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- Après-match
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- Par fremen-bleu
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Voilà sans doute le principal souci des joueurs qui se déplaçaient hier soir au stade de l'Abbé Deschamps pour le dernier match de la saison. Quatre buts encaissés, un festival qui n'empêchera sans doute pas les joueurs de dormir.
C'est contraints et forcés que la plupart des joueurs alignés hier soir (à vrai dire ceux qui n'ont pas encore disparu) ont représenté le dernier acte d'une tragédie en 38 actes. De Jacky Duguépéroux à Karim Haggui en passant par Amara Diané, rares étaient ceux qui n'avaient pas la tête ailleurs. Un constat qui vaut déjà depuis pas mal de temps il faut bien l'avouer. Les joueurs de Santini étaient par contre visiblement motivés, eux, à l'idée de quitter leur public sur une bonne note, d'autant qu'ils pouvaient encore rêver à l'UEFA. Malgré tout, le champêtre stade de l'Abbé Deschamps était plutôt loin d'afficher complet.
Ce sont les Alsaciens qui débutent le mieux la rencontre. A la 12ème minute Hosni oblige ainsi Fabien Cool à faire une claquette suite à un coup-franc. L'illusion ne durera pas longtemps. Kahlenberg trompe Stéphane Cassard sur un centre de Cheyrou dévié par Pieroni. 1-0 à la 20ème minute. Même si Strasbourg obtient l'un ou l'autre coup-franc dangereux, ce sont désormais les Auxerrois qui mènent les débats. Pieroni double la mise sur penalty suite à une faute sur Kahlenberg, 2-0 juste avant la mi-temps.
La seconde période reprend comme s'était terminée la première. Pieroni lancé en profondeur par Lachuer réalise le doublé (48ème) en deux temps face à Cassard qui repousse sa frappe mais s'incline sur sa tête.
Jean Christophe Devaux pour Abou Moslem et Salim Arrache en lieu et place d'Ulrich Le Pen font leur apparition sur la pelouse. Si le Racing obtient quelques corners et montre quelques velléités offensives, il n'inquiète guère son adversaire. La sortie de Lachuer pour les locaux est saluée par une belle ovation, tandis que Habib Bellaïd entre pour Strasbourg. C'est finalement Lionel Mathis qui va clore la marque (84ème) d'une frappe du gauche à l'entrée de la surface. Pour l'anecdote, on peut signaler le but de Pieroni dans les arrêts de jeu qui sera refusé pour hors-jeu. 4-0 score final, le Racing termine le championnat à la 19ème place du classement, juste devant Metz. Victoire méritée pour les hommes de Santini qui peuvent faire la fête avec leur public...
Le Racing est en Ligue 2, les joueurs sont en vacances. A l'année prochaine...
Ce sont les Alsaciens qui débutent le mieux la rencontre. A la 12ème minute Hosni oblige ainsi Fabien Cool à faire une claquette suite à un coup-franc. L'illusion ne durera pas longtemps. Kahlenberg trompe Stéphane Cassard sur un centre de Cheyrou dévié par Pieroni. 1-0 à la 20ème minute. Même si Strasbourg obtient l'un ou l'autre coup-franc dangereux, ce sont désormais les Auxerrois qui mènent les débats. Pieroni double la mise sur penalty suite à une faute sur Kahlenberg, 2-0 juste avant la mi-temps.
La seconde période reprend comme s'était terminée la première. Pieroni lancé en profondeur par Lachuer réalise le doublé (48ème) en deux temps face à Cassard qui repousse sa frappe mais s'incline sur sa tête.
Jean Christophe Devaux pour Abou Moslem et Salim Arrache en lieu et place d'Ulrich Le Pen font leur apparition sur la pelouse. Si le Racing obtient quelques corners et montre quelques velléités offensives, il n'inquiète guère son adversaire. La sortie de Lachuer pour les locaux est saluée par une belle ovation, tandis que Habib Bellaïd entre pour Strasbourg. C'est finalement Lionel Mathis qui va clore la marque (84ème) d'une frappe du gauche à l'entrée de la surface. Pour l'anecdote, on peut signaler le but de Pieroni dans les arrêts de jeu qui sera refusé pour hors-jeu. 4-0 score final, le Racing termine le championnat à la 19ème place du classement, juste devant Metz. Victoire méritée pour les hommes de Santini qui peuvent faire la fête avec leur public...
Le Racing est en Ligue 2, les joueurs sont en vacances. A l'année prochaine...
