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- Après-match
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- Par marc
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Dans une Meinau pleine à craquer, le Racing a quasiment assuré son maintien en venant à bout de Marseille à l'ultime seconde du match. Quelle délivrance !
Le Virage du Krimmeri
Les sièges sont tous occupés et le coup d'envoi est imminent. Virginie Schaeffer, comme convenu, prend le micro pour faire découvrir « Le virage du Krimmeri », le nouvel hymne du RCS, aux supporters du Racing. L'accueil est plutôt bon et le kop s'amuse à reprendre les « Jetz geht's los » entonnés par la chanteuse alsacienne.
Le match peut débuter et c'est l'occasion de découvrir les formations concoctées par les deux entraîneurs. Comme on pouvait s'y attendre, Cédric Kanté pousse Arthur Boka sur le banc et occupe le couloir gauche de la défense. Comme convenu, Pascal Johansen et Mickaël Pagis font leur retour. Côté marseillais, le jeune Samir Nasri, un peu émoussé, a laissé sa place à un autre jeune, l'Espagnol Koke. Les deux anciens Strasbourgeois Habib Beye et Péguy Luyindula sont bien présents.
Barthez est partout
Les retardataires ont toujours tort. Après même pas 50 secondes de jeu, Mamadou Niang tente sa chance à plus de 20 mètres. Sa frappe est excellente et Barthez doit s'allonger pou repousser le ballon. Les minutes suivantes voient les deux équipes se neutraliser au milieu de terrain. Les deux blocs sont bien en place et aucune des deux équipes ne parvient à tromper la vigilance de l'autre. Mickaël Pagis, un peu en manque de rythme, parvient tout de même à distiller quelques bons ballons comme sur cette excellente ouverture pour Farnerud au deuxième poteau. La tentative de reprise de volée du Suédois échoue, mais l'intention est bonne.
A la 24ème minute de jeu, Mamadou Niang, encore lui, met à mal le portier de l'Equipe de France mais ce dernier gagne le duel et repousse le ballon du pied. Dans la foulée, c'est Keita qui récupère un ballon à 20 mètres du but et qui s'essaye du gauche. Barthez est bien placé et capte le ballon. Le Racing a les occasions les plus franches et commence à asseoir une certaine domination mais c'est Marseille qui est à deux doigts d'ouvrir le score par l'intermédiaire de Marlet, seul à 3 mètres du but, qui reprend instantanément un centre parfait de Battles venu de la droite. C'était sans compter sur Stéphane Cassard qui réalise un nouvel arrêt miraculeux... « normal » diront certains amoureux du portier alsacien.
Le match se débride enfin et c'est cette fois Alexander Farnerud, timide pendant cette première période, qui pénètre dans la surface marseillaise et qui décoche une frappe croisée du gauche. Le divin chauve se couche à nouveau parfaitement et repousse le ballon du Suédois. La mi-temps se profile et Niang teste une nouvelle fois Barthez qui repousse encore parfaitement.
L'OM butte sur un bon bloc
La deuxième période est moins riche en occasions. Des frappes lointaines se succèdent comme avec Pascal Johansen, auteur d'un gros travail face à ses anciens coéquipiers mais qui pêche un peu dans le dernier geste. La meilleure occasion tarde à venir. C'est Mickaël Pagis qui s'illustre sur un coup franc à 20 mètres très bien placé mais aussi très bien repoussé par Barthez, encore et toujours (58ème).
Marseille manoeuvre bien au milieu de terrain et peut compter sur un excellent Habib Beye en défense, mais les Olympiens ont toutes les peines du monde à franchir le dernier rideau strasbourgeois si bien qu'aucune réelle occasion, mis à part quelques raids de Luyindula, sont à noter durant cette deuxième période.
Coté strasbourgeois, c'est un peu pareil. La sortie de Pagis, remplacé par Arrache, désorganise quelque peu l'attaque alsacienne, si bien qu'on se dirige tout droit vers un 0-0 plutôt logique.
A l'ultime seconde
Mais voilà, Virginie Schaeffer avait prévenu tout le monde au moins 30 fois avant le coup d'envoi : « Chez nous on dit « jetz geht's los », c'est à vous de jouer, jamais les Bleus ne renoncent, c'est à vous de marquer ». Et les Bleus ne renoncent pas ! A l'ultime seconde du match, sur un contre (y avait-il pénalty sur Luyindula sur l'action précédente ?), Abel Mphela gâche un centre tout fait dans la surface marseillaise alors que Niang attendait le ballon aux 6 mètres. Le Sud-Africain obtient toutefois un corner que Yacine Abdessadki dépose sur la tête de Karim Haggui. L'excellent défenseur strasbourgeois remet pour Niang qui contrôle et qui fusille Barthez à bout portant. Le Racing ouvre le score, la Meinau explose de joie, les joueurs lèvent les bras au ciel : oui, le maintien est quasiment acquis se disent tous les acteurs et les spectateurs de cette rencontre.
La scène de liesse dure au plus grand plaisir de tout le public et l'arbitre siffle la fin du match sur le coup d'envoi qui suit. Les Strasbourgeois tiennent leur revanche du match aller et tiennent surtout trois points supplémentaires qui leur permettent de voir l'avenir confortablement. Il reste 6 matches au RCS pour glâner le point ou les deux points qui lui manquent pour s'assurer officiellement de sa place en L1 l'an prochain, mais cela semble bien parti. De bon augure à l'approche de la finale de la Coupe de la Ligue !
