Katzo's Bazar.












Bundesliga : Aujourd'hui, le FC Bayern München

14/08/2008 22:18
2.091 lectures
Saison 2008-2009


Départs:

Julio Dos Santos Atletico Paranense libre
Bernd Dreher Fin de carrière
Oliver Kahn Fin de carrière
Jan Schlaudraff Hannover 96 2 000 000
Mats Hummels Borussia Dortmund Prêt
Valerien Ismael Hannover 96 200 000
Roque Santa Cruz Blackburn Rovers 5 000 000


Arrivées:

Tim Borowski Werder Brême Libre
Jörg Butt Benfica Lisbonne Libre
Thomas Kraft Equipe réserve
Breno FC Sao Paulo 12 000 000
Julio Dos Santos Gremio Porto Alegre Retour de prêt

Les 10 dernières saisons:

2007/08 Bundesliga 1 76pts 68:21 +/-
2006/07 Bundesliga 4 60pts 55:40
2005/06 Bundesliga 1 75pts 67:32
2004/05 Bundesliga 1 77pts 75:33
2003/04 Bundesliga 2 68pts 70:39
2002/03 Bundesliga 1 75pts 70:25
2001/02 Bundesliga 3 68pts 65:25
2000/01 Bundesliga 1 63pts 62:37
1999/00 Bundesliga 1 73pts 73:28
1998/99 Bundesliga 1 78pts 76:28

Equipe Type:


https://racingstub.com/blogs/k/katzo68/photos/bayern-munchen-2008...

L'Equipe 2008/09 :


https://racingstub.com/blogs/k/katzo68/photos/mannschaft08b-5ccaa...

La Fiche du Bayern Munich



Paroles...

04/11/2010 22:12
1.786 lectures
Interview Jafar Hilali

http://blogenclasse.crdp-limousin.fr/classes/23/ime-grand-bourg/w...

Il n'y aura ni vente du Racing, ni dépôt de bilan. Jafar Hilali met ainsi un terme aux rumeurs qui circulent dans le microcosme strasbourgeois depuis plusieurs jours, à travers une interview qu'il a accordé à notre site internet ce dimanche. Sa volonté est de s'inscrire durablement à la tête du Racing Club de Strasbourg et à remonter le club dans un premier temps en L2 et dans un second en L1. Il espère cependant que le risque de problèmes de trésorerie à court terme soit évité si les partenaires du club honorent leurs engagements dans les délais. Suite à la réunion du 6 octobre entre la direction du club (Hilali, Plessis et Krebs) et les associations de supporters du kop (UB90 et KCB), réunion qui s'était mal finie, nous étions ressortis bredouilles et insatisfaits des réponses obtenues. C'est à ce titre que nous avions co-signé le communiqué paru le jour du match face à Fréjus. Nous n'avons cependant pas rompu les liens avec Jafar Hilali, tant il était important pour nous d'obtenir des réponses aux questions cruciales sur l'avenir du Racing. Ainsi, les échanges par mails se sont intensifiés depuis 10 jours et nous nous sommes longuemment entretenus téléphoniquement avec lui ce jeudi soir. Au cours de cet échange, il a........



.......répondu de façon constructive et détaillée à toutes nos questions, interrogations et craintes. Ses propos étaient tout autres que ceux du 6 octobre: pas de bottage en touche, ni de réponse évasive ou floue. Une réponse claire et précise a été obtenue à toute nos questions.

Même si la sanction relative à la fermeture du Kop semble maintenue à ce jour, nous lui avons fait part de notre opinion à ce sujet et lui avons suggéré de ne pas tenir rigueur aux associations de supporters qui ont eu un comportement digne et exemplaire malgré cette descente aux enfers au cours des trois dernières années. Nous lui avons aussi garanti que ses craintes de violence de la part des supporters n'avaient pas lieu d'être.

Nous avons tout fait pour influer et pour pacifier la situation, tant il est inacceptable pour nous que l'avenir des UB90 soit menacé et tant nous souhaitons qu'une ambiance positive autour du club revienne enfin au goût du jour puisqu'il est important que les joueurs puissent sereinement nous sortir sportivement de cette galère et remonter en L2 dès cette saison.

Après cet échange téléphonique, nous lui avons demandé s'il acceptait de répondre à une interview (sa première) pour nous donner son regard sur l'actualité du club et sur ce qui s'est passé depuis 10 mois.

Vous retrouverez ainsi ici bas l'intégralité de ses réponses.

Bonne lecture.



Jafar, les derniers résultats du club en championnat sont mi-figue, mi-raisin : êtes vous déçus ou encore confiant ?

Nous avons une équipe techniquement au dessus des autres. Beaucoup de joueurs sont issus du centre. Ils ont pu bénéficier d'une excellente formation. Cette équipe est un peu jeune et il faut toujours un peu de temps pour trouver ses marques.

Un premier constat est de faire la différence entre les matchs à la Meinau où nous avons un public qui aide les joueurs à gagner les matchs quand l'équipe est au complet et le manque de réussite des matchs à l'extérieur. L'encadrement sportif travaille énormément sur ce point et je suis convaincu que tous leurs efforts finiront par payer.

L'objectif reste-t-il la montée ?
Bien sûr et jusqu'au dernier jour. Laurent Fournier m'a prévenu dès le départ que le championnat en national serait très dur mais il reste 85 points à prendre. Le coach et les joueurs feront tout pour remonter


Allez-vous renforcer l'équipe ? Si oui, avec quels moyens financiers ?

Nous avons déjà commencé avec l'arrivée de Bill Tchato qui va apporter par son expérience et fera beaucoup de bien dans les vestiaires pour encadrer avec les anciens nos jeunes joueurs. Il devrait notamment faire du bien lors des matchs où nous menons pour conserver la victoire.

Nous faisons également en sorte de ramener d'autres joueurs même si la masse salarial est encadrée par la DNCG. Nous avons demandé à des clubs amis (Monaco , PSG, Arles ...) de nous prêter certains de leurs joueurs en équipe réserve avant même que le mercato hivernal ne commence. Ces choses là prennent toujours beaucoup de temps et nous sommes contraints d'être patients.

Avez-vous toujours confiance en Laurent Fournier ?

J'ai confiance en Laurent Fournier et en Jacky Canosi qui le seconde.

Le premier a une grande expérience du National et fait le maximum pour mettre en confiance le groupe pour qu'il trouve son rythme de croisière. Il a parfaitement conscience des enjeux et a tout mon soutien.

Jacky connait tous les joueurs et les jeunes du centre. Ils font un très bon duo.

Jérôme Rothen a décliné l'offre du Racing : comment se sont déroulées les négociations et y avait-il vraiment une chance qu'il vienne ?

J'ai contacté moi-même Jérôme pour lui demander de venir. Il a pris le temps de me rappeler à plusieurs reprises et n'a pas complètement fermé la porte. Il doit avant tout gérer avec le PSG sa situation pour pouvoir décider de la suite de sa carrière. Il a légitimement envie de continuer a évoluer en ligue 1. Il veut attendre de voir ce qui se passe pendant le prochain mercato et nous verrons d'ici la.

Concernant Brunel et Diawara, où en sont ces deux dossiers ?

J'attends dans les prochains jours la réponse de Kaba Diawara et nous verrons avec le coach s'il décide de l'intégrer dans son effectif. Nous avons demandé a Arles Avignon de prendre l'intégralité de son salaire à sa charger en échange de l'abandon du suivi sur Franck Dja Dje Dje.

Concernant Brunel, nous ne pouvons pas malheureusement prendre en charge son salaire à cause des contraintes de la DNCG.

Avez-vous des contacts avec d'autres joueurs ?

Oui notamment Albert Banning qui est en soin chez nous mais également d'autres joueurs.

Nous avons plusieurs dossiers en cours. Nous sommes à la recherche d'un milieu offensif et d'un attaquant.

Extra-sportif :


De nombreuses rumeurs vous annoncent comme désireux de vendre le club. Qu'en est-il ?

J'ai reçu des propositions mais nous ne sommes pas vendeurs. Alain Fontenla et moi même avons 50 % respectivement des parts de Fc Football ltd.

Si nous avions voulu vendre, nous n'aurions pas réinjecté 2,6 millions supplémentaires en juillet.

On parle également de dépôt de bilan : les supporters ont-ils tort ou raison de s'inquiéter ?

Dépôt de Bilan non car nous avons assuré les besoins en trésorerie jusqu'à la fin de la saison an accord avec la DNCG.

Nous avons un budget de 9 millions pour cette année.

De ce montant, nous avons déjà mis environ 4 millions (2,6 en apport en compte courant + 0,95 millions de la vente de Magueye Gueye + 233 000 euros de la Ligue )

Il manque maintenant sur ces 9 millions, les subventions et le montant des prestations des collectivités ( 3 millions environ en raison d'un léger retard de paiement) , l'argent du sponsoring de Sportfive, un solde de 550 000 euros de Magaye Gueye en Janvier, 750 000 euros d'aide à la relégation de la ligue, de la billetterie ... ce qui fait environ 5 millions d'euros.

Ces montants vont évidemment être honorés mais nous craignons un problème de trésorerie si cette attente devient trop longue. Ce point ne dépend plus de nous pour être honnête mais de nos différents partenaires.

Qu'avez-vous à dire pour rassurer les amoureux du club qui pensent que vous ne remettrez pas de l'argent dans les caisses du Racing si un jour sa survie en dépendait ?


J'ai déjà prouvé à plusieurs reprises que je pouvais sauver le Racing.

Le problème que les amoureux du club doivent comprendre est que nous demandons également un climat apaisé pour ne pas avoir l'impression d'être les dindons de la farce et de devoir payer tous les trois mois les erreurs des autres.

Si les conditions sont trouvées nous ferons le nécessaire le moment venu.


Les supporters que vous avez rencontrés le 6 octobre à la Meinau se sont longuement exprimés sur cette réunion qui s'est mal terminée. Quel est votre résumé à vous de ces échanges et comment les avez-vous vécus ?

Nous étions 7 personnes présent a cette rencontre :

Certains représentants de supporters : Julien pour le KCB et 3 personnes des UB90 (Greg, Lekost et une jeune fille). Nous regrettons qu'à cette réunion les autres représentants des supporters n'aient pas été présents.

Du côté du club, le président, Christophe Krebs et moi même.

La discussion a duré un peu plus d'une heure et demi et a dérapé les 5 dernières minutes.

Greg a monopolisé la parole quasiment toute la discussion. C'est un amoureux du club qui l'exprime à sa façon : un peu agressif tout en essayant d'être constructif. Ce que je retiens de ces interventions c'est un sentiment de tristesse profond en raison des péripéties du club depuis 5 ans.

