ivanhoe a écrit, le 15/05/2018 14:40 :

Comme pour le maillot, changement de fournisseur, le RCS doit évoluer. Les gars ont une bonne mentalité mais faut en trouver des meilleurs. On ne peut pas avoir pendant 5 ans comme objectif une 17ème place.

Eh ben, sacrée mentalité que celle-là ! Tu ne veux pas simplement être un peu humble, savourer le moment présent, au moins une semaine, avant de faire le Hans'm'Schnockeloch, jamais content de ce qu'il a, toujours désireux de ce qu'il n'a pas ? Du reste, tant que le stade ne sera pas rénové, Marc Keller a clairement dit que le Racing ne pourrait pas jouer durablement le Top-10 voire plus haut, en tout cas au niveau budgétaire. Il est évident que l'équipe devra être modifiée et renforcée pour la saison prochaine, mais je ne vais pas te faire un dessin pour te rappeler d'où l'on vient. Et t'inviter, donc, à faire preuve d'humilité devant ce qui a été accompli et de clairvoyance quant à ce qui pourra l'être.

Citation:

Lala est à des lustres de ses performances du début. Lui qui dribblait et accélérait comme il voulait, se prend désormais les pieds dans le tapis et perd bon nombre de duels

Bien d'accord. Il a tendance à s'arrêter, marcher en poussant la baballe, à snober les appels et à jouer vers l'arrière. Il tend à rejoindre la propension de Seka à courir droit devant pour s'empaler au bout. Une espèce de nonchalance suffisante pas vue en première partie de saison. J'espère que ce n'est que saisonnier, comme le foot pratiqué par le Racing depuis Metz.
Concernant les choix de Laurey hier, celui de se passer de Blayac dans un match aussi venteux est incompréhensible. Un vent qui était quasiment un joueur à part entière tant il avait d'influence sur les trajectoires. Le Racing a tenté d'en faire abstraction tandis que Chambly l'a exploité à fond. La présence de Blayac en première mi-temps aurait certainement permis d'en faire de même et de tuer le match avant la pause, quitte à s'en prendre un en deuxième.
Perdre d'une aussi naïve manière aux portes des demies laisse vraiment un goût amer.

Le calendrier domestique a l'air plus périlleux que le programme à l'extérieur. On a deux équipes du Big Four à accueillir sur les 6 derniers matches à la Meinau, la revanche contre Metz, de chaudes rencontres face à l'ASSE et Nice ... Il faudra d'une manière ou d'une autre rapporter des points de Caen, Toulouse, Angers ou Amiens. Des points à Rennes et Nantes seraient des bonus. Bref, il est clair que

Citation:

Faut jouer tous les matchs pour la gagne

et déjà battre Montpellier.

Style Still ...

pepito a écrit, le 26/01/2017 19:54 :

je pense qu'il faut deja voir ca dans une globalité de carrière ou de vie
ceux qui font quelques saisons en ligue 2 et qui ont tous misés sur le foot n'auront pas forcement la vie facile les 40 ans d'après carriere (à moins qu'ils aient bien investi leurs fric durant leurs courtes periodes fastes ou actives)

gasmi doit vivre comme un prince là bas et je pense pas qu'il sera sur la paille ou dans l'incognito à la fin de sa carriere (ptetre suite dans telé ou je ne sais quoi)

enfin c'est des suppositions evidemment

Prémonitoire, en effet, puisque Gasmi revient en R2, mais le contexte du SRacingC est particulier et le projet ambitieux. Je lui souhaite de contribuer à une remontée éclair en championnat national.

Est-ce une source fiable ? Le vent est assez fort en ce moment.

limmt a écrit, le 18/01/2018 14:11 :

C'est comme quand on vend un logement loué, le bail du locataire continue avec le nouveau propriétaire.

C'est possible de louer un Terrier pour l'hiver ?

