Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

PSG, déshydratation collective

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Date
Catégorie
Souvenir/anecdote
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Par il-vecchio
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Mémoires d'anté-liquidation. Souvenirs de mai 1979 et du mythique Racing-PSG, dans une Meinau en fusion et assoiffée, dans l'espoir DU titre.

Mémoires d'anté-liquidation.
foralla-achtasachzig m'ayant verzìrnt avec son allusion à Sochaux qui rencontrait Montpellier, tandis que nous affrontions la 2, j'ai décidé d'ouvrir l'armoire aux souvenirs.


C'était un temps où lorsqu'un film marchait on tournait une suite, mais sans la nommer 2 ou 3 ou 4, un temps où les émissions télé duraient plus d'une saison et ne se voyaient pas affublées d'un ridicule numéro d'ordre à leur retour à l'automne. C'était un temps aujourd'hui révolu.

Infrastructures


Les routes et la bagnole


L'Alsace bien que surpeuplée, l'était bien moins que de nos jours. Elle exerçait un pouvoir d'attraction sur les Hààs et autres gens de l'Intérieur. La bagnole régnait déjà en maîtresse, mais tout un chacun ne disposait pas du vénéré tas de ferraille dépourvu d'électronique et bien rares étaient les ménages alignant deux automobiles sur le trottoir. Le réseau autoroutier était embryonnaire, un bout d'autoroute d'Innenheim à Strass qui avait été prolongé en A4 sur Paris. L'embranchement A35 vers Lauterbourg était inexistant et c'est tout juste s'il y avait quelques kilomètres d'A36 à proximité de Mulhouse et un moignon vers l'aéroport de Bâle-Mulhouse. De Colmar à Mulhouse s'offrait le choix entre la RN83 par Cernay et la RN422 à 3 voies par Ste-Croix-en-Plaine. La traversée de Colmar était un calvaire, celle de Sélestat supportable, les deux villes étant reliées par la RN83 à 4 voies. Terrible RN83, axe Nord-Sud qui mettait les nerfs des automobilistes en pelote aux alentours de Strasbourg avec les célèbres « feux de Fegersheim » . Mais 's hèt sich besser g'fàhra ass hìtt. Une fois dans Strossburi, la RN83 se nommait route de Colmar et passait déjà à proximité du stade.


La Meinau


Ah la Meinau, la Meinau d'avant, celle où j'ai vécu mes premières émotions avec le Racing. Un stade ovale, avec une seule tribune assise, la Nord, dont la partie présidentielle disposait de sièges rembourrés, une tribune debout, la Sud, dont le milieu face au couloir d'entrée des joueurs se nommait « le coin des fanas » , les ancêtres des ultras. Nul capo, nul chant composé et encore moins de Humba, mais des « Allez les Bleus » , « Allez les Bleus et Blancs » scandés sur l'air des lampions. Les quarts de virages et les virages exposés à tout vent méritaient leur nom, puisque véritables courbes. Entre les tribunes et la pelouse demeurait une antique piste d'athlétisme cendrée occupée par les « bancs de piste » , simples bancs de fête de village, sur 3 ou 4 rangées, permettant d'être assis au ras de la pelouse.


L'adversaire


L'adversaire de cette soirée se nommait PSG, ni Un, ni Deux, puisque le Racing évoluait encore en Division 1. Le PS quoi? Le PSG, club créé de toutes pièces en 1970, intégré on ne sait comment à la D I, dirigé par un couturier, un type qui faisait dans le people, le prêt-à-porter, le parisianisme. Wie hèt 'r wìder g'heissa ?? Hechter, je crois, ou un truc dans le genre. Un club parisien, rien que parisien, sans histoire (il est ici question d'Histoire et non d'histoires comme on n'en connait que trop bien chez nous), sans palmarès. Rien. Rien, hormis ce parisianisme et un Argentin, un nommé Bianchi qui termina la saison comme meilleur buteur avec 38 réalisations. Ah! En ce temps, on ne s'émerveillait pas devant un joueur qui finissait laborieusement le championnat à 15 buts comme aujourd'hui, où la presse le porte au pinacle, lui érige un éphémère piédestal devant lequel se prosternent les investisseurs, brandissant carnets de chèques à sa vue et déposant d'énormes malles gonflées de billets en guise d'offrande.