Il a posé des questions dans tous les sens. Il donnait l'impression d'être dans la peau d'un juge qui demande à ce qu'on lui rende des comptes.

Du mieux que j'ai pu, et comprenant la déchirure qu'il vivait, je me suis efforce de répondre a ses invectives tout en lui disant de ne pas dépasser une certaine limite du respectable.

La moitié de ses questions n'avait aucun sens. Il a été jusqu'à me demander pourquoi nous avions payé ce club 1,6 millions.

J'ai cherché pendant toute la discussion à lui donner des réponses d'ensemble car on sentait bien qu'il ne maîtrisait pas le dossier de l'intérieur et que son analyse était approximative voir déformée par un certain ressenti.

Il n'a à mon avis pas compris non plus le sens de la réunion et s'est enfermé comme souvent dans une logique d'accusation. A la sortie de cette réunion, j ai comparé sa présence au tribunal de guantanamo.

Je pense tout de même qu'il y a eu du positif dans cette réunion malgré ses insultes à la fin de la réunion pour lesquelles je ne lui porte aucune rigueur. Il a été dépassé par ses émotions c'est évident.

Nous allons refaire des réunions de supporters mais cette fois ci avec toutes les familles de supporters que je dois normalement voir dans 2 semaines

Vous avez décidé de fermer le Kop pour 3 matchs : pourquoi avoir pris cette décision et est-elle maintenue après une semaine de réflexion ?

Il est de ma responsabilité d'assurer la sécurite dans ce stade.

A la sortie du match contre Châteauroux, il y a tout juste 4 mois et suite a cette défaite, malheureusement une partie des supporters alsaciens ont a cassé dans la tribune visiteurs.

Châteauroux est encore sous le choc et n'avait jamais assisté a un tel spectacle dans l'enceinte de son stade.

Je comprends la déception de certaines personnes mais la violence ne mène à rien et il faut quelquefois être excessif et montrer ses muscles pour éviter que des drames ne se reproduisent.

Par ailleurs nous avons un groupe jeune et notre coach a du modifier la feuille de match en raison de ces banderoles. Je suis derrière mon groupe et je dois le protéger par tous les moyens. Je sais être juste mais je ne peux pas laisser faire les choses sans réagir.

Comment allez-vous sortir de ce litige avec les supporters ? On voit mal à ce jour quelle pourrait en être l'issue.


Il ne s'agit que d'une minorité des supporters. Je me suis depuis entretenu avec de nombreux autres qui adhèrent a mon initiative et qui refusent la violence a l'intérieur de la Meinau.

Les UB90 sont des passionnés qui ne souhaitent que la réussite de l'équipe mais certains d'entre eux sont plus virulents que d'autres.

Il faudra bien un jour que les choses rentrent dans l'ordre mais d'ici là il faudra être prudent.

Pour rester sur l'actualité des supporters, vous leurs aviez offert une place au conseil de surveillance : pourquoi cette ouverture, pourquoi Arnaud Szymanski et quel est votre regard sur les problèmes que ça a engendré ?

J'ai voulu que les supporters puissent bénéficier eux-mêmes des informations du club sans passer par les approximations de la presse.

Arnaud SZYMANSKI n'a pas pu résister à la pression de certains ultras mais nous pourrons rouvrir le moment venu ce dossier en proposant cette place à des gens avec un peu plus d'expérience


La presse a fait état d'un divorce futur entre vous et Jean-Claude Plessis : est-ce justifié ?

Divorce non car entre Jean-Claude et moi, il y a maintenant une véritable amitié.

Par contre, comme il le dit, nous ne pouvons pas être deux à gouverner.

J'ai un profond respect pour lui et je le remercie pour toute l'aide qu'il m a apportée.

Il m'a offert de me proposer d'être mon conseiller ce que je ne peux évidemment pas refuser.

Il a pris beaucoup de coups et a su rester un Gentleman.


N'avez-vous pas peur que la caution tant sportive qu'auprès du milieu (ligue, dncg, autres dirigeants) qu'est Jean-Claude Plessis laisse un vide en cas de départ ?

Non

De la même façon, le journal l'Alsace de ce samedi fait état d'un probable départ de Jean-Luc Witzel à Aston Villa : qu'en est-il ?

Jean-Luc ne compte absolument pas partir. Il s'agit encore des supputations et des approximations de ce journal.


Vous avez relancé l'espoir d'un nouveau stade pour l'Euro 2016 à Strasbourg ? Tant Proisy, que Keller et Ginestet ont échoué dans ce projet par le passé. Comment allez-vous faire pour le mener à bien ? Avez-vous déjà avancé et des partenaires pour le financer ?

Je ne supporte pas le gâchis. Il s'agit pour l'Alsace d'une chance inouïe. Nous croyons évidemment à ce dossier tout en restant prudents.


Notre projet est de faire construire un stade de 40 000 places pour recevoir les quarts de finale de l'euro 2016 et accueillir le RCS entre temps.

C'est un projet simple qui repose sur un projet de stade plus une zone commerciale de 40/50 000 M2.

Evidemment il revient aux associations de commerçants de Strasbourg de décider s'ils acceptent ce nouveau projet.

La ville n'a pas mis son veto sur ce dossier si elle considère que son montage financier n'est pas handicapant pour les finances de Strasbourg.

La LAFA, la Région et le conseil General sont très attentifs à ce dossier et espèrent qu'ils puissent se réaliser.

Dans ce genre de dossier il faut toujours être très prudent surtout quand on voit que les projets précédents ont échoué.

Mais pour le résumer, le budget total sera de 120 millions d'euros dont une partie sera financée par la revente du foncier pour accueillir une zone commerciale où les locomotives peuvent être Auchan, Carrefour avec à leurs côtés des petits commerçants de la ville. Ces enseignes sont très intéressées par ce projet


Des personnes ont été licenciées puis réintégrées alors que Plessis avait garanti qu'il n'y aurait pas de licenciements : pourriez-vous nous raconter comment cela s'est passé s'il vous plaît ? Pourquoi ce retour en arrière ?

Pour ne pas être langue de bois, il faut savoir que la structure actuelle du club a du mal à fonctionner avec autant de salariés. Nous sommes clairement en surnombre. Certains salariés nous ont quittés.

Il a fallu faire revenir certains salariés a cause du coup financier que représentait leur départ.

Nous devons faire avec la législation en place même si au final c'est la qualité de l'équipe pro qui en prend un coup.

Les salariés comprennent parfaitement la situation. Pour beaucoup ce sont des amoureux du club. Nous comprenons et respectons leurs positions.


Flash-back :


Après avoir parlé de l'actualité du club, revenons un peu en arrière pour analyser les 10 derniers mois.


Pouvez-vous nous raconter en détail comment s'est passé le rachat du Racing ?

L'achat s'est fait très simplement. Maitre Isenegger a proposé à ma société Carousel Finance SA ce dossier. Il est très rare de trouver une telle opportunité de développement et nous avons avec Alain Fontenla pris le risque de cet investissement.

L'idée initiale était de sauver ce club de la relégation et d'assainir ses comptes pour lui donner toute ses chances de remonter en ligue 1.

Nous n'avions pas imaginé une seule seconde le cirque qui allait arriver.


Vous vouliez en quelques sortes rester en retrait et être simples partenaires. Mais le retrait de Roman Loban vous a poussé à la lumière. Vous ne le souhaitiez pas ce qui expliquerait les problèmes de communication lors du rachat ?


L'acquisition du Racing s'est faite rapidement mais nous n'avons pas eu le temps de nous retourner pour la communication.

Dès le début, un malaise s'est installé : on doutait de l'origine des fonds : que pouvez-vous dire aux supporters pour les rassurer ?

Ceux qui ont mis un doute dans la tête des gens avaient évidemment une idée derrière la tête. Ils voulaient récupérer le club sans mettre un sou et ont même reconnu avoir utilisé tous les moyens en leur possession pour récupérer ce club.

C'était évidemment du grand n'importe quoi mais d'après ce qu'ils me disent maintenant c'est comme ça dans leurs affaires.......

Comment avez-vous réussi à faire fortune ?

Nos métiers consistent à réduire les risques des entreprises. Nous les protégeons des banquiers et des financiers qui cherchent à profiter de leur manque d'expertise. Nous aidons les caisses de retraites, les pays en voie de développement et certaines grandes fortunes a ne pas investir dans des produits comme Madoff. Evidemment comme les montants se chiffrent à plusieurs milliards et que nous sommes parvenus à éviter des pertes de plusieurs centaines de millions de dollars, nous sommes récompensés par des commissions sur cela.


L'accueil des actionnaires minoritaires a été violent : comment l'avez-vous vécu ?

Sans affect, hallucinant mais sans affect.

Ils avaient un contentieux avec Philippe Ginestet et ont cristallisé leur haine sur nous.

Dans l'absolu ça n'avait aucune importance sur nous jusqu'au jour où ils ont perturbé le groupe de joueurs et nous ont conduit en national.


Vous, via Alain Fontenla, leur avez proposé de racheter le club: coup de bluff ou bien vraie proposition ?

Vraie proposition mais on a compris à ce moment quelles étaient leurs véritables intentions.


Parallèlement, c'est la DNCG qui vous accueille violemment avec la demande de déposer 3 M€ en caisse : comment avez-vous vécu ce passage devant la DNCG ?

Très mal comme une vraie injustice ...avec le temps ça va mieux. La DNCG a eu peur mais j'ai maintenant la certitude qu'ils ont voulu bien faire et j'ai confiance en leur indépendance. Ils ont eux même pu analyser la situation


Pendant ce temps, le mercato est un peu loupé et Pascal Janin n'obtient pas l'attaquant de pointe qu'il attendait : cela a-t-il pesé dans la relégation ?

Pascal Janin a choisi les joueurs qu'ils voulaient pour le mercato ...il n'a peut être pas choisi les bons mais avec l'effectif qu'il avait il avait sans problème les moyens de rester en ligue 2.

Pour nous il a clairement participé au cirque de certains et a oublié de faire son travail ce qui est une erreur très grave. Les joueurs ont répété à plusieurs reprises la différence de niveau et de professionnalisme avec le nouveau coach.


Des banderoles violentes sont déployées à la Meinau à l'attention d'Alain Fontenla et de Ralph Isenegger : comment ont-elles été perçues ?

Nous savions que les supporters se faisaient manipuler par un petit groupe de repreneurs.

Nous avons pour votre information attaqué Dominique Pignatelli qui est passé en jugement la semaine dernière pour les propos honteux et diffamatoires qu'il a tenu contre nous.


La personnalité de Ralph Isenegger a vraiment engendré un climat de suspicion : le comprenez-vous ? Quel a été son rôle lors du rachat et au cours des premiers mois ? Travaille-t-il encore pour le club ?

