Katzo's Bazar.


Tritz à mi-chemin

14/04/2008 15:10
476 lectures
Comme beaucoup de jeunes au Racing, Stéphane Tritz, 21 ans, n'a pas echappé à l'oeil de Jacky Duguépéroux, ancien entraîneur et recruteur du Racing. Il y a un peu plus de dix ans, son attention s'est arrêté sur l'enfant d'Erstein. Aujourd'hui les conditions de sa convention amateur sont les mêmes que le contrat pro qu'il a refusé en début de saison.

Il n'est plus stagiaire mais pas encore tout a fait pro. Il est entre deux eaux. Tout pro a été un ancien amateur

"J'ai commencé à Erstein un an avant l'âge requis en débutant. Je ne faisais que les entraînements. Comme tout le monde, j'ai franchi les étapes une à une. C'est en benjamin, vers l'âge de 10-11 ans que les choses ont évolué. Lors d'une finale de Coupe d'Encouragement contre le Racing, j'ai été repéré par Jacky Duguépéroux alors actif chez les jeunes du club. Nous avions perdu 5-1 mais j'avais fait un bon match et marqué le but de mon équipe. A l'époque j'étais attaquant. Après la rencontre Monsieur Duguépéroux a discuté avec mes parents, en leur demandant s'ils seraient intéressés pour que je vienne à Strasbourg

J'ai fait un entraînement dans la foulée et signé au club. Honnêtement je ne m'y attendais pas et ne pensais pas forcément au Racing. Moi je faisais mes matches dans mon village sans me soucier de rien. Lors de cette finale nous étions deux à intéresser l'ancien entraîneur du Racing: moi et mon copain gardien Gilles Meyer aujourd'hui en DH à Reipertswiller.

Repositionné arrière droit

A Strasbourg, je ne vivais pas au centre. Mes parents et ceux de Gilles se relayaient pour nous amener. Je n'ai passé qu'une saison au centre de formation, à 17 ans, l'année ou Gilles a quitté le club. Au départ on me faisait jouer aillier. C'est en 16 ans Nationaux que Claude Fichaux m'a reconverti arrière droit. C'était pour remplacer un blessé mais cela a duré. Cela ne m'a pas dérangé. En 18 ans Nationaux, je remporte la Coupe Gambardella en 2006. Moi et quelques joueurs évoluons déjà en CFA. L'été dernier à la fin de mon contrat stagiaire, j'avais déjà derrière moi presque trois saison en réserve. Le club m'a conservé et proposé de signer une convention amateur pour cette saison. Finalement deux semaines après il me propose de signer un an pro avec une option de deux ans. J'ai refusé car les conditions du contrat étaient les mêmes. Ce n'était qu'une question de statut, le salaire était le même. En juin, je serai en fin de contrat. Cette saison, je m'entraîne avec les pros, et surtout joue en CFA depuis peresque quatre ans. J'ai fait le tour de la question. Dans peu de temps, les discussions vont commencer. On verra bien ce qui va se passer. Peut-être vais-je signer puis être prêté, je ne sais pas encore."


Schneiderlin, un amateur particulier.

04/04/2008 10:10
523 lectures
L'Alsacien de Zellwiller était à seize ans le plus jeune professionnel de l'histoire du Racing. A 18 ans et quatre mois, le milieu de terrain strasbourgeois vient de disputer contre Metz son premier match en Ligue 1. Son parcours amateur est certainement l'un des plus courts en France mais pas le moins agité.

En beaucoup de points il a même été très surprenant. Tout a commencé à cinq ans, à Zellwiller. Dans ce petit village d'un millier d'habitants à 40 km au sud de Strasbourg, le club de foot local n'a pas de place pour lui. Il y en aura une au Racing. Tout pro a été un ancien amateur.

