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Après une série de bons résultats qui ont vu le Racing se démarquer de son principal concurrent à la montée, les Bleus se déplacent ce lundi en terre isèroise pour conforter leur avance sur Le Havre... Un match qui sent le piège...
Les enjeux
Si depuis la trêve, le Racing semble faire son petit bonhomme de chemin vers la L1, on ne peut pas en dire autant des hommes d'Yvon Pouliquen. Malgré leur récent succès obtenu aux dépens de nos concurrents direct du Havre, le GF38 plonge avec une allégresse toute relative dans l'anonymat du milieu de tableau de L2.
Avec la broutille de deux victoires au compteur depuis la trêve hivernale, les Grenoblois, un temps outsiders du championnat, semblent jouer les marmottes et se reposent en attendant des jours meilleurs...
Il faut néanmoins se méfier de la marmotte qui hiberne... Les Isèrois sont en effet coutumiers des exploits (victoire 5-1 contre Reims, 2-1 contre Le Havre) et possèdent la particularité de ne jamais avoir perdu (mis à part contre le Racing à la Meinau) contre les leaders du championnat.
Ce match s'annonce donc comme un véritable piège pour les protégés de JPP, qui seraient bien inspirés d'accroître leur substantielle avance sur le Havre avant leur débarquement en terre normande...
Petite présentation de l'équipe adverse
A l'image de leur entraîneur Yvon Pouliquen, le GF38 est une équipe engagée, faisant preuve de beaucoup d'agressivité sur le terrain (agressivité pas toujours dans le bon « sens » du terme, qui se traduit par une dernière place au classement du fair-play...).
Basée sur quelques joueurs fort talentueux comme Hirsto Yanev ou Nassim Akrour (absent ce lundi), les Grenoblois proposent un jeu agréable à voir, rapide, physique mais parfois brouillon.
Si ces qualités ont permis au GF38 de se révéler comme un candidat à la montée en début de championnat, le manque de richesse de leur effectif allié à la méforme de Yanev ou aux blessures/suspensions des éléments clés de l'équipe (Akrour, Dja Djedje...), ont fait rentrer Grenoble dans les rangs.
Mais les ambitions ne se sont pas éteintes du coté des Alpes, et l'arrivée de leur nouveau manager nippon Hidétaka Ubagai peut leur donner le coup de fouet attendu. Le staff grenoblois a d'ailleurs déjà prévenu ses joueurs : après leur deux défaites de suite à l'extérieur (Ajaccio et Brest), il est hors de question d'en subir une troisième sous peine de gros changements à l'intersaison...
L'équipe alpine prévue
Pour contrer nos ptitsBbleus, Pouliquen comptera avant tout sur sa défense et sur son libéro, Steven Pelé, qui revient en forme en ce moment. Au milieu, il ne devrait pas y avoir de surprise. L'homme clé sera sans doute Yanev, leur Bulgare local (un Gargorov en dur) qui a littéralement impressionné en début de saison, assisté de Juan et de Sarr.
A l'avant, Pouliquen aura sans doute moins de solutions, vu la blessure d'Akrour ; on devrait donc avoir la joie de retrouver notre « homme au chewing-gum », j'ai nommé le mythique Cyril Chapuis (il sera d'ailleurs interdit de se moquer) au coté de Kermorgant.
La composition devrait donc ressembler à celle-ci :
Le Racing
On ne va pas s'étaler, vous savez tous que nous sommes les plus beaux, que Jpp dispose du groupe au complet, qu' Yves Deroff est largement suffisant pour museler Chapuis et que la bière des Brasseurs est moins bonne que celle de la Lanterne...
La composition devrait donc être la suivante :
Pour résumer : les clés du match
Si on regarde les précédents résultats des deux équipes et les absents de la formation grenobloise, la partie pourrait sembler aussi facile qu'un slalom sur piste verte...
C'est sans compter sur l'état d'esprit des Grenoblois à Lesdiguères qui n'ont concédé que deux défaites à domicile depuis le début de la saison... Le Racing devra donc se méfier et ne pas tomber dans la facilité sous peine de se faire rapidement déborder par une équipe de Grenoble revancharde... Le GF38 jouera avant tout sur sa hargne et son physique, ces deux qualités qui lui ont permis de battre Le Havre et de maîtriser Metz et Caen.
