Dans la filmographie de Stallone, il paraîtrait que s'y cachent un ou deux bons films. Mais il y a aussi du bon gros nanar. Le nanaconda a longuement hésité entre Rocky III et Rocky IV pour la fiche du jour. Finalement, on va faire le IV, qui est un collector de gros clichés américains bien puants. « Mmmmh, ça pue, qu'est-ce que sexe ? De la grosse production nanaresque hollywoodienne ! »
Des étudiants cherchent leurs slips dans une maison hantée et se font sauvagement assassiner. Une fiche approximative écrite par le Nanaconda aussi péniblement que vous poussez un étron après avoir confondu vos vitamines C avec des capsules d'immodium.
Enfin reconnu pour son talent immense, le nanaconda est recruté par l'équipe chic et choc (et prout aussi) de www.naindien.com pour faire partager au plus grand nombre la saveur subtile et particulière des nanars à Nana.
Vous y retrouverez donc à partir de tout de suite les anciennes fiches, et puis aussi celles à venir, parce que le surgelé, ça va 5 minutes...
La soirée avait M6 commencé par un navet, à savoir OM-Mlada Boleslav.
Heureusement, comme il était ensuite trop tard pour diffuser un épisode de Prison Break, M6 s'est rattrapé en nous offrant un plagiat fauché de la Mouche : Mosquitoman.
Rien qu'un titre pareil, ça vaut le grand prix du jury à Cannes. Et l'oeuvre en question nous offre une créature monstrueuse, un homme-moustique en plastique avec un corps de poulet.
Un routier bodybuildé gagne un camion et le respect de son fils au grand concours de bras de fer. Rien qu'un synopsis comme ça, ça impose le respect et ça augmente le seuil de tolérance face aux diatribes du nanaconda. Chapeau, M. Stallone.
Le nanaconda bénisse la grille de rentrée de M6 !!!
Non contente d'ouvrir la porte au retour du flim de cuq du dimanche soir, à la grande joie des plus lubriques d'entre vous, elle offre surtout pour l'instant le retour des séries Z fauchées le jeudi soir en deuxième partie de soirée.
En deux semaines, grâce à la petite chaîne qui monte, le nanaconda a pu s'enchaîner deux chefs-d'oeuvre : MosquitoMan et Ptérodactyles.
La fiche que je vais vous livrer maintenant est honteuse car je n'ai pas vu Ptérodactyles en entier, la faute à la position allongée que j'avais adoptée, et qui m'a propulsé dans les bras de cette cochonne de Morphée. Pourtant, le Nanaconda a eu le temps de voir que cela était bon.
Souvenez-vous. Il y a quelques semaines, je vous racontais « la Révolte des Morts-Vivants », histoire fraîche et légère de zombies templiers hérétiques et énuclées qui chevauchaient des chevaux démoniaques et persécutaient de jeunes gourgandines écervelées. Arté, dans son cycle trash, se préparait à diffuser la suite, présentée par la chaîne elle-même comme un bon gros nanar.
Le nanaconda, à l'affût, a veillé et l'a vu. Rien que pour vous.
Une jeune fille veut passer la nuit dans un village abandonné et se fait dévorer par des chevaliers zombies templiers hérétiques et énuclées. Deux amis à elle sont prêts à tout pour découvrir ce qui lui est arrivé. Attention, nanar !
Le nanar. Une passion, un art de vivre. Mais, plus spécifiquement que le nanar, je me suis spécialisé dans les flims de série B/Z, qui oscillent entre fantastique, horreur et humour (parfois involontairement).
J'avais commencé une magnifique fiche sur « Signs » de Shyamalan, qui est une sombre merde faite pour flatter l'américain moyen dans le sens du poil et de la bonne morale.
Je me suis néanmoins décidé à ne pas la diffuser, car je me rends compte qu'elle contribue à dénaturer l'esprit originel des nanars à Nana : s'extasier devant des films improbables, qui ne peuvent être bien, handicapés qu'ils sont dès le départ par un synopsis à tomber à la renverse.
