Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Autres supporters

Chargement...

Flux RSS 948 messages · 190.867 lectures · Premier message par kibitz · Dernier message par herman67

  • Je crée une rubrique fourre-tout, qui m'évitera à l'avenir de créer un nouveau topic à chaque fois qu'il se passe quelque chose d'intéressant dans les autres tribunes (photos ou presse)

    Après le rififi à Sochaux, Marseille :

    C'EST EN SCANDANT « Bouchet démission ! Bouchet, on te vend !» à l'adresse du président de l'Olympique de Marseille et « Mouillez le maillot !» en direction des joueurs que les supporters marseillais présents à Rennes ont ponctué le dernier quart d'heure de la rencontre de mercredi (0-1). Le dernier épisode d'une relation devenue très tendue entre la direction du club et certains
    groupes de supporters (Winners, Ultras, Marseille trop puissant, Fanatics, Dodgers, Yankees, Club
    central des supporters, Amis de l'OM). Les slogans avaient fortement irrité José Anigo et Bixente Lizarazu mercredi soir. Hier, ils continuaient de surprendre l'entraîneur et plusieurs joueurs (voir ci-dessous).
    Cette crispation est due à la nouvelle défaite subie par l'OM (*),mais, surtout, à l'interview de Christophe Bouchet publiée mardi dernier sur le site officiel du club. Le président n'y a pas été de main morte à propos des groupes de supporters, en réponse aux banderoles critiques des Ultras et des Fanatics samedi soir (lors de la victoire obtenue face à Toulouse 1-0) : « Les responsables de groupes poursuivent parfois des buts assez éloignés du soutien à leur équipe. Je ne prends pas cela personnellement puisqu'ils sont historiquement dans un processus de déstabilisation quasi permanente de l'équipe dirigeante. (...) Cette volonté de maintenir une vraie pression sur l'équipe dirigeante répond vraisemblablement à une envie de préserver des intérêts. »
    Ces groupes qui n'étaient pas la seule cible du président : « Jene suis pas complètement naïf. Il y a des personnes qui agissent en sous-main pour que la direction de l'OM ne soit jamais totalement sereine. Cela vient de plusieurs endroits et les intérêts ne sont pas forcément communs. Mais ce sont des gens suffisamment bien placés pour faire entendre leur musique. On pourrait croire que certains souhaitent que le club assure une certaine paix, mais qu'il ne soit pas trop en avant non plus. » Une attaque visant la mairie de Marseille, en particulier Serge Botey, l'adjoint chargé de la culture, qui entretient des relations privilégiées avec certains responsables de groupes. L'un des particularismes marseillais tient dans la concession exclusive des virages du Stade-Vélodrome (28 000 spectateurs sur 57 000) aux groupes de supporters, qui gèrent eux-mêmes les abonnements.
    Un système que Christophe Bouchet avait reconduit tout en y étant opposé.
    Bouchet change de politique Son attaque frontale de mardi constitue une rupture totale avec sa
    politique précédente consistant à jouer sur la diversité les groupes. La rixe ayant opposé des membres des Winners à d'autres des MTP (Marseille trop puissant) le 25 octobre 2003 à l'issue d'OM-Rennes (2-0) et qui a valu à trois membres des Winners des peines de prison ferme a permis une recomposition du paysage. Figurant parmi les condamnés, Rachid Zeroual, par ailleurs salarié
    de l'OM, a été licencié et privé de son statut de porte-parole des groupes auprès de la direction de l'OM. Entre une attestation fournie à la justice en faveur de l'ancien président des Fanatics lors d'un procès où son groupe était mis en cause, des facilités de paiement pour des abonnements non réglés par les MTP et un relationnel soigné avec les Yankees, Christophe Bouchet avait réussi à isoler les Ultras, les seuls à critiquer sa politique (le président de l'OM les soupçonne à mots à peine couverts d'être manipulés par Bernard Tapie).
    Mais plusieurs initiatives de Laurent Carenzo, le directeur de la communication, ont heurté les groupes. Il y a d'abord eu le nouveau logo de l'OM (qu'ils considèrent raté), les nouveaux maillots, puis, plus récemment, une affaire concernant les emplacements où les groupes de supporters installent leurs banderoles : il serait question d'y installer des panneaux publicitaires. À une réunion prévue sur ce sujet, seul un dirigeant des Yankees était présent, les autres groupes la boycottant. Vendredi dernier, c'est l'ensemble des groupes qui a refusé d'assister à une rencontre à l'initiative de Laurent Carenzo.
    Samedi, avant le match contre Toulouse, un communiqué mettant en cause la direction de l'OM a été lu dans les deux virages. À propos de la « mise en place de cartes à puce visant à obtenir le listing des supporters, assimilés à de vulgaires clients », de « l'adoption d'un nouveau logo malgré l'opposition des supporters », de « l'annonce d'une hausse du prix des abonnements pour la saison prochaine », de « la nomination des “amis du président” à des postes clés de la direction ». Ce communiqué évoquait aussi « des provocations lors du mercato, avec une direction girouette, le départ de joueurs présentés comme intransférables et l'arrivée soudaine de certains joueurs indésirables ». Si tous les groupes n'avaient pas adhéré samedi à ce manifeste, l'ensemble de ceux présents à Rennes ont repris les slogans anti-Bouchet. Ce dernier, présent au stade de la Route-de- Lorient, n'a pas souhaité faire de commentaire tandis que José Anigo et plusieurs joueurs ont fait part de leur incompréhension. Ce qui augure d'une ambiance tendue demain soir au Stade-Vélodrome lors de la venue de Bastia, où on pourra vérifier si la fronde des groupes est partagée par l'ensemble des supporters.