Il me semble que personne ici ou dans la presse n'a mentionné le rôle de Sitterlé dans l'entreprise de résurrection du Racing, au point que Le Monde attribue aujourd'hui la reprise en 2011 à Marc Keller, que la Ville a en réalité dû aller chercher par le bras un an après lors de l'imbroglio que l'on sait. Certes, l'épilogue de sa présence au club en 2012 a révélé une supercherie financière, mais n'empêche que sans Sitterlé, il n'y aurait plus eu de Racing du tout. Et pour une fois, je suis d'accord avec ce qu'écrivait @paolo il y a cinq ans et demi :)

paolo a écrit, le 03/10/2012 11:27 :

Il a été le seul candidat à la reprise, il a relancé l'enthousiasme autour du RCS, permis qu'on puisse s'inscrire en CFA2, créé les conditions pour que la montée soit possible, tenter d'impulser un nouveau modèle, etc. Et puis la bière au stade, merde !

Il y a eu beaucoup de babillage de la part de gens mal intentionnés. Maintenant, on a Marc Keller.

Rendre à César ... Donc merci à Sitterlé aussi, malgré tout !

echouafni a écrit, le 12/01/2018 16:29 :

Ben non, rien de curieux, sa présence repose sur une supercherie ; il n'a pas mis un rond et les fonds qui ont sauvé et fait marché le club ont été des fonds publics.

Certes, mais c'est quand même lui qui était là au début, pas Marco ... Sans lui, la marque aurait disparu ... C'est une supercherie que de prétendre le contraire

C'est curieux, on oublie toujours Sitterlé...

chileocastro a écrit, le 23/12/2017 02:23 :

pluie value sur des jeunes prometteur

Il va falloir bien arroser toute cette nappe frénétique de jeunes pros metteurs :D

Les supp toulousains sont ahuris ou consternés, c'est selon, par le choix de Dupraz de décharner rapidement son milieu en 2e mi-temps. Il y en a un qui pense que Laurey a fait une grosse erreur en ne profitant pas de l'aubaine. Ils saluent la combativité du Racing, échangeraient Delort contre Da Costa, se souviennent de Blayac et sont baba devant l'ambiance de la Meinau .

lulmag a écrit, le 16/01/2017 08:04 :

ce coup de jarnaque ?

Arnac-la-Poste ?

toine67 a écrit, le 02/01/2017 11:48 :

quelque lacunes au niveau des déchets.

Si je comprends bien, il manque de déchet ?
Plus sérieusement, le garçon a encore de la marge de progression et il est surtout un modèle d'anti-foot bizness, je le vois mal quitter à la hussarde un club pour lequel il donne tout son cœur et toutes ses tripes depuis son arrivée.

Tout à fait d'accord avec yoyo67, c'est bien Nogueira qui lâche le marquage.

Faire la fine bouche quand on a 12 points, qu'on est invaincu après 6 journées, que Bahoken marque, que Lienard place un beau tir impossible dans les filets d'une équipe qui va en embêter beaucoup cette saison, c'est un peu se compliquer la vie. Laurey disait lors du dernier match à domicile que certains jouaient un peu avec le frein à main à la Meinau sans trop savoir pourquoi. Le frein à main est peut-être toujours enclenché mais en tout cas il commence gentiment à se desserrer. Ce match contre Troyes était en tout cas loin d'être une purge.

rcsforever a écrit, le 25/08/2016 11:24 :

Dur dur d'appartenir au passé du rectangle vert, d'avoir peur de tomber dans l'oubli avec l'arrivée de nouvelles générations de supporters, pour lesquelles il ne représente rien ou presque, donc on tente de continuer à exister médiatiquement par n'importe quel moyen. Perso j'ai vibré avec (son) Racing et c'est toujours le cas aujourd'hui avec (notre) Racing dans une Meinau de plus en plus bruyante. Respectons le passé, profitons du présent et n'ayons pas peur de rêver pour le futur, avec ou sans la bénédiction de GG.

En tout cas, malgré son titre 79 et la remontée en 92, il n'arrive pas à la cheville de Dugué. Je me demande d'ailleurs de quelle manière il flinguerait Jacky, vu que, comme M Keller, il l'a entraîné. Et, comme je vis en Suisse, je dois dire qu'à force de voir la tronche de Gress dans la rue, dans les canards, à la télé, ça m'agresse un peu ...

jopagne a écrit, le 25/08/2016 10:09 :

Cadeau.


