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- Par loucorsu
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Les sanglots longs... très longs. Qui ne font que renforcer une histoire quasi-inéluctable. La mort d'un club, ou sa survie.
J'aime taquiner le directeur de mon école. Un certain Thierry W. Administrateur du Racing. Évidemment, je suis Corse, il est Alsacien. Je vis SC Bastia, il vit Racing. Maintenant on ne joue plus, on ne rit plus.
Cela fait presque treize ans que je vis en Alsace. Au gré des "Yo-yo" du Racing, des victoires en Coupe de France, en Coupe de la Ligue, des défaites incongrues, j'ai vécu, avec un peu de recul certes, la tempétueuse histoire du club alsacien.
La trajectoire de nos clubs est parallèle - sportivement parlant - mais au fil des semaines, et avec la politique de la terre brûlée enclenchée par Jafar Hilali, on ne peut que regretter ces heures, ces semaines, ces années perdues.
Mon coeur footballistique bat pour les clubs en danger. Le Racing l'est. Poumon de la ville, aller au Stade est (était) ici comme une thérapie. Bouillon d'humeurs, de cris de joie, d'invectives, on ne peut qu'être attentif et circonspect sur l'avenir du Racing.
Ayant habité durant quelques années sur la Riviera, je me souviens de l'été 2002. L'OGC Nice luttait pour sa survie extra-sportive. Brillamment promu en Ligue 1 au terme d'une saison 2001-2002 de toute beauté, le club Rouge et Noir était au bord du gouffre. Luc Dayan, Alain Afflelou, Robert Cassone et consorts se sont succédés pour montrer leur bel apparat sans pour autant sauver le club. La ville et les supporters se sont mobilisés comme jamais auparavant.
Le « Gym » était sauvé à quelques encablures de la première journée de Ligue 1 2002-2003. On connaît la suite, l'OGC Nice s'est battu jusqu'à la trentième journée pour le titre.
Un grand philosophe sportif en a fait son leitmotiv : « Mobilisez-vous ! »
Ne laissez pas un ersatz de président prendre le pouvoir par l'argent, pour l'argent. Luttez, Gueulez, Ne baissez pas les bras ! L'avenir du Club est bien plus important qu'un compte en banque obscur.
Cela fait presque treize ans que je vis en Alsace. Au gré des "Yo-yo" du Racing, des victoires en Coupe de France, en Coupe de la Ligue, des défaites incongrues, j'ai vécu, avec un peu de recul certes, la tempétueuse histoire du club alsacien.
La trajectoire de nos clubs est parallèle - sportivement parlant - mais au fil des semaines, et avec la politique de la terre brûlée enclenchée par Jafar Hilali, on ne peut que regretter ces heures, ces semaines, ces années perdues.
Mon coeur footballistique bat pour les clubs en danger. Le Racing l'est. Poumon de la ville, aller au Stade est (était) ici comme une thérapie. Bouillon d'humeurs, de cris de joie, d'invectives, on ne peut qu'être attentif et circonspect sur l'avenir du Racing.
Ayant habité durant quelques années sur la Riviera, je me souviens de l'été 2002. L'OGC Nice luttait pour sa survie extra-sportive. Brillamment promu en Ligue 1 au terme d'une saison 2001-2002 de toute beauté, le club Rouge et Noir était au bord du gouffre. Luc Dayan, Alain Afflelou, Robert Cassone et consorts se sont succédés pour montrer leur bel apparat sans pour autant sauver le club. La ville et les supporters se sont mobilisés comme jamais auparavant.
Le « Gym » était sauvé à quelques encablures de la première journée de Ligue 1 2002-2003. On connaît la suite, l'OGC Nice s'est battu jusqu'à la trentième journée pour le titre.
Un grand philosophe sportif en a fait son leitmotiv : « Mobilisez-vous ! »
Ne laissez pas un ersatz de président prendre le pouvoir par l'argent, pour l'argent. Luttez, Gueulez, Ne baissez pas les bras ! L'avenir du Club est bien plus important qu'un compte en banque obscur.
