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- Après-match
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- Par jakouiller
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Cette chanson pourrait devenir le nouvel hymne du Racing tant ses matchs se ressemblent. Alors qu'il menait au score, le RCS s'est effondré souffrant d'un arbitrage contestable, d'un manque évident de chance, de mental et d'expérience.
La pelouse du stade Bollaert est en état correct, la température de 4°c.
Le début du match est à l'avantage de Strasbourg qui monopolise le ballon. Suite à une transversale de Le Pen et un centre de Diané, Itandje doit s'employer. Dans la minute qui suit, Devaux adresse un coup franc qui est dévié en corner. A la 6e min, Monsieur Cailleux (dont c'est le premier match en L1) oublie de siffler un penalty indiscutable suite à une faute grossière de Gillet sur Alexander Farnerud. A la 11e un centre de Le Pen voit la tête de Gameiro passer à côté. Dans le premier quart d'heure, le Racing domine les débats, sous les baguettes de Le Pen et Diané.
La 18e min voit la première action dangereuse des Lensois suite à un centre mal dégagé, un tir de Jussié et un cafouillage que Cousin manque de peu de mettre à profit. Les Strasbourgeois sont moins sereins et moins précis, au fur et à mesure que Lens entre dans le match. A la 25ème, un tir de Jussié seul aux 18m est facilement capté par Cassard. A la demi-heure de jeu le match s'équilibre avec des Lensois qui tentent d'imposer leur physique.
Après une bonne entame, les Strasbourgeois ont baissé de rythme et s'endorment. A la 32ème, Thomert s'enfonce à gauche et adresse un centre que Kanté dévie en corner. Il y a beaucoup de déchet de la part des deux équipes. Jacky Duguépéroux demande des transversales afin de déséquilibrer le bloc lensois mais ses joueurs peinent à lui répondre sur le terrain. A la 37e, suite à une toile d'Assou-Ekotto, Diané en excellente position sur la droite de la surface pousse trop loin son ballon qui est capté par Itandje, et gaspille une énorme occasion alors que Gameiro était à l'affût au point de penalty !
Les Lensois appuient sur l'accélérateur mais c'est Diané qui a encore une chance de se montrer dangereux à la 39ème. Malheureusement, il oublie le ballon alors qu'il pouvait partir seul sur le côté droit.
La première mi-temps est dans l'ensemble à l'avantage des Strasbourgeois qui devraient mener au score sans l'oubli de l'arbitre ou si Diané s'était montré plus attentif et finissait mieux ses actions. Ceci étant, le spectacle proposé par les deux équipes est dans l'ensemble de faible qualité.
A l'entame de la seconde période, P. Farnerud en voulant dégager de la tête, remet la balle à Hilton seul aux 18m de face ; le tir est facilement capté par Cassardt, mais cette erreur aurait pu coûter cher. Dans l'action qui suit, à la 51e mn, Gameiro est bien lancé sur le côté gauche par Le Pen. Le jeune attaquant harcèle Hilton, ne lâche rien et bénéficie d'une bévue du défenseur qui n'appuie pas assez sa place pour son gardien. Gameiro récupère le ballon et place un plat du pied fatal pour inscrire son premier but en Ligue 1.
Les Lensois tentent de redresser la barre. A la 55ème un corner est dévié de la tête par Demont sur la face de Hilton. Cassard se saisit du ballon. Sous les yeux de Philippe Ginestet accompagné d'Albert Gemmrich et de Yacine Abdessadki (forfait de dernière minute pour une douleur à l'abdomen), les lensois tentent mais le déchet est important. Les Strasbourgeois se recroquevillent en défense et se positionnent tous très bas se contentant d'attendre les Sang et Or pour les contrer. Sur un contre côté gauche à la 61ème, Le Pen adresse un centre en retrait qu'Alex Farnerud gâche inexplicablement, sa frappe du gauche à bout portant s'envolant dans les nuages. Dans la minute qui suit, un nouveau centre de Le Pen est hors de portée de Gameiro. Diané le reprend mais il est un poil trop court et sa reprise file à côté.
