AS Nancy Lorraine
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duduEn plus, vouloir jouer la LDC alors que c'est l'objectif également de Paris, Lyon, Marseille, Monaco, St Etienne, Nice, Lille ou Rennes.....et ben il y en a qui vont rester sur le carreau ! -
Plus c'est gros, plus ça passe. Les investisseurs chinois visent la France car les clubs sont peu chers -Nancy sera racheté pour le prix d'un joueur moyen en premierleague- et disposent de bonnes infrastructures à importer chez eux.
J'espère que Rousselot y laissera plus que sa chemise, dans les responsables de notre décadence, il garde toujours mon vote. -
Dans 3 -4 ans LDC
Vu leur classement actuel avec rétrogradation en fin de saison,leur objectif ils peuvent déjà se le mettre ... -
Il est sérieux, le père Rousselot ?
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Enfin, j’espère qu'ils se casseront la gueule avec ces investisseurs a la noix !
En plus, investir dans des clubs comme Nancy (ou Sochaux), franchement, qui peut croire que c'est vraiment pour en faire des grands clubs Européens ou même Français ?
Ma seule crainte, c'est qu'un jour le Racing ne soit également dans ce genre de sollicitations... -
Perso, c'est surtout le montage qui était décrit dans l'équipe que je trouve plus qu'étrange..
un mix chinois et polonais 
Ce WE, j'étais dans Mordorland Lorrain et en lisant L'est républicain, j'étais surpris du peu de détail que donnait le journal sur l'opération de rachat de l'ASNL (encore moins de détails que les DNA)...
Honnêtement, ça sent le moisi à plein nez (remember Hilali) -
"j'étais dans Mordorland Lorrain et en lisant L'est républicain"
T'es fou ou quoi ? Tu veux attraper la mort ? -
Nouvel article de l'Equipe aujourd'hui sur la reprise de l'ASNL. Je suis bien d'accord avec @puertobanus. C'est trop beau pour être vrai, cette histoire. Ça sent l'entourloupe. D'ailleurs Mickael Chrétien semble être dubitatif lui aussi.
Publié le : vendredi 4 novembre 2016
«En C1 dans trois ou quatre ans»
Jacques Rousselot,le président de Nancy, sur le point de vendre son club, a dévoilé les (grandes) ambitions des futurs propriétaires.
Sauf improbable imprévu d'ici au 15 novembre, la somme due pour le rachat de l'ASNL (environ 20 M€) aura été versée par les nouveaux actionnaires, à grande majorité chinois. Président et propriétaire depuis 1994, Jacques Rousselot (66 ans), qui va rester en tant que « président d'honneur », a détaillé sur RTL certains aspects de leur projet, qui sera mené par Cyril Guth (51 ans), homme d'affaires français basé à Dubaï, féru de sports automobiles.
UN BUDGET DE 100 à 120 M€ !
« Ces gens-là veulent faire de Nancy une place forte du foot français, a expliqué Rousselot. Leur objectif, c'est d'être en C 1 dans trois ou quatre ans. C'est la raison pour laquelle je crois en ce groupe. Les budgets futurs tourneront autour de 100 à 120 M€. On passe dans une autre dimension. » En effet, le budget actuel est de 30 M€. « J'ai fait ce que j'ai pu avec ma petite surface financière, plaide Rousselot. J'ai fait en sorte que le club soit pérenne. C'est le bon moment pour prendre un second souffle. »
Même s'il avoue que « ça fait vraiment bizarre », le défenseur central Michaël Chrétien (32 ans), formé à l'ASNL, où il dispute sa onzième saison (2002-2011 et depuis 2015), acquiesce. Avec une certaine prudence : « Quand je vois comment ça se passe à Sochaux (L 2, repris aussi par un groupe chinois), je prends les choses avec des pincettes. 100 à 120 M€, ça me paraît énorme ! J'attends de voir... Mais je fais confiance à M. Rousselot. Il a pris son temps pour vendre aux bonnes personnes. Si leurs ambitions se concrétisent, ce serait magnifique pour le club mais aussi pour la ville. »
UN PROJET QUI DÉPASSE LE FOOT
Car les ambitions des repreneurs vont bien au-delà du football. « Ils veulent développer sur la place de Nancy et en Lorraine un projet autour de l'ASNL et du stade Marcel-Picot », reprend Rousselot. Outre sa nette volonté de devenir à terme propriétaire de l'enceinte (20 087 places), « ce gros conglomérat, présent dans le bâtiment, la pharmacie et l'énergie éolienne, souhaite faire travailler les entreprises locales (dans ces secteurs). C'est surtout ça qui les intéresse », insiste même l'actuel patron.