Gilbert Gress a pris ses distances avec Strasbourg, de retour en L 2 cette saison. L'ancien «Ange de la Meinau» est devenu une vedette de la télévision en Suisse, mais il conserve un regard acerbe sur le football d'hier et d'aujourd'hui.
Alban Traquet Alban Traquet

STRASBOURG - Cet irréductible tonton flingueur ne baissera jamais la garde. À soixante-quatorze ans, Gilbert Gress dispose d'un humour, d'une vacherie et d'un orgueil intacts. L'ex-entraîneur, qui ne se sépare jamais de sa brosse à cheveux, aime la lumière chaude de la reconnaissance. En retrait des terrains depuis sept ans, il tire les fils d'une étonnante vitalité sur le petit écran, où il est devenu la vedette d'une émission de téléréalité, en Suisse alémanique, après avoir été consultant. Partageant sa vie entre Strasbourg et Neuchâtel (en Suisse romande), l'ancien « Ange de la Meinau » suit encore d'un oeil averti l'actualité du ballon, même s'il a divorcé de « son » Racing, qu'il avait mené au titre de champion de France, avec panache, en 1979. La discussion a duré près de trois heures, dans un jeu de réparties incessantes, pimenté par sa franchise insolente.


«Après cinq ans de galère, Strasbourg est de retour en Ligue 2. Ça vous fait quoi ?
Rien du tout. Sincèrement, je serais incapable de vous citer deux noms de joueurs actuels du Racing. La saison dernière, je me souviens seulement qu'Épinal (avant-dernier de National) a inscrit plus de buts (39) que le premier (35 pour Strasbourg). Et qu'il est monté en ne gagnant qu'un seul de ses huit derniers matches (six nuls, une défaite).

Que pensez-vous du président, Marc Keller, un de vos anciens joueurs ?
J'espère que le costume n'est pas trop grand pour lui. Il m'a pris pour un con, il y a une dizaine d'années. Il m'avait contacté pour que je revienne au club (une tentative avortée ; la troisième et dernière expérience comme coach de Gress au Racing, très brève, remonte à l'été 2009) et moi, je n'avais rien demandé. J'avais su par un ancien joueur (Hubert Hausser, décédé en 2010, frère de l'ex-international Gérard Hausser) qu'il se promenait place Kléber (au centre-ville de Strasbourg) pour demander aux gens ce qu'ils pensaient de moi. Quand vous avez eu quelqu'un comme entraîneur pendant trois ans (de 1991 à 1994), vous n'avez pas besoin de faire ça... Avec moi, il a pu devenir international, ou pas longtemps après (la première des six sélections de Keller date de novembre 1995). En fait, il avait peur que je lui fasse de l'ombre, il n'aime pas ça. Vous ne me ferez donc pas dire que c'est le mec le plus correct au monde.

Vous n'allez plus au stade de la Meinau ?
Non, pas depuis mon dernier passage, il y a sept ans. La dernière fois que j'y suis retourné, c'était spécial, c'était pour l'hommage à Dominique Dropsy (décédé en octobre dernier, l'ex-gardien international a été champion de France avec Strasbourg en 1979, sous les ordres de Gress).

Message édité: la reproduction intégrale d'article de presse payant est interdite.