D'r Bianchi. D'r Specht un d'r Dugué wara uffpàssa müan. Il faudrait le surveiller celui là.

Contextes


Sportif


Nous jouions la 37e et avant-dernière journée du championnat avec juste deux petits points d'avance sur Nantes et Saint-Étienne, cadors de l'époque. La victoire ne valait alors que 2 points. Cette journée ne nous donnerait ni ne nous ferait perdre le titre, mais « victoire impérative » , pour maintenir les adversaires à distance. Avant-dernière journée, donc dernière rencontre à la Meinau. Pour la première fois, le Racing, équipe « étrangère » , la Coupe 1966 n'avait elle pas quitté la France selon Thierry Roland, équipe méprisée par la presse parisienne était en mesure de décrocher le titre.

Sociologique


L'Alsace était plus homogène qu'aujourd'hui, la population moins brassée et malgré les deux campagnes de francisation post-guerres mondiales, on y parlait encore souvent le dialecte. Région des austères marches de l'Est, région ostracisée pour son accent et son dialecte, région jalousée pour sa prospérité, région rackettée pour financer le désenclavement des autres, région délaissée pour tous investissements de l'Etat centralisateur jacobin. Région ballottée au gré des guerres, ayant perdu trop de ses fils dans chaque camp, où le souvenir du procès de Bordeaux demeurait prégnant. Àndlich hà m'r à Gelajeheit ghèt dana Hààs 's z' zaja. Enfin l'occasion se présentait de leur en remontrer à ces gens de l'Intérieur. D'autant plus que l'équipe était entrainée par un Alsacien qui y avait joué, Schilles et dont l'ossature était alsacienne, Specht, Marx, Deutschmann, Ehrlacher, Gemmrich, Wagner.


Presse et communication


Pour s'informer, c'était au choix, DNA, L'Alsace ou le Nouvel Alsacien. Au choix, car nul n'achetait plusieurs de ces titres. Oui, j'ai bien dit « acheter » , car la presse se lisait exclusivement sous forme papier. Eut-il été possible qu'existât une autre forme ? Pas même en rêve. Les forums se tenaient au Stammtisch de la Winstub ou de la Bierstub locale et autour des mains courantes le dimanche au stade. La seule information fiable était fournie par la presse, le reste n'étaient que rumeurs d'einer wo ni kann, der kannt einer uff'm Racing un hèt'm erzählt.... Le Racing sur les écrans, n'avait sa place qu'au journal de FR3 commenté par Christian Daniel avec son accent du Sud. Pas de grand format karimediasoc, de résumés StrasTV, TSL de diffusions TSL et StrasTV, ni clips persos filmés avec un portable et postés sur Youtube. Le téléphone était relié au mur par un fil et les communications hors circonscription de taxe faisaient mal au portefeuille. Quant à « ton tube » , c'était celui de dentifrice.

Nul ne «  twittait » ou ne « tweetait » , mais tous ignoraient ce mot. Pas de RCS-Live, mais de ci de là, quelques spectateurs avaient le poste à transistor collé à l'oreille et propageaient ainsi les scores des adversaires au reste du stade. Ne risqué-je pas de choquer les jeunes générations en leur annonçant que cette radio avait les dimensions d'un demi-ordinateur portable pour 4-5 cm d'épaisseur et ne permettait au mieux que d'écouter les grandes ondes, ondes moyennes et la modulation de fréquence (bande FM) ?

Pour ce match, aucune, mais alors aucune communication du club, pour la bonne et simple raison qu'il ne disposait pas de son site web, puisqu'internet n'existait pas.

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Nous avons pu vivre, j'écris vivre, pas survivre, sans internet, sans forums, sans Racingstub, sans téléphone portable, sans Youtube, sans Twitter et même sans Facebook. Mais en ce temps là, on compensait. En effet, à la Meinau, on servait de la bière les saucisses étaient bien grillées...

