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- Par superdou
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Quadruple champion de France en titre, l'Olympique Lyonnais est en train de marquer au fer rouge le championnat de France de Ligue 1. Et le règne du roi Lyon ne fait peut-être que commencer...
Qui peut arrêter Lyon dans sa quête d'un cinquième titre de Champion de France ?
Poser la question, c'est aussi un peu trouver la réponse, car sur le papier, aucune équipe ne semble en mesure de rivaliser avec l'ogre lyonnais tant son effectif est au-dessus du lot, que se soit en qualité ou en quantité. La meilleure façon de s'en rendre compte est de jeter un oeil à la richesse de l'effectif de Gérard Houiller, entraîneur en mesure d'aligner deux équipes de très haut niveau :
Un recrutement équilibré
Pour arriver à une telle formation, le club lyonnais se repose sur un recrutement intelligent et complémentaire que le club a entamé il y a une dizaine d'années déjà. Ainsi, le grand attaquant norvégien John Carew renforce une attaque qui était le point faible (si tant est qu'on peut parler de point faible pour une telle équipe) de Lyon la saison dernière.
En défense, c'est le Sochalien et grand espoir du football français Sylvain Monsoreau qui a été recruté, alors que Benoît Pedretti, sans doute le milieu défensif le plus talentueux de sa génération, a quitté Marseille après une saison en demi-teinte pour rejoindre les bords du Rhône. Avec leur ex-coéquipier sochalien Pierre-Alain Frau, ces deux recrues reforment ainsi un axe qui a fait les beaux jours du club doubiste.
A noter aussi les retours de Rémy Vercoutre, qui n'a pas réussi à s'imposer au Racing, mais qui y a encore étoffé son palmarès, de François Clerc (prêté à Toulouse), sur lequel le Racing s'était renseigné l'an passé, et de Julien Viale (prêté à Reims).
Essien, partira ou partira pas ?
Au rayon des départs, Nicolas Puydebois a fait le chemin inverse de Vercoutre, et Bergougnoux a rejoint les rangs de l'ambitieux Toulouse FC. Le Brésilien Nilmar pourrait être prêté au FC Sochaux mais le plus fort est peut-être à venir. En effet, Michael Essien est courtisé par le richissime club anglais de Chelsea. Rares sont les joueurs qui refusent de telles sirènes et rares sont les clubs en mesure de refuser les offres mirobolantes du club de Roman Abramovitch. Le club aux poches profondes serait prêt à conclure le transfert pour une somme avoisinant les 45 millions d'euros... soit presque le double du budget annuel d'un club comme le Racing !
Evidemment, en cas de départ du milieu défensif ghanéen, le club rhodanien sera obligé de recruter. Ainsi, les noms de l'ancien strasbourgeois Olivier Dacourt, ou celui de Jérémy Toulalan, sont régulièrement cités. Mais le club lyonnais pourrait profiter d'une telle manne financière pour étoffer encore son attaque et recruter un autre attaquant à la dimension internationale.
Houiller remplace Le Guen
Du coup, la question la plus légitime n'est pas de savoir si le club sera à nouveau titré, mais plutôt au bout de combien de journées de championnat il le sera. Car le remplacement de Paul Le Guen qui a décidé de faire un break malgré l'insistance du président Aulas (son seul échec de l'intersaison) à le faire re-signer, par l'ancien sélectionneur national Gérard Houiller, ne semble avoir aucune conséquence quant à l'avenir du club en haut de l'affiche. L'ancien entraîneur de Liverpool, qui a déjà gagné de nombreux titres au cours de sa carrière, n'a jamais été aussi bien armé pour en gagner d'autres, que ce soit sur le plan national comme international, où le club lyonnais déborde d'ambitions, et souhaiterait être le deuxième club français à pouvoir ramener la coupe aux grandes oreilles dans l'hexagone.
En attendant une telle issue, c'est face au Racing que ce monstre va s'attaquer, et le Racing ne joue pas vraiment dans la même division...
Poser la question, c'est aussi un peu trouver la réponse, car sur le papier, aucune équipe ne semble en mesure de rivaliser avec l'ogre lyonnais tant son effectif est au-dessus du lot, que se soit en qualité ou en quantité. La meilleure façon de s'en rendre compte est de jeter un oeil à la richesse de l'effectif de Gérard Houiller, entraîneur en mesure d'aligner deux équipes de très haut niveau :
Un recrutement équilibré
Pour arriver à une telle formation, le club lyonnais se repose sur un recrutement intelligent et complémentaire que le club a entamé il y a une dizaine d'années déjà. Ainsi, le grand attaquant norvégien John Carew renforce une attaque qui était le point faible (si tant est qu'on peut parler de point faible pour une telle équipe) de Lyon la saison dernière.
En défense, c'est le Sochalien et grand espoir du football français Sylvain Monsoreau qui a été recruté, alors que Benoît Pedretti, sans doute le milieu défensif le plus talentueux de sa génération, a quitté Marseille après une saison en demi-teinte pour rejoindre les bords du Rhône. Avec leur ex-coéquipier sochalien Pierre-Alain Frau, ces deux recrues reforment ainsi un axe qui a fait les beaux jours du club doubiste.
A noter aussi les retours de Rémy Vercoutre, qui n'a pas réussi à s'imposer au Racing, mais qui y a encore étoffé son palmarès, de François Clerc (prêté à Toulouse), sur lequel le Racing s'était renseigné l'an passé, et de Julien Viale (prêté à Reims).
Essien, partira ou partira pas ?
Au rayon des départs, Nicolas Puydebois a fait le chemin inverse de Vercoutre, et Bergougnoux a rejoint les rangs de l'ambitieux Toulouse FC. Le Brésilien Nilmar pourrait être prêté au FC Sochaux mais le plus fort est peut-être à venir. En effet, Michael Essien est courtisé par le richissime club anglais de Chelsea. Rares sont les joueurs qui refusent de telles sirènes et rares sont les clubs en mesure de refuser les offres mirobolantes du club de Roman Abramovitch. Le club aux poches profondes serait prêt à conclure le transfert pour une somme avoisinant les 45 millions d'euros... soit presque le double du budget annuel d'un club comme le Racing !
Evidemment, en cas de départ du milieu défensif ghanéen, le club rhodanien sera obligé de recruter. Ainsi, les noms de l'ancien strasbourgeois Olivier Dacourt, ou celui de Jérémy Toulalan, sont régulièrement cités. Mais le club lyonnais pourrait profiter d'une telle manne financière pour étoffer encore son attaque et recruter un autre attaquant à la dimension internationale.
Houiller remplace Le Guen
Du coup, la question la plus légitime n'est pas de savoir si le club sera à nouveau titré, mais plutôt au bout de combien de journées de championnat il le sera. Car le remplacement de Paul Le Guen qui a décidé de faire un break malgré l'insistance du président Aulas (son seul échec de l'intersaison) à le faire re-signer, par l'ancien sélectionneur national Gérard Houiller, ne semble avoir aucune conséquence quant à l'avenir du club en haut de l'affiche. L'ancien entraîneur de Liverpool, qui a déjà gagné de nombreux titres au cours de sa carrière, n'a jamais été aussi bien armé pour en gagner d'autres, que ce soit sur le plan national comme international, où le club lyonnais déborde d'ambitions, et souhaiterait être le deuxième club français à pouvoir ramener la coupe aux grandes oreilles dans l'hexagone.
En attendant une telle issue, c'est face au Racing que ce monstre va s'attaquer, et le Racing ne joue pas vraiment dans la même division...
