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- Après-match
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- Par marc
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Décidemment, les matchs se suivent et se ressemblent avec les Strasbourgeois. Face à une des équipes réputées les plus faibles du championnat, le Racing a été incapable de faire le jeu et surtout de se montrer dangereux.
Bien décidé à retourner à son 4-4-2 favori, le coach strasbourgeois a reconduit la même défense que face à Saint-Etienne avec la charnière Haggui-Kanté et les latéraux Boka et Deroff. Au milieu, petite innovation avec la titularisation d'Alexander Farnerud sur le côté droit. Salim Arrache, quant à lui, profite encore du forfait de Le Pen pour être aligné d'entrée sur le côté gauche. Un peu en retrait, Johansen et Bassila se charge de la récupération tandis que la doublette Niang-Pagis est évidemment présente en attaque.
Pagis, encore au dessus du lot ce soir, anime le début de match et touche beaucoup de ballons. C'est d'ailleurs lui qui est bien placé pour marquer le premier but. Sur un débordement de Niang, Arrache lancé à toute vitesse frappe le ballon sans contrôle des 16 mètres en coin, son centre-tir est mal repoussé par Laurent Weber, le régional de l'étape, qui offre le ballon de but à Mickaël Pagis. On joue la 17ème minute de jeu, c'est la première fois de la saison que le Racing mène au score.
On se dirige tranquillement vers la mi-temps à un rythme peu soutenu. Le jeu est haché et l'arbitre est souvent amené à siffler des fautes des deux côtés. Arrache, sur son côté gauche, se distingue par une belle combativité et des centres dangereux dont un que Weber repousse juste devant Niang. Sur le côté droit, Farnerud est aux abonnés absents. Le Racing attaque presque exclusivement par le côté du Franco-Algérien. De leurs côtés, les Istréens ne sont pas ridicules et tentent leur chance, notamment de loin par l'intermédiaire de N'Diaye. La dernière occasion de la mi-temps est en or mais elle est ratée par Mamadou Niang qui, lancé à merveille par Pagis, rate son un contre un face à l'ancien Racingman Weber. 1-0 à la mi-temps. C'est bien payé.
Dès les premières secondes de la deuxième période, le capitaine Bassila met son équipe en danger avec une passe latérale mal ajustée interceptée par un Provençal qui heureusement butte sur un bon Haggui. Une minute plus tard, un coup franc côté gauche amène le danger devant les buts de l'excellent Vercoutre. Après un joli cafouillage aux 5 mètres, c'est N'Diaye qui marque repoussant presque sans le faire exprès un dégagement de Farnerud venu aidé sa défense. 1-1, tout est à refaire.
Le Racing entre alors dans son rôle préféré depuis le début de la saison, celui d'une équipe sans tactique qui ne sait pas jouer au ballon. Pendant presque une demi-heure, les Strasbourgeois se sont contentés de balancer des ballons devant espérant sans doute qu'une intervention divine viendrait les pousser dans le but des Istréens. Niang, transparent pendant 50 minutes, est remplacé par le jeune Mphela. Le Sénégalais, touché aux adducteurs en première mi-temps, a droit à un concert de sifflets quasi mérité lors de sa sortie du terrain. Ce changement de joueurs ne changera rien à la partie. Les balles sont aériennes et à ce petit jeu les Strasbourgeois sont mauvais. Bassila aura beau apporté sa grande taille, ça n'y changera rien.
Il faudra attendre les dernières minutes du match pour voir des bribes d'actions correctes. Arrache, le meilleur sur le terrain, est sorti, remplacé par Lacour à un quart d'heure de la fin. Avec ce milieu remanié où Farnerud joue en électron libre, le Racing arrive enfin à jouer à terre et les offensives sont plus franches. Farnerud, sort enfin la tête du trou et se crée deux belles occasions. C'est insuffisant. Les Strasbourgeois auraient pu jouer deux heures de plus, ils n'auraient sans doute pas marquer.
