Une merveille de baston nanar : jeu d'acteur, chorégraphie, kung-fu, jeu de regard, effets de caméra, que du bonheur.
Des fois, la vie c'est beau comme un nanar.
Et ça se passe là : Baston nanar
Devant le non-succès de cette rubrique qui ressortait des vieux papelards écrits il y a belle-lurette, le Nanaconda vous propose une ultime critique de flim non-vu, qui restera underground puisqu'elle ne fera l'objet d'aucune promotion. Peut-être que le concept était trop subtil pour vos synapses dégénérescentes (oh je rigole, je voulais dire votre synapse dégénérescente , peut-être que c'était tout simplement très mauvais. Peu importe. Bientôt, le retour des nanars à Nana.
Aujourd'hui, suite et fin des flims que j'ai jamais vus avec : Neuf semaines et demi. Wahouh !
Le Nanaconda ne l'a pas vu. Vous imaginez, avec un titre pareil, ce qui a dû traverser son esprit dérangé.
Et bien vous n'y êtes pas du tout. C'est encore pire.
Un navet (paraît-il) que le Nanaconda n'a jamais vu. C'est pas ça qui va l'empêcher de le critiquer, nom d'une pipe !
Dans son cerveau malade, le titre lui laisse entrevoir un mauvais Z, rempli de coyote-garoutes... Et tant pis pour le vrai pitch.
Avant d'écrire des fiches de nanars, le Nanaconda sévissait sous d'autres cieux, où il critiquait des flims qu'il n'a jamais vus. Du coup, du grand n'importe quoi.
Les voici dans une nouvelle rubrique : les films que j'ai jamais vus
Un routier bodybuildé gagne un camion et le respect de son fils au grand concours de bras de fer. Rien qu'un synopsis comme ça, ça impose le respect et ça augmente le seuil de tolérance face aux diatribes du nanaconda. Chapeau, M. Stallone.
Encore plus musclé que Rambo II, encore plus mal joué que Rocky IV, encore plus drôle que Tango et Cash, les nanars à Nana vous présentent Over the Top...
Quand Stallone fait du Stallone encore plus con que du Stallone, ça va jouer du biceps droit sévère.
Over the top, mercredi 15 mars à 20h30, sur le blog du nanaconda.
Chers amis reptilophiles ou nanarophages, j'ouvre ici une porte sur un monde étrange, qui passe en un instant de la poésie la plus troublante à l'humour le plus potache.
Les nanars à Nana reviennent et ils frappent très fort : aujourd'hui, une légende de téléflim bis, comme on les aime, avec Gim Grissom et un calmar géant en guest stars, et le manque de respect total et désormais habituel du lecteur.
Le nanaconda est en forme, préparez-vous à en prendre plein la tronche. Groaaaarrrr !!!!