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- Par garkham
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Le mercato à peine débuté et les beaux rêves de renforts même pas entamés, le Racing doit revenir à la dure réalité du championnat et affronter le presque invincible OL. Une seule bonne nouvelle, ça se passera à la Meinau, c'est déjà ça de p
L'intronisation officielle de Philippe Ginestet à la présidence du Racing marquera-t-elle la fin de la mauvaise passe du club ? Un début de réponse sera donné ce soir (18h15) face à l'ogre lyonnais contre qui un résultat positif paraît bien improbable.
Les statistiques contre le Racing
Si cela fait 5 saisons que le Racing n'a plus inscrit le moindre but contre le quadruple et semble-t-il bientôt quintuple champion de France (en championnat), les 5 dernières rencontres de championnat n'ont été perdues que par le plus minime des scores, 1-0. Pas vraiment de quoi se rassurer, ce score maudit étant celui qui a relégué le Racing à la dernière place, celui toujours synonyme du sempiternel « on a bien joué, mais... », si navrant.
Une division au dessus
Pour faire un petit bilan purement comptable, on peut rappeler que le Racing n'a gagné qu'une fois cette saison, mais jamais à domicile, qu'il n'a plus marqué depuis la réception de Toulouse le 24 septembre (défaite 2-4) alors que l'Olympique Lyonnais, lui, n'a qu'une défaite au compteur, mais aucune à l'extérieur. 33 points séparent les deux équipes, soit 1,7 points de plus pris par les Lyonnais par journée de championnat.
Si Strasbourg a déjà un pied et quelques orteils en ligue 2, l'OL, lui, a le restant du pied dans une division supérieure à la ligue 1. Toujours est-il que si les hommes de Duguépéroux veulent revoir le bout du tunnel avant la fin de la saison, c'est par un résultat face au leader que ça doit passer. Ainsi, aussi absurde que cela puisse paraître, Strasbourg en est rendu à un point où le dernier du classement ne peut se satisfaire d'un seul point contre l'incontestable ogre du championnat. De l'autre côté, même s'il reste sur sa seule défaite de la saison, le leader du championnat de L1 viendra sans pression, sans réel enjeu, si ce n'est de conserver son avance. Veni, vidi, vici, comme d'habitude ?
Le retour de « l'Alsachien de garde ».
Pour l'une des dernières fois avant la CAN (ie jusqu'au 20 janvier), le Racing va bénéficier de la présence des Tunisiens Haggui et Gmamdia. Le premier, incontestable en défense, devrait tenir son rang. Si l'on en suit le commentaire fait cette semaine par Duguépéroux, le second, dont le compteur est toujours bloqué à zéro réalisation malgré un apport croissant dans le jeu, devrait quand même être préféré à Diané, pas plus réaliste mais plus volontaire,
La bonne surprise se situe dans le (soit-disant) retour au plus haut niveau de Jean-Christophe Devaux. Il sera sans aucun doute sur la pelouse compte tenu de l'absence d'Habib Bellaïd, suspendu contre Lyon pour avoir accumulé 3 cartons jaunes et celle de Kanté, toujours convalescent. Hosni absent (il soigne son claquage contracté face à Marseille), c'est Ricardo Faty qui va tenir la barraque au milieu accompagné par Pontus Farnerud et Pascal Johansen, deux joueurs susceptibles de quitter le club (L'Equipe du 02/01) mais qui ne souffrent d'aucune concurrence à leur poste en attendant l'arrivée imminente de Gnoleba.
En attaque, ça bouchonne à Lyon ?
La déconvenue subie contre Lille par les Gones va obliger l'entraîneur lyonnais, Gerard Houiller, à revoir sa dernière ligne, et à vite remettre Carew et Wiltord à la place de Ben Arfa et Fred, les deux derniers titulaires malheureux. Pas épargnée par les blessures (Réveillère, Malouda, Abidal et -peut-être- Berthod sont forfaits), la dream team du président Aulas aura quand même fière allure avec notamment un milieu Juninho Tiago Diarra qui fait baver d'envie nombre d'entraîneurs européens. C'est la défense qui attire finalement l'attention. Si la charnière Cris-Caçapa est presque ce qu'il se fait de mieux, il n'en est pas de même pour Diatta sur le côté droit et Monsoreau sur le côté gauche, deux joueurs qui n'évolueront pas à leur poste de prédilection. Ca reste néanmoins costaud...
