans qui ne savent pas qui est Louis Dugauguez, que le plus grand tennisman français de l’ère contemporaine a quelque chose à voir avec les Ardennes ou que Pius Ndiefi incarne une certaine conception du poste d’avant-centre.
    « Des erreurs, l’important est de ne pas les reproduire »
    Dans cette contrée associée à des forêts giboyeuses, à la chute du Second Empire et aux « footballeurs ouvriers », le Racing n’a pas accumulé que des bons souvenirs dans sa riche histoire.

    Interrogé sur ses passages passés, Jacky Duguépéroux a préféré taire son bilan comptable de ses déplacements à Sedan. L’équipe strasbourgeoise est revenue rarement avec la banane du voyage à proximité de la frontière belge.
    Il y a des chiffres qui valent tous les discours. En 28 matches à Sedan, dont 20 disputés dans le cadre de la Ligue 1, ce qui indique bien le degré de décadence qui a frappé les deux clubs, le Racing a perdu 20 fois et ne l’a emporté qu’à deux reprises. Sur les onze dernières confrontations, à Dugauguez comme à la Meinau, on en est à huit victoires ardennaises pour trois nuls.

    Et, pour se limiter au championnat, les Strasbourgeois n’ont gagné qu’une fois là-bas et ça ne date pas d’hier. En décembre 1958, Zacharie Noah, le père du futur vainqueur de Roland-Garros né dans les Ardennes, était sur le pré et le Racing attend une suite heureuse à ce succès inédit depuis presqu’un demi-siècle (1-3).

    Ça fait long, surtout à la fin. Et ce serait bien que le terme de la funeste série soit pour ce soir, car le Racing a bougrement besoin de points après en avoir laissé filer en route.
    Depuis trois matches, il se comporte plutôt bien sur le terrain, sauf dans les deux surfaces de réparation et, au final, ça ne fait que cinq points au compteur et une modeste 10e place.

    « On se doit de rattraper les points perdus même si on sait que ce n’est jamais vraiment possible, a indiqué Dimitri Lienard. L’important, lors de ce déplacement, c’est de se montrer plus costaud défensivement. On doit d’abord veiller à ne pas prendre de but. »

    Plombés par la pire arrière-garde du championnat, les Strasbourgeois savent clairement où le bât blesse en ce moment. Il est donc question de concentration, de réalisme et d’efficacité dans le discours de Duguépéroux qui ne s’attend pas à une partie de plaisir.

    « On a pris sept buts et plus de la moitié était évitable, souligne l’entraîneur des Bleus, qui seront soutenus par plus de 800 suiveurs, plus séduits par une virée que par la télé. Il y a eu des erreurs. Maintenant, l’important est de ne pas les reproduire. »
    Ce serait effectivement inspiré. Car le promu vaut également sans doute mieux que son classement. Il a décroché ses quatre points sur ces deux dernières sorties, doit digérer une campagne de recrutement menée tardivement avec, par exemple, le prêté de Nantes, Oudrhiri, qui vivra ce soir sa première sous son nouveau maillot.
    Et, sur le papier, il a les moyens de s’adapter à un championnat qu’il découvre. « On affronte un grand club et on évoluera dans un stade nouvelle génération, devant les caméras, considère Jacky Duguépéroux. J’ai vu qu’ils ont perdu bêtement contre Marseille Consolat (une erreur défensive en toute fin de rencontre). »

    Il y a donc de quoi se méfier et de ne pas prendre par-dessus la jambe l’importance d’une affiche, aux charmes peut-être un peu désuets, mais dont dépend tellement l’avenir d’un Racing qui a pris du retard dans sa quête des sommets. En terrain piégeux, l’équipe strasbourgeoise doit bel et bien montrer qu’elle va de mieux en mieux.

    Les deux rencontres à suivre sur www.dna.fr et Ma Chaîne Sport

    La rencontre Racing – SRC, programmée le 25 septembre à la Meinau, sera retransmise. Le coup d’envoi a donc été repoussé d’une demi-heure et a été refixé à 20h30.
    DNA
  • Retour vers le passé pour le Racing
    Le duel Sedan - Strasbourg, cet après-midi (18 h) au stade Louis-Dugauguez, mettra aux prises deux anciennes places fortes du football français, en quête de leur lustre passé. Deux équipes en quête de points, aussi, après un début de saison mitigé.

    Un point sépare ce matin le CS Sedan Ardennes du Racing-Club de Strasbourg Alsace. Mais à bien des égards, les deux clubs se ressemblent comme deux gouttes d’eau. À deux années d’intervalle (22 août 2011 pour le RCSA, 8 août 2013 pour le CSSA), ils ont été liquidés judiciairement et renvoyés à leurs beaucoup moins chères études dans le monde amateur, en CFA 2. Puis l’un après l’autre, ils ont enchaîné deux montées et retrouvé le National.

    Mais si l’équipe de François Keller a dû attendre la « finale » du 2 juin 2013 à Épinal contre Raon-l’Étape pour s’extirper du CFA, les Sangliers de Farid Fouzari ont tout ravagé sur leur passage la saison passée pour être sacrés champions du groupe A avec 105 points, 27 de plus que leur dauphin Quevilly (24 victoires, 3 nuls, 3 défaites, 61 buts pour, 25 contre).