Envoie-nous ça en MP Merci !

chrisneudorf a écrit, le 20/08/2016 14:38 :

Detail intégriste
Le film du match c'est Remy Sauer

Erratum :

altitona a écrit, le 20/08/2016 14:29 :

• "Dans le film du match (Rémy Sauer) : "78e : la frappe en pivot de Nogueira est toute proche de trouver Nogueira au 2e poteau" --> Nogueira est partout

Joli florilège aujourd'hui sous la plume de Barabar Sous-terre :

• "Les Alsaciens, menés au score, puis réduits à dix pendant une heure" --> Seka expulsé à la 57', ça fait 37 minutes à dix (mais à 23 minutes près, allez, ça fait une heure) ...
• Laurey : "Le public nous a poussé, nous a aidé" --> pousséS / aidéS à moins que Laurey parle de lui-même avec un nous de courtoisie (ce serait une première).
• Dans le film du match : "78e : la frappe en pivot de Nogueira est toute proche de trouver Nogueira au 2e poteau" --> Nogueira est partout

Strasbourg's King Arthur :)

loloqc a écrit, le 14/08/2016 03:39 :

Sympa de la part de you tube de bloquer la vision du résumé aux gens expatrié.
Les dernières saisons une demi heure après les rencontres on avait notre résumé...On regrette notre cher Karim.
Le mauvais coté du professionnalisme sans doute.

La vidéo est bloquée ici mais pas sur YouTube

Pour ce qui est du match dans le match entre les deux "frères" (comme ils s'appellent l'un l'autre) Bouanga et Sacko, le second (le "petit") a largement fait la nique au premier ("le grand"). Même en toute fin de rencontre, Sacko allait chercher les ballons jusqu'au bout, à la surprise parfois des défenseurs tourangeaux !

Le Mac Carthy est fermé pour congé. Je crois qu'il n'y a guère que l'Exils qui diffuse (j'ai téléphoné et c'est confirmé).

On est à 2 journées de L2 avec un onze composé, sur le front offensif, uniquement de nouveaux joueurs, sans parler de la semaine de préparation en moins ... Et il y a des lumières pour dire

chris68 a écrit, le 08/08/2016 07:28 :

Problème pour Laurey, pour l'instant ça marche pas.

:))

Une excellente première recrue que ce capitaine emblématique de Laval où il ne laissera que de bons souvenirs.

C'est le frère de la doublure de Godin à L'Alsace, celle qui fait les live.

Un entretien qui confirme toute l'intelligence et la clairvoyance du bonhomme. C'est rare dans le foot, un type aussi ouvert culturellement. Je pense qu'en 110 ans, aucun joueur du Racing à part lui n'aura fait référence à Argentoratum lors de son arrivée (notez au passage le A :p).

Trois fois, en effet : 17 janvier 2013, 15 avril et 12 décembre 2014.

Il était sur une très belle trajectoire l'an dernier. Ce soir, il aura été le déclic pour arracher le nul. Chapeau Sabo, ce n'est pas parce que tu as ciré le banc que tu ne sais pas manier le cuir.

Personnellement, la saison dernière, quand il ne restait que Jonathan et quelques autres, je me suis dévoué pour assurer la rédaction des articles sur le Racing et quelques "Live Facebook", surtout sur la deuxième partie de saison avec, notamment, une interview de Daniel Jeandupeux. Ma motivation ? Soutenir une équipe qui avait fortement contribué à l'adhésion populaire autour du club dès le CFA2. C'était encore sous l'égide de Total Sport Live. Deux autres fondateurs qui avaient pris de la distance sont revenus en fin de saison 14-15, et TSL est devenu Alsasports. Et les courroies de transmission qui étaient déjà assez anarchiques avec TSL sont carrément devenues mexicaines, si j'ose dire. Ma vie personnelle a fait que je ne pouvais plus assurer la même présence au début de la saison actuelle, tout en envisageant de reprendre la plume de temps en temps. Ce fut le cas pour le match contre Holtzwihr. Mais quand j'ai vu que toutes les archives TSL avaient été effacées de la toile (dont mes papiers ardemment et savamment conçus), j'ai définitivement renoncé. Il leur manque une vraie méthode et parfois de la lucidité ; ce n'est pas la faute de Jonathan, dont je respecte beaucoup l'implication et le dévouement hors normes.

Sabo, pas le niveau National ou L2 ? Que je sache, il fut l'un des artisans de la grosse deuxième moitié de saison 2014-15 du Racing, et son entente avec Ndour était prometteuse. En 15-16, il a simplement fait les frais d'un choix tactique. Bref, j'espère qu'il rebondira au 3e ou 2e échelon national.

