Dans la filmographie de Stallone, il paraîtrait que s'y cachent un ou deux bons films. Mais il y a aussi du bon gros nanar. Le nanaconda a longuement hésité entre Rocky III et Rocky IV pour la fiche du jour. Finalement, on va faire le IV, qui est un collector de gros clichés américains bien puants. « Mmmmh, ça pue, qu'est-ce que sexe ? De la grosse production nanaresque hollywoodienne ! »
« - Pourquoi t'as déclenché cette bagarre ?
- je pouvais pas le laisser traiter notre mère de vieille pute
- Et quoi ? c'est vrai que c'est une pute.
- Oui, mais elle est pas si vieille ! »
Vendredi, le Racing se déplace à Caen, pour ce qui est annoncé comme l'un des chocs de cette saison de Ligue 2 Eurosport. On me demandait alors de bien vouloir rédiger une présentation objective de ce bien faible adversaire.
Des étudiants cherchent leurs slips dans une maison hantée et se font sauvagement assassiner. Une fiche approximative écrite par le Nanaconda aussi péniblement que vous poussez un étron après avoir confondu vos vitamines C avec des capsules d'immodium.
Enfin reconnu pour son talent immense, le nanaconda est recruté par l'équipe chic et choc (et prout aussi) de www.naindien.com pour faire partager au plus grand nombre la saveur subtile et particulière des nanars à Nana.
Vous y retrouverez donc à partir de tout de suite les anciennes fiches, et puis aussi celles à venir, parce que le surgelé, ça va 5 minutes...
A cause des pélicans dégénerescents de Takl qu'on dirait qu'ils sont sortis d'un film de Bruno Mattei, je me sens obligé de me rassurer en postant une vidéo d'un animal qu'on le sait qu'il est dangereux. Un requin, on irait pas se baigner à côté de lui en saignant légèrement du doigt. Alors que les pélicans de Takl, ils sont vicieux. On s'y attend pas.
La soirée avait M6 commencé par un navet, à savoir OM-Mlada Boleslav.
Heureusement, comme il était ensuite trop tard pour diffuser un épisode de Prison Break, M6 s'est rattrapé en nous offrant un plagiat fauché de la Mouche : Mosquitoman.
Rien qu'un titre pareil, ça vaut le grand prix du jury à Cannes. Et l'oeuvre en question nous offre une créature monstrueuse, un homme-moustique en plastique avec un corps de poulet.
Par une journée molle et pluvieuse du mois d'août, je profitais d'une pause entre midi et deux pour me rendre à la place des Halles. Une fois n'est pas coutume, pris d'une pulsion ...
Un routier bodybuildé gagne un camion et le respect de son fils au grand concours de bras de fer. Rien qu'un synopsis comme ça, ça impose le respect et ça augmente le seuil de tolérance face aux diatribes du nanaconda. Chapeau, M. Stallone.
Aujourd'hui, le nanaconda donne un coup de main à un groupe de son strasbourgeois. C'est underground mais c'est du lourd. En plus, y a un clip façon Gondry.
Mesdames Messieurs, "You and the setting Sun" des Camping Lovers !
Depuis que je l'ai rencontrée, j'ai fait voeu de chasteté. Ca me change pas beaucoup d'avant, sauf que maintenant c'est parce que c'est moi qui l'ai décidé.
Vendredi, le Racing rencontre la légendaire Libourne St-Seurin pour un match capital pour rester dans le bon wagon pour la montée. Comment se faire peur pour ce match et éviter la déconcentration ? Tentons d'exploiter les failles et tremblons un peu en attendant Metz.
Le nanaconda bénisse la grille de rentrée de M6 !!!
Non contente d'ouvrir la porte au retour du flim de cuq du dimanche soir, à la grande joie des plus lubriques d'entre vous, elle offre surtout pour l'instant le retour des séries Z fauchées le jeudi soir en deuxième partie de soirée.
En deux semaines, grâce à la petite chaîne qui monte, le nanaconda a pu s'enchaîner deux chefs-d'oeuvre : MosquitoMan et Ptérodactyles.
La fiche que je vais vous livrer maintenant est honteuse car je n'ai pas vu Ptérodactyles en entier, la faute à la position allongée que j'avais adoptée, et qui m'a propulsé dans les bras de cette cochonne de Morphée. Pourtant, le Nanaconda a eu le temps de voir que cela était bon.
Souvenez-vous. Il y a quelques semaines, je vous racontais « la Révolte des Morts-Vivants », histoire fraîche et légère de zombies templiers hérétiques et énuclées qui chevauchaient des chevaux démoniaques et persécutaient de jeunes gourgandines écervelées. Arté, dans son cycle trash, se préparait à diffuser la suite, présentée par la chaîne elle-même comme un bon gros nanar.
Le nanaconda, à l'affût, a veillé et l'a vu. Rien que pour vous.
Une jeune fille veut passer la nuit dans un village abandonné et se fait dévorer par des chevaliers zombies templiers hérétiques et énuclées. Deux amis à elle sont prêts à tout pour découvrir ce qui lui est arrivé. Attention, nanar !
Le nanar. Une passion, un art de vivre. Mais, plus spécifiquement que le nanar, je me suis spécialisé dans les flims de série B/Z, qui oscillent entre fantastique, horreur et humour (parfois involontairement).
J'avais commencé une magnifique fiche sur « Signs » de Shyamalan, qui est une sombre merde faite pour flatter l'américain moyen dans le sens du poil et de la bonne morale.
