Karim Matmour
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strohteamUn peu d'amour dans ce monde de brutes....
Citation: Le Mönchengladboy
Le Franco-algérien Karim Matmour a bouclé sa première saison en Bundesliga sur une note heureuse : Mönchengladbach, qu'il a rejoint à l'intersaison et dont il est l'un des piliers, a réussi à se maintenir. Confessions d'un joueur comblé.
Mönchengladbach. Un nom souvent impossible à prononcer pour les non-germanophones, un véritable cauchemar pour les commentateurs sportifs, un club chargé d'histoire aussi.
Car « Gladbach » a été le grand rival du Bayern Munich dans les années 1970. Les entraîneurs de cette décennie glorieuse s'appelaient Hennes Weisweiler et Udo Lattek, les idoles d'alors Rainer Bonhof, Alan Simonsen et Berti Vogts.
Titulaire indiscuté
C'était une autre époque, celle où le look « Ajax », cheveux longs et rouflaquettes, était LA référence des addicts du football total, celle où les Teutons flingueurs et leur « kolossale » efficacité faisaient souffler un vent de rigueur sur le Vieux Continent, celle où Mönchengladbach et son ossature de diamants bruts était l'autre eldorado du foot allemand.
« L'honneur du club, on en entend parler tous les jours, et les attentes sont énormes, mais je suis venu pour ça aussi », explique Karim Matmour, qui lors du mercato estival a choisi l'armada rhénane pour étrenner ses galons dans le saint des saints, après deux saisons à faire les beaux jours de Fribourg.
Aux titres de champion d'Allemagne et aux épopées européennes ont succédé les luttes pour la survie ou le retour en Bundesliga, mais le stade est (presque) toujours aussi plein.
45 000 spectateurs en moyenne au Borussia Park, « et ils étaient même 54 000 lors de nos trois derniers matches à domicile, qui se sont déroulés à guichets fermés », précise l'ex-pensionnaire du centre de formation du Racing. Il ne semble toujours pas revenir de cette incroyable ferveur populaire, mais il y a en effet de quoi être estomaqué, dans la mesure où « Gladbach », fraîchement promu, était relégable du 4e au 11e acte et de la 16e à la 30e journée...
« Les supporteurs ont toujours été là, jusqu'à la dernière minute, et malgré les mauvais résultats, il y a toujours eu une bonne ambiance entre les joueurs », avance Karim Matmour pour expliquer le maintien de sa nouvelle formation.
Trois capitaines se sont succédés à la barre de ce bateau dont beaucoup croyaient qu'il ferait naufrage, mais tous ont fait confiance en l'international algérien, titulaire indiscutable et indiscuté malgré les secousses internes et quelques déroutes collectives retentissantes. Aussi le bilan qu'il dresse de cette première année en Bundesliga est-il « très positif ».
« J'ai disputé les 34 matches de championnat, dont 29 en tant que titulaire. Je suis le seul de l'équipe dans ce cas, et du coup j'ai emmagasiné beaucoup d'expérience », commente celui qui, en marquant trois buts et en pesant constamment sur les défenses adverses, ne sera pas resté les deux pieds dans le même sabot pour éviter la relégation.
Évoluer aux côtés de joueurs du calibre du Néerlandais Patrick Paauwe et de l'Allemand Oliver Neuville, trentenaires rompus aux joutes continentales, lui a aussi beaucoup servi : « J'ai beaucoup appris à leur contact, ils rendent le jeu plus facile. »
« C'est digne de la
Ligue des champions »
C'est cependant avec Jean-Sébastien Jaurès, l'ancien défenseur d'Auxerre qui comme lui a rallié la Rhénanie du Nord cet été, qu'il entretient les meilleures relations : « J'aurais aimé jouer davantage avec lui, mais il a souvent été blessé cette saison. Je l'ai très souvent au téléphone, c'est un super pote. Heureusement qu'il est là. »
Après cette année faste au cours de laquelle il a franchi le cap des cent matches professionnels, Karim Matmour, qui fêtera ses 24 ans le 25 juin, a reconnu avoir été contacté par de grands clubs, sans plus de précisions. L'entraîneur Hans Meyer a jeté l'éponge la semaine dernière et son successeur ne lui offrira peut-être pas le même temps de jeu, mais l'attaquant assure vouloir poursuivre l'aventure à « Gladbach », où il dit se sentir bien : « Je suis attiré par l'Espagne et l'Angleterre, mais j'aimerais rester, faire une autre bonne saison, si possible avec de meilleures statistiques. »
Et d'évoquer l'environnement so German de ce club mythique : « Le stade est magnifique. En terme d'infrastructures, c'est digne de la Ligue des champions. Ici, tout est pris en charge. Il y a même quelqu'un qui lave les chaussures des joueurs après l'entraînement ! »
Il y a un an, Karim Matmour avait clamé sa « fierté d'être Strasbourgeois » et dévoilé son rêve, celui de « porter le maillot du Racing ».