Sauf que ce soir là...


PSG 79, LE record



Pas de communication, pas d'André Bord à bord d'une voiture surmontée d'un haut-parleur sillonnant la campagne pour rameuter toute l'Alsace au son de « kumma, kumma, kumma d'r Racing geja d' PSG z'sahn!» et pourtant tout le monde sentait que la Meinau allait éclater ce soir là.

Pas très grand, je savais qu'à une place normale en quart de virage avec ces marches, de 10 cm de haut il eut suffi qu'un grand se plaçât devant moi pour me priver du spectacle. L'avenir appartient à ceux qui viennent à la Meinau tôt pour avoir ma place en quart-de-virage Sud-Est à mi-hauteur, accoudé à la balustrade séparant deux blocs. Même un basketteur dans le bloc inférieur n'aurait pu me masquer la vue. Je franchis donc les grilles du stade en ce 29 mai à 18h, gagnai ma place en attendant que mon père me rejoigne. Le stade se remplissait bien, mais mon père parvint à se glisser jusqu'à moi.


La Meinau amputée


La Meinau n'était plus celle décrite plus haut. En effet, en vue de l'Euro 84, les travaux de reconstruction avaient débuté et tout le virage Ouest était à terre. Palissades et coffrages s'y élevaient au milieu des tiges de fer dressées. La capacité nominale de la Meinau était réduite de 35.000 à 29.000 spectateurs, largement suffisante pour accueillir Belfort-Sud en 2012, mais limite-limite ce soir.


Le train des Haut-Rhinois



Le stade se garnissait à vue d'oeil. Il se gonflait plus rapidement que nos rivières à la fonte des neiges. Le développement du marché automobile et des infrastructures routières n'étant pas abouti, de nombreux spectateurs venaient du Haut-Rhin en train, un train qui partait de St-Louis, s'arrêtait à quelques gares régionales haut-rhinoises, le dernier arrêt étant à Sélestat, que verdammi je sais que c'est pas dans le Owerland c'est pas la peine de me mett'r dans « plus belle la chéografie sur la Stub »!! Tout ce beau monde débarquait en gare marchandises de Neudorf et gagnait le stade à pied.

Nous étions serrés comme des sardines tandis qu'à intervalles réguliers le speaker nous demandait de nous serrer pour faire de la place au train des Haut-Rhinois qui allait arriver. Se serrer? Mais comment, nous étions tous déjà serrés.

C'est alors que se déversa le flux des Haut-Rhinois. Il se raconte que face à la masse de spectateurs, l'on ouvrit toutes grandes les grilles afin d'éviter l'émeute. De ma place, scotché à la balustrade je ne pus m'en rendre compte et je ne lus rien dans la presse.

« Serrez vous! Serrez vous! Faites de la place au train des Haut-Rhinois! » réclamait le speaker. Ja wo?? 's esch scho àlles voll. Le système D l'emporta sur le règlement et l'on vit le chantier de la tribune Ouest se garnir. Coffrages et palissades furent pris d'assaut. Les 4 mâts supportant les projecteurs servirent de murs d'escalades soutenant des grappes de spectateurs qui s'y accrochaient tant bien que mal. On eut dit des vignes surchargées aux vendanges. L'arbre surplombant le QVSE et d'autres surement servirent aussi de « tribunes auxiliaires », ainsi que tout endroit encore libre. Ce fut un miracle que nul ne tombât dans la foule en contrebas. Quant aux bancs de piste, on trouva à s'y tenir debout entre les rangées, contraignant les personnes assises à se lever.

A la rencontre suivante, la demi-finale contre Auxerre, le virage Ouest et les projecteurs étaient occupés par des CRS...

En ce temps là, l'on ne comptait pas le nombre de bras, jambes et tête(s) de spectateurs pour calculer le nombre de spectateurs. La presse communiquait un chiffre de spectateurs payants ET d'invités. Mais pour ce match, afin d'éviter tout problème avec les autorités, c'est le chiffre de 29.590 qui fut retenu (cf. fiche). Tous les présents s'accordent à dire que celui de 35.000 est plus proche de la réalité et que même celui des 35.865 spectateurs ayant assisté à la rencontre contre Saint-Étienne cette saison fut dépassé.