    DOMINIQUE ROUSSEAU

    (*) L'OM s'était déjà incliné à domicile
    face à Metz (1-3) et à Sochaux (0-1)


    Article qui serait paru aujourd'hui dans L'Equipe
  • Au risque que mes convictions soient contestées avec véhémence.....Je trouve cela affligeant. Critiquer de la sorte son équipe ce n'est pas la remettre dans des bons rails. Au niveau psychologique l'équipe va être encore plus déstabilisée. On a pour exemple les années passées où le comportement des ultras marseillais a instauré une ambiance détestable..
    Après c'est vrai que je n'y connais rien au milieu ultras et certains sauront toujours justifier de tels actes mais ce n'est pas ça le football pour moi et heureusement pour beaucoup d'autres aussi.
    Tout le monde sait que le psychologique joue un rôle essentiel chez un joueur pourquoi le faire plus douter? Je ne comprends pas cette manière d'agir mais les marseillais sont coutumiers du fait.
  • Sans entrer dans le fond du débat, en l'espèce il s'agit tout de même d'associations qui représentent 28 000 abonnés qui ne partagent pas la même conception du football ou de la façon de gérer un club, ce qui n'est pas rien...
  • kibitz a écrit :
    Sans entrer dans le fond du débat, en l'espèce il s'agit tout de même d'associations qui représentent 28 000 abonnés qui ne partagent pas la même conception du football ou de la façon de gérer un club, ce qui n'est pas rien...