Une saison au plus haut niveau plus tard, son discours n'a pas changé : « Strasbourg, c'est (sa) ville », et il aimerait finir sa carrière sous la tunique bleu ciel. Sa famille et ses amis sont établis dans la capitale alsacienne. Ils pourraient être un argument de poids pour, à long terme, achever de convaincre l'enfant-prodige de faire son retour dans la mère-patrie.
Nul doute qu'une telle issue satisferait tout le monde.
Guillaume Duhamel
Édition du Mer 3 juin 2009
DNA -
La preuve qu'il existe des joueurs alsaciens de haut niveau avec l'amour du maillot.
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Il habitait il n'y a pas si longtemps encore au quartier des quinzes.
Sauf erreur de ma part, il est international Algérien et a joué le Brésil-Algérie à Montpellier il y a un ou deux ans.
Deux petites erreur dans cet article, les couleurs du Racing c'est bleu ou bleu roy, pas bleu ciel merde.
Et pis pourquoi le fait d'avoir encore de la famille à Strasbourg pourrait le convaincre de signer au Racing un jour puisqu'il le dit lui même, il veut jouer au Racing.
Ce mec est un Strasbourgeois convaincu, il est fier de sa ville et ça, ça fait toujours plaisir de le lire. -
j'le connais pas! Il est bon?
S'il veut venir pourquoi on l'appel pas? -
Karim Matmour est en verve
Karim Matmour, formé à Strasbourg, connaît un bon début de championnat à M'Gladbach. Déjà buteur face à Berlin il y a deux semaines, il a une nouvelle fois livré une bonne prestation vendredi face à Mayence (2-0), contribuant au succès de sa formation, récoltant au passage un avertissement.
L'Alsace -
90 minutes pour Matmour
L'ancien Strasbourgeois Karim Matmour a disputé les 90 minutes de la rencontre de M'Gladbach à Nuremberg, terminée sur une courte défaite 1-0.
L'Alsace -
Tiens, tu l'as oubliée celle là.
Algérie - Zambie du début du mois.
Citation: Avec un excellent Karim Ziani à la baguette, l'Algérie allait petit à petit rééquilibrer la possession de balle (55% pour les Zambiens à la pause). Et sur une lumineuse ouverture de l'ancien marseillais, Karim Matmour débordait sur le côté droit avant de centrer juste avant la sortie de but. Saïfi surgissait pour reprendre de volée du gauche et envoyer les 35 000 spectateurs au paradis (1:0, 59'). -
Matmour et Gladbach s'effondrent
Karim Matmour, passé par le centre de formation du Racing a vécu une sale soirée samedi face à Hoffenheim. Son équipe de M'Gladbach menait encore 2-1 à la 85e minute avant de s'écrouler et d'encaisser trois buts.
L'Alsace -
Karim Matmour
Karim Matmour, comme nombre de ses coéquipiers est né et a été formé en France. Né en 1985 à Strasbourg, il rejoint le centre de formation du Racing en 1999. Lors de la saison 2002-2003, il fait partie de l'équipe qui atteint la finale de la Gambardella, à laquelle il ne prend pas part, victime d'une fracture tibia-péroné quelques semaines avant l'événement. Au cours de la saison suivante, sans contrat pro, il choisit de quitter le Racing, reprend des études, décroche un Bac S et semble avoir abandonné l'idée de faire une carrière pro: il est en effet de retour dans son premier club, celui de son quartier, Vauban, chez les Pierrots. À la fin de l'année 2004, pourtant, il décide de nouveau de prendre son avenir en main et part pour Fribourg, où il passe une année à s'entrainer avec l'équipe réserve du club du Brisgau. Un an plus tard, il signe son premier contrat professionnel avec ce dernier, qui vient d'être relégué en 2.Bundesliga: il dispute seize matches et inscrit deux buts en une demi-saison.