Bon, on va pouvoir rappeler Jacky à la trêve. Pas sûr qu'il acceptera, ce coup-là.

Coup de théâtre

À une seconde de la Ligue 2, le Racing réduit à dix s'est fait surprendre par un but de Camara, ce qui l'oblige à ronger son frein jusqu'au 27 mai pour valider sa montée à Belfort.

Cliquez ici pour lire la suite de cet article écrit par @altitona

Bien que je sois un fervent partisan de Jacky pour bâtir et entraîner l'équipe la saison prochaine en L2, il pourrait y avoir une alternative très intéressante avec Fabio Celestini, qui vient d'accomplir une saison hors normes avec le Lausanne Sport, que personne ici en Suisse ne voyait champion de Challenge League et qui, pourtant, l'a fait. Or, rien n'est encore fait pour la reconduite de Celestini à la tête du LS en Super League la saison prochaine ... Voir 24Heures

Décidément, avec l'engouement que l'on observe depuis le CFA2, la Ville et l'ex-CUS (je n'arrive toujours pas à me faire à "Eurométropole", tellement artificiel) peuvent se mordre les doigts d'avoir renoncé à habiliter la Meinau pour l'Euro. Ce qu'on appelle l'ironie de l'histoire...

Un peu avant, j'en doute fort, le club annonce que le match devrait se jouer à guichets fermés, attention à ne pas faire le trajet pour rien, d'autant qu'il n'y a aucun éventuel balcon de secours à proximité pour apercevoir la pelouse...

Je crois que c'est Ielsch qui disait à la mi-temps, devant la caméra de MCS, qu'il y avait de la place "entre les deux 6" strasbourgeois et qu'il fallait appuyer là, Domenech saluant ensuite cette lucidité tactique. Chose dite, chose faite... De l'autre côté, le nôtre, quelle naïveté ! Quand on a relâché le pressing haut après 25 mn de jeu, ce n'était plus que stéréotype et monochromie jusqu'au coup de sifflet final.
Pouye, en particulier, a fait illusion vingt minutes avant de sombrer dans les travers qu'on lui connaît depuis son retour de blessure : pas de percussion, pas de vision du jeu, une tendance à venir s'empaler sur l'arrière-garde adverse. Un peu les mêmes travers que Lienard ...
La paire NDoye - Kanté faisait peine à voir. Quant à Blayac, cette troisième défaite de rang confirme que les adversaires savent exactement comment l'isoler pour le museler.
Cela dit, j'ai du mal à comprendre les critiques sur Sabo, son retour a fait du bien notamment grâce aux automatismes acquis depuis la saison dernière avec N'Dour, l'un des rares à avoir montré quelque chose hier soir.
Bref, la trêve venue, l'"ogre" strasbourgeois apparaît comme un roi nu. J'ai l'impression que les plans sur la comète L2 tirés pendant la série d'invincibilité ont inconsciemment endormi l'équipe. Il va falloir revenir avec d'autres dispositions mentales en janvier, notamment retrouver cette solidarité collective qui faisait notre force en deuxième partie de saison dernière. Duguépéroux en a vu d'autres et je garde espoir ...

Extrait des DN du deux décembre : pendant l'entraînement matinal, "Jacky Duguépéroux n’était a priori pas d’une humeur riante. Dans l’opposition organisée à l’ombre de la Meinau, ils ont été quelques-uns à en prendre pour leur grade, coupables d’une absence insupportable aux yeux du technicien ou d’une déconcentration qu’il n’entend pas tolérer." Ça a l'air dans le droit fil de ses déclarations à l'issue du match contre le club de la ville natale de son père. Y aurait-il l'un ou l'autre stubiste témoin de l'entraînement pour nous en dire un peu plus ?

