Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

David Klein

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Flux RSS 63 messages · 6.503 lectures · Premier message par samh · Dernier message par katzo68

  • Après Shereni vendredi, après Klein mardi, destiné néanmoins à surtout jouer les grands frères dans la pépinière des gardiens, Steven Pelé devrait renforcer la défense strasbourgeoise.

    source : DNA

    voilà, donc c'est pas pour jouer qu'il vient.
  • Ce n'est pas parce qu'il doit encadrer les jeunes Gurtner et Sommer qu'il ne jouera pas en cas de soucis avec Cassard [-X
  • Jamais dit le contraire. #-o

    C'est pas pour jouer qu'il vient, c'est pour encadrer.
    Mais si déjà il est là autant l'utiliser si on en a besoin.
  • surtout que Gurtner, :-s
  • A participé au match RCS - Vauban 0-0 (Amical) le : remplaçant entré en jeu à la 45'
  • A participé au match RCS II - Montceau 2-1 (CFA (A)) le : titulaire
  • A participé au match RCS II - Dunkerque 0-0 (CFA (A)) le : titulaire
  • A participé au match RCS II - Moissy 0-2 (CFA (A)) le : titulaire
  • .
  • David Klein succède à Alexander Vencel.

    Alors que l'arrivée de Nicolas Puydebois, ex-gardien du RCS en fin de contrat à Nîmes, est toujours en stand-by, les deux portiers actuels du groupe strasbourgeois, Régis Gurtner et Vauvenargues Kéhi, pourront compter sur le Mulhousien David Klein qui prend ses fonctions d'entraîneur des gardiens ce matin.

    L'Alsace
  • C'est quoi le tarif ? 1 kg par année après l'arrêt de sa carrière ?
  • T'es méchant là :p
    Mais j'ai fait ce genre de remarque aussi, lors du dernier match :D
    Au pire il pourra faire sosie de Didier Gustin :)
  • 1 nouvelle photo sur racingstub.com :

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    (c) anais

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  • Il a une tête rigolote :)
    (et il a pas mal changé depuis la dernière fois que je l'avais vu)
  • Klein retrouve Niort

    Le nouvel entraîneur des gardiens du RCS David Klein a fini sa carrière professionnelle à Niort, visiteur de la Meinau demain (18 h). Il en garde un souvenir contrasté et un gros regret : la descente en National avec les Chamois.

    Il a tiré un trait sur sa carrière pro il y a deux ans à Niort, même si - c'est vrai -, il a signé à Strasbourg en 2008-2009 comme 4 e gardien. Mais s'il a effectué une ou deux piges avec la réserve de François Keller en CFA cette année-là, David Klein n'a plus jamais rejoué en pros.

    Ce samedi (18 h) à la Meinau, le Mulhousien de 37 ans croisera la route des Chamois niortais, sa dernière famille avant qu'il ne boucle son périple par un retour en Alsace et ne retrouve le RCS, son club formateur. David Klein a quitté Niort un soir de relégation à Boulogne-sur-Mer, sa 2 e après celle avec Martigues en 2002 (1).

    Le 16 mai 2008, dans un match couperet, il officie dans les cages et encaisse à la 94 e un but de Damien Perrinelle. À l'instant même où ils sauvent leur peau, les Boulonnais expédient les Chamois dans les limbes du National. « Ce n'est pas ce jour-là que nous avons laissé échapper notre maintien », n'a pas oublié l'ex-pro, « Ça s'est joué lors de la 35 e journée à Gueugnon. Les Gueugnonnais étaient déjà morts et enterrés. Et alors que tout le monde ou presque s'était imposé chez eux, nous nous y sommes inclinés 1-0 en faisant un non-match. Nous avons perdu là-bas le point qui nous a manqué. Mais bon, c'est le passé. J'ai pour habitude de ne me retourner que sur les bonnes choses. »

    « Nous avons pris deux bons points »


    Pour Niort, c'est le début de la descente aux enfers. L'année suivante, le club de la Venise verte tombe en CFA. Son purgatoire ne durera qu'un an. Promu ce printemps en National, il a ouvert sa saison par deux succès à domicile (3-2 contre Rodez et 4-0 face à Bayonne), entrecoupés d'un court échec à Rouen (1-0). « Je connais la moitié des joueurs, mais ils étaient pour la plupart très jeunes quand j'y jouais », décrit D. Klein, « L'an dernier, j'ai passé mon BE1 avec mon ex-coéquipier Karim Fradin, aujourd'hui manager général. Mais je suis surtout resté en contact avec Arnaud Gonzalez (l'attaquant formé à Auxerre, auteur d'un doublé lors de la 1 re journée) . Nous sommes arrivés ensemble en 2006 et n'avons jamais perdu le contact. Il m'a dit avant la 1 re journée que Niort possède une équipe moyenne, mais capable de réaliser de jolis coups. Pour nous, ça ne change rien. Il faut gagner samedi. Annoncer autre chose serait une aberration. Pour l'instant, nous avons récolté deux bons points face à deux grosses équipes (Cannes et Guingamp) , dans une situation compliquée avec pas mal de joueurs non-qualifiés. Avec un peu plus de chance et d'expérience, nous aurions même pu en prendre six. Je suis curieux de savoir ce que feront les autres face aux mêmes adversaires. »