Impressions pêle-mêle


De la rencontre en elle-même il ne me reste plus guère de souvenirs. Ne me demandez pas le compte-rendu sportif, lisez les archives de la presse, le topic dédié, la fiche. C'était tout simplement de la folie dans les tribunes, de la joie, du plaisir pur tout au long de la rencontre sous un ciel bleu, bleu, bleu et un soleil de plomb qui comme à l'accoutumée en cette période de l'année mit tout son temps à se coucher, éblouissant le virage Est.

Bianchi, le redouté Bianchi fut mis sous l'éteignoir, aussi stérilisé qu'un bocal de mirabelles en été. Tanter, ah Tanter, placé en quart-de virage Sud-Est, je pus l'admirer tout une mi-temps puisqu'il jouait ailier droit. Lutin barbu et trappu, il virevoltait comme jamais, faisant tourner son défenseur en bourrique. Le brave sonna le rappel « A moi le PSG !! » A ce cri, deux autres solides gaillards vinrent lui prêter main forte. Des costauds, pas des mi-portions comme d'r Tanter. Il allait comprendre le nabot, l'insolent, le freluquet. Jaaa! Awer d'r Tanter esch à Fracher! Aucun, mais alors aucun respect devant les Parisiens. Ils se mirent à trois sur le petit. C'est pas gentil. Ils parvinrent à l'entourer, à le presser, le faire reculer, il allait se manger le poteau de corner. Il allait comprendre le p'tit con!


Il comprit.

Tournicota.

Tricota






Centra.

Mais les Parisiens, en hommes cultivés avaient lu Boileau (le premier qui dit au nez, aux pattes, au cul, etc. ramasse une mandale) et appliquèrent son adage « Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage » . Rien n'y fit, Tanter avait les pieds bien collés à la pelouse, mais à l'image du Racing évoluait ce soir sur un nuage.


Moiteur et promiscuité, Bàbba ich hàb Durscht.


Plus serrés que des sardines, sans possibilité de bouger, nous vibrions, criions, hurlions dans une moiteur qui nous collait l'un à l'autre. La promiscuité était extrême, nous n'étions plus que des corps bouillants d'où la sueur ne pouvait s'échapper et pourtant nos vêtement se mouillaient pis que sous une averse d'été. La tension, la passion, le spectacle nous firent oublier la faim et la soif, surtout la soif, car debout en plein soleil depuis 18h pour un coup d'envoi à 20h30 en train de brailler, cette soif me tenaillait, mais il n'y avait nul temps mort pour y songer. Ah! Ce n'était pas un de ces matches de L1 d'aujourd'hui que Canal tente de nous faire passer pour une rencontre de prestige avec bourrinage de milieu de terrain et 0-0 à la clé. Il y avait du spectacle, du jeu, des attaques, des tirs, tout ce qu'il faut pour oublier la soif.

Du moins jusqu'au coup de sifflet annonçant la mi-temps. L'arbitre siffla, les joueurs cessèrent de courir et le stade de crier. La soif se réveilla. Bàbba ich hàb Durscht. Mais nous savions que nul d'entre nous ne pouvait se rendre à la buvette, car qui allait à la chasse ce soir perdait sa place. Nix do, üsshàlta ! Et l'on tint, l'occasion était trop belle. Sentions nous qu'elle était unique ? Sentions nous que plus jamais nous ne revivrions ces instants ? Unique, oui. Plus jamais, ça non, ce n'était que le début d'une épopée, d'un cycle de domination du foot français, mais c'était la première fois, celle qu'on ne revivra plus, celle dont il faut profiter à fond. Hein ? Wàs sààsch ? Liquidation ? Ja ! Ja, ich bìn liquéfié ! Wàs Liquidation Chudissiaire ? Hé le soleil il a trop tapé sur ton Schaddel toi !

Et l'on repartit pour une seconde mi-temps du même niveau avec un petit 3-0 au final dans un stade qui exulta au coup de sifflet final.

