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- Après-match
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- Par marc
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Rapidement mené au score, le Racing, malgré quelques occasions, n'est jamais apparu comme capable de remporter la victoire. A 5 points du premier relégable, la situation est critique.
Sans surprise, le Racing attaque la partie avec le même onze de départ que celui qui est venu brillamment à bout du FC Bâle en milieu de semaine. Seul Alexander Farnerud (blessé pour un mois) est remplacé par Ulrich Le Pen.
Dès l'entame, Strasbourg se fait prendre à la gorge par des Manceaux déterminés à rompre leur mauvaise série de 4 matchs sans victoire. A la deuxième minute, le virevoltant Japonais Matsui adresse depuis l'aile gauche une merveille de centre que Hautcoeur, libre de tout marquage, reprend de la tête au point de pénalty. Le coup de boule du Manceau fusille Stéphane Cassard qui laisse passer le ballon sous son ventre avant de le récupérer in-extremis... derrière la ligne. Le Mans 1-0 RCS
Cueillis à froid, les Alsaciens, visiblement émoussés et pas à 100% dans le match, démarrent alors leur course contre le score. Les hors-jeu strasbourgeois se multiplient et concluent des actions très brouillonnes. Le jeu court entrevu en Suisse en Coupe d'Europe laisse sa place à un jeu long où les lignes sont sautées systématiquement. L'absence de mouvement condamne chaque tentative des hommes de Duguépéroux. La blessure rapide de Le Pen (remplacé par Pontus Farnerud à la 28ème) n'arrange en rien les affaires strasbourgeoises.
Les Manceaux, eux, gèrent bien leur avantage au score et laissent le Racing faire le jeu tout en se montrant dangereux par l'intermédiaire de Fanchone, Thomas et encore Hautcoeur qui s'essayent tous à des frappes plus ou moins ratées. A la demi heure de jeu, on croit le Racing sur les bons rails quand Mickaël Pagis hérite d'un ballon à 3 mètres du but sur un corner cafouillé. Le capitaine strasbourgeois rate son contrôle et est repris par Pelé, le portier sarthois. L'occasion était belle ! Trois minutes plus tard, Pagis joue les meneurs de jeu et lance idéalement Amara Diané dans la profondeur. Le buteur ivoirien est à deux doigts de récupérer le ballon et d'être en position de marquer mais Pelé anticipe bien et devance le Strasbourgeois. Quelques instants après, le Racing obtient un nouveau corner. Dévié au premier poteau, le ballon rase la ligne de but et est à deux doigts (même pas !) d'être repris par Devaux. Encore une fois, les hommes de Duguépéroux ratent l'immanquable. Strasbourg semble sorti de sa torpeur et multiplie les offensives, Diané marquant même un but logiquement refusé pour une position de hors-jeu. Pontus Farnerud a lui aussi une belle occasion de relancer son équipe quand il hérite d'un centre en retrait idéal à 15 mètres du but. Alors que tout le monde voit une frappe sans contrôle, le Suédois préfère s'avancer avec le ballon et tirer au but mais sa tentative passe à côté.
C'est au plus fort de la domination alsacienne et juste avant la mi-temps que les Manceaux décident de passer la vitesse supérieure. Sur un contre bien mené par Fanchone, Daisuke Matsui tente l'intentable à 20 mètres du but de Cassard et place une merveille de frappe sous la barre. Le Mans 2-0 RCS, 43ème
Dès la mi-temps, on voit mal comment les Strasbourgeois pourraient repartir du Mans sans une défaite de plus au compteur. La seconde période viendra confirmer cette crainte. Même si Strasbourg domine la plus grande partie de la rencontre, les ballons sont mal exploités et les occasions de but pus que rare. Le Mans se contente de gérer à merveille le score. Dans ce contexte, c'est le capitaine Pagis qui tente de montrer la voie à suivre. Présent en défense, au milieu et en attaque, Pagis livre une fin de partie remarquable. Tour à tour altruiste comme sur ce service pour Lacour dont la frappe est bien captée par Pelé (68ème), ou buteur comme sur cette demi volée à bout portant sortie par le portier manceau au prix d'une parade à peine croyable (72ème), Mickaël Pagis tente de remettre le navire à flot. Mais le soutien de Carlier (entré à la place de Diané à la demi heure de jeu) et des milieux est insuffisant et le Racing se dirige vers sa énième défaite de la saison.
Avec la victoire de Sochaux et le match nul de Troyes, le Racing est désormais à 5 points du premier non relégable. On voit désormais mal comment le Racing pourrait s'en sortir. Même si son jeu n'est pas minable, l'équipe strasbourgeoise laisse cette amère sensation d'un énorme bricolage organisé. Le mercato se fait désormais attendre car il manque quelqu'un, c'est une certitude. En attendant, Duguépéroux a annoncé que les jeunes de la CFA auront sans doute leur chance mercredi en Coupe de la Ligue face à Caen. Histoire de faire souffler les titulaires paraît-il...
