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- Après-match
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Sous la neige mouillée, la cigogne s'envole dans les étoiles, le hot-dog hallal dans le bec et les yeux plein d'espoirs.
Il est 16h et nous sommes sur la route à proximité de Lyon. Il pleut sans discontinuer dans la région depuis le matin. Il neige même par moment malgré les deux degrés indiqués sur le tableau de bord.
A 16h30, arrivés tôt au stade, il n'y a personne pour nous accueillir au guichet. Dans les tribunes du stade de Balmont, quelques éducateurs expliquent le programme à quelques dizaines de gamins des alentours, venus assister au match. La question qui se pose à ce moment concerne la pelouse : sera-t-elle praticable pour ce match important pour la montée ? L'arbitre n'est pas encore présent pour le constater.
Les journalistes arrivent au compte-goutte, Barbara Schuster (DNA) en tête. Sur la plateforme en haut de la tribune viendront également s'ajouter Stéphane Godin (L'Alsace), Total Sport Live, Karim et le cadreur de Visiofoot habitué aux lieux.
Le bus strasbourgeois arrive mais ne peut pas s'approcher totalement du stade du fait de l'étroitesse de la voie. Contrairement au match à Jura Sud, les Strasbourgeois finissent le chemin à pied. Dans la foulée, après avoir déposé leurs affaires, les joueurs vont fouler la pelouse quelques instants.
Le trio arbitral arrive un peu plus tard pour les mêmes constatations d'usage. Dommage pour les Berlutti qui ont été détruites au passage.
Le bus des UB90 arrive tôt au stade, et une fois en tribunes, font rapidement connaissance avec les stadiers, dont le chef, assez "mastoc". D'autres supporters parlent allemand entre eux. Tout le monde est placé sur un côté de la tribune, bien au sec. Nous certifions sur lepatron qu'à l'arrivée du bus, il neigeait encore. Le temps se calmera au fur et à mesure du déroulement du match. Environ une centaine de Strasbourgeois sont présents au total, avec quelques membres du CCS et du KCB présents également, ainsi que quelques stubistes émérites expatriés dans la ville des Gaules.
De l'autre côté, tant que le score est encore raisonnable, quelques locaux tentent de narguer les supporters et les joueurs alsaciens : après le 1-0, "on vous entend plus chanter là !". Quelques minutes plus tard, à 1-3, les locaux se doutent que la joute verbale est vaine. A la mi-temps, la buvette est déjà liquidée, la spécialité locale des hot-dogs hallal est très courue semble-t-il. Les toilettes du stade, eux, font penser à une véritable descente dans les catacombes de la ligne Maginot.
En deuxième mi-temps, dans l'euphorie et l'incompréhension liées au résultat, les chants continuent de plus belle, et la cigogne du RCS s'envole dans les étoiles. Sur un forum, un Lyonnais affirmait entendre les chants des Strasbourgeois depuis sa fenêtre dans le quartier.
Quelques gamins essayeront de s'approcher dans le camp des supporters du RCS, mais seront renvoyés dans leurs 22 par les costauds. A la fin du match, les strasbourgeois dévalent les marches pour rejoindre Marc Keller et les quelques joueurs qui viennent au grillage les saluer. Sur la route du retour, des éclats de joie et de voix résonnèrent à l'annonce de la défaite mulhousienne et le nul raonnais.
D'autres finissent au pub en compagnie d'une charmante serveuse et d'un match de snooker.
A 16h30, arrivés tôt au stade, il n'y a personne pour nous accueillir au guichet. Dans les tribunes du stade de Balmont, quelques éducateurs expliquent le programme à quelques dizaines de gamins des alentours, venus assister au match. La question qui se pose à ce moment concerne la pelouse : sera-t-elle praticable pour ce match important pour la montée ? L'arbitre n'est pas encore présent pour le constater.
Les journalistes arrivent au compte-goutte, Barbara Schuster (DNA) en tête. Sur la plateforme en haut de la tribune viendront également s'ajouter Stéphane Godin (L'Alsace), Total Sport Live, Karim et le cadreur de Visiofoot habitué aux lieux.
Le bus strasbourgeois arrive mais ne peut pas s'approcher totalement du stade du fait de l'étroitesse de la voie. Contrairement au match à Jura Sud, les Strasbourgeois finissent le chemin à pied. Dans la foulée, après avoir déposé leurs affaires, les joueurs vont fouler la pelouse quelques instants.
Le trio arbitral arrive un peu plus tard pour les mêmes constatations d'usage. Dommage pour les Berlutti qui ont été détruites au passage.
Le bus des UB90 arrive tôt au stade, et une fois en tribunes, font rapidement connaissance avec les stadiers, dont le chef, assez "mastoc". D'autres supporters parlent allemand entre eux. Tout le monde est placé sur un côté de la tribune, bien au sec. Nous certifions sur lepatron qu'à l'arrivée du bus, il neigeait encore. Le temps se calmera au fur et à mesure du déroulement du match. Environ une centaine de Strasbourgeois sont présents au total, avec quelques membres du CCS et du KCB présents également, ainsi que quelques stubistes émérites expatriés dans la ville des Gaules.
De l'autre côté, tant que le score est encore raisonnable, quelques locaux tentent de narguer les supporters et les joueurs alsaciens : après le 1-0, "on vous entend plus chanter là !". Quelques minutes plus tard, à 1-3, les locaux se doutent que la joute verbale est vaine. A la mi-temps, la buvette est déjà liquidée, la spécialité locale des hot-dogs hallal est très courue semble-t-il. Les toilettes du stade, eux, font penser à une véritable descente dans les catacombes de la ligne Maginot.
Impossible d'afficher la vidéo YouTube hxxbEg0l3Jc via l'API [Client error: `GET https://www.youtube.com/oembed?url=https://www.youtube.com/watch?v=hxxbEg0l3Jc&format=json` resulted in a `403 Forbidden` response:
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En deuxième mi-temps, dans l'euphorie et l'incompréhension liées au résultat, les chants continuent de plus belle, et la cigogne du RCS s'envole dans les étoiles. Sur un forum, un Lyonnais affirmait entendre les chants des Strasbourgeois depuis sa fenêtre dans le quartier.
Quelques gamins essayeront de s'approcher dans le camp des supporters du RCS, mais seront renvoyés dans leurs 22 par les costauds. A la fin du match, les strasbourgeois dévalent les marches pour rejoindre Marc Keller et les quelques joueurs qui viennent au grillage les saluer. Sur la route du retour, des éclats de joie et de voix résonnèrent à l'annonce de la défaite mulhousienne et le nul raonnais.
D'autres finissent au pub en compagnie d'une charmante serveuse et d'un match de snooker.