Je vois en effet quotidiennement sa frimousse affichée un peu partout en ville de Lausanne.

athor a écrit, le 06/05/2015 16:06 :

j'ai l'impression que Duguépéroux n'a pas vraiment laissé sa trace sur cette équipe. On est certes 4ème, mais le jeu collectif n'a pas forcément progressé au delà de la qualité individuelle des joueurs: on cherche trop souvent à faire basculer les rencontres sur un exploit individuel que sur des phases de jeu construit. De plus, Dugué n'a pas forcément réussi à transmettre sa rage de vaincre aux joueurs, et les exemples sont malheureusement assez nombreux: à Chambly, Avranches (x2), au Poiré, à Epinal, à Bastia, à Marseille...

Les réflexions d'Athor sont en général très justes, mais là, je suis perplexe, sinon sidéré, devant ces considérations qui font très "problème de riche". Le jeu collectif n'aurait pas progressé ? C'est juste le jour et la nuit par rapport à la saison dernière, problèmes de finition mis à part. La rage de vaincre ? Face aux gros, elle était manifeste, certes moins face aux petits mais je ne vois pas en quoi Jacky serait l'unique responsable de la suffisance affichée en ces occasions et pas de la gnac tout de même bien plus souvent démontrée cette saison, de Bonal à Bauer en passant par la Meinau. Un collectif ne se décrète pas en six mois et pourtant Dugué a réussi à lui donner assez vite une âme malgré les couacs, ces défaites d'octobre et les rechutes vosego-méditerranéennes. De là à tirer sur l'ambulance... On a enfin un peu de stabilité et un fonds de jeu très intéressant, pourvu que Dugué rempile quelle que soit la division !

Il n'y aura pas de Ligue 2 à court terme au Municipal de Péronnas, ce n'est techniquement pas faisable. Reste en effet le Stade Marcel-Verchère (11000 places), où Bourg joue ses matches de coupe contre les gros, mais qui est aux normes du rugby et où il faudrait cohabiter avec l'US Bressane, pas une mince affaire. Si l'on écoute le maire de Bourg, JF Debat, il reste beaucoup de points d'interrogation. Si une solution burgienne ne se dessine pas rapidement en cas de montée, le FCBP devrait donc trouver une roue de secours dans la région. Éventuellement le stade d'Oyonnax, bien que ce soit quasiment le même cas de figure que Verchère. Ou alors Montceau-les-Mines, Dijon, une solution lyonnaise... Voire, soyons fou, le Stade de Genève, ça mettrait un peu de spectacle et d'exotisme dans les courants d'air de Servette !

Citation:

05/03/2015 18:59:18 cyberyoshi • 24 ans
Est-ce qu'on reverra Chapuis? Histoire de peut être légèrement modifier mon prono... :D

Le deuxième buteur d'avril dernier à la Meinau est en passe d'intégrer l'encadrement du FCBP. Aucune minute jouée en National cette saison, aucune concurrence possible avec Sané et Boussaha, le chat est dans le puits

"Il s'agit ici non seulement de réfuter le papisme, mais de l'extirper, non seulement de l'extirper, mais de le déshonorer" Edgar Quinet

katzo68 a écrit, le 20/02/2015 07:35 :

Hopla, à l'attention du sieur @il-vecchio

Merci aussi Katzo, de la part d'un expat'... J'adore l'encart sur Sikimic, réservé aux abonnés et conclu par "plus de détails sur www.lalsace.fr", alors qu'il n'y en a aucun... On se mord un peu la queue à Mulhouse...

Barrette de chiite ? lol

Daniel Jeandupeux revient sur son expérience strasbourgeoise : http://www.totalsportlive.com/alsace/03012015-daniel-jeandupeux-meler-ambition-passion-et-modestie-56649/

Qualité d'image dégueulasse mais un Racing leader de L2 qualifié en Europa League !

Impossible d'afficher la vidéo YouTube NMvJdbdvW7Y via l'API [Client error: `GET https://www.youtube.com/oembed?url=https://www.youtube.com/watch?v=NMvJdbdvW7Y&format=json` resulted in a `404 Not Found` response:
Not Found
]

Au temps pour moi, je me suis un peu laissé emporter par la frustration. Bonne rencontre avec Marco et bien le bonjour de Lausanne (et de Marco Simone :) ).