- Dites-moi, Roi de la Zap, pourquoi les femmes qui passent autant de temps à faire du shopping, ne savent-elles pas replier les vetêments sur les étales? Se prennent-elles pour leur fils aîné?
- Jeune homme, avide de découvrir la Femme, c'est une bonne question, saches-le. Dans un ouvrage qui fait date, les femmes viennent de Venus, plus aucun américain ne l'ignore. De surcroît, elles font fonctionner les deux parties de leur cerveau, contrairement aux hommes, ainsi elles peuvent faire plusieurs choses en même temps. Hé bien, apprenez qu'en plus, elles sont toutes plus ou moins schizophrènes. Femme et mère aimante et sniper de bonnes affaires et détrousseuses de fripier. Elles peuvent être sans pitié, la terreur des vendeurs. Les furies.
- En temps de soldes, c'est bientôt, l'équivalent pour Elles de la coupe du monde de football, les boutiques de vêtement vont voir débarquer des hordes de hooligans en frou-frou. La femme dans un état second et inquiétant.
-Bien souvent, les femmes raillent le penchant de l'homme pour le football, le canapé, la bière, les cris rauques, mais elles le savent parce que cela se passe dans leur salon. Un homme reste, lui, accoudé au parapet devant les portes du magasin, ils attendent, ignorant de la passion démoniaque qui secoue la mère de leur enfant. qu'il entre dans la boîte de Pandore que sont les grands magasins.
-Brr.. cela fait froid dans le dos...
-Mettons-donc une petite laine sur votre chaleco.
En l'hommage au Colonel Roly, cette peinture d'Emile Claus que nous vîmes avec NV au musée des Beaux-Arts de Bruxelles.
Le Colonel Roly, de son vrai nom, Roland L###, fut ou est encore un universitaire obscur qui terrorisa, tant il était odieux, des élèves, redoutant la foudre arbitraire de l'atrabilaire. Ce fumeur impénitent n'hésitait pas à griller une gitane en salle de cours, s'accordant la pause qu'il ne jugeait pas bon nécessaire pour ses élèves qui le supportait trois ou quatre heures de temps. Il s'en prenait régulièrement à un bouc-émissaire, de préférence une fille très timide, dont il rappellait régulièrement la prestation "merdique". Sa sortie la plus célèbre fut lorsqu'à demi-ivre, il nota au tableau devant deux cent personnes : "Napopoléon".
Colonel Roly, l'addition, s'il vous plaît.
Dans la série des films à faire, vous pouvez plancher, amis scénaristes du samedi, sur une intrigue qui se noue dans notre colonne de droite. M.P contactera-t-il Erika? Surmontera-t-il la maladie des doigts gourds pour faire rejaillir une amitié vieille de vingt-cinq mille ans? Ou laissera-t-il une page se tourner sur le train qui part sans lui?
Il y a en moi, un enfant qui s'amuse, et un pasteur qui l'ennuie, Erika.
Pour avoir habité rue d'Oslo, dans une colocation qui comptait une finlandaise, je peux m'autoproclamer un des "plus vieux spécialistes strasbourgeois de la Scandinavie". De cela, je nourris une aversion à l'égard des suédois, un quasi-racisme. Serais-je un monstre? Je l'ignore.
Nous avons été contacté par un lobby anti-suédois qui nous a chichement rétribué pour que nous fa$$ions un intense travail de sape anti-suédois. Si personne n'y voit d'objection particulière, c'est ce que nous allons faire nonchalement cette semaine.
Alors que la mode et le marketing avaient consacrés dans les années 1994, la figure du métrosexuel par l'entremise de l'iconique David Beckham, le seul anglais non-roux, le chic et le cool a corrigé le tir d'une oversurdose de "métrosexuel", puisque c'est désormais l'Übersexuel qui s'impose, en réaction. Notre stublog a toujours une contre-réaction d'avance et va tenter de promouvoir le look hybride de l'Hubert-Sexuel.
Le roi de la Zap, en personne, a choisi un modeste stublog strasbourgeois pour nous livrer ses dernières impressions de la mode. C'est dimanche et il va nous parler musique.
Entre le tournoi de Cannes, le festival de RolandGarros et la valse des entraîneurs de football, la presse française en a peu parlé : le plébiscite sarkozyste ou la majorité silencieuse manifestait dans la rue son soutien total à notre président. L'empathie est totale. Nous avons des photos.
La guerre économique trouve des applications concrètes dans les QG des grandes entreprises. Une des dernières modes sont les War Rooms, où on s'amenage des bureaux pour simuler en mode guerrier le théâtre des opérations.
Le roi de la Zap, en personne, a choisi un modeste stublog strasbourgeois pour nous livrer ses dernières impressions de la mode. Il va nous parler musique.
A tous les membres du Cosi, pour la réunion au sommetde demain, prière de réfléchir à ces éléments. Rappellons-nous que nous devons rivaliser, telles sont nos prétentions, avec psychologies.com