    Ma foi oui mais ce n'est pas parce qu'ils sont 28 000 et qu'ils gueulent plus fort que tout le monde qu'ils doivent tout se permettre parce que c'est encore un cran au dessus de vous cette contestation. Pour me moment je n'ai pas trop entendu de choses semblables en alsace et heureusement mais ce n'est pas aux supporters de gérer le clubs ce serait une catastrophe.
    Un peu comme une théorie que j'avais apprise en droit le peuple ne peut pas diriger le pays lui même il n'en a pas les compétences.
    Comme les Joyriders(FC sochaux) qui se sont comportés de manière détestable en frappant et envoyant à l'hosto un stadier en voulant s'ingérer dans les affaires du clubs. J'ai l'impression que l'on assiste à une radicalisation du mouvement supporter. J'aimerais tellement qu'il y ai la même entalité qu'en angleterre au moins la bas les joueurs sont respectés et vice versa.
    Regardez qui a parlé des deux lensoises qui ont été très surprises de la manière dont vous contestiez les joueurs? Lens meilleur public de france (+)
    Les marseillais devraient en prendre de la graine.
  • Tu sembles découvrir le mouvement supporter... Rassure-toi, il a quelques années, quelques décennies selon les endroits...
    Le supporterisme ne se radicalise pas, il s'institutionnalise, se rationnalise, se fait donc plus voyant et plus efficace (en termes de médiatisation)...
    Maintenant pour ce qui est de citer l'Angleterre, tout n'est pas si rose que ça, tant niveau supporters (tu sais, les fameux hooligans, dans les divisions inférieures) que joueurs (peut s'avérer dangereux de loger dans les mêmes hotels là-bas :-').
    Enfin, Lens meilleur public de France, no comment...
  • Maintenant je comprends qu'on réfute l'activisme des supporters/ultras, mais par pitié pas avec des préjugés éculés [-o
  • Un article des Cahiers du football :

    Supporters démission !

    Ultimes défenseurs de leur équipe, ou premiers incendiaires de leur club? À Paris ou Marseille, le rôle des supporters en période de crise sportive est ambigu...
    Les rapports conflictuels entre les supporters et les dirigeants sont parties sur des bases élevées cette saison, dans un nombre significatif de clubs. Les supporters bordelais n'ont eu qu'à ressortir les banderoles "Dirigeants démission" de la saison passée, leurs homologues stéphanois ont eu tout l'été pour les préparer, (les Nantais ne tardant pas à les imiter), tandis que les associations marseillaises ont eu le loisir de fourbir leurs slogans tout au long d'une campagne de recrutement dans laquelle une truffe a tenu lieu de "cerise". Idem à Sochaux, où le rapport de force n'est toutefois pas le même, puisque Jean-Claude Plessis peut stigmatiser "soixante cons" sans trop craindre pour sa place (1). À Paris enfin, le marasme actuel a encouragé la floraison de banderoles plus ou moins cinglantes.

    Les supporters complices de l'incurie des dirigeants
    Maintenant que le phénomène Ultra s'est assez nettement séparé du hooliganisme, la question du pouvoir et du rôle des supporters se pose en des termes changeants, dans un football en pleine évolution. Dans le n°4 des Cahiers — "Faut-il avoir peur des Ultras?" (2) —, nous notions la nécessité pour eux d'accéder à une certaine maturité afin de crédibiliser leur démarche et de se constituer en un véritable contre-pouvoir. Certaines associations de supporters agissent dans ce sens, et l'on note une évolution très significative: la vindicte se tourne de plus en plus souvent vers les dirigeants plutôt que vers les entraîneurs. Bordeaux, Nantes et Saint-Étienne offrent des exemples frappants de cette tendance, et Christophe Bouchet en fait de plus en plus les frais... À force de ne plus rien incarner et de trahir constamment leur cynisme, il y a une logique à ce que les présidents deviennent des cibles privilégiées.
    Mais il faut bien reconnaître que les supporters constitués en masse continuent de verser dans le simplisme et le manque de discernement. Tristement, le seul pouvoir qui leur reste semble être un pouvoir de nuisance, et leur analyse des situations de crise sportive se limite souvent à "Ils ne mouillent pas le maillot" et "Ce sont des chèvres surpayées". Le drame est qu'avec cette incapacité à proposer une critique autre que binaire et une autre politique que celle de la table rase, ils oeuvrent de concert avec les dirigeants qu'ils conspuent, pour perpétuer finalement cette éternelle calamité des "grands" clubs français: l'insistance à ruiner toute forme de continuité sportive, corollaire de l'incapacité à supporter une période difficile...

