Au bout du dix-huitième pub anglais, je trouve une connexion potable et pourtant, je ne peux guère naviguer. Entre deux anglais torse nue, on trouve son inspiration avec les plus mauvais tubes de bonjovi. Les anglais se précipitent en masse, là où il y a du bruit, tandis que les allemands ont repéré les endroits les plus classieux. Ils sont plus riches, il faut dire. Les gens ne se comprennent pas, dans ces mélanges d'idiomes, et si chacun n'était pas préoccupé par la dorure de parcelles de peau, on pourrait assister à une guerre civile, entre des hordes de touristes barbares, des locaux besogneux et des riches qui payent pour la tranquilité. Maman fait ses "recherches" mais je reste dans le même hôtel. Mon physique très neutre me permet de rester anonyme, si ce n'est parfois on pensent reconnaître quelqu'un dans mes faux airs d'une rencontre passée.
Je réfléchis à un nouveau projet pour le stub d'almendralejo, des contributions décisives pour la rentrée, mais je crains que ce qui ne sera qu'une pathétique redite ne fasse rire que moi et qu'elle appuie derechef sur la tonalité trop politique de ce stublog. Mais bon, il sera question de bidou qui gagnerait à être connu, il y aura aussi le retour des accents.