    La doublette Kévin Goba (18 buts) - Romain Armand (16) terrorisait alors les défenses. Mais une intersaison plutôt agitée l’a dissociée. Le second, ancien des SR Colmar, a rejoint Orléans. D’autres pièces maîtresses, comme le milieu Baptiste Anziani, qui a rallié Fréjus, et le défenseur Sébastien Célina, reparti à Martigues, ont elles aussi quitté un effectif qui abrite deux ex-Racingmen : le milieu camerounais Albert Baning (de janvier à mai 2010, l’année de la descente en National) et le défenseur axial Yohan Wachter, formé à Strasbourg et prêté début août par Lorient.

    « Pour aller plus haut, il faut corriger nos bourdes »
    Comme le RCSA en 2013, le club ardennais, autre place forte du foot français (deux Coupes de France en 1956 et 1961, 23 saisons en Ligue 1 et 22 en L2), se heurte à un 3e palier en trois ans. Battu d’entrée à deux reprises (0-1 contre Marseille Consolat, 2-0 à Luçon), il a récolté 4 points lors des deux journées suivantes, son premier succès de l’autre vendredi au CA Bastia (1-0) faisant suite à son nul vierge contre Avranches.
    Ce soir, dans un stade Louis-Dugauguez qui humera de nouveau le parfum des ambiances d’antan, s’affronteront l’une des attaques les plus atones du National (Sedan, 1 but) et la pire défense (Strasbourg, 7 buts encaissés). Un duel très attendu entre le plus gros budget (Strasbourg, 5,5 millions) et le 5e (Sedan, 2,5 millions), tous deux encore en quête de la bonne recette. « C’est le 3e promu de suite qu’on affronte » , relève le gardien bas-rhinois Alexandre Oukidja. « Sedan était une belle écurie du foot français il y a peu. Ça va être un super match, dans un super stade.
    Mais moi, je veux juste les trois points. » Pour les obtenir et enchaîner une 4e rencontre sans revers, le Racing va impérativement devoir resserrer sa garde. « Nous payons cash toutes nos erreurs » , ressasse le capitaine Ernest Seka, le premier à ne pas s’exempter de tout reproche. « Mais nous n’allons rien lâcher. Je ne suis pas inquiet. J’ai confiance en nos capacités et nos qualités. » « Pour aller plus haut, il faut corriger nos bourdes » , relance son portier. « La défense a changé. Mais les deux nouveaux, Felipe Saad et Eric Marester, sont des joueurs d’expérience. Nous devons travailler la communication, l’alignement et la concentration. »

    Jacky Duguépéroux, lui, relie la porosité de son équipe plus à des manquements individuels qu’à un défaut d’organisation. « Le collectif fonctionne bien et plus de la moitié des buts encaissés étaient évitables. Tout le monde peut faire des erreurs. Mais il faut faire en sorte de ne pas les reproduire. »

    Sur leur aire de jeu, les Sangliers n’ont pas encore transpercé le rideau défensif visiteur et n’ont marqué qu’une fois en six heures. On saura, ce soir, si le RCSA a enfin trouvé le terrain idéal pour assurer ses arrières.
    Le groupe :Oukidja, Blondel, Marester, Seka, Salmier, Saad, Sikimic, Ndour, Aguemon, Grimm, N’Doye, Kanté, Sabo, Lienard, Bahoken, Blayac.

    Absents : Pouye (fracture du pied droit), Tuiloma (sélection), Belahmeur (malade), North, Weissbeck, Solvet, Munch, Ieraci, Schmittheissler (choix de l’entraîneur).

    Belahmeur malade et forfait

    Titulaire à Béziers, puis face aux Herbiers, Abdelhak Belahmeur n’est pas parti hier avec ses partenaires à Sedan. Le milieu offensif, malade mercredi, semblait aller mieux jeudi, mais a de nouveau été pris ce vendredi de ce qui ressemble fort à une gastro-entérite. Il est donc resté à Strasbourg pour éviter de contaminer l’effectif et est remplacé numériquement dans le groupe des 16 par le défenseur central serbe Milovan Sikimic. Jacky Duguépéroux a laissé entendre qu’il retoucherait peu son équipe, notamment derrière, malgré la porosité de la plus mauvaise défense du National. Suspendu contre Orléans et à Béziers, Yannick Aguemon pourrait retrouver le onze de départ.
    Alsace
  • Sedan - Strasbourg : Près de 800 Strasbourgeois attendus dans le parcage visiteur !

    Ce soir à 18h00 à lieu le match de National entre Sedan et Strasbourg. En effet 600 à 800 supporters Strasbourgeois sont attendus dans le parcage visiteur pour ce match, ce qui est énorme pour un match de ce niveau !

    Source :

    AlsaSports dont voici le lien : http://www.alsasports.com/04092015-attention-sedan-les-strasbourgeois-arrivent-70601/

  • Voilà le onze strasbourgeois au coup d'envoi, qui prendra plus une configuration en 4-4-2 :
    Oukidja - Marester, Seka, Saad, Ndour - Aguemon Ndoye, Grimm, Sabo - Bahoken, Blayac.

    les 500 à 600 supporters strasbourgeois donnent de la voix dans le quart de virage qui leur a été réservé.
  • Au Racing, une seule demi-surprise: Dimitri Lienard, qui ne s'était pas entraîné jusqu'à jeudi à cause d'une douleur à une cheville, est remplacé en attaque par Stéphane Bahoken, buteur il y a huit jours contre les Herbiers. Le onze de départ est par ailleurs inchangé, si l'on excepte la rentrée de Yannick Aguemon sur le flanc droit de l'entrejeu à la place d'Abdelhak Belahmeur, resté à Strasbourg pour cause de maladie.

    Oukidja se plaint de jets de projectiles dans son dos.
    Alsace
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