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- Côté tribunes
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Une victoire à Toulouse et une qualification bien engagée face à une équipe assez modeste donc ambiance Coupe d'Europe avec football champagne au menu de mercredi soir ! Hélas, personne n'est jamais sûr de ce qu'on nous sert dans l'assiette.
45 minutes avant le match les alentours sont particulièrement calmes autour de la Meinau. Point d'euphorie collective mais pas d'appréhension particulière non plus, tout le monde est confiant. Et rien que ça, ça change déjà du championnat. Autre différence : l'accès des tribunes populaires n'est autorisé qu'aux personnes munis de billets correspondant à ces places-là et des stadiers veillent au respect des consignes. Ça rappelle un peu les entrées de boîte de nuit : « tu rentres, tu rentres, tu rentres pô ! » pour des gradins où tout le monde a accès en temps normal. A noter que les strapontins ont été abaissés, normes UEFA obligent, pour transformer les tribunes debout en tribunes assises...où tout le monde restera d'ailleurs debout !
Le stade n'est pas bien rempli (9615 spectateurs) : une des plus petites affluences de la saison pour l'instant. Déjà qu'on ne comprend pas pourquoi les gens sont encore si nombreux en championnat, on ne va pas se mettre à se demander pourquoi ils sont si peu en Coupe d'Europe ; à chacun son explication. Si quelqu'un pouvait d'ailleurs en avoir une aussi pour le gorille (Gorilla gorilla graueri pour l'appellation scientifique, à l'oral ça peut toujours servir) d'avant-match qui portait un maillot du RCS et faisait le tour de la pelouse (une pom-pom girl portugaise ?...). On murmure qu'il s'agissait de la mascotte d'une société de sécurité sponsor des matchs de Coupe d'Europe du Racing...
Côté visiteurs d'un soir environ 500 supporters du Litex tous vêtus d'orange (maillots, drapeaux et bombers retournés) venus de Bulgarie pour beaucoup (on parle de 7 bus) et d'un peu partout ailleurs pour les autres. On les a entendu de temps en temps avec des chants relativement basiques « Litex, Litex ! » et ce malgré l'élimination qui se profilait. A noter un petit drapeau « Manchester Litex United » : on peut présumer que c'était une section de fans bulgares du club anglais ou alors des anglais de Manchester fans du Litex tant l'aura du club bulgare étend son hégémonie sur tout le continent européen. Ironie mise à part, respect à eux car quelles que soient les conditions les Strasbourgeois n'auraient jamais été aussi nombreux chez eux, et d'ailleurs ils ne l'ont pas été.
Du côté du Kop le virage n'est pas bien rempli. Aucune animation prévue, une petite torche fera office d'apéritif pour une ambiance bien mollassonne durant le match. Et on ne peut pas dire que le public ou les joueurs aient vraiment donner un coup de main : pas beaucoup d'efforts sur le terrain, pas beaucoup d'efforts dans les tribunes. En deuxième mi-temps après une petite gueulante en deuxième mi-temps d'un capo (assisté d'un autre capo pour l'occasion) le kop fut un peu plus enthousiaste et finit le match sur deux marseillaises. Le reste du public quant à lui se distingua par quelques sifflets destinés à Alex Farnerud auteur d'un énième emmêlage de pinceaux à l'entrée de la surface puis par une cascade de rires quand sur coup-franc la magie de Loué opéra. Ce fut l'occasion de garder le sourire quand l'arbitre siffla le coup de sifflet final, synonyme de qualification pour les huitièmes malgré un match soporifique qui renvoie tout le monde au lit avec la permission de rêver mais pas trop fort.
Le stade n'est pas bien rempli (9615 spectateurs) : une des plus petites affluences de la saison pour l'instant. Déjà qu'on ne comprend pas pourquoi les gens sont encore si nombreux en championnat, on ne va pas se mettre à se demander pourquoi ils sont si peu en Coupe d'Europe ; à chacun son explication. Si quelqu'un pouvait d'ailleurs en avoir une aussi pour le gorille (Gorilla gorilla graueri pour l'appellation scientifique, à l'oral ça peut toujours servir) d'avant-match qui portait un maillot du RCS et faisait le tour de la pelouse (une pom-pom girl portugaise ?...). On murmure qu'il s'agissait de la mascotte d'une société de sécurité sponsor des matchs de Coupe d'Europe du Racing...
Côté visiteurs d'un soir environ 500 supporters du Litex tous vêtus d'orange (maillots, drapeaux et bombers retournés) venus de Bulgarie pour beaucoup (on parle de 7 bus) et d'un peu partout ailleurs pour les autres. On les a entendu de temps en temps avec des chants relativement basiques « Litex, Litex ! » et ce malgré l'élimination qui se profilait. A noter un petit drapeau « Manchester Litex United » : on peut présumer que c'était une section de fans bulgares du club anglais ou alors des anglais de Manchester fans du Litex tant l'aura du club bulgare étend son hégémonie sur tout le continent européen. Ironie mise à part, respect à eux car quelles que soient les conditions les Strasbourgeois n'auraient jamais été aussi nombreux chez eux, et d'ailleurs ils ne l'ont pas été.
Du côté du Kop le virage n'est pas bien rempli. Aucune animation prévue, une petite torche fera office d'apéritif pour une ambiance bien mollassonne durant le match. Et on ne peut pas dire que le public ou les joueurs aient vraiment donner un coup de main : pas beaucoup d'efforts sur le terrain, pas beaucoup d'efforts dans les tribunes. En deuxième mi-temps après une petite gueulante en deuxième mi-temps d'un capo (assisté d'un autre capo pour l'occasion) le kop fut un peu plus enthousiaste et finit le match sur deux marseillaises. Le reste du public quant à lui se distingua par quelques sifflets destinés à Alex Farnerud auteur d'un énième emmêlage de pinceaux à l'entrée de la surface puis par une cascade de rires quand sur coup-franc la magie de Loué opéra. Ce fut l'occasion de garder le sourire quand l'arbitre siffla le coup de sifflet final, synonyme de qualification pour les huitièmes malgré un match soporifique qui renvoie tout le monde au lit avec la permission de rêver mais pas trop fort.