Il ne fait plus partie de ce projet. Il est comme tous les agents, intéressé par les joueurs.

Il est également avocat et m'a présenté ce dossier. C'est un homme d'affaires.

Pour le bien du Racing il fallait qu'il parte.


Fournier et Dayan se sont succédé avant que Plessis ne prenne le relais : pourquoi cela n'a-t-il pas fonctionné avec les deux premiers ?

Julien Fournier a subi trop de pression de certains repreneurs.

Luc Dayan n'a pas respecté les conditions de son contrat et nous l'avons attaqué pour cela.


Ces deux procès sont encore en cours : le Racing risque-t-il gros ?

Non nous sommes confiants dans ces deux dossiers mais la décision finale revient au juge.

Julien Fournier a un contrat qui n'a à priori aucune valeur légale car il a éé signé par une personne non autorisée à le faire.

Concernant Luc Dayan, n'ayant rempli son contrat nous l'avons dénoncé et justifié par un courrier documenté.

La rumeur veut que Ginestet serait parti en ayant laissé des cadavres dans les placards : qu'avez-vous découvert à votre arrivée et dans quelle situation financière se trouvait le club ?

Philippe Ginestet n'a rien caché.

Le Racing a deux commissaires aux comptes et il ne pouvait rien cacher.

Nous connaissions l'ensemble des dettes et des litiges. C'est la procédure classique lors du rachat d'une société.


En l'achetant 1,6 M€ avez-vous le sentiment de vous être fait avoir ou d'avoir fait une bonne affaire ?
Lors de l'achat une très bonne affaire. Mais suite aux perturbations venue de l'extérieur un peu moins.


Quelles sont vos motivations pour mettre (ou garantir) une somme colossale de 7 M€ en 10 mois dans un club de foot de L2 puis de national ?

La certitude que dans un environnement calme et serein nous pouvons aider ce club à remonter.


Refus de subventionner au début, puis achat du centre de formation à la fin : Comment se sont passé les relations avec la ville de décembre 2009 à juillet 2010 ?

La ville a pris le temps d'étudier réellement les tenants et aboutissants du dossier.

Elle a compris nos intentions et, comme la Région et le Conseil General, a tout fait pour sauver le Racing avec nous.


Le Racing débute bien l'année 2010 puis s'écroule et est relégué en national : quelles sont selon vous les raisons de cet accident industriel ?

L'instabilité permanente.....le sentiment d'impunité de certains...


Quelles sont selon vous les erreurs que vous avez commises tant sportivement qu'extra-sportivement de décembre 2009 à juin 2010 ?

Le choix de certains dirigeants et le maintien de Pascal Janin.

Qui est responsable de cette relégation en national ?

Tout le monde


Sitterlé vous tend la main et est prêt à ouvrir son carnet de chèque cet été pour éviter une relégation en CFA : pourquoi cela a-t-il capoté ?

Sitterlé est un homme d'affaires et les hommes d'affaires ne tendent jamais la main....


Au début Alain Fontenla était seul maître à bord mais on sentait que quelqu'un tirait les ficelles (en l'occurrence vous). Pourquoi être resté caché et comment pouvez vous avoir tant d'influence alors que vous n'êtes qu'actionnaire minoritaire ?

Au départ je suis en partie bailleur de fonds. Ensuite j'ai aidé mon ami et client Alain.


Nous sommes maintenant à 50/50 dans le Racing


Maintenant c'est vous qui êtes au volant du club. Pourquoi mettre les mains dans le cambouis et n'avez-vous pas peur de prendre des coups ?

Je suis insensible aux coups car je crois dans la valeur travail.

Je suis dans le directoire car personne ne veut faire le travail ingrat mais il faut le faire pour sauver le Racing.

Ensuite je veux construire un projet dans la durée aussi bien sportif qu'extra sportif.

Il faut y aller par étapes ...national puis ligue2 ...ensuite nous verrons.

Nous pouvons nous appuyer sur de la compétence, sur le centre et sur nos directeurs sportif et général.

Il faut être patient et ambitieux

Allez-vous être plus présents dans les bureaux du Racing à l'avenir ? Allez-vous assister à des matchs à la Meinau ?
Je suis déjà présent dans les bureaux. Je n'assisterai aux matchs que quand cesseront les insultes contre les actionnaires. J'ai des enfants, je ne supporte pas l'idée qu'ils entendent ces insultes.


Pouvez-vous nous en dire plus sur les raisons de vos négociations pour rompre le contrat avec Sportfive ?

Maintenant que Jean Claude et moi avons trouvé un accord, tout va rentrer dans l'ordre avec Sportfive.


Quels sont vos rapports avec Jacky Kientz ?

Très bons rapports. Il est bénévole, il aime son club et me donne de très bons conseils en s'impliquant dans les projets.

Beaucoup de gens m'appellent et tentent de me donner des conseils mais au final ils n'apportent rien.


On a le sentiment que beaucoup à Strasbourg souhaitent votre échec, voir même un dépôt de bilan du club : que cela vous inspire-t-il ?

6 actionnaires en 13 ans c'est aussi ça la réalité du Racing. Certains tentent de faire croire qu'ils aiment le club mais ils aiment surtout ce que représente le club....

En essayant de tuer le Racing, ils vont tuer le centre de formation, mettre au chômage les salariés et effacer de la carte le football pro en Alsace.


La presse ne vous loupe pas et charge les repreneurs depuis près de 10 mois : pensez-vous que le rôle de la presse est néfaste pour le club ?

Même si le club est une fierté alsacienne, il appartient aux actionnaires actuels.

Comme souvent les supporters et les journalisent sportifs nient cette réalité, d'où certains dérapages qui n'ont au final aucune importance s'ils n'engendrent pas de la violence.


Pensez-vous que les supporters sont manipulés par la presse et certains minoritaires ? Que souhaitez-vous leur dire pour les rassurer ?

Tous les supporters ne sont pas manipulés. Les jeunes le sont toujours c'est bien connu.

Les anciens sont parfaitement conscients de la réalité.


Il vous est reproché de ne jamais avoir exposé votre projet sportif : pouvez-vous nous le détailler ?

S'appuyer sur nos jeunes et nos joueurs d'expérience. Créer en esprit commando, un esprit groupe et alsacien pour remonter et stabiliser l'équipe en ligue 2. Recruter intelligemment ensuite sur une ou deux saisons pour remonter en ligue1.

Parallèlement je souhaite créer les conditions de réussite sportive grâce au nouveau stade et à la compétition de l'Euro2016 qui va favoriser la dynamique de la remontée.


Et votre projet financier pour le Racing : quel est-il ?

Nous avons déjà investi ce que jamais personne n'a investi dans ce club. Si nous remontons en ligue 2 il faudra de nouveau remettre de l'argent sur la table.


Le centre de formation est un coût énorme pour un club de national : garantissez-vous son avenir et comment allez-vous le financer ?

Nous sommes en train de créer un partenariat avec l'Inde pour leur faire bénéficier de notre expertise dans leur pays. Nous sommes sur le point de trouver des partenaires pour financer ce programme et par la même occasion financer notre centre de formation qui est classé 8ème de France.


La nouvelle voie de Mathieu Dubrulle.

01/06/2006 06:23
1.765 lectures
Après sept ans de commentaires enflammés, la "voix du Racing" sur France Bleu Alsace a décidé de rejoindre sa Picardie natale à l'intersaison. Avec un gros pincement au coeur.

J'espère simplement ne pas avoir à commenter un Amiens-Racing dès le début de la saison en Ligue2. Sinon, les supporters picards risquent d'être surpris de m'entendre crier: "Buuut de Strasbourg!" A 34 ans, Mathieu Dubrulle a décidé de tourner une grande page de sa carrière. Toute l'Alsace du foot connaît sa voix, qui commentait depuis sept ans les matches du Racing en direct, mais aussi de la SIG en basket, lorsque celle-ci ne jouait pas en même temps que Strasbourg. Et pour cause: France Bleu Alsace réalise sa meilleure audience les soirs de foot. "En fin de saison, Marc Keller, avant de rejoindre Monaco, disait que le Racing était à la fin d'un cycle. C'est bizarre, mais j'avais la même impression quand j'ai décidé de rejoindre France Bleu Picardie. Je suis a la fin d'un cycle", estime non sans une pointe de tristesse le toujours jeune homme de 34 ans. Les raisons de ce changement sont simples: Papa d'une petite Vanille depuis huit mois, Mathieu Dubrulle s'est vu proposer un poste quasiment équivalent à celui qu'il occupait à Strasbourg. "Ma copine travaille également à France Bleu Picardie, mais le rapprochement familial n'est pas la seule raison. Si je n'avais pas pu travailler au sport, je n'aurais pas accepté. Le direct m'aurait trop manqué", insiste le journaliste, qui a grandi l'oreille collée au poste, nourri de "tours des stades" du samedi soir.

"J'ai souvent taillé le Racing"

"J'ai toujours été un passionné de foot", reconnaît le désormais ex milieu offensif des vétérans d'Ernolsheim, qui a trouvé en Alsace une région à la hauteur de sa passion: "Je suis toujours étonné de voir l'ampleur que prend le sport dans cette région, le foot en particulier. Ernolsheim a un terrain synthétique dernier cri qui ferait envie à Amiens, en Ligue2! Et j'ai toujours été surpris de l'enguement que provoque le Racing, et par la-même l'impact que peut avoir un commentateur radio sur les gens qui suivent cette équipe. Je ne veux pas paraître prétentieux, mais un jour, mon père a assisté à un match à la Meinau, et il était halluciné de me voire signer des autographes et poser avec des gens pour une photo. Je ne sais pas si l'on voit ça ailleurs..."Mathieu Dubrulle ne le cache pas, cette popularité confère aussi des responsabilités. "Dans un commentaire, même si je m'enflamme, j'essaye toujours de respecter ce que je vois. Parfois les gens me reprochent d'enjoliver, mais quand la balle passe 15 mètres au-dessus, je ne fais pas comme si elle frisait la barre. Et quand l'équipe joue mal, je n'hésite pas a le dire. Cette année j'ai souvent taillé le Racing...Dernière chose très importante pour moi: quand on commente, j'essaye de ne pas faire de fautes de français. C'est très dur, parce qu'on travaille sans filet. Quand on est en direct, on a pas de seconde chance". A l'issue de Roland-Garros, le quotidien radiophonique de Mathieu Dubrulle sera fait de foot, avec Amiens en Ligue2, mais aussi de hockey, le sport phare de la ville, ou encore de basket (Saint-Quentin en proB, n'est qu'a 40 km). Le Racing, lui, ne restera pas longtemps sans voix. "Officiellement, je crois que rien n'est encore fait, mais il semblerait que le prochain commentateur soit une commentatrice. Je lui souhaite bonne chance en tout cas, parce que ce n'est pas évident comme exercice. Mais c'est tellement passionnant!"