Signs n'en fait pas partie. Le synopsis est quelconque. Pas de requin qui marche, de moustique humain, de faux Conan le Barbare en slip de poils et baskets, pas de championnat de bras de fer pour gagner l'amour d'un fils, pas de coup du tambourin. Rien n'indique dans le synopsis qu'on a forcément affaire à un nanar (un navet plus exactement dans le cas de Signs).
Je ne diffuserai donc pas de fiche nanar sur Signs, pas plus que pour les prochains flims qui me débecteront. A partir de maintenant, on revient à l'esprit de base des nanars à Nana. Ou on ne revient pas.
Des requins OGM, un nain, un général fou qui veut faire du mal à la terre entière, des gourgandines, voilà la fiche approximative d'un flim que le nanaconda a vaguement vu par morceaux et en deux fois.
Le nanaconda avait vu Saw, premier du nom. Bon. Sans plus. Alors, la suite promettait d'être ratée. Malheureusement, le nanaconda espérait du nanar, il a eu du navet. Avec un léger arrière-goût de merde.
Un jeune éphèbe karatéka accompagne son vieux maître au Japon pour y parfaire son apprentissage. Arts martiaux, passion, vengeance et clichés sur les Japonais au programme.
Et comme d'habitude, un manque de considération flagrant de l'auteur pour le lecteur.
Miam !
Le retour des nanars à Nana, avec une nouvelle chronique toute fraîche sur des gourgandines dénudées qui jouent mal et qui meurent. Destination Finale 3
Ils ont osé. Un cross-over entre deux des tueurs psychopathes les plus célèbres de l'horreur façon eighties. Quand Freddy Krueger rencontre Jason Vorhees, ça donne quoi ? Hé ben ça donne un gros tas de n'importe quoi.
Complètement traumatisé par la vision de Plan 9 from outer space, qui lui a démontré que le film Ed Wood de Burton tient plus du documentaire que d'une quelconque version poétique et romancée de la vie du pire réalisateur de tous les temps, le Nanaconda a voulu vérifier une autre scène, le monologue final de Bela Lugosi dans Glenn or Glennda. Mon dieu, mais c'est pas possible !
"Beware! Beware of the big green dragon that sits on your doorstep. He eats little boys... Puppy dog tails, and BIG FAT SNAILS... Beware... Take care... Beware!"
Le 25 décembre, le nanaconda a eu un fabuleux cadeau : la diffusion sur une chaîne du satellite de l'incroyable « Thor le Guerrier ». De mémoire de nanhardeur, il n'avait jamais vu un film aussi fauché, essayant lamentablement de tromper le spectateur inattentif et amateur de Conan le Barbare.
Vive la Freebox ! Hier, le nanaconda était chez des amis. Fin de soirée, petit zapping de l'hôte pour montrer l'étendue de chaîne fournie avec Internet. Et arrêt sur NRJ12, qui diffusait « les sangsues mutantes ». Un bonheur en caoutchouc. Même M6, qui n'a pourtant peur de rien en matière de remplissage de grille TV, n'aurait pas osé diffuser ce chef-d'oeuvre.
Un synopsis amibien, des acteurs ultra-mauvais, un léger militantisme homosexuel, un peu de bonne morale puritaine pour enrober le tout, des effets spéciaux faits maison, et des sangsues mutantes. LEEEEEECCCHHHHHHHHEEEEEESSSSS !!!!!
Un mormon évangéliste fauché souhaite offrir le mariage de ses rêves à sa radasse. Pour ce faire, il accepte de devenir le héros d'un film porno et d'interpréter le Captain Orgazmo.
L'an 3000. Au fin fond de l'espace, un vaisseau-secours amarre un vaisseau à la dérive et abandonné depuis plus de 100 ans. Las, son dernier occupant n'est autre que le Comte Dracula himself ! Sang pour sang nanar.
Les nanars à Nana reviennent et ils frappent très fort : aujourd'hui, une légende de téléflim bis, comme on les aime, avec Gim Grissom et un calmar géant en guest stars, et le manque de respect total et désormais habituel du lecteur.