    À Paris et Marseille en particulier, on voit ainsi les supporters s'associer régulièrement aux médias, à "l'entourage" des clubs et finalement à certains joueurs eux-mêmes, pour mettre sur l'entraîneur (ou sur ceux qui détiennent les clés de son destin) une pression insoutenable. Cela ne signifie pas qu'ils n'ont pas raison de penser, le cas échéant, qu'un coach n'est pas en mesure de mener à bien sa mission. Selon Pierre Martini (dont les opinions n'engagent que lui-même — et son épouse, qui est toujours d'accord avec lui), virer Halilhodzic serait une connerie sans fond, alors que le limogeage d'Anigo ne constituerait pas une erreur plus énorme que sa nomination... Mais voilà, l'évaluation de la qualité d'un entraîneur n'est pas une science exacte, et de toute façon, il dégage généralement avant que l'on puisse vérifier s'il est compétent ou non (3).


    Sermons, flatteries et bonnes intentions
    Les clubs hésitent sur la démarche à suivre pour gérer ces aspects-là de leurs crises récurrentes. Les responsables marseillais ont tour à tour donné dans le sermon et la pédagogie, sans se départir d'une attitude un peu manipulatrice lorsqu'il s'agit de distinguer les bons supporters des mauvais (les "meneurs" selon Bouchet, les "Bretons" selon Anigo). "Il ne faut pas confondre les dirigeants des groupes de supporteurs d'une part et les supporteurs de l'OM d'autre part" déclarait le président marseillais sur le site officiel, avant de se livrer, avec son entraîneur, à quelques séances de brossage de poil dans le bon sens. À Paris, grand fournisseur d'images tragi-comiques, on a vu Halilhodzic pointer un index réprobateur en direction des supporters (du moins de ceux qui réclamaient la démission de Francis Graille), tandis que ce dernier jouait la concertation non sans ironiser sur "la tribune [qui] voudrait prendre le pouvoir". Dans les gradins de nos deux présumées capitales du football, il semble d'ailleurs qu'une certaine patience soit de mise, du moins envers les entraîneurs, d'après l'ambiance des derniers matches à domicile — heureusement conclus sur de (courtes) victoires.

    À plus longue échéance, les directions des clubs rentent de se donner une façade de responsabilité sociale, à la manière des grandes entreprises: Fondation PSG, actions pour l'emploi à Lens, Paris et Marseille... Mais justement, on est plus dans la communication institutionnelle ou les relations publiques que dans la sincérité absolue ou dans un rapport naturel avec l'environnement social des villes en question. On attend le premier qui utilisera la tarte à la crème du "développement durable" (ou de "l'agriculture raisonnée" si c'est à Guingamp ou Auxerre). Difficile de s'inventer une légitimité quand on fait tout par ailleurs pour déshumaniser la gestion des équipes et quand on s'approprie le patrimoine culturel des clubs en même temps que leur capital.


    Des armes de pauvres
    La banderole, les sifflets, la "grève du soutien" (rien à voir avec les féministes des années 70 qui brandissaient leur soutien-gorge) sont les principaux — voire les seuls — moyens d'expression à disposition des supporters, maintenant que le caillassage de bagnoles est passé de mode. Il faut d'ailleurs comprendre que leur ressentiment va presque toujours au-delà des résultats sportifs, qui constituent un prétexte pour des revendications parfois prosaïques, dans le contexte de contentieux récurrents: augmentation du prix des places, rapports (dis)tendus avec les staffs, contentieux des fumigènes, mesures interprétées comme des brimades, libertés prises avec les emblèmes de l'équipe, etc. "Les associations de supporters se servent de la mauvaise passe sportive du club pour donner du poids à leurs arguments", note Francis Graille dans France Football (4).

    Ce ressentiment est aussi l'expression de frustrations et de craintes plus profondes, comme un sentiment de dépossession dont l'Angleterre a défini le modèle, avec ses stades où le public populaire a cédé la place à des consommateurs certes fervents, mais beaucoup plus contrôlables (et rentables). Le dépit permanent des supporters est en grande partie la conséquence prévisible du mercantilisme dont ils sont l'objet. Il est dommage que leurs actions ne prennent pas des formes plus élaborées.