Source: L'Alsace du 1er juin 2006.

Statistiques Mondial 2006.

15/07/2006 21:01
1.694 lectures
A LA LOUPE:

Meilleure attaque: L'Allemagne, avec 14 buts. L'Espagne possède cependant la meilleure moyenne (2,25) avec 9 réalisations en 4 rencontres. A l'inverse, Trinité-et-Tobago fut la seule équipe du Mondial à n'avoir inscrit aucun but. Suffisant pour faire trembler l'Angleterre et la Suède.

Meilleure défense: L'Italie, qui n'a encaissée que deux buts. La meilleure moyenne revient à la Suisse: 0 but pris en 4 matches. Avec 10 buts concédés en trois matches, la Serbie-Monténégro, elle remporte la palme de la plus mauvaise défense.

Et de sept: Sept joueurs participaient à leur quatrième mondial cette année: Cafu et Ronaldo (Brésil), Mohammed al-Deayea et Sami al-Jaber (Arabie Saoudite), Oliver Kahn (Allemagne), Claudio Reyna et Kasey Keller (Etats-Unis). Ce dernier a disputé l'edition Italienne de 1990, mais était absent en 1994.

Un Suédois dans l'Histoire: Marcus Allbäck (Suède) a inscrit face à l'Angleterre, le 2000e but de l'histoire de coupe du monde..

LES CHIFFRES DU MONDIAL:

Buts: 147 (soit 2,30 par match) contre 161 en 2002 (soit 2,52 par match).

Cartons jaunes: 339 (soit 5,30 cartons par match) contre 270 en 2002 (moyenne de 4,22 par match).

Cartons rouges: 27 (soit 0,42 par match) contre 17 en 2002 (soit 0,26 par match).

Comment ça marche...Un contrat de joueur Pro?

03/01/2007 08:06
1.663 lectures
Un contrat professionnel recèle une multitude d'informations et de clauses particulières. Mais que stipule-t-il exactement? Eléménts de réponse.

Que mentionne le contrat?

Tous les contrats de joueurs respectent un modèle imposé par la Ligue de Football Professionnel. On y trouve l'état civil du joueur, son historique sportif, son club précédent, son salaire et le montant du transfert (qui doivent rester confidentiel), la durée et la date de prise d'effet du contrat, la date et le lieu de la signature et si un agent est intervenu pour le compte du joueur ou celui du club. Les parties signent ensuite des avenants contenant la totalité de leurs accords contractuels.

A quel âge le joueur peut-il signer un contrat Pro?

Entre 15 et 18 ans, les joueurs signent des contrats d'Aspirant. Entre 18 et 20 ans, ils deviennent Stagiaires Pros. Dès l'âge de 20 ans, ils peuvent signer leur premier contrat Pro d'une durée fixe de trois ans. Les clubs dotés d'un Centre de Formation ont la possibilité de faire signer un contrat Pro à des joueurs de moins de vingt ans (15 ans minimum), car ils sont considérés en formation. Ceci dans le but d'inciter les clubs français à s'équiper d'un centre de formation.

Un jeune formé dans un club a-t-il le droit de signer dans un autre club s'il le désire?

Le signataire d'un contrat de joueur en formation (Aspirant ou Stagiaire) concède à son club formateur la possibilité de se voir imposer la signature d'un premier contrat professionnel pour une durée de trois saisons minimum. Le club doit lui faire une proposition, mentionnant au moins la durée et le salaire, avant le 30 Avril précédant l'entrée en vigueur du contrat professionnel. Si le club ne respècte pas ce délai, le joueur devient libre de signer dans le club de son choix.

Quelles sont les clauses spécifiques d'un contrat?

On y trouve par exemple, les primes individuelles; les primes collectives, elles apparaissent dans le règlement intérieur. La Charte du Football Professionnel, qui a valeur de convention collective, prévoit également que les clubs ont la faculté de diminuer le salaire d'un joueur en cas de relégation. Elle mentionne aussi que "plusieurs joueurs sous contrat peuvent être amenés, pour des raisons sportives, à s'entraîner parallèlement au groupe professionnel". Enfin aucune clause de rupture anticipée d'un contrat n'est acceptée: un joueur ne peut pas démissionner et un club ne peut licencier un joueur qu'en cas de faute grave.

Source: Onze Mondial

Peut-on changer de nom?

30/11/2006 07:20
1.649 lectures
une fois son patronyme légué par ses parents, on vit avec toute une vie. Sauf en deux exceptions. Tout d'abord, il est possible d'obtenir une rectification d'état civil, quand par exemple une erreur s'est glissée dans un acte. Il s'agit alors de reprendre un nom en usage autrefois. Ensuite depuis une loi de 1803, remplacée par une nouvelle loi en 1993, on peut changer totalement de patronyme mais dans des circonstances bien précises. Cette demande de changement doit dans tous les cas répondre à "un intérêt légitime". Concrètement, cela n'a aucune chance d'aboutir si la motivation est purement estéthique, ou si l'on estime qu'une particule ferait plus chic, mais c'est envisageable lorsque ce patronyme est particulièrement lourd à porter: sa consonnance étrangère le rend imprononçable en français(une loi adoptée en 1950 permet d'ailleurs la francisation des noms des personnes étrangères naturalisées), une nouvelle connotation l'a rendue ridicule (le cas le plus fréquent est Cocu), ou encore un précédent porteur du nom l'à déshonoré (c'est le cas par exemple pour Landru). Il est aussi possible de reprendre le nom d'un ascendant ou collatéral menacé d'extinction ou un pseudonyme lié à la famille: ainsi, l'ancien maire de Bordeaux Jacques Delmas a rajouté officiellement à son patronyme le nom Chaban, qu'il portait pendant la période de la Résistance. La procédure n'est pas coûteuse (environ 200 euros) mais reste longue. Ces demandes de changement de nom sont de plus en plus fréquentes. Quand elles aboutissent, elles font l'objet (à l'exception des francisations) de la publication d'un décret au Journal Officiel

Source: L'Histoire des patronymes.


Marc Keller, l'enfant de Balgau.

14/04/2008 21:22
1.614 lectures
A l'instar de Strasbourg, Monaco, prochain adversaire de Strasbourg ce samedi 5 avril à la Meinau, vit des moments difficiles en championnat.

Directeur général de l'ASM depuis 2006 après avoir été pendant cinq ans celui de Strasbourg, Marc Keller, neuvième la saison passée, ne pensait pas devoir lutter avec son club de coeur pour un maintien en Ligue 1. Pour Alsace Foot, le Haut-Rhinois a bien voulou revenir à ses racines et evoquer son parcours amateur. Celui qui l'a mené au Racing Club de Strasbourg. Tout pro a été un ancien amateur.

"Le football a commencé pour moi à Balgau, mon village natal. Je jouais dans la rue avec mon frère et un voisin. Un jour, le père de mon voisin m'a emmené à Fessenheim ou j'ai signé ma première licence vers cinq ou six ans. J'y suis resté jusqu'à douze ans. Je me souviens bien de cette période. Nous étions une bonne génération et terminions parfois champions du Haut-Rhin. Les dirigeants de l'époque, président et entraîneurs, ont beaucoup compté sur moi.

En 1980, les Sports Reunis de Colmar me sollicitent par l'intermédiaire de Raoul Baechler un educateur important des SRC qui a aussi un peu formé Pascal Johansen, Laurent Weber ou Claude Fichaux. D'un coup je passais de deux à trois ou quatre entraînements. A cette époque mes parents, surtout ma mère, m'emmenait à Colmar. Leur rôle a été capital dans mon développement tout comme celui des éducateurs Colmariens. Sur le terrain, je gravis normalement les échelons: minimes, cadets nationaux et finalement en équipe première. A cette époque beaucoup de clubs voulaient me recruter. Metz et Strasbourg étaient sur les rangs mais j'ai préféré rester à Colmar et poursuivre mes études. En fait, j'avais une sorte de pacte avec mes parents, celui de passer mon bac avant tout. Je l'ai obtenu à 18 ans.

Mulhouse, le bon choix.

La même année, en 1986, les dirigeants mulhousiens sont venus me voir. Raymond Domenech (entraîneur), Max Hild (recruteur) et Andre Goerig (président) m'ont convaincu de venir. Je dois dire que Max Hild a joué un rôle prépondérant dans mon choix sportif. D'ailleurs, dans ma carrière, tous mes choix se sont fait en fonction des hommes. Le prestige ou l'argent n'ont jamais été des éléments déterminants. A Mulhouse, on m'a permis d'eviter un déracinement et de poursuivre mes études en prépa HEC. C'était important à mes yeux. Mais Raymond Domenech me fait toutefois comprendre qu'il serait mieux de m'entraîner tous les jours si je veux envisager une carrière. En 1987-1988, je poursuis en Faculté de Sciences Economiques à Strasbourg, la saison même ou je fais mes débuts en deuxième division et ou nous ratons l'accession en barages (27 matches, 1 but). Ce n'était pas l'ideal pour progresser alors j'ai fini par faire des cours par correspondance et signer professionnel.

Fan des frères Schebacher.

Aujourd'hui je peux dire que mes années de footballeur amateur sont les plus belles. Il n'y avait aucun calcul, mais de l'innocence. Le foot, mêlé aux études, restent des années de bonheur. Lorsque j'étais enfant mes idoles jouaient au FC Hirtzfelden, étaient les frères Schebacher. Je ne rêvais pas de D1. A la maison, on ne faisait pas de plans sur la comète. Moi mon rêve, c'était de jouer à Hirtzfelden!"

Molitor, "l'intello" de la Meinau

26/03/2008 16:47
1.604 lectures
Buteur émérite du Racing de 1969 à 1972, le Robertsauvien menait de paire ses études et une vie de footballeur professionnel. Aujourd'hui, à 58 ans, il est kinésithérapeute à Nice.

C'était un jour de février comme celui-là. Libéré par le Bataillon de Joinville, en 1969, Marc Molitor est en pleine réflexion sur son futur métier. Il possède son bac, mais ne sait pas encore quelles études choisir. Après avoir été international junior, lorsqu'il jouait à l'AS Strasbourg, puis international militaire, le Strasbourgeois ne se prédestine donc pas forcément à une carrière de footballeur. Sa rencontre avec Paul Frantz va tout changer...Ils sont aujourd'hui retraités du football mais chacun garde en mémoire un passage au Racing Club de Strasbourg.