Le nanaconda est en forme, préparez-vous à en prendre plein la tronche. Groaaaarrrr !!!!
Le jour où un collègue m'a ramené le DVD en me disant : « tiens, je l'ai trouvé à un euro à Rond Point », ça fleurait déjà la bonne pioche. Quand j'ai lu l'accroche « Enfin l'homme a inventé un robot sexy ! Et très redoutable !!! », j'ai compris que j'approchais d'un truc énorme, de quelque chose qui me dépassait peut-être.
Un peu comme les étapes de dégustation de vin : quand tu tombes sur une très bonne bouteille, tu pressens déjà à la vue et au nez que tu vas prendre un pied dingue en le buvant, et ça t'en tourneboule tout à l'avance.
Une merveille de baston nanar : jeu d'acteur, chorégraphie, kung-fu, jeu de regard, effets de caméra, que du bonheur.
Des fois, la vie c'est beau comme un nanar.
Et ça se passe là : Baston nanar
En rangeant son salon, le Nanaconda est tombé sur de vieux DVD qu'il avait achetés à 1€ les deux films, en même temps que Shootfighter 1&2. Poussé par la curiosité, il a arraché le cellophane de protection et s'est envoyé en apéro Demon House, titre français de Night of the Demon 3.
Avec ses nouveaux amis bloguants, le nanaconda s'éclate. On lui laisse faire n'importe quoi : insulter les lecteurs de www.naindien.com, chroniquer des films dont il n'a pas vu la moitié, et tenter de nouvelles expériences.
Aujourd'hui, la coécriture d'un nanar à Nana avec le Nain Dien.
Ca devrait d'ailleurs s'appeler "Les Nanars à Nana et au Nain Dien", et ça raconte Candy, un film érotico-psychédélique de 1968 diffusé récemment sur Arte.
Deux flims à 1 euro en grande surface, c'est possible. Ca nous fait 50 centimes le flim, et des promesses de bonheur en nunchaku plein le caddie. Non, les deux oeuvres ne sont pas les Tortues Ninja, mais deux plagiats de la filmographie de Van Damme : Shootfighter 1 & 2.
C'est sur des bases extrêmement ambitieuses que commence le projet « l'Antre de Frankenstein ». Un scénario complexe, un budget qui dépasse allègrement les 100000 dollars, des effets spéciaux à faire pâlir de jalousie « Mosquitos » (flim que je vous raconterai un jour si vous êtes sages), le tout s'annonce indigestement savoureux.
Des fois, le Nanaconda n'est pas d'accord avec les critiques.
Paco Plaza, on est trop indulgent avec lui parce qu'on est persuadé qu'il a peut-être du talent. Alors on trouve des qualités à l'enfer des loups, qui est pourtant une belle merde.
Des chroniques nanardes sans une seule qui aborde l'épineux dossier Highlander, c'est comme un stade sans fumis (mouarf !) ou un danseur de techtonik hétérosexuel : ça ne peut pas exister !!!
Prenez Catwoman, un personnage de Comics merveilleusement interprété par Michelle Pfeiffer dans le Batman du génial Burton.
Faites-en un projet par Pitoff, le mec qui avait commis Vidocq, avec Halle Berry dans le rôle titre, elle dont la meilleure performance cinématographique reste sa pose de gourgandine nichonneuse dans le Opération Espadon.
Hé ben ça donne une grosse merde, et une chronique dans les nanars à Nana. Catwoman, la femme chatte (chatte, chatte, chatte...)
Un nanar incroyable du cultissime Ed Wood.
Des extra-terrestres réveillent une armée de 3 morts-vivants pour punir les hommes.
Des raccords foireux, des screenshots, un montage incompréhensible, c'est du très très lourd.
Avec sa new team de bloguants, le Nanaconda recycle ses fiches-nanars, mais en mieux.
Maintenant y a des photos, des légendes, deux-trois modifs.
exemple : Freddy vs Jason new version