Possédée à 70 % par la Chinoise Xianglin Xu (51 ans), directrice de « l'association de coopération entre la Pologne et la Chine », à 10 % par l'Australien d'origine chinoise Jiaxin Jiang (47 ans), directeur d'une compagnie de « développement de l'investissement entre la Pologne et la Chine », à 10 % par le Polonais Piotr Kisielewski (55 ans), qui dirige une société de consulting au Canada, et à 10 % par Cyril Guth, la compagnie future propriétaire du club s'inscrit donc dans une stratégie de conquête globale.
Une grande stabilité dans l'immédiat
« Ils sont à l'écoute et ne vont pas tout révolutionner du jour au lendemain, estime Rousselot à propos des futurs patrons. Je ne veux surtout pas de changements au niveau de la direction générale ni de l'entraîneur, Pablo Correa, qui fait un boulot remarquable. Il est l'homme de la situation car il a quelque chose que les autres n'ont pas. »
Sous contrat jusqu'en 2019, le technicien lorrain (49 ans) se veut serein : « Je me sens capable d'accompagner le club plus haut et de m'adapter aux exigences plus fortes qui iront avec des moyens plus importants. Mais, même si j'ai un lien émotionnel très particulier avec l'ASNL (*), je suis un salarié du club. Comme les autres, je vais rencontrer le nouveau boss et je respecterai ses décisions. Mais en attendant, j'ai pour mission de maintenir l'ASNL en L 1. » Dix-neuvième, le promu reste sur un nul à Bordeaux (1-1) et un succès capital contre Caen (2-0).
(*) Il a été attaquant de 1995 à 2001, avant d'en devenir l'entraîneur (2002-2011 et depuis octobre 2013).
Luc Hagege -
Citation: ANCY. _ « Redinvest Acquisition Ldt » a été créée le 14 septembre dernier, cette société londonienne n’a qu’un but : organiser la prise de contrôle de l’ASNL par de nouveaux propriétaires. En gros, elle va faire transiter les fonds et les verser en France. En son sein, on y trouve Cyril Guth, l’homme que l’on a annoncé en exclusivité comme étant le futur président de l’ASNL, et James Edward Gallimore, un financier britannique, qui repartira comme il est venu. Cyril Guth, lui, sera le représentant des investisseurs, il est homme d’affaires à Dubaï. Sans lien apparent avec le football, il vivra à Nancy.
On en sait à peine plus aujourd’hui sur l’identité des gens dont il représentera les intérêts. Des Chinois mais pas que… « Redinvest International Ldt», la société qui deviendra unique actionnaire, a également été fabriquée pour l’occasion. Ses fonds viennent de Chine, une association de développement multi-activités dirigée par Xianglin Xu, de Pologne avec une société agissant dans l’énergie éolienne et un directeur de nationalité australienne, M.Jiaxing Jiang, et du Canada avec à la tête d'une boîte de consulting un Polonais Piotr Kisielewski, lui aussi spécialisé dans la recherche de nouvelles techniques énergétiques.
Point de convergence de ce montage: Dubaï. C’est aux Emirats Arabes Unis que ces sociétés ont appris à travailler avec l’argent chinois.