"En revenant du Bataillon de Joinville, je suis allé voir Paul Frantz au CREPS. Je voulais des renseignements sur le métier de professeur d'éducation physique. Mais il a fini par se demander pourquoi je ne voulais pas devenir footballeur professionnel. Finalement, je me suis intéressé au métier de kinésithérapeute mais le football m'attirait également. Je me suis laissé convaincre par Paul Frantz qui m'a permis de faire mes études en parallèle. J'ai signé un contrat de quatre ans. Le matin j'allais à l'entraînement, l'après-midi à la fac de médecine et le soir je révisais. La première saison s'est très bien déroulée. Je marque 17 buts en 34 matches et l'équipe se classe 5e du championnat. La deuxième saison fut plus compliquée. Le club fusionne avec les Pierrots Vauban. Sur le terrain, le niveau baisse. Je marque le même nombre de buts mais nous sommes relégués en D2 à la dernière journée. Le Racing n'avait plus connu le deuxième échelon national depuis dix ans, ndlr. Il nous fallait récolter un nul à Marseille qui était déjà sacré champion pour nous maintenir. Finalement, Skoblar en course pour le titre de meilleur buteur, à fait gagner son équipe 6-3. Je n'oublierai jamais la joie dans leur vestiaire et les pleurs dans le nôtre. Cette fusion avait tout détruit.

Horaires aménagés.

Cette saison-là, j'avais plus de soucis d'organisation avec les études. En deuxième année de kiné, les stages matinaux en hôpital se déroulaient en même temps que les entraînements. Ca devenait compliqué. Heureusement nous avions reussi à trouver un arrangement en avançant les horaires de stage. J'allais à l'hôpital de sept à neuf heures et prenais ensuite l'entraînement en cours. Paul Frantz restait une heure de plus avec moi, pour que je conserve la même durée d'entraînement que les autres.

L'appel du PSG, le départ à Nice.

La troisième saison nous faisons un carton en D2. Casimir Novotarski arrive comme entraîneur. Ivica Osim signe et Gérard Hausser revient, après trois saisons à Metz. A la fin de la saison nous remontons en D1. Je finis meilleur buteur avec 40 buts. A cette époque le PSG voulait me faire venir, mais je tenais surtout à finir mes études. Il me restait un an avant le diplôme, alors je suis resté. Nous terminons seizième avec seulement deux points d'avance sur le premier relégable. Je décide de partir à Nice avec Dario Grava ou joue déjà Jean Noel Huck, parti l'année de la descente. Nous avons reconstitué un trio. J'arrêterai ma carrière trois saisons plus tard, à 28 ans en 1976, après quelques problèmes internes. Je reconnais, aujourd'hui, avoir agi sur un coup de tête. J'aurai pu prolonger encore deux saisons jusqu'à la Coupe du Monde 1978 en Argentine (N.D.L.R. Il a été international) mais j'ai décidé de m'installer comme kiné à Nice".




Euro

26/10/2010 14:51
1.493 lectures
Euro - Le onze des meilleurs joueurs de tous les temps !
Goal.com vous propose son onze parmi les joueurs qui ont le plus impressionnés durant les Championnats d'Europe de Football ! Bien évidemment, Zidane, Platini, Netzer ou encore Van Basten font partie de cette liste ! Quels sont les joueurs qui, selon vous, ont le plus brillé durant les championnats d'Europe ?


Goal.com vous propose son onze des meilleurs joueurs du Championnat d'Europe de tous les temps ! Bien évidemment, Zidane, Platini, Netzer ou encore Van Basten font partie de cette liste ! Quels sont les joueurs qui, selon vous, ont le plus brillé durant les championnats d'Europe ?

Dino Zoff (Italie – 1968, 1980)

L'ancien portier légendaire de la Juventus est plus célèbre pour son rôle de capitaine, à l'âge de 40 ans, lorsqu'il a amené l'Italie à remporter la Coupe du monde, mais ses records en championnats d'Europe sont également exceptionnels. En sept matches divisés entre deux tournois, dont trois d'entre-eux sont allés jusqu'aux prolongations, Zoff a seulement concédé deux buts. Il a été particulièrement inspiré lors de la finale contre la Yougoslavie, lorsque l'Italie a rejoué la finale pour finalement remprorter la compétition en 1968.

Matthias Sammer (Allemagne - 1992, 1996)

Le meilleur joueur d'Allemagne à des kilomètres lors du Championnat d'Europe de 1996 en Angleterre. Jouant au poste de Libéro, Sammer a mené une équipe d'Allemagne vieillissante et sur le déclin à la gloire. L'ancien héros de Dortmund a régulièrement débordé de la défense vers l'avant pour lancer des attaques, et a marqué deux buts décisifs dans le tournoi, incluant celui de la victoire lors des quarts de finale contre la dangereuse équipe de Croatie. Dirigeant le jeu jusqu'à la victoire finale face à la République tchèque, il est élu Meilleur Joueur de l'Euro puis en fin de saison, il a reçu le Ballon d'Or, récompense qui n'avait plus été décerné à un défenseur depuis Beckenbauer en 1976 ! Sammer a également joué un rôle important dans l'équipe qui s'est inclinée contre la Suède en finale du Championnat d'Europe 1992.

Paolo Maldini (Italie - 1988, 1996, 2000)

Le meilleur arrière latéral gauche de tous les temps a disputé trois fois les Championnats d'Europe de Football. A chaque fois, il a été élu dans l'équipe des meilleurs joueurs du tournoi. Maldini fête sa première sélection pour l'équipe nationale d'Italie en 1988. Il est alors âgé de 19 ans et participe ainsi au tour préliminaire de l'Euro 88. Son marquage sur le meilleur joueur espagnol de l'époque, Michel, lors de la victoire 1-0 de l'Italie, ne laisse aucun doute sur les merveilleuses choses qu'il accomplira dans le futur. L'Italie est éliminée en demi-finale par l'Union soviétique, mais Maldini sera désespérément près de remporter la compétition 12 ans plus tard, lorsque la France battra l'Italie 2-1 et remportera le tournoi grâce au but en or de David Trezeguet inscrit lors des prolongations.


Wilfried Van Moer (Belgique - 1980)

Il sera certainement peu connu pour un grand nombre de lecteurs, et pourtant... Il a remporté trois fois le soulier d'or (qui récompense le meilleur footballeur belge de l'année) et a représenté l'équipe nationale de Belgique à 57 reprises. Retour en 1972, où le milieu de terrain marqua avant de se casser la jambe lors de la victoire contre l'Italie en quart de finale. A ce moment là, sa carrière semblait terminée. Après ne plus avoir joué pour la Belgique pendant près de 5 ans, en 1979, à l'âge de 34 ans, il est rappelé par le sélectionneur Guy Thys en vue du Championnat d'Europe 1980, pour un choc crucial contre le Portugal. En Italie, Van Moer sera la star de la compétition, il marquera, remportera ses duels en milieu de terrain avec l'énergie d'un joueur de 25 ans et conduira les Diables Rouges jusqu'en finale, battus seulement par la RFA (2-1).

Günter Netzer (RFA - 1972)

Aucun joueur n'a déjà humilié l'équipe d'Angleterre à Wembley comme l'a fait Günter Netzer lors de l'Euro 1972. Le milieu de terrain a été simplement instopable et a conduit son équipe à une victoire 3-1 en quart de finale. il est l'artisan principal du succès de la Mannschaft dans la compétition. Netzer, par ses passes longues et précises, et son incroyable toucher de balle, donne au jeu allemand, une fluidité et une brillance qu'il n'a que peu connu jusque là. Il mènera son équipe à la victoire après un match sans appel contre l'Union soviétique (3-0) en finale et sera nommé Footballeur Allemand de l'Année en 1972 et 1973.


Zinedine Zidane (France - 1996, 2000, 2004)


Si Zidane paraissait un peu fatigué après 12 mois de football non-stop lors de son premier tournoi international en 1996, il a été au sommet de son art quatre ans plus tard lorsque la France à remporté l'Euro 2000, deux ans après avoir gagné sa première Coupe du monde. En plus d'un but marqué en quarts contre l'Espagne, il élimine le Portugal par pénalty en demi, et conduira son équipe à la victoire. Quatre ans plus tard, il sera toujours capable de réaliser de somptueux gestes, marquant trois fois lors de l'Euro 2004, notamment un superbe coup-franc contre l'Angleterre. Il est cité parmi les plus grands joueurs de football de tous les temps; Sportif préféré des Français en 2006, il est classé à trois reprises meilleur joueur mondial de l'année par la FIFA en 1998, 2000 et 2003 et ballon d'or en 1998.

Dragan Dzajic (Yougolslavie - 1968, 1976)

Il est considéré comme l'un des meilleur ailiers gauches de l'histoire du football. Dzajic a été le meilleur joueur de l'Euro 1968. Il a marqué le but vainqueur lors de la demi-finale contre l'Angleterre, d'un superbe lob. Il a également ouvert le score lors de la finale contre l'Italie. La Yougolslavie avait presque remporté le tournoi lorsque Angelo Domenghin égalisa dans les dernières minutes. Le match a du être rejoué et c'est finalement l'Italie qui s'est imposé 2-0. Son sens du dribble, sa capacité à centrer et à tirer des coups francs en font l'un des meilleurs joueurs yougoslaves de tous les temps. Il était également capable de marquer sur des corners directs.


Michel Platini (France - 1984)

Aucun joueur au monde n'a eu l'impact que Michel Platini a eu lors de l'Euro 1984. Le milieu de terrain offensif de la Juventus a marqué neuf buts incroyables, notamment deux hat-tricks. Il a été pour la France en 1984, ce qu'a été Diego Maradona pour l'Argentine deux ans plus tard. Il a marqué à la 119e minute lors de la victoire contre le Portugal en demi-finale (3-2), et a marqué en finale contre l'Espagne d'un somptueux coup-franc (0-2). Il est simplement le meilleur passeur de l'histoire du football.

Gerd Mueller (RFA - 1972)

Sans aucun doute le meilleur tireur de tous les temps pour l'Allemagne. Les statistiques de Mueller sont juste incroyables en Championnats d'Europe. Lors de l'Euro 1972, il a marqué les deux buts lors de la victoire contre la Belgique en demi-finale (2-1), et a inscrit un autre doublé lors de la victoire contre l'Union Soviétique (3-0) en finale. Lors des qualifications, Mueller a inscrit 6 buts. Cet attaquant est considéré comme l'un des meilleurs footballeurs allemands, toutes générations confondues. Avant-centre et buteur exceptionnel, au style parfois peu élégant selon les amateurs, souvent décisif, il était surnommé « Der Bomber » (le bombardier) en raison de son efficacité. Il a d'ailleurs marqué 68 buts en 62 matches.