Sa carrière est lancée, il dispute encore deux saisons pleines avec Fribourg, fait ses débuts en sélection en février 2007, puis rejoint le Borussia Mönchengladbach en 1.Bundesliga au début de la saison 2008-2009. Il est aligné dans chacun des 34 matches du championnat et devient tout aussi indiscutable avec les Fennecs, avec lesquels il participe à toutes les rencontres du troisième tour des qualifications.
Titulaire sur le flanc droit du milieu très technique de l'équipe algérienne, aux côtés de Mourad Meghni, Karim Ziani et Yazid Mansouri, il inscrit son premier but en sélection en juin 2009 lors de la retentissante victoire 3-1 des Fennecs face à l'Egypte. Récemment élu révélation de l'année 2009 en Algérie, il pourrait en Angola puis en Afrique du Sud aussi se révéler au monde.
Source : Les cahiers du football
http://www.cahiersdufootball.net/article.php?id=3447 -
C'est tout le mal qu'on lui souhaite. :)
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C'est tout de même l'exemple type, du ou des joueurs (ceux de la Gambardella) que le RCS n'a pas su ou réussi à intégrer dans son équipe Pro
On est nul pour faire réussir ce saut à nos jeunes et ça, c'est aussi une des causes de notre pain noir actuel... :( -
Dans son cas ça n'est pas tout à fait vrai. C'est lui-même qui a souhaité faire une pause car il venait de se blesser gravement et voulait passer son bac. A l'époque, il ne pensait plus passer pro.
Et quand Finke l'a fait venir à Fribourg c'était d'abord pour jouer en Regionalliga. D'ailleurs, Matmour n'a jamais égratiné le Racing en mode "il ne m'ont pas donné ma chance", bien au contraire. -
Dans les DNA aujourd'hui :
Des Pierrots aux Fennecs
Il y a six ans, il évoluait encore avec la réserve de l'ASP Vauban, en Promotion d'Excellence. Aujourd'hui, Karim Matmour s'apprête à disputer avec l'Algérie sa première Coupe du monde à 24 ans. Avec un appétit féroce...
« Une Coupe du monde, ce n'est pas tous les jours que ça arrive, donc c'est avec une grande joie que j'ai appris ma sélection ». Le 13 juin, c'est à dire dimanche prochain face à la Slovénie, le Strasbourgeois Karim Matmour va réaliser un rêve d'enfant. Un rêve qui paraissait presque inaccessible il y a quelques années encore.
Quand l'Alsacien quittait le centre de formation du Racing en 2004 pour privilégier ses études et rejoindre son club d'origine, les Pierrots Vauban, personne n'imaginait le voir évoluer en Bundesliga. Encore moins disputer, cette semaine, sa première Coupe du monde à 24 ans.
« Quand je jouais à l'ASP Vauban, peu de monde croyait en moi. Si j'avais écouté tout ce qu'on me disait, je ne serais pas là aujourd'hui. Je sais ce que je veux. »
Fabio Capello : « Matmour,
c'est l'arme secrète
de l'Algérie »
Avec audace et conviction, le gamin qui foulait encore les pelouses de Promotion d'Excellence en 2004, a réussi une ascension fulgurante qui l'a conduit du football amateur au plus haut niveau. Désormais, le grand champion, c'est lui. L'Alsacien vient d'achever sa deuxième saison de Bundesliga avec le club mythique de Borusia Mönchengladbach.
Récemment nommé « révélation de l'année 2009 » en Algérie, Karim Matmour devient même l'icône du football algérien à la faveur du rôle central qu'il a joué dans la qualification des Fennecs à la Coupe du monde. Avec un but inscrit lors de l'éclatante victoire face à l'Égypte (3-1), le milieu de terrain a fini d'asseoir sa réputation : il reçoit chaque jour des dizaines de messages d'encouragement et les sponsors se l'arrachent.
« La Coupe du monde nous a apporté un véritable élan. On me propose beaucoup de campagnes de publicité. C'est normal, les médias essayent de s'approprier notre image. C'est quelque chose de nouveau en Algérie pour les joueurs. J'ai refusé pas mal de propositions car elles ne me correspondaient pas », explique Karim Matmour, considéré par le sélectionneur anglais, Fabio Capello, comme « l'arme secrète de l'Algérie ».
