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- Avant-match
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- Par truite68
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Le premier match à domicile de la saison à la Meinau est toujours quelque chose de particulier. Cette journée marque généralement le supporter. Retour sur cette ambiance si spécifique et sur ces affiches où il s’est toujours passé quelque chose d’extraordinaire.
Mois d'août à Strasbourg: toujours la même ambiance… Il fait lourd, il fait chaud et il y a du monde.
L'arrivée proche du stade est toujours la même. Les rues se remplissent, les voitures commencent à se garer n'importe comment, la Couronne se vide, le McDo est plein, la tireuse de la Pizza de la Meinau fonctionne à plein régime (et en espèces bien sûr), les CRS dans leurs camionnettes scrutent on ne sait quoi sur leurs smartphones, ça commence à sentir la merguez et les groupes électrogènes font un boucan d'enfer.
Chaque année je me dis « cela fait des semaines que j’attends ce moment… Donc cette fois-ci j’y vais tôt ! Et puis avec le nombre de footix qui va se pointer, ce ne sera pas une mauvaise idée ».
Et chaque année, j’arrive devant la Meinau et je découvre des files d’attente impressionnantes plus d’une heure avant le coup d’envoi.
Je me dis, que c’est cool. Cette année tout le public y croit comme en 79… Mais en fait pas du tout ! Le public alsacien est simplement massé dans la rue de l'Extenwoerth car confronté à la nouvelle petite touche d’innovation du club pour l'accès au stade. Et l’Alsacien n’aime pas être surpris donc il râle.
Les sujets de râlerie sont presque toujours les mêmes (et tous vécus) :
1) Le club n’a pas envoyé l’abonnement et je me retrouve donc devant un guichet comme 50 autres habitués qui ne comprennent pas pourquoi ils vont rater l’échauffement. Je savais que j’aurai dû me bouger pour venir chercher le sésame au club en juillet…
2) Ma fameuse connaissance au club qui a soit disant mis une place à disposition au fameux guichet 13, a oublié de le faire.
3) Le scanner des billets n’a pas été programmé pour les nouveaux abonnements.
4) « En raison d'un litige avec l'imprimeur, la carte d'abonnement n'a pas été imprimée. Par contre si vous voulez, on peut vous imprimer tous les billets individuellement pour toute la saison ». WTF?
J’en viens même parfois à être tenté d’acheter mon billet aux jeunes des quartiers qui revendent les billets gentiment offerts par la CUS. Mais bon, comme j’ai déjà indirectement payé ce billet avec mes impôts locaux, je vais éviter de remettre une couche de mes deniers.
Une fois dans l’enceinte du stade, je découvre les joies des innovations pour faire consommer le supporter que je suis :
Quoi ? Il faut acheter un ticket pour avoir ma merguez mi-cuite ? (Terrible innovation/désillusion sous l’ère Mc Cormack).
Ah cool on peut manger des pâtes…
Sympa la petite locomotive des marrons chauds. Au mois d’août c’est tentant.
Allez hop une flams.
En s'approchant des tribunes, on découvre les buvettes pleines de monde… Dommage que les étudiants qui servent n’ont pas été formés à avoir 200 assoiffés en face d’eux. Allons-y quand même pour une bière.
Après m'être mis dans une file dédiée à mon super nouvel abonnement (où j’ai d’ailleurs l’impression comme toute file d’attente qu’elle va bien moins vite que les autres) j’entends cette éternelle légende urbaine derrière moi « yooo mais je te jure, il y a pas d’alcool dans la bière ! Esch a leurre… ». Mouais… n’empêche il me met quand même le doute le vieux…
Bon je prends quand même ma bière, j’oublie de préparer l’extra pour la consigne, donc je ralentis encore une fois tout le monde, je craque mon billet de 50 Euros malgré ma belle somme en pièces qui était toute prête, et feu : vers la tribune.
Je monte les escaliers, j’y suis presque. Je suis hyper impatient car en passant sous le quart de virage, j’ai déjà vu des tribunes déjà bien remplies à mon goût… J'entends Filser et sa voix qui rapproche doucement de celle de Jeanne Moreau, j'ai l'impression de revenir en terrain conquis, un environnement qui change peu et qui pour moi reste The Place To Be.
J’approche du Graal que j’attends depuis des semaines de vie conjugale (pas plus animées d'ailleurs malgré la disette footballistique).