Avant Noël
Et l’ASNL dans tout cela ? Il faudra qu’on découvre et décode bientôt le discours officiel pour connaître le sens d’un investissement évalué à 12 M d’euros. Sans l’acquisition du stade, dans une ligne de crédit évaluée selon nos sources à 100M (le minimum pour sortir du pays) sur quatre années, fatalement Marcel-Picot deviendra à un moment ou un autre une priorité. Pas pour l’instant.
Très favorable au football le gouvernement chinois favorise ce type de rachat pour grosso modo trois raisons. Une dédiabolisation de l’image de la Chine en affaires, l’ouverture vers de nouveaux marchés et le rapatriement de savoir-faire. Y compris en football puisque la Chine veut la Coupe du Monde et la gagner ! Ça ne vous rappelle rien ?
En France Auxerre, Nice, Lyon et dans une autre mesure Sochaux battent déjà pavillon chinois. Nancy entre dans cette stratégie, rien de tel que de s’adosser au rayonnement mondial du football pour se développer même s’il reste quelques zones d’ombre sur cette opération laquelle devrait être terminée à la fin de l’année civile. Mais le 15 novembre, dernier carat, les transactions financières devront être finalisées pour ne pas rendre le compromis caduque. Il restera alors des formalités administratives franco-françaises, l’installation du nouvel organigramme avec les incidences (ou non) sur l’activité football. Jacques Rousselot, lui, devrait devenir le président d’honneur, de « son » ASNL.
Dans L'est Rép
Toutes ressemblances avec un crime ayant déjà été commis n'est que pure fait exprès. -
Après Sochaux et Auxerre, voici Nancy ?
La LFP deviendrait-elle la LCP ?
Et s'ils relocalisaient les clubs français achetés en Chine ?? :D -
Je ne serais pas étonné qu'on apprenne un jour que le Racing est dans le viseur d'investisseur chinois. Et j'avoue ne pas savoir trop quoi en penser. On a pas encore assez de recul. Donc a priori, méfiance.
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tomifan a écrit, le 04/11/2016 11:29 :
La LFP deviendrait-elle la LCP ?
La Ligue de Curling Professionnel ?
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Désolé, je me suis emmêlé dans les sigles. Je voulais parler de ligue chinoise, sauf que le F de LFP ne veut pas dire française...
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echouafni a écrit, le 04/11/2016 11:57 : Je ne serais pas étonné qu'on apprenne un jour que le Racing est dans le viseur d'investisseur chinois. Et j'avoue ne pas savoir trop quoi en penser. On a pas encore assez de recul. Donc a priori, méfiance.
Si nous réussissons une saison correcte, la montée sera sur le tapis ensuite. Il sera question de sous. Ceux que Keller devra trouver pour monter, ceux qui verraient d'un bon œil investir dans un club qui aurait le vent en poupe et qui resterait abordable. A partir de là de multiples scenarii sont possibles. -
Peut-être même le RasenBall Strasbourg GrandEst ?
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guigues a écrit, le 04/11/2016 14:25 : echouafni a écrit, le 04/11/2016 11:57 : Je ne serais pas étonné qu'on apprenne un jour que le Racing est dans le viseur d'investisseur chinois. Et j'avoue ne pas savoir trop quoi en penser. On a pas encore assez de recul. Donc a priori, méfiance.
Si nous réussissons une saison correcte, la montée sera sur le tapis ensuite. Il sera question de sous. Ceux que Keller devra trouver pour monter, ceux qui verraient d'un bon œil investir dans un club qui aurait le vent en poupe et qui resterait abordable. A partir de là de multiples scenarii sont possibles.
Clairement, si il y a un club effectivement intéressant a acheter et abordable financièrement, c'est bien le Racing !
Potentiel public très intéressant, médiatiquement favorable avec une ville comme Strasbourg, clean au niveau finances et effectivement avec le vent en poupe sportivement parlant.
