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- Par racingn13
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Inefficace et en méforme totale depuis le début de la saison, le Mamadou Niang déçoit. Autant ses dirigeants que ses supporters.
Chouchou de la Meinau il y a encore un an, Mamadou Niang est, aujourd'hui, presque devenu un fantôme dans les surfaces de réparation adverses voire même un spectre errant sur les terrains, si bien qu'on se demande si le numéro 11 du Racing connaît sa chance. Sa chance de pouvoir exercer ce métier de rêve qu'est le football de haut niveau ; sa chance, tout simplement d'avoir la santé, de pouvoir manger à sa faim, même plus qu'à sa faim, à en juger ses 4 kilos de trop. Mais le Sénégalais, lui, n'a pas l'air de s'en rendre compte. Il donne plutôt l'impression d'être très peu concerné par tout ça, à commencer par le Racing.
Souvenons-nous, lors de la victoire du Racing à Montpellier, synonyme de maintien, Niang était le seul à faire grise mine. Déçu d'avoir loupé la deuxième partie de la saison, pensait-on. En tout cas, on attendait un lion de la Terranga remotivé, gonflé à bloc pour ce début de saison, notamment pour son association prometteuse en attaque avec l'ex-Sochalien Mickaël Pagis venu enfin pallier le départ de son pote Ljuboja pour Paris.
« Super ! » se dit-on, enfin une attaque digne de ce nom après des mois de disette offensive en fin de saison dernière. Tout semblait alors aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, Niang scorant même lors de son premier match de préparation avec le Racing contre les Tchèques de Jablonec. Mais lors de ce même match, Mamadou se blesse et est indisponible jusqu'à la reprise du championnat. Et on connaît la suite...
A l'inverse d'un Pagis rayonnant et généreux dans l'effort, Niang semble blasé et pas motivé pour un sou. Et dans le même temps, c'est toute l'équipe strasbourgeoise qui traverse sa crise estivale en alignant les mauvais résultats. « On va changer de mélodie! » tempêtait Egon Gindorf après le non match face à Istres. Cette phrase annonçait le début du grand nettoyage de la rentrée: fini les portables et les casquettes dans le vestiaire, même régime pour Mamadou Niang, envoyé en "cure de d'amaigrissement" en Italie, à Merano, pour se refaire une santé et quitter sa nette surcharge pondérale. Il y a croisé Mido, l'attaquant marseillais, parti, lui, 10 jours au milieu des Spas italiens. L'Egyptien y aurait perdu 4 kilos... pile poil le compte pour le Strasbourgeois !
«Nous lui avons fait confiance, nous avons été patients avec lui, mais maintenant nous avons dit stop » déclarait Antoine Kombouaré au lendemain du match face à Istres au cours duquel Niang a été plus que transparent. C'est toute l'hygiène de vie du Sénégalais qui est montrée du doigt. Il est vrai que le métier de footballeur professionnel implique certaines contraintes au quotidien, mais sont-elles si invivables et intenables ?
Le Sénégalais serait-il en train d'imiter José-Luis Chilavert célèbre également en son temps pour sa surcharge pondérale ? En tout cas, une chose est sûre: Niang ne sera pas de la partie à Monaco, ne rentrant d'Italie que jeudi. Mais s'il veut à nouveau revêtir la tunique strasbourgeoise, il lui faudra regagner la confiance des ses dirigeants. Et de ses supporters.
Souvenons-nous, lors de la victoire du Racing à Montpellier, synonyme de maintien, Niang était le seul à faire grise mine. Déçu d'avoir loupé la deuxième partie de la saison, pensait-on. En tout cas, on attendait un lion de la Terranga remotivé, gonflé à bloc pour ce début de saison, notamment pour son association prometteuse en attaque avec l'ex-Sochalien Mickaël Pagis venu enfin pallier le départ de son pote Ljuboja pour Paris.
« Super ! » se dit-on, enfin une attaque digne de ce nom après des mois de disette offensive en fin de saison dernière. Tout semblait alors aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, Niang scorant même lors de son premier match de préparation avec le Racing contre les Tchèques de Jablonec. Mais lors de ce même match, Mamadou se blesse et est indisponible jusqu'à la reprise du championnat. Et on connaît la suite...
A l'inverse d'un Pagis rayonnant et généreux dans l'effort, Niang semble blasé et pas motivé pour un sou. Et dans le même temps, c'est toute l'équipe strasbourgeoise qui traverse sa crise estivale en alignant les mauvais résultats. « On va changer de mélodie! » tempêtait Egon Gindorf après le non match face à Istres. Cette phrase annonçait le début du grand nettoyage de la rentrée: fini les portables et les casquettes dans le vestiaire, même régime pour Mamadou Niang, envoyé en "cure de d'amaigrissement" en Italie, à Merano, pour se refaire une santé et quitter sa nette surcharge pondérale. Il y a croisé Mido, l'attaquant marseillais, parti, lui, 10 jours au milieu des Spas italiens. L'Egyptien y aurait perdu 4 kilos... pile poil le compte pour le Strasbourgeois !
«Nous lui avons fait confiance, nous avons été patients avec lui, mais maintenant nous avons dit stop » déclarait Antoine Kombouaré au lendemain du match face à Istres au cours duquel Niang a été plus que transparent. C'est toute l'hygiène de vie du Sénégalais qui est montrée du doigt. Il est vrai que le métier de footballeur professionnel implique certaines contraintes au quotidien, mais sont-elles si invivables et intenables ?
Le Sénégalais serait-il en train d'imiter José-Luis Chilavert célèbre également en son temps pour sa surcharge pondérale ? En tout cas, une chose est sûre: Niang ne sera pas de la partie à Monaco, ne rentrant d'Italie que jeudi. Mais s'il veut à nouveau revêtir la tunique strasbourgeoise, il lui faudra regagner la confiance des ses dirigeants. Et de ses supporters.
