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- Par takl
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La Coupe de France offre au Racing un adversaire de choix pour les 16èmes de finale avec le Lille Olympique Sporting Club, l'une des équipes les plus performantes de France actuellement.
Entre le LOSC et la Coupe de France, l'histoire à souvent été belle par le passé. Club phare de l'Hexagone dans la décennie de l'immédiat après-guerre, il ajoute à ses deux titres de Champion de France la bagatelle de cinq trophée nationaux en neuf ans, réalisant le doublé dès 1946, puis s'imposant en 1947, 1948, 1953 et 1955. Cette période faste s'achève à l'orée des années 1960 où le club lillois perd peu à peu de sa superbe pour devenir un sympathique club voyageant anonymement entre l'élite et le purgatoire de la deuxième division.
La privatisation du club en l'an de grâce pour le football que fût 1998 amorce la renaissance d'une entité devenue moribonde. Sous la houlette de Vahid Halilodzic, les nordistes retrouvent l'élite en 2001 et réussissent à se qualifier dans la foulée pour la Ligue des Champions. Dès l'année suivante le départ du tamdem Graille / Halilodzic vers la capitale et de nombreux départs dans l'effectif obligent le nouveau venu Claude Puel à lutter pour le maintien. Mais la méthode Puel fait ses preuves dès la saison 2004-2005 où les Ch'tis s'accrochent fermement à leur place de dauphins des intouchables Lyonnais, et restent sur le podium la saison suivante, accrochant de nouvelles qualifications pour l'épreuve majeure du continent.
Cette année encore, Lille fait preuve de sérieux et de maitrise, concurrent sérieux pour une place sur le podium, qualifiés pour le second tour de la Ligue des Champions pour la première fois de son histoire, ce club pourtant sans stade fixe semble continuer sa progression.
S'appuyant sur un centre de formation performant et un recrutement intelligent, Lille peut se targuer d'avoir su conserver l'ossature qui a fait son succès les années précédentes. Des joueurs comme Bodmer, Tafforeau ou Kader Keita s'affirment parmi les meilleurs joueurs du championnat et permettent au club d'aborder la seconde partie du championnat en embuscade à la quatrième place.
Après avoir vaincu Metz (0-2) en terres lorraines, c'est encore tout auréolés de leur victoire à San Siro que les Lillois se présentent à la Meinau samedi soir, pour cette nouvelle confrontation face à un des favoris pour la remontée. L'occasion pour Strasbourg de jauger son niveau face à une grosse cylindrée qui ne se déplacera pas pour faire de la figuration, même si le turn-over de Claude Puel pourrait voir l'un ou l'autre titulaire habituel être mis au repos avant la réception du PSG quatre jours plus tard.
Quoi qu'il en soit, l'effectif nordiste a suffisament de qualité pour opposer aux Strasbourgeois un challenge à relever. En espérant que l'issue ressemble à ce soir de février 2005, où les Dogues furent muselés en Coupe de la Ligue...
La privatisation du club en l'an de grâce pour le football que fût 1998 amorce la renaissance d'une entité devenue moribonde. Sous la houlette de Vahid Halilodzic, les nordistes retrouvent l'élite en 2001 et réussissent à se qualifier dans la foulée pour la Ligue des Champions. Dès l'année suivante le départ du tamdem Graille / Halilodzic vers la capitale et de nombreux départs dans l'effectif obligent le nouveau venu Claude Puel à lutter pour le maintien. Mais la méthode Puel fait ses preuves dès la saison 2004-2005 où les Ch'tis s'accrochent fermement à leur place de dauphins des intouchables Lyonnais, et restent sur le podium la saison suivante, accrochant de nouvelles qualifications pour l'épreuve majeure du continent.
Cette année encore, Lille fait preuve de sérieux et de maitrise, concurrent sérieux pour une place sur le podium, qualifiés pour le second tour de la Ligue des Champions pour la première fois de son histoire, ce club pourtant sans stade fixe semble continuer sa progression.
S'appuyant sur un centre de formation performant et un recrutement intelligent, Lille peut se targuer d'avoir su conserver l'ossature qui a fait son succès les années précédentes. Des joueurs comme Bodmer, Tafforeau ou Kader Keita s'affirment parmi les meilleurs joueurs du championnat et permettent au club d'aborder la seconde partie du championnat en embuscade à la quatrième place.
Après avoir vaincu Metz (0-2) en terres lorraines, c'est encore tout auréolés de leur victoire à San Siro que les Lillois se présentent à la Meinau samedi soir, pour cette nouvelle confrontation face à un des favoris pour la remontée. L'occasion pour Strasbourg de jauger son niveau face à une grosse cylindrée qui ne se déplacera pas pour faire de la figuration, même si le turn-over de Claude Puel pourrait voir l'un ou l'autre titulaire habituel être mis au repos avant la réception du PSG quatre jours plus tard.
Quoi qu'il en soit, l'effectif nordiste a suffisament de qualité pour opposer aux Strasbourgeois un challenge à relever. En espérant que l'issue ressemble à ce soir de février 2005, où les Dogues furent muselés en Coupe de la Ligue...