Les Lensois semblent s'énerver et poussent. Thomert glisse au moment de frapper, Loué dégage en corner de la tête, au ras du poteau de Cassard... La défense tient en reculant, le ballon est trop rapidement perdu. Une faute grossière sur Gameiro à l'entrée des 16m n'est pas sifflée. Il sort du terrain à cloche-pied victime d'une entorse de la cheville. Il sera remplacé par Nemeth (73ème) dont c'est la première apparition en L1 Dans la foulée, Devaux sauve son camp suite à un déboulé de Jussié à gauche.
Le Racing défend trop bas et n'a plus le contrôle du ballon. A la 74ème Thomert est accroché par Cassard. L'arbitre siffle cette fois penalty. Suite à cet incident de jeu, Thomert et Cassard (paumette enfoncée et arcade ouverte) sont évacués sur civière. Cassard est remplacé par Puydebois. Cousin tire le penalty que Puydebois repousse mais Cousin, qui a suivi, marque. Dès le coup d'envoi, Pontus Farnerud et Demont se chamaillent et voient le rouge. A la 84e Khiter, rentré à la place de Thomert, se joue de Devaux et Deroff à droite et bat Puydebois dans un angle impossible, le gardien ayant anticipé le centre en retrait.
Le Racing ne baisse pas les bras. A la 93e Nemeth seul devant Itandje tire sur le gardien, et Loué frappe de loin sans succès. Trop tard... Une nouvelle fois, le Racing est rejoint puis dépassé en fin de match. Ce scénario, désormais classique, est la conséquence d'un manque évident de confiance en soi et de volonté, de mental. Par deux fois, le match aurait dû être tué avec un minimum de réalisme. Le manque de sérénité a fait ensuite reculer l'équipe sans raisons réelles. L'arbitre, M. Cailleux, a fait le reste !
Le match fut, dans l'ensemble, de qualité modeste et le Racing méritait au minimum le nul. Mais au final, rien de changé, il repart avec zéro points mais des regrets « plein la tête ».
Le début du match est à l'avantage de Strasbourg qui monopolise le ballon. Suite à une transversale de Le Pen et un centre de Diané, Itandje doit s'employer. Dans la minute qui suit, Devaux adresse un coup franc qui est dévié en corner. A la 6e min, Monsieur Cailleux (dont c'est le premier match en L1) oublie de siffler un penalty indiscutable suite à une faute grossière de Gillet sur Alexander Farnerud. A la 11e un centre de Le Pen voit la tête de Gameiro passer à côté. Dans le premier quart d'heure, le Racing domine les débats, sous les baguettes de Le Pen et Diané.
La 18e min voit la première action dangereuse des Lensois suite à un centre mal dégagé, un tir de Jussié et un cafouillage que Cousin manque de peu de mettre à profit. Les Strasbourgeois sont moins sereins et moins précis, au fur et à mesure que Lens entre dans le match. A la 25ème, un tir de Jussié seul aux 18m est facilement capté par Cassard. A la demi-heure de jeu le match s'équilibre avec des Lensois qui tentent d'imposer leur physique.
Après une bonne entame, les Strasbourgeois ont baissé de rythme et s'endorment. A la 32ème, Thomert s'enfonce à gauche et adresse un centre que Kanté dévie en corner. Il y a beaucoup de déchet de la part des deux équipes. Jacky Duguépéroux demande des transversales afin de déséquilibrer le bloc lensois mais ses joueurs peinent à lui répondre sur le terrain. A la 37e, suite à une toile d'Assou-Ekotto, Diané en excellente position sur la droite de la surface pousse trop loin son ballon qui est capté par Itandje, et gaspille une énorme occasion alors que Gameiro était à l'affût au point de penalty !