"A cinq ans je voulais absolument jouer dans un club. A la maison tout le monde jouait au football. Mon père était gardien à Kogenheim. Il jouait à un bon niveau et à même été en équipe d'Alsace. Même ma mère a joué un temps à Meistratzheim. A Zellwiller le club ne pouvait plus m'accueillir. Il y avait trop de monde. Dans les clubs voisins comme Barr, Obernai ou Niedernai, c'était le même constat. Mes parents m'inventaient des prétextes en me disant d'attendre mais j'avais vraiment envie de jouer.

Au Racing à 5 ans.

Mon père a fini par m'emmener au Racing. Il avait su par un ami de Zellwiller que le club organisait des tests. J'ai fait un entraînement puis un match avant de signer une licence. Ensuite à partir de la catégorie poussin, j'ai toujours été surclassé. A partir de la 6e, j'intègre la section Sports Etudes de Jean-Monnet à Strasbourg. Mes parents étaient courageux car cela faisait beaucoup de kilomètres à parcourir. A l'époque je jouais numéro 10, j'étais meneur de jeu. C'est en 13 ans DH que j'ai reculé au poste de milieu défensif. Je me rappelle bien, je n'étais pas content car je voulais toujours le 10. Mon entraîneur m'a fait comprendre qu'avec ma taille, je pouvais plus apporter en milieu défensif. Au club, on me disait souvent que j'étais en avance, que j'avais de l'avenir. J'avais à peine 13 ans et cela me paraissait vague. Même au club tout le monde ne me connaissait pas. L'année suivante je joue en 15 ans DH. Puis en 16 Nationaux. C'est là que j'ai vraiment progressé. A 14-15 ans. C'est venu comme ça du jour au lendemain, les gens me disaient que j'avais pris beaucoup d'assurance. Au jourd'hui encore j'essaye de trouver une explication.

Chelsea le repère à 15 ans.

Durant cette période, j'étais encore sous convention, alors que d'autres avaient dejà des contrats aspirants. En 16 ans je connais ma première sélection en Equipe de France avec qui je remporte le tournoi mondial de Montaigu. Quelques sélections après j'apprend que Chelsea veut me recruter et qu'Arsenal et d'autres grands clubs s'intéressent à moi. C'est extraordinaire, je passe d'une convention avec Strasbourg à une proposition d'un des plus grands clubs au monde. C'est fou, rien que le fait d'en parler je me demande vraiment comment que c'est arrivé. En fait, la proposition de Chelsea est arrivé en pleine négociation avec le Racing qui me proposait un contrat aspirant. On a refléchi en famille et choisi de rester à Strasbourg. J'étais trop jeune. Après cet épisode, je débute à 16 ans une nouvelle saison en 18 ans Nationaux et dispute trois rencontres en CFA. Ce sera la fin de la saison 2005-2006 que le Racing me proposera un contrat pro de trois ans. En novembre 2007, j'ai prolongé jusqu'en 2011".


L'arbitre à dit...

01/04/2008 08:20
949 lectures
1. En plein match, un défenseur, qui se trouve en dehors de sa surface de réparation, crache au visage d'un adversaire situé dans ladite surface. L'arbitre:

a) exclut le défenseur et accorde un coup franc direct à l'endroit ou il se trouvait

b) exclut le défenseur et accorde un coup franc indirect à l'endroit ou se trouvait l'adversaire

c) exclut le défenseur et accorde un penalty à l'adversaire


2. Sur un coup franc indirect, le ballon est frappé par un joueur et s'en va heurter l'arbitre avant de pénétrer dans le but adverse. L'arbitre:

a) accorde le but

b) fait retirer le coup franc

c) accorde un coup franc à l'équipe adverse


3. Sur un corner, le tireur frappe le ballon qui heurte directement le poteau. Celui-ci lui revient, il le reprend et marque. L'arbitre :

a) accorde le but

b) refuse le but et accorde un coup franc indirect contre le tireur à l'endroit ou il a repris le ballon

c) refuse le but et donne corner à rejouer.

L'enfant du Belo Horizonte.