De plus les structures ne sont si mal non plus.... -
Prions pour que la dictature du profit s'effondre avant …
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Ah bah tiens, quelle surprise !
issu de l’Équipe du jour. -
D'ailleurs, ce revirement tombe aussi depuis qu'on sait tous que Le Graët va se représenter à la présidence de la FFF et donc du coup que les espoirs de Rousselot de briguer ce poste s'envolent. Rester le patron de l'ASNL, c'est pas plus mal finalement...
Un vrai complot !
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La suite du feuilleton.
Une reprise bien mal acquise ?
Publié le : mercredi 9 novembre 2016
De l'aveu même de son président, Jacques Rousselot,le rachat de Nancy semble s'éloigner. Verdict mardi.
Arnaud Hermant
Le football français va-t-il vivre avec la possible cession de l'AS Nancy-Lorraine une nouvelle affaire Maillol, du nom de l'investisseur français qui a prétendu vouloir racheter Le Havre il y a deux ans ? On n'en est pas encore là et le président nancéien Jacques Rousselot ne laissera sûrement pas perdurer le suspense comme l'avait fait maladroitement Jean-Pierre Louvel, l'ancien président-actionnaire du HAC, pendant plusieurs mois. Mais les investisseurs chinois pressentis pour acquérir l'actuel dix-neuvième club de Ligue 1 n'apparaissent aujourd'hui pas très crédibles.
Selon un proche du dossier, Rousselot a reconnu, il y a peu, que la reprise était loin d'être conclue. La déclaration du patron nancéien sur l'antenne de France Bleu Sud-Lorraine, lundi soir, l'a révélé au grand jour : « Les choses n'avancent pas comme je le souhaiterais, et ça commence à m'agacer. J'ai toujours été très, très prudent (sur ce dossier). »
Le président oublie qu'il y a moins d'une semaine, il déclarait, sans retenue, que le deal était quasi fait et que les futurs propriétaires allaient doter l'ASNL d'un budget de 120 millions d'euros afin de viser la qualification en Ligue des champions (voir L'Équipe de vendredi dernier).
Les repreneurs se veulent rassurants
Avec le recul et à la lumière de sa sortie de lundi, ses propos de fin de semaine dernière ressemblaient plus à un coup de pression sur ces futurs investisseurs peu enclins à payer puisque cet été déjà, l'argent promis n'était pas arrivé une première fois sur le compte ouvert pour l'occasion.
Ce qui étonne dans le dossier c'est que le conglomérat chinois dont Rousselot a vanté la puissance financière, de plus de quarante milliards d'euros, fasse appel à un intermédiaire français, Cyril Guth, basé à Dubaï et à la tête d'une petite société d'une dizaine de salariés dans l'émirat et en Algérie. Contacté hier soir, Guth s'est voulu très rassurant : « La transaction va se faire. Je comprends M. Rousselot avec lequel je suis en contacts réguliers, et tous les supporters qui trouvent que ça met du temps, mais c'est normal avant de finaliser une telle opération. Il y a un tas de documents à fournir et à vérifier ».
Le montage de l'opération apparaît pourtant peu banal. La société devant racheter l'ASNL, Redinvest, basée en Angleterre, a été créée en septembre avec un capital de... 100 livres (112 euros). Et le pedigree de ses quatre actionnaires ne simplifie pas la donne : une Chinoise domiciliée en Pologne, un Australien au nom chinois, vivant lui aussi en Pologne, un Polonais résidant au Canada et un Français à Dubaï. « Je suis plus que dubitatif, non pas sur la nationalité des investisseurs mais sur le profil de ceux qui sont annoncés à Nancy, confirme un spécialiste d'acquisitions de club. Systématiquement, les Chinois prennent contact soit via une banque d'affaires, soit via un grand cabinet d'avocats. Ici, cela ne semble pas être le cas. » Le 24 novembre, l'ASNL est convoquée devant la DNCG de la Ligue pour évoquer son budget ajusté 2016-2017. La reprise du club n'est pas à l'ordre du jour...