Retour à la maison


Sortir de QVSE ne fut pas une formalité. Ce fut lent, très lent, aux antipodes des course de Tanter, Wagner, Piasecki, Marx et Cie. Demeurait l'espoir d'enfin eins trìnka. Ja Düü, les buvettes étaient prises d'assaut. Dans le flot des spectateurs nous poursuivîmes notre chemin vers la sortie. Mais une fois dans l'auto, encore fallut-il l'extraire du créneau pour progresser cahin-caha vers l'autouroute, accablés par la chaleur et la soif. Lent, très lent, surtout lorsqu'on a perdu au moins trois litres d'eau. Finalement nous nous retrouvâmes sur cette autouroute, direction le Sud.

On s'arrêtera chez Schaal à Innenheim me lança mon père. Le Cep de Vigne, le premier bistrot, pas attendre d'être à la maison. Oh, espérons qu'il soit encore ouvert, car il n'était pas loin de 23h. La circulation était fluide, le ruban noir défilait sous les phares. Bifurcation d'Entzheim, le pont avalé, accélération, montée vers le croisement pour Blaesheim en laissant de coté la station Antar déjà fermée. Nous n'entendions plus que le moteur au moment de nous engouffrer dans la descente sur Innenheim dans cette allée d'arbres. La route était alors déserte, le calme régnait. Mais une fois le feu franchi, nous comprîmes que d'autres avaient eu la même idée, pas question de se garer devant la porte de Schaal. Mon père trouva une place, gara le véhicule. Le silence se fit, à peine rompu par les claquements de portes. Là-bas, une lumière blafarde éclairait l'entrée de ce restaurant, véritable oasis pour spectateurs déshydratés.

Une fois la porte poussée, l'obscurité et le silence se déchirèrent. Des néons éclairaient les salles, malgré l'épaisseur de la fumée exhalée par les consommateurs. Des consommateurs bruyants, très bruyants, volubiles qui refaisaient le match et entrevoyaient déjà le titre. Tout comme pour quitter le stade, il fallut ici aussi attendre. Nous attendîmes et burent nos consommations. Elles ne suffirent pas à nous remettre à flot, mais au moins produisirent elles un effet désaltérant qui nous permit de terminer le trajet pour nous précipiter sur des verres d'eau salvateurs.

il-vecchio

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  • ross3 biiiim
  • chrisneudorf Kendji comme Palmade a fait parler la poudre!
  • goldman Vend billet concert Kendji 50 balles mdr
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  • gibi68 J'espère que ça se passera mieux pour Gameiro s'il part ...
  • gibi68 Il aurait pu partir avec les honneurs, mais là ça se finit en eau de boudin
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  • il-vecchio Mais on ne sait que pendant, que c'est la saison de trop.
  • il-vecchio Le problème récurrent de la saison de trop qu'on déclare ne pas vouloir faire.
  • chrisneudorf Il s'est ridiculisé en Corse et là à Sochaux
  • chrisneudorf Il aurait mieux valu pour lui d'arreter après saison dernière
  • knack90 @lafoudre Liénard est hors de forme depuis son arrivée à Sochaux. Il nous fait une Chilavert, sauf qu'il joue pas gardien.
  • alainh68 Et une meilleure différence de buts +60 pour le sporting et +44 pour benfica
  • alainh68 Sporting 7 points d'avance sur benfica à 4 journées de la fin
  • alainh68 lafoudre2 , 1 Leverkusen , 2 inter Milan , 3 Sporting je pense
  • lafoudre2 @skusunstar 1.Leverkusen 2.Inter Milan 3 RC Strasbourg
  • lafoudre2 Bizarre que Dimitri ne soit plus sur les feuilles de match de Sochaux. Quelqu'un sait-il s'il est blessé ?
  • alainh68 C'est bon , l'inter champion d'Italie après la victoire à Milan dans le derby milanais 2-1 pour l'inter
  • skysunstar 1.Leverkusen 2.Inter Milan 3. ??
  • alainh68 17 points d'avance sur le 2ème à 5 journées de la fin du championnat

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