Trouver la clef
Le Racing va-t-il trouver la clef pour effacer ses carences offensives et gagner enfin ? Une individualité fera-t-elle, comme à Nancy, vivoter les espoirs de maintien ? Rendez-vous ce soir...
Les équipes probables :
Les statistiques contre le Racing
Si cela fait 5 saisons que le Racing n'a plus inscrit le moindre but contre le quadruple et semble-t-il bientôt quintuple champion de France (en championnat), les 5 dernières rencontres de championnat n'ont été perdues que par le plus minime des scores, 1-0. Pas vraiment de quoi se rassurer, ce score maudit étant celui qui a relégué le Racing à la dernière place, celui toujours synonyme du sempiternel « on a bien joué, mais... », si navrant.
Une division au dessus
Pour faire un petit bilan purement comptable, on peut rappeler que le Racing n'a gagné qu'une fois cette saison, mais jamais à domicile, qu'il n'a plus marqué depuis la réception de Toulouse le 24 septembre (défaite 2-4) alors que l'Olympique Lyonnais, lui, n'a qu'une défaite au compteur, mais aucune à l'extérieur. 33 points séparent les deux équipes, soit 1,7 points de plus pris par les Lyonnais par journée de championnat.
Si Strasbourg a déjà un pied et quelques orteils en ligue 2, l'OL, lui, a le restant du pied dans une division supérieure à la ligue 1. Toujours est-il que si les hommes de Duguépéroux veulent revoir le bout du tunnel avant la fin de la saison, c'est par un résultat face au leader que ça doit passer. Ainsi, aussi absurde que cela puisse paraître, Strasbourg en est rendu à un point où le dernier du classement ne peut se satisfaire d'un seul point contre l'incontestable ogre du championnat. De l'autre côté, même s'il reste sur sa seule défaite de la saison, le leader du championnat de L1 viendra sans pression, sans réel enjeu, si ce n'est de conserver son avance. Veni, vidi, vici, comme d'habitude ?
Le retour de « l'Alsachien de garde ».
Pour l'une des dernières fois avant la CAN (ie jusqu'au 20 janvier), le Racing va bénéficier de la présence des Tunisiens Haggui et Gmamdia. Le premier, incontestable en défense, devrait tenir son rang. Si l'on en suit le commentaire fait cette semaine par Duguépéroux, le second, dont le compteur est toujours bloqué à zéro réalisation malgré un apport croissant dans le jeu, devrait quand même être préféré à Diané, pas plus réaliste mais plus volontaire,
La bonne surprise se situe dans le (soit-disant) retour au plus haut niveau de Jean-Christophe Devaux. Il sera sans aucun doute sur la pelouse compte tenu de l'absence d'Habib Bellaïd, suspendu contre Lyon pour avoir accumulé 3 cartons jaunes et celle de Kanté, toujours convalescent. Hosni absent (il soigne son claquage contracté face à Marseille), c'est Ricardo Faty qui va tenir la barraque au milieu accompagné par Pontus Farnerud et Pascal Johansen, deux joueurs susceptibles de quitter le club (L'Equipe du 02/01) mais qui ne souffrent d'aucune concurrence à leur poste en attendant l'arrivée imminente de Gnoleba.
En attaque, ça bouchonne à Lyon ?
La déconvenue subie contre Lille par les Gones va obliger l'entraîneur lyonnais, Gerard Houiller, à revoir sa dernière ligne, et à vite remettre Carew et Wiltord à la place de Ben Arfa et Fred, les deux derniers titulaires malheureux. Pas épargnée par les blessures (Réveillère, Malouda, Abidal et -peut-être- Berthod sont forfaits), la dream team du président Aulas aura quand même fière allure avec notamment un milieu Juninho Tiago Diarra qui fait baver d'envie nombre d'entraîneurs européens. C'est la défense qui attire finalement l'attention. Si la charnière Cris-Caçapa est presque ce qu'il se fait de mieux, il n'en est pas de même pour Diatta sur le côté droit et Monsoreau sur le côté gauche, deux joueurs qui n'évolueront pas à leur poste de prédilection. Ca reste néanmoins costaud...
Trouver la clef
Le Racing va-t-il trouver la clef pour effacer ses carences offensives et gagner enfin ? Une individualité fera-t-elle, comme à Nancy, vivoter les espoirs de maintien ? Rendez-vous ce soir...
Les équipes probables :