Le Racing est donc prévenu... Puisse Chapuis ne pas avoir l'occasion de venir nous narguer...
Un match qui s'annonce donc engagé et palpitant !
Si depuis la trêve, le Racing semble faire son petit bonhomme de chemin vers la L1, on ne peut pas en dire autant des hommes d'Yvon Pouliquen. Malgré leur récent succès obtenu aux dépens de nos concurrents direct du Havre, le GF38 plonge avec une allégresse toute relative dans l'anonymat du milieu de tableau de L2.
Avec la broutille de deux victoires au compteur depuis la trêve hivernale, les Grenoblois, un temps outsiders du championnat, semblent jouer les marmottes et se reposent en attendant des jours meilleurs...
Il faut néanmoins se méfier de la marmotte qui hiberne... Les Isèrois sont en effet coutumiers des exploits (victoire 5-1 contre Reims, 2-1 contre Le Havre) et possèdent la particularité de ne jamais avoir perdu (mis à part contre le Racing à la Meinau) contre les leaders du championnat.
Ce match s'annonce donc comme un véritable piège pour les protégés de JPP, qui seraient bien inspirés d'accroître leur substantielle avance sur le Havre avant leur débarquement en terre normande...
Petite présentation de l'équipe adverse
A l'image de leur entraîneur Yvon Pouliquen, le GF38 est une équipe engagée, faisant preuve de beaucoup d'agressivité sur le terrain (agressivité pas toujours dans le bon « sens » du terme, qui se traduit par une dernière place au classement du fair-play...).
Basée sur quelques joueurs fort talentueux comme Hirsto Yanev ou Nassim Akrour (absent ce lundi), les Grenoblois proposent un jeu agréable à voir, rapide, physique mais parfois brouillon.
Si ces qualités ont permis au GF38 de se révéler comme un candidat à la montée en début de championnat, le manque de richesse de leur effectif allié à la méforme de Yanev ou aux blessures/suspensions des éléments clés de l'équipe (Akrour, Dja Djedje...), ont fait rentrer Grenoble dans les rangs.
Mais les ambitions ne se sont pas éteintes du coté des Alpes, et l'arrivée de leur nouveau manager nippon Hidétaka Ubagai peut leur donner le coup de fouet attendu. Le staff grenoblois a d'ailleurs déjà prévenu ses joueurs : après leur deux défaites de suite à l'extérieur (Ajaccio et Brest), il est hors de question d'en subir une troisième sous peine de gros changements à l'intersaison...
L'équipe alpine prévue
Pour contrer nos ptitsBbleus, Pouliquen comptera avant tout sur sa défense et sur son libéro, Steven Pelé, qui revient en forme en ce moment. Au milieu, il ne devrait pas y avoir de surprise. L'homme clé sera sans doute Yanev, leur Bulgare local (un Gargorov en dur) qui a littéralement impressionné en début de saison, assisté de Juan et de Sarr.
A l'avant, Pouliquen aura sans doute moins de solutions, vu la blessure d'Akrour ; on devrait donc avoir la joie de retrouver notre « homme au chewing-gum », j'ai nommé le mythique Cyril Chapuis (il sera d'ailleurs interdit de se moquer) au coté de Kermorgant.
La composition devrait donc ressembler à celle-ci :
Le Racing
On ne va pas s'étaler, vous savez tous que nous sommes les plus beaux, que Jpp dispose du groupe au complet, qu' Yves Deroff est largement suffisant pour museler Chapuis et que la bière des Brasseurs est moins bonne que celle de la Lanterne...
La composition devrait donc être la suivante :
Pour résumer : les clés du match
Si on regarde les précédents résultats des deux équipes et les absents de la formation grenobloise, la partie pourrait sembler aussi facile qu'un slalom sur piste verte...
C'est sans compter sur l'état d'esprit des Grenoblois à Lesdiguères qui n'ont concédé que deux défaites à domicile depuis le début de la saison... Le Racing devra donc se méfier et ne pas tomber dans la facilité sous peine de se faire rapidement déborder par une équipe de Grenoble revancharde... Le GF38 jouera avant tout sur sa hargne et son physique, ces deux qualités qui lui ont permis de battre Le Havre et de maîtriser Metz et Caen.
Le Racing est donc prévenu... Puisse Chapuis ne pas avoir l'occasion de venir nous narguer...
Un match qui s'annonce donc engagé et palpitant !
