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Le Racing s'est à nouveau incliné à domicile contre un rival pour le maintien, Troyes.
Julien Stéphan reconduit l’équipe et le système présenté à Paris : seul Diallo remplace Gameiro au coup d’envoi.
L’Australien Patrick Kisnorbo présente un 4-2-3-1 avec Renaud Ripart en pointe.
La rencontre aurait pu commencer comme dans un rêve : Jeanricner Bellegarde déborde et centre sur la tête de Diallo qui ne trouve pas le cadre, de peu (2ème). En un geste, Habib Diallo aurait pu justifier la traite annuelle de son transfert onéreux environ 10 millions d’euros).
Les Troyens récitent leurs leçons récemment apprises par coeur en appliquant leur nouveau style de possession. Le Racing, comme à Paris, a tendance à laisser la balle à l’adversaire et à s’appliquer dans le placement défensif. C’est un peu plus compliqué dans la construction du jeu.
Le coup de froid arrive à la 16ème minute où les Troyens ouvrent la marque dès leur première occasion à la 16ème minute. Odobert est contré par Nyamsi à l’entrée de la surface, Renaud Ripart suit de façon opportuniste et ne rate pas l’occasion de miner le moral des locaux. Marc et Sabryna Keller font la moue en tribune (et ce n’est pas classé -18).
Rebelote quatre minutes plus tard. Djiku repousse un centre, et c’est Rony Lopes qui n’hésite pas à tirer de l’entrée de la surface en première intention. Deux occasions, deux buts pour Troyes. Ca commence à se rapprocher d’un classement -18.
Le Racing tient un peu plus la balle malgré une apathie globale. Bellegarde réveille Mateusz Lis de sa sieste par un tir de loin (35ème).
Mal remis de sa micro-sieste, Lis rate sa sortie sur un centre. La balle repoussée par Palmer-Brown arrive sur la tête de Bellegarde, qui prolonge sur celle de Diallo (42ème). Séquence tennis-ballon au stade de la Meinau. Au moins, le Racing est performant sur le football de plage.
Dans cette deuxième mi-temps, les Strasbourgeois remportent tous les duels et reprennent le contrôle du ballon. Julien Stéphan joue la carte de l’expérience et du mouvement en injectant du Gameiro en intraveineuse dans le jeu strasbourgeois. Patrick Kisnorbo répond tactiquement en faisant entrer Ugbo à la place de Ripart en pointe.
Sur un coup-franc, Habib Diallo parvient à remiser sur Kevin Gameiro qui envoie sa praline loin dans la tribune Ouest. Même Aholou tente de loin pour le même résultat. L’impuissance a définitivement gagné les rangs strasbourgeois.
Troyes gagne finalement dans la douleur et les sifflets – encore mesurés – descendent des tribunes. Strasbourg est englué à la 19ème place en proposant une prestation inquiétante, seulement illuminée par l'étincelle d’Ismael Doukouré.
L’Australien Patrick Kisnorbo présente un 4-2-3-1 avec Renaud Ripart en pointe.
La rencontre aurait pu commencer comme dans un rêve : Jeanricner Bellegarde déborde et centre sur la tête de Diallo qui ne trouve pas le cadre, de peu (2ème). En un geste, Habib Diallo aurait pu justifier la traite annuelle de son transfert onéreux environ 10 millions d’euros).
Révisions des fondamentaux
Les Troyens récitent leurs leçons récemment apprises par coeur en appliquant leur nouveau style de possession. Le Racing, comme à Paris, a tendance à laisser la balle à l’adversaire et à s’appliquer dans le placement défensif. C’est un peu plus compliqué dans la construction du jeu.
Le coup de froid arrive à la 16ème minute où les Troyens ouvrent la marque dès leur première occasion à la 16ème minute. Odobert est contré par Nyamsi à l’entrée de la surface, Renaud Ripart suit de façon opportuniste et ne rate pas l’occasion de miner le moral des locaux. Marc et Sabryna Keller font la moue en tribune (et ce n’est pas classé -18).
Rebelote quatre minutes plus tard. Djiku repousse un centre, et c’est Rony Lopes qui n’hésite pas à tirer de l’entrée de la surface en première intention. Deux occasions, deux buts pour Troyes. Ca commence à se rapprocher d’un classement -18.
C'est bloqué de tous les côtés
Comme dans le reportage d’avant match sur Amazon où Patrick Kisnorbo montre quelques lignes directrices du jeu qu’il va proposer, l’équipe troyenne arrive à couper les circuits de passe des Strasbourgeois, qui se retrouvent sans solution. Julien Stéphan aimerait bien demander un temps mort à ce moment-là pour replacer un système, mais il reste encore 25 minutes avant la mi-temps.Le Racing tient un peu plus la balle malgré une apathie globale. Bellegarde réveille Mateusz Lis de sa sieste par un tir de loin (35ème).
Mal remis de sa micro-sieste, Lis rate sa sortie sur un centre. La balle repoussée par Palmer-Brown arrive sur la tête de Bellegarde, qui prolonge sur celle de Diallo (42ème). Séquence tennis-ballon au stade de la Meinau. Au moins, le Racing est performant sur le football de plage.
Et la lumière est venue de Doukouré
Craintif jusqu’ici, Ismael Doukouré s’approche un peu plus de la surface et tente un premier centre-tir du gauche. A la 54ème, Doukouré lâche une praline des 25 mètres qui fait mouche dans la lucarne du gardien troyen (2-2).Dans cette deuxième mi-temps, les Strasbourgeois remportent tous les duels et reprennent le contrôle du ballon. Julien Stéphan joue la carte de l’expérience et du mouvement en injectant du Gameiro en intraveineuse dans le jeu strasbourgeois. Patrick Kisnorbo répond tactiquement en faisant entrer Ugbo à la place de Ripart en pointe.
Retour sur terre
Rony Lopes va jouer un corner et sait que ça sera son dernier ballon avant de sortir. Il joue son corner directement vers l’entrée de la surface où l’attend Xavier Chavalerin qui envoie une merveille de reprise en volée (2-3, 78è). Le Racing a de nouveau la tête dans le seau et la défense en zone est définitivement à ranger aux placards.Sur un coup-franc, Habib Diallo parvient à remiser sur Kevin Gameiro qui envoie sa praline loin dans la tribune Ouest. Même Aholou tente de loin pour le même résultat. L’impuissance a définitivement gagné les rangs strasbourgeois.
Troyes gagne finalement dans la douleur et les sifflets – encore mesurés – descendent des tribunes. Strasbourg est englué à la 19ème place en proposant une prestation inquiétante, seulement illuminée par l'étincelle d’Ismael Doukouré.