Marco Van Basten (Pays-Bas - 1988, 1992)

Super Marco est le symbole du super Euro 1988 qu'ont réalisé les Pays-Bas. Il a d'ailleurs terminé meilleur buteur de la compétition en marquant cinq buts. Son hat-trick a éliminé l'Angleterre, et son but en toute fin de rencontre (88e), élimina l'Allemagne. Mais c'est son but en final qui sera toujours associé à Marco Van Basten. En effet, les Pays-Bas deviennent champion d'Europe des nations en battant l'URSS en finale (2-0), grâce à un but de Ruud Gullit et une volée sensationnelle de Van Basten, qui reste à tout jamais dans l'Histoire. Cette année 88, se conclut avec son premier Ballon d'Or, qu'il offre à son père. Quatre ans plus tard, il aura moins de succès lors de l'Euro 92.

Equipe

La Hierarchie:

13/10/2010 12:32
1.421 lectures
La hiérarchie d'une entreprise,
c'est comme un arbre plein de singes,
tous sur des branches différentes
a des niveaux différents.
Certains des singes montent,
d'autres descendent,
Les singes d'en haut regardent les singes d'en bas
et voient un arbre avec plein de visages souriants.
Les singes d'en bas regardent en haut
et ne voient rien d'autre que des trous du cul.

Un peu ce qui nous arrive dans le domaine sportif au RCS, non?



Souvenirs...

13/08/2010 07:51
1.394 lectures
Saint-Etienne - Bayern Münich 1976 :
les fameux poteaux carrés !

Qui ne connaît pas la fameuse histoire des poteaux carrés ? "Si... les poteaux avaient été ronds à Glasgow ce jour-là..." Vous savez ce que dit le dicton : "avec des si, on mettrait Paris en bouteille". Mais la référence aux montants des cages écossaises revient quand même régulièrement dans les conversations des amateurs de football.

Coupe d'Europe des clubs champions 1976. Les Stéphanois ont fait tomber le Dinamo de Kiev en 1/4 de finale et le PSV Eindhoven en 1/2. Le 12 mai 1976, les Verts se rendent à Glasgow pour la finale de la compétition, ancêtre de la Ligue des champions, qui se déroule à Hampden Park contre le Bayern Münich.

Malgré l'absence de 3 joueurs cadres de l'équipe (le défenseur Gérard Farison est suspendu, le milieu de terrain Christian Synaeghel est blessé, et “l'ange vert” Dominique Rocheteau est sur le banc), Saint-Etienne tient tête aux Allemands lors de la première période.
A deux reprises, sur un tir fracassant de Bathenay et une tête de Jacques Santini, le ballon heurte le poteau et la barre transversale du gardien allemand Sepp Maier. Mais les montants des cages du vieux stade d'Hampden Park sont carrés (et non ronds comme aujourd'hui). Pas de "poteau rentrant", le ballon est remis en jeu. Ils ne le savent pas encore mais les Stéphanois seront "hantés" par ces deux tirs pendant de nombreuses années.
Finalement, à la 57e minute, le Stéphanois Oswaldo Piazza commet une faute sur Gerd Müller. Coup franc : les Verts sont menés 1 à 0 sur un but de Franz Roth.


Au cours des 7 dernières minutes, Dominique Rocheteau, entré en jeu en 2e mi-temps, déborde sans cesse sur son aile et rend fous les défenseurs allemands, et notamment le grand Beckenbauer. Mais rien n'y fait. L'arbitre siffle la fin du match. Grosse déception pour les joueurs, les 40 000 spectateurs venus encourager les Verts et les milliers de téléspectateurs devant leur écran.


Malgré la défaite, les Stéphanois défileront le lendemain sur les Champs Elysées !




L'équipe de l'ASSE en finale :
Ivan Curkovic, Pierre Repellini, Oswaldo Piazza, Christian Lopez, Gérard Janvion, Dominique Bathenay, Jacques Santini, Jean-Michel Larqué, Patrick Revelli, Hervé Revelli, Christian Sarramagna (remplacé par Dominique Rocheteau). Entraineur : Robert Herbin

Remember...

20/11/2010 07:30
1.386 lectures

Impossible d'afficher la vidéo dailymotion <object width="480" height="360"><param name="movie" value="http://www.dailymotion.com/swf/video/x688dw?additionalInfos=0"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowScriptAccess" value="always"></param><embed type="application/x-shockwave-flash" src="http://www.dailymotion.com/swf/video/x688dw?additionalInfos=0" width="480" height="360" allowfullscreen="true" allowscriptaccess="always"></embed></object><br /><b><a href="http://www.dailymotion.com/video/x688dw_les-20-plus-beaux-buts-de-la-saison_sport">Les 20 plus beaux buts de la saison du RCS</a></b><br /><i>envoy&eacute; par <a href="http://www.dailymotion.com/Nicolas_du_67">Nicolas_du_67</a>. - <a href="http://www.dailymotion.com/fr/channel/sport">Plus de vid&eacute;os de sport professionnelle et amateur.</a></i>


Contestation.

19/05/2010 21:16
1.368 lectures
Justice: contester une loi, c'est possible!

La France reconnaîtrait-elle désormais la désobéissance civile? Sans aller jusque-là, il est aujourd'hui possible de refuser de se soumettre à la loi, en invoquant son inconstitutionnalité. Qu'on se le dise: la loi n'est, aujourd'hui, plus inscrite dans le marbre!
Depuis le 1er mars 2010, tout justiciable a la possibilité, par le biais d'un avocat, de demander au Conseil constitutionnel de vérifier qu'une loi est conforme à la Constitution ou aux conventions internationales, et si ce n'est pas le cas, de l'annuler.

Conditions du recours
La «question prioritaire de constitutionnalité» peut être posée à l'occasion de tout procès devant une juridiction civile, pénale ou administrative. Il s'agit de demander si la loi qui s'y applique n'est pas contraire aux droits et libertés garantis par la Constitution et les conventions internationales.

Le juge doit prioritairement se prononcer sur cette question. S'il reconnaît que la loi en question s'applique à l'affaire, que la question est sérieuse, et que le Conseil constitutionnel ne s'est pas encore prononcé à son sujet, il doit transmettre la question à la Cour de cassation ou au Conseil d'Etat, lesquels saisiront ensuite le conseil constitutionnel.

Quelles lois seront attaquées?
Il ne fait aucun doute que cette possibilité va être largement utilisée et que les 9 sages de la rue de Montpensier ne se gêneront pas pour annuler des lois, comme ils ont su le faire pour les lois sur la taxe carbone et autres Hadopi. D'ores et déjà, des avocats ont déposé des demandes d'annulation contre des dispositions du Code de procédure pénale, notamment l'article 63, sur les conditions de la garde à vue, qui serait contraire à la Convention européenne des droits de l'homme. Les lois sur les fichiers de police comme celles sur les prélèvements génétiques pourraient elles aussi être contestées, comme portant atteinte au respect de la vie privée.




José Cobos.

27/04/2006 22:57
1.288 lectures
Nationalité: Française
Né le 23 Avril 1968 à Strasbourg
Taille: 1,80 - Poids: 76kg
Poste: Défenseur
Clubs successifs: FC Neuhof, RC Strasbourg, Paris SG,
Espanyol Barcelone, Toulouse FC, OGC Nice.
Palmarès: Champion de France en 1994, vainqueur de la coupe de France en 1995 (Paris SG)

"Je sais la chance que j'ai d'evoluer dans le foot tous les jours et, là, j'ai le sentiment d'avoir 20 ans".Plaisir,
jeu, solidarité: telles sont les recettes d'un joueur de 34 ans que le poids des ans ne semble pas effleurer. Né de parents originaires du Sud de l'Espagne, José Javier Cobos Castillo fait ses premières armes de footballeur au FC Neuhof, dans les quartiers chauds de Strasbourg. Son quotidien est rythmé par les entraînements et....les messes, chaque matin à 7h30! José fréquente en effet un collège épiscopal au sein duquel l'enseignement religieux occupe une place de choix. De ces deux univers, Il tire rigueur et force de caractère. Après avoir fréquenté le centre de formation du RC Strasbourg, José intègre l'équipe première à vingt ans. Défenseur polyvalent, il fait admirer son sens du placement, son très bon jeu de tête et son tempérament très offensif. Pour sa première saison de D1, en 1992-93, José inscrit 8 buts. Transféré au PSG, il remporte des titres, et découvre l'Europe. Ses tribulations de joueur professionnel le conduisent en Espagne, sa terre d'origine, puis à Toulouse, et enfin à Nice. Il y devient "le capitaine courage" d'une équipe au formidable état d'esprit. Symbole d'une formation, surprenant leader de L1 après six journées, José savoure simplement le plaisir de jouer. Comme au temps de ses vingt ans...

Portrait de José Cobos tiré de Onze Mondial Octobre 2002.


Le départ de Zizou.

27/04/2006 21:34
1.255 lectures
Voici quelques réactions au départ de Zinédine Zidane

Thierry Henry (Arsenal): " On va maintenant essayer que Zizou arrête sur une boone note en Coupe du Monde. C'est le minimum qu'on puisse faire pour un joueur comme lui. Ce n'est pas seulement la France du football qui doit pleurer, mais tout le football. Penser qu'un tel joueur ne nous régalera plus, c'est dommage, c'est même triste".

Robert Pirès (Arsenal): "Un grand joueur et un grand bonhomme nous quittent. quand on a eu la chance de jouer avec lui, on mesure encore mieux combien il va manquer sur les terrains, c'est une évidence, mais aussi dehors. Ce jour-là devait arriver. Cela n'a pas dû être facile pour lui de prendre cette décision. Je lui tire un très grand coup de chapeau.

Fernando Martin (Président du Réal Madrid): "Par son honnêteté et son talent, il est et il sera a jamais un exemple pour ceux qui aiment le sport. Son attitude montre qu'il est une personne honorable. Je sais qu'il veut rester lié au club et nous ferons tout pour que cela soit possible. La meilleure chose que nous puissions faire pour lui est d'assurer la deuxième place en championnat. Je suis certain que Bernabeu fera le plein de supporters pour le dernier match à domicile, face à Villaréal. Ce match lui sera dédié".

Marcello Lippi (Sélectionneur de l'Equipe d'Italie, ancien entraîneur de Zidane à la Juventus): "Je pense que c'est le plus gros talent du football de ces 20 dernières années. Il a toujours renoncé a jouer les prima donna, il a toujours voulu se mettre à la disposition de l'Equipe. Je me souviens d'un garçon humble, arrivant à la Juve, portant le poids de son illustre prédecesseur, Michel Platini. Il était clair que tous allaient faire la comparaison entre les performances de Platini et de Zidane. Au début, il a eu quelques difficultés. Je me rappelle lui avoir toujours dit, pour l'encourager, d'être tranquille, de jouer comme il savait le faire. Je suis honoré d'avoir été l'entraîneur de Zidane. Je suis heureux d'avoir quelque peu l'aider a exprimer ses qualités. Je suis convaincu qu'il m'a donné bien plus que ce que j'ai pu lui donner".