    Pour lui, ces retrouvailles avec Niort exhaleront forcément un parfum particulier. « Partout où je suis passé, je garde de bons et moins bons souvenirs. À Niort, j'ai vécu deux saisons spéciales et usantes à jouer le maintien. Au début de la 2 e, j'ai été blessé et sur l'insistance du coach, Jacky Bonnevay, j'ai repris trop vite. Je n'étais pas prêt et n'ai pas été grandiose. J'ai donc perdu ma place. Simon Pontdemé, qui m'a remplacé, est un bon gardien, aujourd'hui à Brest. Mais il était jeune et quand la pression a commencé à devenir forte, il a coulé avec toute l'équipe. J'ai joué les sept ou huit derniers matches, sans éviter la relégation. Mais je ne suis pas parti de Niort en mauvais termes. »

    Il y a seulement tourné la page d'une carrière pro achevée dans l'anonymat l'année suivante au RCS.

    L'Alsace.fr
  • Ça VA pour David Klein

    http://www.lalsace.fr/fr/images/736F2CF3-4125-4C70-B2C3-4C40D56C3...

    Au centre de formation tout neuf du VAFC, dont on aperçoit le bâtiment à l'arrière-plan, David Klein est en charge de l'entraînement des gardiens, des catégories 16 ans à CFA. Photos S.G.

    Le Kingersheimois, entraîneur des gardiens du Racing Strasbourg l'an passé, a su rebondir avant même la liquidation judiciaire. Il a signé au début de l'été un contrat de trois ans comme coach des portiers du centre de formation de Valenciennes, club avec lequel, comme joueur, il a vécu deux montées consécutives, du National à la Ligue 1.

    Sur la plaine du Mont Houy à Famars, qui jouxte le site de l'université de Valenciennes, il fait un soleil radieux ce matin-là. Pas un souffle de ce vent d'ordinaire si présent ne vient fouetter les visages. C'est ici, au centre d'entraînement et de formation du VAFC, que le Kingersheimois David Klein travaille depuis l'été dernier. Dans un cadre flambant neuf ou presque, construit il y a deux ans et demi et dont certaines extensions ne sont pas encore érigées.

    Non loin de là, à quelques kilomètres seulement, se dresse au coeur de la ville le flamboyant stade du Hainaut, enceinte d'un peu plus de 25 000 places qui a remplacé le vieux Nungesser, détruit fin 2010-2011. Ce Nungesser où précisément, l'ancien gardien professionnel formé au Racing Strasbourg et qui a joué sous les couleurs valenciennoises de 2003 à 2006, a vécu quelques-unes de ses plus belles émotions de footballeur, avec deux accessions consécutives. Du National vers la Ligue 2 avec Daniel Leclercq en 2004-2005, puis de la L2 vers la L1 sous les ordres d'Antoine Kombouaré en 2005-2006.

    Une amitié pétrie à la boulangerie

    En choisissant de répondre à l'appel du pied de son ancien club dès le début juin, le Haut-Rhinois est revenu en terrain sinon conquis, du moins connu. En terre de connaissances en vérité. Celles qu'il avait su forger lors de son passage comme joueur. Le fil de l'amitié qu'il avait noué à cette époque l'a sans doute ramené vers cette cité du Hainaut qu'il décrit comme son « deuxième port d'attache. Frédéric Zago, le directeur du centre, m'a contacté assez rapidement. Peut-être mon nom lui a-t-il été suggéré par certains dirigeants, mais je n'ai même pas cherché à le savoir. Le président Jean-Raymond Legrand et son fils Arnaud sont des proches. Je les ai connus lorsque je jouais à VA, avant qu'ils ne fassent vraiment partie du club. Ils n'étaient à l'époque ''que'' sponsors. Arnaud possédait la boulangerie du village où j'habitais. Nous avons sympathisé. Jean-Raymond et lui sont venus me voir jouer à Niort lorsque j'y évoluais. Ici, j'ai retrouvé plein de copains et connaissances, dans le milieu du foot, mais aussi en dehors. »

    En fin de saison 2010-2011, alors que le Racing court à sa perte, son entraîneur des gardiens est confronté à un choix cornélien. « Je n'ai pas eu le moindre doute sur ce que Valenciennes me proposait sportivement. Mais j'ai quand même longuement hésité, essentiellement pour des raisons familiales. Nous étions revenus à Strasbourg en 2008, après quinze années à bourlinguer. Pour mon épouse, qui est Strasbourgeoise, et mes filles, la décision de repartir a été compliquée. À mon retour au Racing, il y avait un vrai projet pour moi de travailler au centre. Et comme dans un centre de formation, on ne raisonne pas à court terme, je m'imaginais rester longtemps. Les circonstances que tout le monde connaît ont fait que ça n'a pas été possible. J'avais mangé mes deux années de chômage à travailler gratos ou presque pour le RCS, la première, en formation, la deuxième, à temps partiel. Il a fallu faire un choix. Ma femme a quitté son job à Strasbourg, dans une association qui s'occupe du service civique. »