Les Lensois appuient sur l'accélérateur mais c'est Diané qui a encore une chance de se montrer dangereux à la 39ème. Malheureusement, il oublie le ballon alors qu'il pouvait partir seul sur le côté droit.
La première mi-temps est dans l'ensemble à l'avantage des Strasbourgeois qui devraient mener au score sans l'oubli de l'arbitre ou si Diané s'était montré plus attentif et finissait mieux ses actions. Ceci étant, le spectacle proposé par les deux équipes est dans l'ensemble de faible qualité.
A l'entame de la seconde période, P. Farnerud en voulant dégager de la tête, remet la balle à Hilton seul aux 18m de face ; le tir est facilement capté par Cassardt, mais cette erreur aurait pu coûter cher. Dans l'action qui suit, à la 51e mn, Gameiro est bien lancé sur le côté gauche par Le Pen. Le jeune attaquant harcèle Hilton, ne lâche rien et bénéficie d'une bévue du défenseur qui n'appuie pas assez sa place pour son gardien. Gameiro récupère le ballon et place un plat du pied fatal pour inscrire son premier but en Ligue 1.
Les Lensois tentent de redresser la barre. A la 55ème un corner est dévié de la tête par Demont sur la face de Hilton. Cassard se saisit du ballon. Sous les yeux de Philippe Ginestet accompagné d'Albert Gemmrich et de Yacine Abdessadki (forfait de dernière minute pour une douleur à l'abdomen), les lensois tentent mais le déchet est important. Les Strasbourgeois se recroquevillent en défense et se positionnent tous très bas se contentant d'attendre les Sang et Or pour les contrer. Sur un contre côté gauche à la 61ème, Le Pen adresse un centre en retrait qu'Alex Farnerud gâche inexplicablement, sa frappe du gauche à bout portant s'envolant dans les nuages. Dans la minute qui suit, un nouveau centre de Le Pen est hors de portée de Gameiro. Diané le reprend mais il est un poil trop court et sa reprise file à côté.
Les Lensois semblent s'énerver et poussent. Thomert glisse au moment de frapper, Loué dégage en corner de la tête, au ras du poteau de Cassard... La défense tient en reculant, le ballon est trop rapidement perdu. Une faute grossière sur Gameiro à l'entrée des 16m n'est pas sifflée. Il sort du terrain à cloche-pied victime d'une entorse de la cheville. Il sera remplacé par Nemeth (73ème) dont c'est la première apparition en L1 Dans la foulée, Devaux sauve son camp suite à un déboulé de Jussié à gauche.
Le Racing défend trop bas et n'a plus le contrôle du ballon. A la 74ème Thomert est accroché par Cassard. L'arbitre siffle cette fois penalty. Suite à cet incident de jeu, Thomert et Cassard (paumette enfoncée et arcade ouverte) sont évacués sur civière. Cassard est remplacé par Puydebois. Cousin tire le penalty que Puydebois repousse mais Cousin, qui a suivi, marque. Dès le coup d'envoi, Pontus Farnerud et Demont se chamaillent et voient le rouge. A la 84e Khiter, rentré à la place de Thomert, se joue de Devaux et Deroff à droite et bat Puydebois dans un angle impossible, le gardien ayant anticipé le centre en retrait.
Le Racing ne baisse pas les bras. A la 93e Nemeth seul devant Itandje tire sur le gardien, et Loué frappe de loin sans succès. Trop tard... Une nouvelle fois, le Racing est rejoint puis dépassé en fin de match. Ce scénario, désormais classique, est la conséquence d'un manque évident de confiance en soi et de volonté, de mental. Par deux fois, le match aurait dû être tué avec un minimum de réalisme. Le manque de sérénité a fait ensuite reculer l'équipe sans raisons réelles. L'arbitre, M. Cailleux, a fait le reste !
Le match fut, dans l'ensemble, de qualité modeste et le Racing méritait au minimum le nul. Mais au final, rien de changé, il repart avec zéro points mais des regrets « plein la tête ».