L’Équipe -
Citation: Et le pedigree de ses quatre actionnaires ne simplifie pas la donne : une Chinoise domiciliée en Pologne, un Australien au nom chinois, vivant lui aussi en Pologne, un Polonais résidant au Canada et un Français à Dubaï. « Je suis plus que dubitatif, non pas sur la nationalité des investisseurs mais sur le profil de ceux qui sont annoncés à Nancy, confirme un spécialiste d'acquisitions de club. Systématiquement, les Chinois prennent contact soit via une banque d'affaires, soit via un grand cabinet d'avocats. Ici, cela ne semble pas être le cas. »
Mais il le fait exprès le vieux Rousselot ?
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Rousselot a été maladroit dans ses déclarations, mais il semble moins naïf que d'autres. A coté du projet de Nancy, le projet Loban était bien mieux ficelé.
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Qu'est-ce que je suis content de ne plus lire ce genre de littérature à propos du Racing.
Une littérature du genre : club A racheté par une société paravent, avec un nom bidon qui sonne "financial business", basée en Angleterre - London city - , créée avec un capital symbolique, composée par des actionnaires symboliques de nationalité X domiciliée dans un autre Etat Y et une boite aux lettres tout aussi symbolique, qui recourt à un intérmédaire Z, basé à Dubaï ou les Iles "afiscales" ou que sais-je encore, avec des promesses mirifiques qui n'engagent que ceux qui les croient, et notamment des versements que la DNCG attend toujours, etc, etc.
Pitié je veux plus vivre cela !
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Pas d'article sur Nancy dans l’Équipe d'ajourd'hui
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Rachat de Nancy: les repreneurs veulent un délai.
Le 11/11/2016 à 16:17:00 En postant un message sur un forum de supporters, Cyril Guth, le représentant français du conglomérat d'investisseurs à majorité chinoise souhaitant racheter Nancy (L1), indique avoir besoin d'un délai supplémentaire, pour fournir les garanties bancaires nécessaires.
Cyril Guth, le représentant français du conglomérat d'investisseurs à majorité chinoise souhaitant racheter Nancy (L1), a suggéré sur le forum des supporters du club avoir besoin d'un délai supplémentaire, jusqu'au 30 novembre, pour fournir les garanties bancaires nécessaires à la vente. Le club a de son côté indiqué n'avoir pas reçu de demande officielle en ce sens de la part des repreneurs.
Jacques Rousselot «agacé» par les repreneurs
Un message posté sur un forum de supporters
«Nous laissons la décision à la direction de l'ASNL d'étendre ou non le délai sur lequel nous nous étions mis d'accord (15 novembre). De notre côté, nous pensons finaliser avec certitude la transaction financière au plus tard le 30 novembre, avant si les banques nous accélèrent la procédure», a écrit jeudi soir M. Guth, sous le nom d'utilisateur "tribune officielle", dans une méthode de communication directe tout à fait inédite avec les supporteurs.
«Je confirme à nouveau les fermes intentions de mes partenaires et moi-même de finaliser cette transaction de rachat de l'ASNL. Nous rencontrons effectivement des délais dans la transaction financière mais ceci n'est pas du fait d'un manque de fonds (les sociétés chinoises qui nous supportent ont une surface financière bien supérieure même à celle du PSG) mais tout simplement lié au type de montage financier et de ses instruments de règlement provenant de Chine qui sont pour le moins compliqués et parfois difficiles à faire valider rapidement par les banques européennes», a-t-il avancé par ailleurs pour justifier le retard pris.
Une reprise bien mal acquise ?
La date limite reste pour l'instant fixée au 15 novembre
Le club a expliqué vendredi avoir procédé à des vérifications qui ont conclu que l'utilisateur "tribune officielle" était bien M. Guth, un homme d'affaires français basé à Dubai (Emirats arabes unis) qui est pressenti pour être le prochain président de l'ASNL en cas de rachat par le conglomérat d'investisseurs à majorité chinoise. En revanche, le club n'a pas confirmé qu'une demande de délai avait été adressée officiellement et maintient que la date limite pour fournir les garanties bancaires reste pour l'instant fixée au 15 novembre.
L'Equipe.
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