    Source : Cdf 29 septembre 2004 lien
  • kibitz a écrit :
    Un article des Cahiers du football :

    Supporters démission !


    Rien que par son titre, l'article ne donne pas envie d'être lu. :(

    Par contre, comme j'ai 2 de tension, j'ai du mal à l'interpréter comme il faut, je sais pas quoi en penser...
  • Ben connaissant la position en générale éclairée des Cahiers du foot sur les supporters et les ultras, l'article mérite d'être lu. L'analyse n'est vraiment pas mal construite et interessante, même si je n'adhére pas à tout...
  • Position éclairée et souvent, reconnaissons-le, limite pro-supporters dans leur opposition au "foot business" :-B
  • Une petite photo du derby de dimanche soir...

    http://www.photoasse.com/galerie/albums/album72/IMG_2562.jpg
  • Pas de jaloux, voilà la Sud :

    http://www.photoasse.com/galerie/albums/album72/IMG_2571.jpg

    ps: pas trouvé de photos où le tifo est "parfaitement" déployé :(
  • C'est ptet une question conne, mais c'est censé représenter quoi le truc au milieu? :-B
  • Un portrait de Roger Rocher, président légendaire du club, qui a sorti la très fameuse phrase : en matière de football "Saint-Étienne sera toujours la capitale et Lyon sa banlieue", que l'on retrouve d'ailleurs en banderole
  • kibitz a écrit :
    Un portrait de Roger Rocher, président légendaire du club, qui a sorti la très fameuse phrase : en matière de football "Saint-Étienne sera toujours la capitale et Lyon sa banlieue", que l'on retrouve d'ailleurs en banderole


    A ce propos sur l'écusson BBR, il y a un "9" (moué on le voit pas, je vous le concède)...Saint Etienne a bien gagné 10 titres de champion de France, mais "seulement" 9 (sic) ont été conquis sous le règne du Président Rocher.
  • Les supporters de l'ASSE sont magiques il est à l'image de leur club une veritable légende (+)
    Bravo à eux et j'espere que le club retrouvera bientot le rang qu'il merite.
  • kibitz a écrit :
    Un portrait de Roger Rocher, président légendaire du club, qui a sorti la très fameuse phrase : en matière de football "Saint-Étienne sera toujours la capitale et Lyon sa banlieue", que l'on retrouve d'ailleurs en banderole


    depuis 4-5 ans c'est plutot l'inverse !!! :))
  • Le tifo de Reims-Sedan (c'est pas très fair play, ame sensible s'abstenir, mais j'avoue que ca m'a fait mourrir de rire... :)) )


    http://img11.exs.cx/img11/6974/reims-sedan1.jpg
  • :))
    c'est sur que c'est pas sympa pour les sedanais, mais c'est marrant, meme si je trouve pas ca sympa pur les sedanais!
  • Vous pouvez pas imaginer à quel point ce tifo me fait tripper, c'est incroyable! (+)
  • Il est assez exceptionnel :))
  • finchcurieux a écrit :
    :))
    c'est sur que c'est pas sympa pour les sedanais, mais c'est marrant, meme si je trouve pas ca sympa pour les sedanais!

    n'empêche que ça me fait bien rire, mais c'est pas sympa pour les Sedanais, même si je trouve que c'est marrant comme tout... :p
  • Comme dit,belle originalité de tifo,ca change quoi...
    Par contre,peut-etre que le style de phrase aurait pu etre changer(je parle des paysans),car elle a vraiment un effet pejoratif(meme si c'etait justement cela qui etait recherché)
  • C'est vrai, c'est pas très gentil....

    Mais qu'est ce que c'est drole! :))
  • Excellent, perso j'adore (+) :))
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch

Mode fenêtre Archives