Les sièges sont tous occupés et le coup d'envoi est imminent. Virginie Schaeffer, comme convenu, prend le micro pour faire découvrir « Le virage du Krimmeri », le nouvel hymne du RCS, aux supporters du Racing. L'accueil est plutôt bon et le kop s'amuse à reprendre les « Jetz geht's los » entonnés par la chanteuse alsacienne.
Le match peut débuter et c'est l'occasion de découvrir les formations concoctées par les deux entraîneurs. Comme on pouvait s'y attendre, Cédric Kanté pousse Arthur Boka sur le banc et occupe le couloir gauche de la défense. Comme convenu, Pascal Johansen et Mickaël Pagis font leur retour. Côté marseillais, le jeune Samir Nasri, un peu émoussé, a laissé sa place à un autre jeune, l'Espagnol Koke. Les deux anciens Strasbourgeois Habib Beye et Péguy Luyindula sont bien présents.
Barthez est partout
Les retardataires ont toujours tort. Après même pas 50 secondes de jeu, Mamadou Niang tente sa chance à plus de 20 mètres. Sa frappe est excellente et Barthez doit s'allonger pou repousser le ballon. Les minutes suivantes voient les deux équipes se neutraliser au milieu de terrain. Les deux blocs sont bien en place et aucune des deux équipes ne parvient à tromper la vigilance de l'autre. Mickaël Pagis, un peu en manque de rythme, parvient tout de même à distiller quelques bons ballons comme sur cette excellente ouverture pour Farnerud au deuxième poteau. La tentative de reprise de volée du Suédois échoue, mais l'intention est bonne.
A la 24ème minute de jeu, Mamadou Niang, encore lui, met à mal le portier de l'Equipe de France mais ce dernier gagne le duel et repousse le ballon du pied. Dans la foulée, c'est Keita qui récupère un ballon à 20 mètres du but et qui s'essaye du gauche. Barthez est bien placé et capte le ballon. Le Racing a les occasions les plus franches et commence à asseoir une certaine domination mais c'est Marseille qui est à deux doigts d'ouvrir le score par l'intermédiaire de Marlet, seul à 3 mètres du but, qui reprend instantanément un centre parfait de Battles venu de la droite. C'était sans compter sur Stéphane Cassard qui réalise un nouvel arrêt miraculeux... « normal » diront certains amoureux du portier alsacien.
Le match se débride enfin et c'est cette fois Alexander Farnerud, timide pendant cette première période, qui pénètre dans la surface marseillaise et qui décoche une frappe croisée du gauche. Le divin chauve se couche à nouveau parfaitement et repousse le ballon du Suédois. La mi-temps se profile et Niang teste une nouvelle fois Barthez qui repousse encore parfaitement.
L'OM butte sur un bon bloc
La deuxième période est moins riche en occasions. Des frappes lointaines se succèdent comme avec Pascal Johansen, auteur d'un gros travail face à ses anciens coéquipiers mais qui pêche un peu dans le dernier geste. La meilleure occasion tarde à venir. C'est Mickaël Pagis qui s'illustre sur un coup franc à 20 mètres très bien placé mais aussi très bien repoussé par Barthez, encore et toujours (58ème).
Marseille manoeuvre bien au milieu de terrain et peut compter sur un excellent Habib Beye en défense, mais les Olympiens ont toutes les peines du monde à franchir le dernier rideau strasbourgeois si bien qu'aucune réelle occasion, mis à part quelques raids de Luyindula, sont à noter durant cette deuxième période.
Coté strasbourgeois, c'est un peu pareil. La sortie de Pagis, remplacé par Arrache, désorganise quelque peu l'attaque alsacienne, si bien qu'on se dirige tout droit vers un 0-0 plutôt logique.
A l'ultime seconde
Mais voilà, Virginie Schaeffer avait prévenu tout le monde au moins 30 fois avant le coup d'envoi : « Chez nous on dit « jetz geht's los », c'est à vous de jouer, jamais les Bleus ne renoncent, c'est à vous de marquer ». Et les Bleus ne renoncent pas ! A l'ultime seconde du match, sur un contre (y avait-il pénalty sur Luyindula sur l'action précédente ?), Abel Mphela gâche un centre tout fait dans la surface marseillaise alors que Niang attendait le ballon aux 6 mètres. Le Sud-Africain obtient toutefois un corner que Yacine Abdessadki dépose sur la tête de Karim Haggui. L'excellent défenseur strasbourgeois remet pour Niang qui contrôle et qui fusille Barthez à bout portant. Le Racing ouvre le score, la Meinau explose de joie, les joueurs lèvent les bras au ciel : oui, le maintien est quasiment acquis se disent tous les acteurs et les spectateurs de cette rencontre.
La scène de liesse dure au plus grand plaisir de tout le public et l'arbitre siffle la fin du match sur le coup d'envoi qui suit. Les Strasbourgeois tiennent leur revanche du match aller et tiennent surtout trois points supplémentaires qui leur permettent de voir l'avenir confortablement. Il reste 6 matches au RCS pour glâner le point ou les deux points qui lui manquent pour s'assurer officiellement de sa place en L1 l'an prochain, mais cela semble bien parti. De bon augure à l'approche de la finale de la Coupe de la Ligue !