Et là c'est le barrage dans l'escalier: une tribu de 10 footix bien contents et chargés d'un combo "merguez + frites + boissons" bloque l’escalier et se permet de débattre avec le stadier sur le nom du secteur. Impossible d'accéder à la/ma tribune.
Après deux (très longues) minutes de débat, le leader de ce groupe n’a toujours pas trouvé ses billets, en profite pour faire tomber ses frites et commence sérieusement à ma gaver.
Au moment, où je prépare mon plus gros accent alsacien bien salé pour les faire déguerpir, j’entends qu’ils ne sont pas dans la bonne tribune et se barrent sans s’excuser.
Bon je passe avec mon abonnement. Le stadier, tu es bien gentil mais je sais où je vais donc pas la peine de le scruter comme un ticket de rapido.
Allez hop, ça y est j’y suis. Enfin dans les gradins. J’ai une crampe dans la main à force de tenir cette tarte flambée tout flasque pour éviter qu’elle ne tombe.
Là c'est la délivrance: je suis assis, à ma place et je vois la pelouse.
Mais rapidement, un gros sentiment de virginité me vient à ce moment-là.
Mes voisins d’abonnement ne sont plus là. Place à des gens bien différents : Robert est assis là avec sa belle chemise Mise Au Green, son Eau de Cologne et son chapeau qu’il compte garder tout le match, la tribu de Chtis et leur maillot de Lens qui n’a rien à faire là puisque ce premier match est face à Saint-Etienne et une tripotée de couples de tous âges et cette fameuse odeur de cigarette bien forte et crado mais qui fait partie de l’ambiance de la Meinau.
Heureusement, après quelques minutes dans cette jungle de nouvelles têtes, on repère son ancestral voisin qui, même si on ne se que parle que très rarement, semble lui aussi heureux de vous revoir dans son tout récent bronzage de Rimini. Pour l’occasion, un simple hochement d'approbation de la tête à la Fight Club, pour se saluer.
Bon l'autre abruti qui est assis derrière moi depuis des saisons et qui est convaincu d'une théorie complotiste des arbitres contre le Racing est bien présent. Je ne le supporte pas, mais bizarrement, cette fois-ci, je suis content de le voir. Lui ne fait pas attention aux autres et dégage manu militari les chtis qui étaient assis à sa place. J'ai envie de leur dire d'aller voir les illuminations à la cathédrale, l'accueil sera plus courtois. En même temps, pour une fois, je donne raison à cet abruti.
Dans le stade, on remarque des nouveaux sponsors, des nouveaux écrans, la plus belle pelouse que l’on ait vue depuis 37 matchs (qui va à partir de ce jour se dégrader progressivement) et surtout des nouveaux joueurs.
On a alors du mal à lire les noms des nouveaux… Et en plus, on découvre avec malheur que mêmes les joueurs de la saison précédente ont changé de numéro… Quel bordel… Mais on est tout excités.
La dernière recrue avant-centre nous paraît bien grassouillette… Mais on ne dit rien. On attend de voir le match.
On sent une belle animation qui va sortir du kop… Et encore une fois le speaker va faire foirer toute la synchronisation… Les sons qui sortent des enceintes sont trop aigus... On aimerait juste entendre le kop… Je suis partagé entre regarder le kop ou le terrain, bref, c'est le bordel, on y est et c’est parti !
Et là comme à chaque fois dans ce premier match à domicile, il se passe toujours un truc spécial. Un évènement qui fait que ce match reste toujours à part dans la saison.
Pour en avoir vécu quelques-uns, je me permets de vous rappeler les plus marquants (pas toujours au niveau sportif…). Néanmoins pour ne pas faire un trop long pavé et pour rendre hommage aux anciens, seuls quelques exemples de la période avant la liquidation seront énumérés ci-dessous.
Saison 1999 – 2000
31/07/1999
RCS – Lens : 1-0
Premier match avec gros recrutement made in Claude Leroy. Des drapeaux de tous les pays sont dans la tribune Ouest (Cameroun, Autriche, Argentine, Sénégal…)
On retiendra :
- Le but de Hemdani qui semble être une bonne pioche
- Le début de la fin pour Zitelli, évident mais triste.
- Mario Haas et ses kilos en trop pour 40 MM de francs.
