Sitterlé, le mirage évanescent ?

21/04/2012 11:28
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Après une semaine de silence médiatique, y compris sur facebook, son media favori,

Après quelques tentatives maladroites de justifications en déballant dans le désordre quelques pièces du dossier,

Après une séquence de manipulation des clubs de supporteurs qui n'aura été qu'un feu de paille avant d'être démasqué,

Après des semaines de confusion juridico-financière à propos d'une convention qui est la pièce maitresse d'un projet d'investissement dans le sport professionnel,

Après des semaines de querelles sourdes avec l'environnement historique et incompétent du club,

Frédéric Sittterlé, qui avait réussi un début de mandat fédérateur, annonce sa sortie dans l'Equipe de ce jour (cf. ci-dessous). La manière est fort peu élégante à la fois pour son équipe, le jour d'un match capital pour la montée, et pour les supporters qui ont cru en lui. Dans cet article Frédéric Sitterlé déclare "ma mission est quasiment accomplie" ....

Je croyais que sa mission consistait à remettre le Racing sur l'orbite du football professionnel, à l'aide d'une fusée à trois étages ... ? Quel manque d'honnêteté ! Il faut avoir bien peu de respect pour soi-même et pour les autres. L'explication vient peut-être aussi d'un handicap flagrant et chronique chez Sitterlé en matière de communication. Que de maladresses enchainées !

Il est arrivé en sauveur, il risque de repartir en paria !

Mr Sitterlé, s'il vous plait, resaisissez-vous ! Vous avez le droit de partir, mais de grâce faites-le avec honnêteté et professionnalisme par respect pour ce club que vous aimez, et par respect pour vous-même


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Commentaires (3)

Flux RSS 3 messages · Premier message par il-vecchio · Dernier message par zottel

  • Honnêteté et professionalisme, mais mon cher, nous ne sommes plus pros, alors pourquoi exiger du professionalisme de la part de Sitterlé? Quant à l'honnêteté, je crois pouvoir reprendre la phrase de tonton Georges en la modifiant quelque peu: Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est malhonnête...
  • Pas sûr que ce soit de la malhonnêteté, car il n'avait pas grand chose à gagner dans l'aventure. Je penche plutôt pour le syndrome de la grenouille qui s'est vue plus grosse que le boeuf. Mais à force d'erreurs de gonflage, elle est en train d'exploser.
  • L'impression qu'on l'a dans le cul, sa fusée

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