Le Racing a deux points aujourd'hui. Après avoir joué des « petits », il va attaquer un mois de septembre qui s'annonce plus que périlleux. Avec un déplacement à Monaco, suivi de la réception de Lens, et deux déplacements consécutifs à Caen et à Paris, on a de quoi avoir très peur. Si encore il était permis de croire en cette équipe... seulement, plus que les individualités, c'est le collectif qui n'est pas bon. Difficile d'imaginer que cette saison ne sera pas pénible, oh oui...
Pagis, encore au dessus du lot ce soir, anime le début de match et touche beaucoup de ballons. C'est d'ailleurs lui qui est bien placé pour marquer le premier but. Sur un débordement de Niang, Arrache lancé à toute vitesse frappe le ballon sans contrôle des 16 mètres en coin, son centre-tir est mal repoussé par Laurent Weber, le régional de l'étape, qui offre le ballon de but à Mickaël Pagis. On joue la 17ème minute de jeu, c'est la première fois de la saison que le Racing mène au score.
On se dirige tranquillement vers la mi-temps à un rythme peu soutenu. Le jeu est haché et l'arbitre est souvent amené à siffler des fautes des deux côtés. Arrache, sur son côté gauche, se distingue par une belle combativité et des centres dangereux dont un que Weber repousse juste devant Niang. Sur le côté droit, Farnerud est aux abonnés absents. Le Racing attaque presque exclusivement par le côté du Franco-Algérien. De leurs côtés, les Istréens ne sont pas ridicules et tentent leur chance, notamment de loin par l'intermédiaire de N'Diaye. La dernière occasion de la mi-temps est en or mais elle est ratée par Mamadou Niang qui, lancé à merveille par Pagis, rate son un contre un face à l'ancien Racingman Weber. 1-0 à la mi-temps. C'est bien payé.
Dès les premières secondes de la deuxième période, le capitaine Bassila met son équipe en danger avec une passe latérale mal ajustée interceptée par un Provençal qui heureusement butte sur un bon Haggui. Une minute plus tard, un coup franc côté gauche amène le danger devant les buts de l'excellent Vercoutre. Après un joli cafouillage aux 5 mètres, c'est N'Diaye qui marque repoussant presque sans le faire exprès un dégagement de Farnerud venu aidé sa défense. 1-1, tout est à refaire.
Le Racing entre alors dans son rôle préféré depuis le début de la saison, celui d'une équipe sans tactique qui ne sait pas jouer au ballon. Pendant presque une demi-heure, les Strasbourgeois se sont contentés de balancer des ballons devant espérant sans doute qu'une intervention divine viendrait les pousser dans le but des Istréens. Niang, transparent pendant 50 minutes, est remplacé par le jeune Mphela. Le Sénégalais, touché aux adducteurs en première mi-temps, a droit à un concert de sifflets quasi mérité lors de sa sortie du terrain. Ce changement de joueurs ne changera rien à la partie. Les balles sont aériennes et à ce petit jeu les Strasbourgeois sont mauvais. Bassila aura beau apporté sa grande taille, ça n'y changera rien.
Il faudra attendre les dernières minutes du match pour voir des bribes d'actions correctes. Arrache, le meilleur sur le terrain, est sorti, remplacé par Lacour à un quart d'heure de la fin. Avec ce milieu remanié où Farnerud joue en électron libre, le Racing arrive enfin à jouer à terre et les offensives sont plus franches. Farnerud, sort enfin la tête du trou et se crée deux belles occasions. C'est insuffisant. Les Strasbourgeois auraient pu jouer deux heures de plus, ils n'auraient sans doute pas marquer.
Le Racing a deux points aujourd'hui. Après avoir joué des « petits », il va attaquer un mois de septembre qui s'annonce plus que périlleux. Avec un déplacement à Monaco, suivi de la réception de Lens, et deux déplacements consécutifs à Caen et à Paris, on a de quoi avoir très peur. Si encore il était permis de croire en cette équipe... seulement, plus que les individualités, c'est le collectif qui n'est pas bon. Difficile d'imaginer que cette saison ne sera pas pénible, oh oui...