Dès l'entame, Strasbourg se fait prendre à la gorge par des Manceaux déterminés à rompre leur mauvaise série de 4 matchs sans victoire. A la deuxième minute, le virevoltant Japonais Matsui adresse depuis l'aile gauche une merveille de centre que Hautcoeur, libre de tout marquage, reprend de la tête au point de pénalty. Le coup de boule du Manceau fusille Stéphane Cassard qui laisse passer le ballon sous son ventre avant de le récupérer in-extremis... derrière la ligne. Le Mans 1-0 RCS
Cueillis à froid, les Alsaciens, visiblement émoussés et pas à 100% dans le match, démarrent alors leur course contre le score. Les hors-jeu strasbourgeois se multiplient et concluent des actions très brouillonnes. Le jeu court entrevu en Suisse en Coupe d'Europe laisse sa place à un jeu long où les lignes sont sautées systématiquement. L'absence de mouvement condamne chaque tentative des hommes de Duguépéroux. La blessure rapide de Le Pen (remplacé par Pontus Farnerud à la 28ème) n'arrange en rien les affaires strasbourgeoises.
Les Manceaux, eux, gèrent bien leur avantage au score et laissent le Racing faire le jeu tout en se montrant dangereux par l'intermédiaire de Fanchone, Thomas et encore Hautcoeur qui s'essayent tous à des frappes plus ou moins ratées. A la demi heure de jeu, on croit le Racing sur les bons rails quand Mickaël Pagis hérite d'un ballon à 3 mètres du but sur un corner cafouillé. Le capitaine strasbourgeois rate son contrôle et est repris par Pelé, le portier sarthois. L'occasion était belle ! Trois minutes plus tard, Pagis joue les meneurs de jeu et lance idéalement Amara Diané dans la profondeur. Le buteur ivoirien est à deux doigts de récupérer le ballon et d'être en position de marquer mais Pelé anticipe bien et devance le Strasbourgeois. Quelques instants après, le Racing obtient un nouveau corner. Dévié au premier poteau, le ballon rase la ligne de but et est à deux doigts (même pas !) d'être repris par Devaux. Encore une fois, les hommes de Duguépéroux ratent l'immanquable. Strasbourg semble sorti de sa torpeur et multiplie les offensives, Diané marquant même un but logiquement refusé pour une position de hors-jeu. Pontus Farnerud a lui aussi une belle occasion de relancer son équipe quand il hérite d'un centre en retrait idéal à 15 mètres du but. Alors que tout le monde voit une frappe sans contrôle, le Suédois préfère s'avancer avec le ballon et tirer au but mais sa tentative passe à côté.
C'est au plus fort de la domination alsacienne et juste avant la mi-temps que les Manceaux décident de passer la vitesse supérieure. Sur un contre bien mené par Fanchone, Daisuke Matsui tente l'intentable à 20 mètres du but de Cassard et place une merveille de frappe sous la barre. Le Mans 2-0 RCS, 43ème
Dès la mi-temps, on voit mal comment les Strasbourgeois pourraient repartir du Mans sans une défaite de plus au compteur. La seconde période viendra confirmer cette crainte. Même si Strasbourg domine la plus grande partie de la rencontre, les ballons sont mal exploités et les occasions de but pus que rare. Le Mans se contente de gérer à merveille le score. Dans ce contexte, c'est le capitaine Pagis qui tente de montrer la voie à suivre. Présent en défense, au milieu et en attaque, Pagis livre une fin de partie remarquable. Tour à tour altruiste comme sur ce service pour Lacour dont la frappe est bien captée par Pelé (68ème), ou buteur comme sur cette demi volée à bout portant sortie par le portier manceau au prix d'une parade à peine croyable (72ème), Mickaël Pagis tente de remettre le navire à flot. Mais le soutien de Carlier (entré à la place de Diané à la demi heure de jeu) et des milieux est insuffisant et le Racing se dirige vers sa énième défaite de la saison.
Avec la victoire de Sochaux et le match nul de Troyes, le Racing est désormais à 5 points du premier non relégable. On voit désormais mal comment le Racing pourrait s'en sortir. Même si son jeu n'est pas minable, l'équipe strasbourgeoise laisse cette amère sensation d'un énorme bricolage organisé. Le mercato se fait désormais attendre car il manque quelqu'un, c'est une certitude. En attendant, Duguépéroux a annoncé que les jeunes de la CFA auront sans doute leur chance mercredi en Coupe de la Ligue face à Caen. Histoire de faire souffler les titulaires paraît-il...