- Pierre Njanka et ses cuisses monstrueuses
- La main bandée de Garay qui s’est planté le doigt dans le stade Leymel de Munster
Saison 2000 – 2001
sam. 05/08/2000
RCS – Lille : 0-4
On retiendra :
- Une belle ambiance de m….
- Une facilité déconcertante pour les lillois
- Une saison qui commence bien mal (il y aura 4 défaites pour les 4 premières journées).
Saison 2005-2006
Sam 30/07/2005
RCS - Auxerre 0-0
On retiendra :
- Les 15 ans des UB et un beau tifo
- 2 cartons rouges dont celui de Pagis
- Ce même Pagis qui rate un but tout fait et qui frappe de rage dans le poteau (je pense que tout le monde a cru qu’il s’était cassé le tibia).
Saison 2007-2008
sam. 04/08/2007
RCS – Marseille 0-0
On retiendra :
- Un stade plein pour un match fermé
- Beye et Niang dans le camp d'en face... Snif!
- Les grands débuts de Renteria pour qui beaucoup de monde souhaitait le voir marquer et peut-être le voir sortir une pipe de son short
Saison 2008-2009
Sam 04/08/2008 :
RCS – Montpellier : 1-0
On retiendra :
- Ben c’est la Ligue 2… 12 000 spectateurs.
- Le but de James Fanchone qui va marquer à chaque match pendant les 5 premières journées
- A ce moment là, on se dit que le match aller est plutôt quelconque mais le match retour sera le début de la fin pour notre club.
Saison 2009-2010
Ven 07/08/2009
RCS – Chateauroux : 1-2
On retiendra :
- Le GRAND retour de Gilbert Gress avec sa belle chemise rayée à manches courtes.
- 25 000 spectateurs promis par Schilles, il y en aura 13 000.
- Un bon Magaye Gueye prometteur mais le reste est franchement mauvais
- Encore une fois, à ce moment-là, on se dit que le match aller est plutôt quelconque mais le match retour sera l’apothéose d’une saison cauchemardesque.
Saison 2010-2011
Sam. 14/08/18
RCS – Cannes: 3-3
On retiendra:
- Ca y est on découvre le National: 6000 spectateurs
- Les 20 ans des UB… Triste comme circonstances avec juste le bas du kop rempli.
- L’égalisation de Jan Koller à la 94ème minute après que le Racing ait mené 3-1…
- Le stade est vide et franchement sale...
L'arrivée proche du stade est toujours la même. Les rues se remplissent, les voitures commencent à se garer n'importe comment, la Couronne se vide, le McDo est plein, la tireuse de la Pizza de la Meinau fonctionne à plein régime (et en espèces bien sûr), les CRS dans leurs camionnettes scrutent on ne sait quoi sur leurs smartphones, ça commence à sentir la merguez et les groupes électrogènes font un boucan d'enfer.
Chaque année je me dis « cela fait des semaines que j’attends ce moment… Donc cette fois-ci j’y vais tôt ! Et puis avec le nombre de footix qui va se pointer, ce ne sera pas une mauvaise idée ».
Et chaque année, j’arrive devant la Meinau et je découvre des files d’attente impressionnantes plus d’une heure avant le coup d’envoi.
Je me dis, que c’est cool. Cette année tout le public y croit comme en 79… Mais en fait pas du tout ! Le public alsacien est simplement massé dans la rue de l'Extenwoerth car confronté à la nouvelle petite touche d’innovation du club pour l'accès au stade. Et l’Alsacien n’aime pas être surpris donc il râle.
Les sujets de râlerie sont presque toujours les mêmes (et tous vécus) :
1) Le club n’a pas envoyé l’abonnement et je me retrouve donc devant un guichet comme 50 autres habitués qui ne comprennent pas pourquoi ils vont rater l’échauffement. Je savais que j’aurai dû me bouger pour venir chercher le sésame au club en juillet…
2) Ma fameuse connaissance au club qui a soit disant mis une place à disposition au fameux guichet 13, a oublié de le faire.
3) Le scanner des billets n’a pas été programmé pour les nouveaux abonnements.
4) « En raison d'un litige avec l'imprimeur, la carte d'abonnement n'a pas été imprimée. Par contre si vous voulez, on peut vous imprimer tous les billets individuellement pour toute la saison ». WTF?