    « Un projet extrêmement intéressant »

    Cinq ans après son départ comme joueur, David Klein, qui a signé trois ans comme coach des gardiens du centre de formation, a réintégré un club nordiste en plein essor, mais toujours tributaire de l'équipe première. Il a surtout retrouvé une ambiance sereine, aux antipodes des insondables gesticulations du RCS. « En cinq années, Valenciennes a vraiment avancé, entre le stade tout neuf et le nouveau centre d'entraînement et de formation. Il progresse, mais émarge encore parmi ces clubs moyens dont le premier objectif est de se maintenir en Ligue 1. J'ai fait partie de ceux qui l'y ont fait monter et j'ai envie qu'il y reste. VAFC a aussi une vraie volonté de devenir un club formateur. C'est un projet extrêmement intéressant. Personne n'ignore qu'une descente en L 2 impacterait des moyens qui ne seraient plus les mêmes. Mais tout le monde est convaincu qu'elle ne changerait pas fondamentalement notre job. »

    Une manière de dire que tout VA bien pour lui et que paradoxalement, il a consolidé les fondations de son itinéraire professionnel grâce à un nouveau déracinement de ses attaches alsaciennes.

    L'Alsace
  • « Qu'ont-ils fait de ce club ? »

    Loin des yeux de David Klein, en raison de l'éloignement géographique, le Racing n'est jamais loin du coeur de celui qui, comme joueur, puis entraîneur, y a passé plus de douze ans. Il y a jeté les bases de sa carrière de footballeur, avant de l'y achever en 2008-2009 en encadrant les gardiens du centre de formation.

    Surtout, l'an passé, après le départ d'Alexander Vencel qui l'avait fait revenir en 2008, il a entraîné les gardiens du groupe pro. Neuf mois après son départ, l'ancien portier ne digère pas la disparition du professionnalisme à Strasbourg, même si sa situation à Valenciennes le comble. « Des regrets à propos du Racing ? L'autre jour, Philippe Raschke (100 matches de Ligue 1 avec le RCS entre 1995 et 1998 au poste de latéral droit) est passé chez nous. Il travaille désormais pour AMISCO (Ndlr : société niçoise spécialisée dans les statistiques sur les matches de foot) et vend ses programmes aux clubs. Nous nous sommes dit : ''Quand on voit ce qu'est devenu Strasbourg et quand on le compare à ce qu'on y a vécu, on se demande ce qu'ils (les dirigeants) ont fait de ce club.'' Tous ceux qui ont fréquenté ce Racing-là ne peuvent qu'avoir des regrets. »

    Le Haut-Rhinois est toutefois partagé entre deux sentiments sur le douloureux épilogue qui, fin 2010-2011, a fait basculer le RCS dans le monde de l'amateurisme. « L'année dernière a été très spéciale. Je n'en avais jamais connu de telle. Nous aurions pu écrire une saga en quatre tomes. Mais étonnamment, nous avons, dans le vestiaire, traversé une super saison, avec des choses incroyables qui nous ont rapprochés, comme le licenciement de Laurent (Fournier) acté le 21 janvier et annulé le lendemain, un épisode qui, sur le coup, n'a fait rire personne. Si le début de saison avait été plus réussi, ça aurait pu mieux se passer et pour nous et pour le Racing. Et encore, ce n'est même pas sûr. Car l'issue fatale était, à mon sens, certaine. »


    « Nous quittions l'hôtel en courant »

    C'était le dimanche 1 er mai 2011. Personne n'a oublié l'invraisemblable escapade du Racing-Club de Strasbourg à Amiens. Partis l'avant-veille sur place préparer un match décisif pour la (re) montée en Ligue 2 (1-1), Laurent Fournier et ses hommes séjournent dans un hôtel parisien au retour, dans la nuit du 30 avril au 1 er mai. Depuis des semaines, les factures en souffrance s'accumulent au club.

    Avant de regagner la capitale de l'Europe en train, l'entraîneur strasbourgeois doit lui-même régler la note de l'établissement parisien, pour la « modique » somme de 1180 euros qu'il finira par se faire rembourser. David Klein garde à cet épisode rocambolesque une place privilégiée dans les tiroirs encombrés de sa mémoire. « On ne peut pas revenir sur toutes les anecdotes. Il y en a eu de drôles, d'autres, beaucoup moins. Le jour où Laurent Fournier a payé l'hôtel à Paris au retour d'Amiens, nous étions à trois ou quatre par chambre. La veille, nous avions quitté celui d'Amiens en envoyant Didier Félix (l'intendant licencié après la liquidation judiciaire) au feu pour expliquer que le club réglerait l'addition, alors qu'en Alsace, tout le monde savait que la direction ne payait plus une facture. Pendant que Didier discutait, nous nous barrions en courant vers le bus. »

    L'Alsace
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