Source: L'Equipe.
https://racingstub.com/blogs/k/katzo68/photos/-41746580-zidane-ap...
Voici quelques réactions au départ de Zinédine Zidane

Thierry Henry (Arsenal): " On va maintenant essayer que Zizou arrête sur une boone note en Coupe du Monde. C'est le minimum qu'on puisse faire pour un joueur comme lui. Ce n'est pas seulement la France du football qui doit pleurer, mais tout le football. Penser qu'un tel joueur ne nous régalera plus, c'est dommage, c'est même triste".

Robert Pirès (Arsenal): "Un grand joueur et un grand bonhomme nous quittent. quand on a eu la chance de jouer avec lui, on mesure encore mieux combien il va manquer sur les terrains, c'est une évidence, mais aussi dehors. Ce jour-là devait arriver. Cela n'a pas dû être facile pour lui de prendre cette décision. Je lui tire un très grand coup de chapeau.

Fernando Martin (Président du Réal Madrid): "Par son honnêteté et son talent, il est et il sera a jamais un exemple pour ceux qui aiment le sport. Son attitude montre qu'il est une personne honorable. Je sais qu'il veut rester lié au club et nous ferons tout pour que cela soit possible. La meilleure chose que nous puissions faire pour lui est d'assurer la deuxième place en championnat. Je suis certain que Bernabeu fera le plein de supporters pour le dernier match à domicile, face à Villaréal. Ce match lui sera dédié".

Marcello Lippi (Sélectionneur de l'Equipe d'Italie, ancien entraîneur de Zidane à la Juventus): "Je pense que c'est le plus gros talent du football de ces 20 dernières années. Il a toujours renoncé a jouer les prima donna, il a toujours voulu se mettre à la disposition de l'Equipe. Je me souviens d'un garçon humble, arrivant à la Juve, portant le poids de son illustre prédecesseur, Michel Platini. Il était clair que tous allaient faire la comparaison entre les performances de Platini et de Zidane. Au début, il a eu quelques difficultés. Je me rappelle lui avoir toujours dit, pour l'encourager, d'être tranquille, de jouer comme il savait le faire. Je suis honoré d'avoir été l'entraîneur de Zidane. Je suis heureux d'avoir quelque peu l'aider a exprimer ses qualités. Je suis convaincu qu'il m'a donné bien plus que ce que j'ai pu lui donner".

Source: L'Equipe.


Une justice exemplaire

18/05/2007 16:56
1.229 lectures
On a même plus le droit d'être un jeune con.

Rien ne sert d'avoir un casier vierge, de bosser ou plaider coupable. On prend de la prison ferme.

Ce que vous avez fait s'appelle du vandalisme et non de la démonstration d'opinion politique, martèle le président de la 23 e chambre du tribunal à un jeune homme qui s'était rendu à la Bastille manifester à la suite de l'election de Nicolas Sarkozy. Le président, qui ce jour-là s'apprête à juger des prévenus interpellés les 7 et 8 mai au soir, à la Bastille, va s'employer à démontrerr son interprétation des faits. Le greffier avait prévenu: le président paraît aimable, mais faut pas s'y fier, d'autant que, pour ce dossier sensible, le parquet a reçu des instructions...

S'avance un jeune homme frêle, au visage barré par une plaie encore ouverte. "Quand j'ai appris le verdict des élections, j'ai su que ça allait eclater en moi. Alors j'ai été à la Bastille", dit-il, essayant des mimiques de caïd qui, a chaque fois, virent au tic nerveux. Il revendique crânement ses actes: scooter incendié, motos dégradées et une vitrine brisée. Mais quand l'avocat invoque son enfance sans famille, ses traîtements psychiatriques, et suggère que son père, pour la première fois, se déclarerait prêt à s'occuper de lui, le caïd pleure. Le président suspend le jugement dans l'attente d'une expertise psychiatrique et l'envoie entre-temps se faire soigner en détention provisoire.

Comparaît ensuite un ouvrier qui, ce jour-là, au sortir de son chantier, se rend à la Bastille. Il a encore sur lui son casque, son tournevis et son marteau. Là, le président jubile: la vitrine brisée, c'est lui. L'assistance apprend alors, stupéfaite, que la vitrine n'a pas été cassée par le caïd. En la heurtant, ce dernier ne l'avait que fragilisée, de sorte qu'elle s'est enfin effondrée au passage de l'ouvrier! "sauf que, nous souffle sa compagne, il a été embarqué à 21 heures. Or, à 21 heures, aucune vitrine n'était encore brisée." Sur le conseil de son avocate, l'ouvrier plaide coupable et se déclare prêt à réparer les dommages. "Dans une comparution immédiate, il y a pas le temps d'une instruction. On ne peut produire ni preuves, ni témoins", dit l'avocate, qui, tout de même, profite de ce que le procureur déclare sur un ton sentencieux qu'un "jeune homme bien sous tous rapports comme cet ouvrier n'a aucune excuse" pour produire des dossiers qu'elle n'avait pu fournir avant: ils attestent d'une enfance difficile et d'une fragilité aggravée par un "sentiment d'injustice chez l'accusé, qui dans le temps a déjà subi des coups et blessures de la police. Aujourd'hui, il semble avoir trouvé un équilibre auprès de sa compagne et dans son nouveau travail. S'il demande pardon avec un hématome entree les deux yeux et un traumatisme lombaire....peut-être serait-il judicieux de lui epargner la prison, d'ou il sortirait plus abîmé encore qu'après trois jours de garde à vue...", suggère l'avocate. Verdict du président: huit mois, dont quatre mois ferme.

Un jeune homme noir comparaît après. Il est accusé de dégradations et de violences à agent représentant l'autorité publique. Ses amies racontent: "le problème est que les policiers étaient en civil. Quand on s'est retournées et qu'on a trouvé notre ami à terre, roué de coups, on a cru a une agression raciste. On s'est interposées. Lui ne s'est pas défendu. Mais comme on est filles et blanches on ne nous a pas embarquées. Les vitres cassées ce n'est pas nous. Mais on remboursera." Le jeune homme qui a déjà un casier judiciaire et a plaidé coupable, est envoyé en préventive en attendant son jugement. "La suspension du jugement est le mieux qu'on puisse obtenir dans ce traquenard que sont les comparutions immédiates. Ca laisse un peu de temps. Mais ici, il importait d'eviter la préventive. Mon client était en voie de reinsertion. Il avait un entretien le lendemain pour un travail, conclut l'avocate qui ajoute: les policiers ont du flair, ils n'ont interpellés que des jeunes déjà fragilisés. C'est sans doute ainsi que Sarkozy entend venir en aide aux "blessés de la vie."

Kevin Gameiro: retour d'enfer

03/07/2007 21:23
1.187 lectures
Auteur d'un mémorable triplé en finale face à la Chine (3-1), Kevin Gameiro n'a plus assez de mains pouyr soulever tous ses trophées. "Goleador" du tournoi, auteur de 5 des 15 buts des "Bleuets", le jeune strasbourgeois a fort logiquement été désigné "meilleur joueur". Une belle revanche sur le sort pour cet attaquant de poche (1,68m) originaire de Senlis, qui vient de fêter ses 20 ans. Emu, il ne réalise pas encore la portée de son exploit. "C'est inespéré! En janvier dernier, je me suis gravement blessé (rupture des ligaments croisés du genou). Pour ce tournoi, j'ai été appelé au dernier moment. Je m'y attendais pas et je pensais plus aux vacances, mais une sélection, ça ne se refuse pas!" Arrivé au Racing à l'âge de 15 ans, celui que ses coéquipiers surnomment affectueusement "Cochonou" a grandi, crampons aux pieds, à Marly-la-Ville puis à Chantilly. Poursuivant sa formation en Alsace, il débute en Ligue 1 le 10 septembre 2005, contre le PSG au Parc des Princes (0-1) Trois mois plus tard, pour sa première titularisation chez les Pros, il double le score contre... L'Etoile Rouge de Belgrade en Coupe de l'UEFA et permet aux Strasbourgeois d'arracher le match nul aux Serbes (2-2). Malgré sa blessure et sa longue absence, il n'a disputé que seize matches, il a activement participé a la remontée du Racing parmi l'élite. Dès le mois d'aout prochain, les amateurs de ballon rond découvriront le lutin alsacien dans ses oeuvres. La Meinau en frémit d'avance.

Source: Onze Mondial



Finale Champion's League 2007.

16/05/2007 11:13
1.148 lectures
Liverpool FC (Angleterre)

Fondé le 15 mars 1892
President : David Moores
Adresse: Anfield Road, Liverpool, L4 OTH
Tel: 00 44 151 263 23 51
Internet: www.liverpoolfc.tv
Stade: Anfield (45362 places)

Palmarès:

5 fois vainqueur de la C1 (1977, 1978, 1981, 1984 et 2005)
3 fois vainqueur de la C3 (1973, 1976 et 2001)
3 fois vainqueur de la Super coupe d'Europe (1977, 2001 et 2005)
18 fois champion d'Angleterre (1901, 1906, 1922, 1923, 1947, 1964, 1966, 1973, 1976, 1977, 1979, 1980, 1982, 1983, 1984, 1986, 1988 et 1990)
7 fois vainqueur de la Coupe d'Angleterre (1965, 1974, 1986, 1989, 1992, 2001 et 2006)
7 fois vainqueur de la Coupe de la Ligue (1981, 1982, 1983, 1984, 1995, 2001 et 2003).

Effectif 2006-2007:

Gardiens: Jerzy Dudek (34 ans, Pol; David Martin, 21 ans; Daniele Padeli 21 ans, Ita; Pepe Reina 34 ans, Esp)

Défenseurs: Daniel Agger (22 ans Dan), Alvaro Arbeloa (24 ans Esp), Jamie Carragher (26 ans), Fabio Aurelio (27 ans, Bre), Steve Finnan (31 ans, Eire), Samy Hypiä (33 ans, Fin), Gabriel Paletta (21 ans, Arg)

Milieux: Xabi Alonso (25 ans, Esp), Paul Anderson (18 ans), Steven Gerrard (26 ans), Mark Gonzalez (22 ans, Chili), Harry Kewell (28 ans, Aus), Javier Mascherano ( 22 ans, Arg), Jermaine Pennant (24 ans), John Arne Riise ( 26 ans, Nor), Mohamed Sissoko ( 22 ans, Fra-Mali), Boudewijn Zeden (30 ans, P.B)

Attaquants: Craig Bellamy (27 ans, Gal), Peter Crouch ( 26 ans), Robbie Fowler (32 ans), Dirk Kuijt (26 ans, P.B.), Luis Garcia (27 ans, Esp)

Entraîneur: Rafael Benitez 47 ans Esp.