J’en viens même parfois à être tenté d’acheter mon billet aux jeunes des quartiers qui revendent les billets gentiment offerts par la CUS. Mais bon, comme j’ai déjà indirectement payé ce billet avec mes impôts locaux, je vais éviter de remettre une couche de mes deniers.
Une fois dans l’enceinte du stade, je découvre les joies des innovations pour faire consommer le supporter que je suis :
Quoi ? Il faut acheter un ticket pour avoir ma merguez mi-cuite ? (Terrible innovation/désillusion sous l’ère Mc Cormack).
Ah cool on peut manger des pâtes…
Sympa la petite locomotive des marrons chauds. Au mois d’août c’est tentant.
Allez hop une flams.
En s'approchant des tribunes, on découvre les buvettes pleines de monde… Dommage que les étudiants qui servent n’ont pas été formés à avoir 200 assoiffés en face d’eux. Allons-y quand même pour une bière.
Après m'être mis dans une file dédiée à mon super nouvel abonnement (où j’ai d’ailleurs l’impression comme toute file d’attente qu’elle va bien moins vite que les autres) j’entends cette éternelle légende urbaine derrière moi « yooo mais je te jure, il y a pas d’alcool dans la bière ! Esch a leurre… ». Mouais… n’empêche il me met quand même le doute le vieux…
Bon je prends quand même ma bière, j’oublie de préparer l’extra pour la consigne, donc je ralentis encore une fois tout le monde, je craque mon billet de 50 Euros malgré ma belle somme en pièces qui était toute prête, et feu : vers la tribune.
Je monte les escaliers, j’y suis presque. Je suis hyper impatient car en passant sous le quart de virage, j’ai déjà vu des tribunes déjà bien remplies à mon goût… J'entends Filser et sa voix qui rapproche doucement de celle de Jeanne Moreau, j'ai l'impression de revenir en terrain conquis, un environnement qui change peu et qui pour moi reste The Place To Be.
J’approche du Graal que j’attends depuis des semaines de vie conjugale (pas plus animées d'ailleurs malgré la disette footballistique).
Et là c'est le barrage dans l'escalier: une tribu de 10 footix bien contents et chargés d'un combo "merguez + frites + boissons" bloque l’escalier et se permet de débattre avec le stadier sur le nom du secteur. Impossible d'accéder à la/ma tribune.
Après deux (très longues) minutes de débat, le leader de ce groupe n’a toujours pas trouvé ses billets, en profite pour faire tomber ses frites et commence sérieusement à ma gaver.
Au moment, où je prépare mon plus gros accent alsacien bien salé pour les faire déguerpir, j’entends qu’ils ne sont pas dans la bonne tribune et se barrent sans s’excuser.
Bon je passe avec mon abonnement. Le stadier, tu es bien gentil mais je sais où je vais donc pas la peine de le scruter comme un ticket de rapido.
Allez hop, ça y est j’y suis. Enfin dans les gradins. J’ai une crampe dans la main à force de tenir cette tarte flambée tout flasque pour éviter qu’elle ne tombe.
Là c'est la délivrance: je suis assis, à ma place et je vois la pelouse.
Mais rapidement, un gros sentiment de virginité me vient à ce moment-là.
Mes voisins d’abonnement ne sont plus là. Place à des gens bien différents : Robert est assis là avec sa belle chemise Mise Au Green, son Eau de Cologne et son chapeau qu’il compte garder tout le match, la tribu de Chtis et leur maillot de Lens qui n’a rien à faire là puisque ce premier match est face à Saint-Etienne et une tripotée de couples de tous âges et cette fameuse odeur de cigarette bien forte et crado mais qui fait partie de l’ambiance de la Meinau.
Heureusement, après quelques minutes dans cette jungle de nouvelles têtes, on repère son ancestral voisin qui, même si on ne se que parle que très rarement, semble lui aussi heureux de vous revoir dans son tout récent bronzage de Rimini. Pour l’occasion, un simple hochement d'approbation de la tête à la Fight Club, pour se saluer.
Bon l'autre abruti qui est assis derrière moi depuis des saisons et qui est convaincu d'une théorie complotiste des arbitres contre le Racing est bien présent. Je ne le supporte pas, mais bizarrement, cette fois-ci, je suis content de le voir. Lui ne fait pas attention aux autres et dégage manu militari les chtis qui étaient assis à sa place. J'ai envie de leur dire d'aller voir les illuminations à la cathédrale, l'accueil sera plus courtois. En même temps, pour une fois, je donne raison à cet abruti.