Je me suis néanmoins décidé à ne pas la diffuser, car je me rends compte qu'elle contribue à dénaturer l'esprit originel des nanars à Nana : s'extasier devant des films improbables, qui ne peuvent être bien, handicapés qu'ils sont dès le départ par un synopsis à tomber à la renverse.
Signs n'en fait pas partie. Le synopsis est quelconque. Pas de requin qui marche, de moustique humain, de faux Conan le Barbare en slip de poils et baskets, pas de championnat de bras de fer pour gagner l'amour d'un fils, pas de coup du tambourin. Rien n'indique dans le synopsis qu'on a forcément affaire à un nanar (un navet plus exactement dans le cas de Signs).
Je ne diffuserai donc pas de fiche nanar sur Signs, pas plus que pour les prochains flims qui me débecteront. A partir de maintenant, on revient à l'esprit de base des nanars à Nana. Ou on ne revient pas.
Des requins OGM, un nain, un général fou qui veut faire du mal à la terre entière, des gourgandines, voilà la fiche approximative d'un flim que le nanaconda a vaguement vu par morceaux et en deux fois.
Le nanaconda avait vu Saw, premier du nom. Bon. Sans plus. Alors, la suite promettait d'être ratée. Malheureusement, le nanaconda espérait du nanar, il a eu du navet. Avec un léger arrière-goût de merde.
Aujourd'hui, 6 juin 2006. Le 6.6.6.
Le jour de la bête. Un peu inquiet, je pars au boulot.
Pas de chat noir crevé devant l'agence, pas de rire démoniaque, pas de ciel orange, de lune rousse ni de tempête électrique. Pas l'ombre d'un poil de chauve-souris. Un rayon de soleil. Un oiseau qui chante.
Pas à dire, le diable, c'est plus ce que c'était.
Tarlouze.
Un jeune éphèbe karatéka accompagne son vieux maître au Japon pour y parfaire son apprentissage. Arts martiaux, passion, vengeance et clichés sur les Japonais au programme.
Et comme d'habitude, un manque de considération flagrant de l'auteur pour le lecteur.
Miam !
Le retour des nanars à Nana, avec une nouvelle chronique toute fraîche sur des gourgandines dénudées qui jouent mal et qui meurent. Destination Finale 3
Ils ont osé. Un cross-over entre deux des tueurs psychopathes les plus célèbres de l'horreur façon eighties. Quand Freddy Krueger rencontre Jason Vorhees, ça donne quoi ? Hé ben ça donne un gros tas de n'importe quoi.
Complètement traumatisé par la vision de Plan 9 from outer space, qui lui a démontré que le film Ed Wood de Burton tient plus du documentaire que d'une quelconque version poétique et romancée de la vie du pire réalisateur de tous les temps, le Nanaconda a voulu vérifier une autre scène, le monologue final de Bela Lugosi dans Glenn or Glennda. Mon dieu, mais c'est pas possible !
"Beware! Beware of the big green dragon that sits on your doorstep. He eats little boys... Puppy dog tails, and BIG FAT SNAILS... Beware... Take care... Beware!"
J'ai fait une terrible constatation. Me promenant il y a quelques jours sur le site de mon ami bloguant le Nain Dien, je tombai par hasard sur un commentaire que j'avais laissé il y a quelques mois.
Le 25 décembre, le nanaconda a eu un fabuleux cadeau : la diffusion sur une chaîne du satellite de l'incroyable « Thor le Guerrier ». De mémoire de nanhardeur, il n'avait jamais vu un film aussi fauché, essayant lamentablement de tromper le spectateur inattentif et amateur de Conan le Barbare.
Vive la Freebox ! Hier, le nanaconda était chez des amis. Fin de soirée, petit zapping de l'hôte pour montrer l'étendue de chaîne fournie avec Internet. Et arrêt sur NRJ12, qui diffusait « les sangsues mutantes ». Un bonheur en caoutchouc. Même M6, qui n'a pourtant peur de rien en matière de remplissage de grille TV, n'aurait pas osé diffuser ce chef-d'oeuvre.
Un synopsis amibien, des acteurs ultra-mauvais, un léger militantisme homosexuel, un peu de bonne morale puritaine pour enrober le tout, des effets spéciaux faits maison, et des sangsues mutantes. LEEEEEECCCHHHHHHHHEEEEEESSSSS !!!!!
Un mormon évangéliste fauché souhaite offrir le mariage de ses rêves à sa radasse. Pour ce faire, il accepte de devenir le héros d'un film porno et d'interpréter le Captain Orgazmo.
L'an 3000. Au fin fond de l'espace, un vaisseau-secours amarre un vaisseau à la dérive et abandonné depuis plus de 100 ans. Las, son dernier occupant n'est autre que le Comte Dracula himself ! Sang pour sang nanar.
Un navet (paraît-il) que le Nanaconda n'a jamais vu. C'est pas ça qui va l'empêcher de le critiquer, nom d'une pipe !
Dans son cerveau malade, le titre lui laisse entrevoir un mauvais Z, rempli de coyote-garoutes... Et tant pis pour le vrai pitch.
Les nanars à Nana reviennent et ils frappent très fort : aujourd'hui, une légende de téléflim bis, comme on les aime, avec Gim Grissom et un calmar géant en guest stars, et le manque de respect total et désormais habituel du lecteur.
Le nanaconda est en forme, préparez-vous à en prendre plein la tronche. Groaaaarrrr !!!!