Milan AC (Italie)

Fondé le 16 Décembre 1899
Président: Silvio Berlusconi
Adresse: Via Filippo Turati 3, 20121 Milano
Tel : 00 39 02 622 81
Internet: www.acmilan.com
Stade: San Siro (82 955 places)

Palmarès:

6 fois vainqueur de la C1 (1963, 1969, 1989, 1990, 1994, et 2003)
2 fois vainqueur de la C2 (1968 et 1973=
4 fois vainqueur de la Supercoupe d'Europe (1989, 1990, 1994 et 2003)
3 fois vainqueur de la Coupe Intercontinentale ( 1969, 1989 et 1990)
17 fois champion d'Italie (1901, 1906, 1907, 1951, 1955, 1957, 1959, 1962, 1968, 1979, 1988, 1992, 1993, 1994, 1996, 1999 et 2004)
5 fois vainqueur de la Coupe d'Italie (1967, 1972, 1973, 1977 et 2003)

Effectif 2006-2007:

Gardiens : Nelson Dida (33 ans, Bre), Valerio Fiori (38 ans), Zeijko Kalac (34 ans Aus)

Défenseurs : Danièle Bonera (25 ans), Christian Brocchi (31 ans), Alessandro Costacurta (41 ans), Giuseppe Favalli (35 ans), Marek Jankulowski (30 ans Rep.Tchèque), Kakha Kaladze ( 29 ans, Geo), Paolo Maldini (38 ans), Allessandro Nesta (31 ans), Massimo Oddo (30 ans), Serginho (35 ans Bre), Dario Simic ( 31 ans; Cro)

Milieux: Massimo Ambrosini (29 ans), Gennaro Gattuso (29 ans), Yoann Gourcuff ( 20 ans, Fra), Ricardo Kaka ( 25 ans, Bre), Andrea Pirlo ( 28 ans), Clarence Seedorf ( 31 ans P.B)

Attaquants: Alberto Gilardino (24 ans), Filippo Inzaghi ( 33 ans), Ricardo Oliveira ( 27 ans, Bre), Ronaldo ( 31 ans Bre)

Entraîneur: Carlo Ancelotti, 47 ans

Equipes types:

Liverpool : Reina, Finnan, Carragher, Agger, Arbeloa, Gerrard, Riise, Xabi Alonso, Mascherano, Kuijt, Crouch

Milan AC : Dida, Oddo, Nesta, Maldini, Jankulowski, Gattuso, Pirlo, Ambrosini, Kaka, Gilardino, Seedorf.

Source: Onze Mondial


Interview Gennaro Gattuso

12/05/2007 22:52
1.144 lectures
"Ma carrière et ma vie sont à Milan"

Après un début de saison médiocre, le club Rossonero est revenu sur le devant de la scène. A l'image de son infatiguable pilier, Gennaro Gattuso. Nous l'avons rencontré à la veille de la demi-finale de Champion's League Milan-Manchester United.

Une fois de plus le Milan AC aura reussi une grande Champion's League. Quel est le secret de cette équipe?

-Depuis cinq ans, on affiche une régularité fantastique. Atteindre systématiquement les quarts de finale, c'est un véritable exploit. Je crois que cela tient à notre mental. A ce niveau, la différence se fait sur l'envie et la motivation, plus que sur la technique.

Toi justement d'ou te vient ce caractère si combattif?

-Il est en moi. Je suis sur le terrain comme dans la vie: je ne calcule pas, je ne compte jamais mes efforts, je ne prête pas attention aux déclarations de la presse. Il m'arrive même parfois de me brouiller avec mezs partenaires pour le bien de l'équipe. Pour moi, gagner ma vie en jouant au foot, c'est un rêve qui s'est réalisé. J'y mets toujours un enthousiasme incroyable.

Comment expliques-tu le départ catastrophique du Milan AC en championnat, puis ce retour canon?

-Les huit points de pénalité que nous ont infligés la fédération noius ont fait très mal. Peu d'équipes auraient pu s'en remettre. On a traversé des moments difficiles. On a été parfois à la ramasse, mais on a gardé confiance. Les joueurs ont le respeect du maillot, ici plus qu'ailleurs. Si le groupe n'était pas resté uni et solidaire, on aurait peut-être fait moins bien qu'en 1995 et 1997 (le Milan AC avait terminé 11e puis 10e de Série A). Finalement le vent a tourné en notre faveur.

Le Milan AC n'est-il pas meilleur lorsque personne ne l'attend?

-Un match se gagne sur le rectangle vert, pas dans les colonnes d'un quotidien.

Malgré vos bons résultats, on évoque le départ de Carlo Ancelotti à la fin de la saison...

-Je ne pense pas qu'il partira. Les journalistes spéculent sur son avenir car on a eu une entame difficile. Mais il a encore fait du bon boulot cette année. Rester six ans de suite à la tête du Milan, c'est rare. Ici, l'instabilité est chronique par tradition.

Une nouvelle expérience à l'étranger te tente-t-elle?

-Inutile d'en parler. Je suis en contrat avec Milan jusqu'en 2011 et je vais le respecter. Ma carrière et ma vie sont ici. Je n'ai aucune raison d'aller voir ailleurs. Si un jour je n'arrive plus à enchaîner trois rencontres par semaine, je songerai peut-être à un départ vers un club qui ne dispute pas la Coupe d'Europe. Pour l'instant, je ne suis pas dans cet état d'esprit.

Pourtant, on te prête souvent des envies de championnat d'Angleterre...

-J'aime beaucoup le championnat anglais. J'ai eu quelques contacts a une époque, mais ce n'est plus d'actualité.

Comment expliques-tu la présence de trois clubs anglais en demi-finale de la Champion's League?

-La Premier League est incontestablement le championnat ou circule le plus d'argent, et on sait bien que ce facteur joue un grand rôle. Grâce à cela, les clubs anglais attirent aujourd'hui des joueurs qui ne seraient jamais venus en Angleterre, il y a quelques années.

"Je me brouille parfois avec mes partenaires pour le bien de l'équipe"

Les clubs sont propriétaires de leur stade, touchent des droits télévisés comme nulle part ailleurs et leurs managers sont d'excellents gestionnaires. Et puis, il y a une telle ferveur dans les stades. Dans ces conditions, on peut penser que les équipes anglaises vont dominer encore longtemps.

Repenses-tu parfois à la finale perdue face à Liverpool en 2005?

-J'ai longtemps été traumatisé par ce match. La remontée de Liverpool (menés 0-3 à la pause, les Reds l'ont finalement emporté aux tirs au but) m'a vraiment marqué...Les images revenaient en boucle dans ma tête. J'étais meurtri. J'ai même envisagé de changer de club pour tourner la page. Ce soir-là, j'ai pris conscience de l'aspect psychologique dans le football. Aujourd'hui, c'est du passé. La Coupe du monde est passée par là.

Gennaro Yvan Gattuso

Nationalité: Italienne

Né le:

9 janvier 1978 à Corigliano, Calabre (Italie)

Taille: 1,77m; Poids: 77kg; Poste: Milieu de terrain

Cubs successifs:

Pérugia (Italie, 1994-97); Glasgow Rangers (Ecosse, 1997, oct 1998); Salernitana (Italie, 1998-1999); Milan AC (Italie, depuis 1999)

Palmarès:

Champion d'Ecosse et vainqueur de la Coupe d'Ecosse en 1999; vainqueur de la Coupe d'Italie, de la Champion's League et de la Supercoupe d'Europe en 2003; champion d'Italie en 2004; vainqueur de la Coupe du Monde en 2006.

Sélections:

A (51; 1 but)

Source: Onze Mondial Mai 2007

Prévention.

17/05/2007 08:07
1.094 lectures
En France, entre 600 000 et 800 000 femmes boivent de l'alcool quotidiennement pendant leur grossesse. L'Etat a décidé de remplacer les tests de grossesse par les Alcootest.


Après la Saint Valentin...

11/05/2006 07:25
993 lectures
Chaque 14 février, les hommes ont la chance de prouver leur amour à leur tendre moitié en leur offrant des fleurs, du chocolat, des soupers aux chandelles, des spectacles, des films d'amour ou tout ce qu'une femme peut trouver romantique.

Pour nous les gars...RIEN!!!!

Il faut bien l'admettre, il n'y a aucune Journée spéciale ou les femmes peuvent nous démontrer leur appréciation. C'est pourquoi une nouvelle fête vient d'être crée.

Le 22 Avril est maintenant officiellement la journée STEAK & PIPE.

Simple, efficace et explicite...Cette journée a été crée pour que vous, mesdames, puissiez démontrer l'amour pour l'homme de votre vie. Pas de carte, pas de fleurs,; pas de soirée spéciale en ville...tout ce qu'il y a de plus simple, un gros steack et une bonne pipe. C'est tout!

Ces deux journées combinées, la St Valentin et la journée Steak & Pipe vont nous mener vers une nouvelle ère d'&amour ou tous les hommes vont travailler fort pour une belle Saint-Valentin afin de s'assurer en retour un beau 22 Avril...

C'est comme une machine perpétuelle de l'Amour. L'idée est lancée et comme toute nouvelle idée, il faut la faire circuler pour créer l'effet boule de neige. Donc, transmettez ce message et participez à faire croître l'amour et la paix dans ce monde de fous.

VIVE LE 22 AVRIL!!!!

Fabien Barthez

16/10/2006 07:04
954 lectures
Barthez, l'as des as.

Fabien Barthez. 87 Sélections de 1994 à 2006. Les clubs qu'il a marqués: Marseille (1992-1995 et 2004-2006) et Monaco (1995-2000). Sa marque de fabrique, qui l'aura accompagné tout au long de sa carrière? Une formidable présence dans les duels et dans la surface qui offrait toujours un minimum de solutions à l'attaquant adverse, une qualité de prise de balle, une explosivité, une lecture des trajectoires aériennes et une vitesse de relance exceptionnelles, un jeu au pied ultra efficace, une capacité de concentration incroyable dans les instants décisifs, un redoutable esprit de compétiteur et, par dessus tout, une force mentale incomparable qui le rendait imperméable à la pression et transmettait de la confiance à tout le reste de l'équipe. Un vrai monstre, en somme, au palmarès inégalé.

Source: France Football du 03 Octobre 2006.
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