Dans le stade, on remarque des nouveaux sponsors, des nouveaux écrans, la plus belle pelouse que l’on ait vue depuis 37 matchs (qui va à partir de ce jour se dégrader progressivement) et surtout des nouveaux joueurs.
On a alors du mal à lire les noms des nouveaux… Et en plus, on découvre avec malheur que mêmes les joueurs de la saison précédente ont changé de numéro… Quel bordel… Mais on est tout excités.
La dernière recrue avant-centre nous paraît bien grassouillette… Mais on ne dit rien. On attend de voir le match.
On sent une belle animation qui va sortir du kop… Et encore une fois le speaker va faire foirer toute la synchronisation… Les sons qui sortent des enceintes sont trop aigus... On aimerait juste entendre le kop… Je suis partagé entre regarder le kop ou le terrain, bref, c'est le bordel, on y est et c’est parti !
Et là comme à chaque fois dans ce premier match à domicile, il se passe toujours un truc spécial. Un évènement qui fait que ce match reste toujours à part dans la saison.
Pour en avoir vécu quelques-uns, je me permets de vous rappeler les plus marquants (pas toujours au niveau sportif…). Néanmoins pour ne pas faire un trop long pavé et pour rendre hommage aux anciens, seuls quelques exemples de la période avant la liquidation seront énumérés ci-dessous.
Saison 1999 – 2000
31/07/1999
RCS – Lens : 1-0
Premier match avec gros recrutement made in Claude Leroy. Des drapeaux de tous les pays sont dans la tribune Ouest (Cameroun, Autriche, Argentine, Sénégal…)
On retiendra :
- Le but de Hemdani qui semble être une bonne pioche
- Le début de la fin pour Zitelli, évident mais triste.
- Mario Haas et ses kilos en trop pour 40 MM de francs.
- Pierre Njanka et ses cuisses monstrueuses
- La main bandée de Garay qui s’est planté le doigt dans le stade Leymel de Munster
Saison 2000 – 2001
sam. 05/08/2000
RCS – Lille : 0-4
On retiendra :
- Une belle ambiance de m….
- Une facilité déconcertante pour les lillois
- Une saison qui commence bien mal (il y aura 4 défaites pour les 4 premières journées).
Saison 2005-2006
Sam 30/07/2005
RCS - Auxerre 0-0
On retiendra :
- Les 15 ans des UB et un beau tifo
- 2 cartons rouges dont celui de Pagis
- Ce même Pagis qui rate un but tout fait et qui frappe de rage dans le poteau (je pense que tout le monde a cru qu’il s’était cassé le tibia).
Saison 2007-2008
sam. 04/08/2007
RCS – Marseille 0-0
On retiendra :
- Un stade plein pour un match fermé
- Beye et Niang dans le camp d'en face... Snif!
- Les grands débuts de Renteria pour qui beaucoup de monde souhaitait le voir marquer et peut-être le voir sortir une pipe de son short
Saison 2008-2009
Sam 04/08/2008 :
RCS – Montpellier : 1-0
On retiendra :
- Ben c’est la Ligue 2… 12 000 spectateurs.
- Le but de James Fanchone qui va marquer à chaque match pendant les 5 premières journées
- A ce moment là, on se dit que le match aller est plutôt quelconque mais le match retour sera le début de la fin pour notre club.
Saison 2009-2010
Ven 07/08/2009
RCS – Chateauroux : 1-2
On retiendra :
- Le GRAND retour de Gilbert Gress avec sa belle chemise rayée à manches courtes.
- 25 000 spectateurs promis par Schilles, il y en aura 13 000.
- Un bon Magaye Gueye prometteur mais le reste est franchement mauvais
- Encore une fois, à ce moment-là, on se dit que le match aller est plutôt quelconque mais le match retour sera l’apothéose d’une saison cauchemardesque.
Saison 2010-2011
Sam. 14/08/18
RCS – Cannes: 3-3
On retiendra:
- Ca y est on découvre le National: 6000 spectateurs
- Les 20 ans des UB… Triste comme circonstances avec juste le bas du kop rempli.
- L’égalisation de Jan Koller à la 94ème minute après que le Racing ait mené 3-1…
- Le stade est vide et franchement sale...