« La sélection tient désormais un rôle très important en Algérie. Mais il ne faut pas oublier d'où on vient. Il y a quelques années personne ne s'intéressait à nous » prévient encore le joueur strasbourgeois.
Illustration : en 2008, la sélection nationale avait disputé un match amical contre le Congo devant 1 500 personnes perdues dans le stade de Goussainville, club de CFA. Deux ans plus tard, les séances d'entraînement des Fennecs ont attiré, le mois dernier, plus de 5 000 spectateurs en Suisse, lors du premier stage de préparation. Moralité : « Il faut essayer de garder les pieds sur terre. En Algérie quand tout se passe bien, c'est génial. Mais quand ça ne va plus, il faut faire attention au retour de manivelle ».
Pour leur premier Mondial, Karim et les Fennecs sélectionnés sont attendus au tournant par les supporteurs algériens. Mais ils pâtiront d'une certaine inexpérience face à leurs adversaires.
« J'avais un an la dernière fois que l'Algérie s'était qualifiée. Alors à part les vidéos, je ne peux pas dire que j'en garde de vrais souvenirs... » sourit le Franco-Algérien.
Même si les derniers résultats ne sont pas rassurants (4 défaites, 1 victoire et 11 buts encaissés), une nouvelle page de l'histoire des Fennecs va s'ouvrir et, cette fois, Karim Matmour en fera partie. Si possible jusqu'à un huitième de finale historique.
« Je respecte toutes les
équipes,
mais je n'aurai pas peur »
« Pour moi la sélection n'est pas une fin en soi. Je n'ai pas envie d'y aller en touriste et de perdre au premier tour... Je veux tout faire pour atteindre un huitième de finale. Tout le monde tire la sonnette d'alarme en ce moment. Mais c'est bien comme ça, les gens nous attendent un peu moins alors qu'ils ne connaissent pas la nature de nos matches de préparation ».
L'Alsacien a prouvé au cours de sa jeune carrière qu'il savait rebondir. Le Mondial sera, cette fois, l'occasion pour lui de se révéler au monde.
« Je respecte toutes les équipes du groupe (Groupe C, avec l'Angleterre, la Slovénie et les États-Unis), mais je n'aurai pas peur. Ce n'est pas parce que c'est ma première Coupe du monde qu'il faut être impressionné. Je peux vous dire qu'il y aura des surprises. On va en surprendre beaucoup ! ». -
J'ai vu un gamin jouer au foot sur une place de Metz avec le maillot algérien sur le dos, avec le flocage Matmour ! Etonnant, non ?
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A participé au match Algérie - Slovénie 0-1 (Coupe du Monde (C)) le : titulaire remplacé à la 80'
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A participé au match Angleterre - Algérie 0-0 (Coupe du Monde (C)) le : titulaire
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A participé au match Etats-Unis - Algérie 1-0 (Coupe du Monde (C)) le : titulaire remplacé à la 84'
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L'ex-strasbourgeois Karim Matmour a signé pour un an avec Francfort (Bundesliga 2)
Source: L'Equipe -
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L'ancien joueur du Racing Karim Matmour s'est engagé avec Al-Arabi (Koweït). -
On attend toujours son retour. Surtout que pour le poste d'ailier droit, il aurait été la recrue idéale cette année. Mais au fond, qu'il profite des dollars du Koweit cette année. On compte sur lui l'année prochaine.
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Y a plus qu'à retrouver un niveau plus adapté au pedigree de Matmour...Même s'il reste sur deux saisons achevées à la quatrième place à Lautern, ce n'est pas un chat noir pour autant.
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Matmour rebondit en Angleterre :
Libre depuis son départ du club koweïtien d'Al Arabi, Karim Matmour s'est engagé en Angleterre avec Huddersfield Town, actuel 16e de Championship, jusqu'à la fin de saison. Agé de 30 ans, l'international algérien a joué une grande partie de sa carrière en Allemagne (Kaiserslautern, Fribourg...).
source : http://www.francefootball.fr/news/Matmour-rebondit-en-angleterre/626508 -
Il devrait revenir en Allemagne et signer à 1860 Munich
Bild -
Il est depuis la trêve hivernale,entraîneur adjoint du Kehler FV ((Verbandsliga )
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