26/03/2008 20:41
383 lectures
De Santa Cruz en passant par Sport Cia et le Venda Nova, Alvaro Santos, l'ataquant carioca du Racing a grandi au pays du football avec le même rêve de gosse: devenir professionnel. C'est au FC America, à 15 ans, que son rêve devient progressivement réalité jusqu'à son dix-huitième anniversaire...Tout pro a été un ancien amateur.

"J'ai commencé par jouer presque tous les jours. Mon premier club était Santa Cruz dans l'Etat du Belo Horizonte ou j'ai grandi. J'avais neuf ans. A cette époque, un homme, il s'appelait Marcelus, travaillait pour Santa Cruz et dirigeait aussi une école de foot, m'a repéré. Le problème, c'est que ma famille n'avait pas les moyens de payer cette formation. Mais j'ai tout de même fait un essai avec plus de trois cent autres enfants. Au final, j'ai commencé à faire les matches tous les samedis. J'étais toujours à Santa Cruz, mais le trajet pour aller au club était long: plus de quarante minutes à pied. Ma mère, qui travaillait beaucoup, était inquiète, elle n'avait pas le temps de me surveiller. Finalement, Santa Cruz n'a duré qu'un an. J'ai suivi Marcelus à Sport Cia puis à Venda Nova. Dans ce club, à treize ans, j'ai pris la décision de tout faire pour reussir. Un jour Marcelus est parti, mais cette fois-ci, je suis resté.

Chaque année nous disputons un tournoi en salle très connu. Beaucoup de recruteurs y assistaient. Les dirigeants du Flamengo voulaient me recruter mais ceux de Venda Nova n'ont pas voulu me laisser partir. Pendant deux mois, je suis parti, vexé. Ma mère me disait:"si tu veux jouer au foot, il faut retourner à Venda Nova", je l'ai écouté et pris mon sac. Mais au même moment les dirigeants du Venda Nova toquaient à notre porte. Ils me proposaient de revenir et de disputer le Championnat d'Etat avec les 14 ans. J'ai accepté. Trente minutes plus tard, Marcelus, que j'ai connu à Santa Cruz, débarque aussi chez nous. Il venait avec un dirigeant du 7 de septembre, un autre club amateur de l'Etat. Eux me proposaient de me surclasser avec de l'argent au bout. J'ai refusé, car je venais de donner ma parole à Venda Nova même si ce club ne m'offrait que le ticket de bus. J'étais déçu mais j'avais donné ma parole. Durant l'année 1994, j'ai fini meilleur buteur avec 16 buts dans le championnat d'Etat. A la fin de la saison, le FC America, l'un des trois plus grands clubs pros de l'Etat me recrute. Les dirigeants ont proposé 300 euros et du matériel au Venda Nova. J'ai quinze ans et me voilà dans une structure professionnelle avec un centre de formation. C'est dans cette région que j'ai connu ma future femme et que j'ai joué en sélection espoirs avec Rodrigo et Ronaldinho. A 17 ans je remporte le Championnat d'Etat et finis a nouveau meilleur buteur. En fin d'année, l'entraîneur m'intègre dans l'équipe pro et en 1998, le jour de mon anniversaire, je dispute mon premier match. Comme à Lens, je suis rentré en cours de jeu et j'ai marqué dans la foulée. J'ai signé mon premier contrat pro peu de temps après.

Molitor, "l'intello" de la Meinau

26/03/2008 16:47
1.603 lectures
Buteur émérite du Racing de 1969 à 1972, le Robertsauvien menait de paire ses études et une vie de footballeur professionnel. Aujourd'hui, à 58 ans, il est kinésithérapeute à Nice.

C'était un jour de février comme celui-là. Libéré par le Bataillon de Joinville, en 1969, Marc Molitor est en pleine réflexion sur son futur métier. Il possède son bac, mais ne sait pas encore quelles études choisir. Après avoir été international junior, lorsqu'il jouait à l'AS Strasbourg, puis international militaire, le Strasbourgeois ne se prédestine donc pas forcément à une carrière de footballeur. Sa rencontre avec Paul Frantz va tout changer...Ils sont aujourd'hui retraités du football mais chacun garde en mémoire un passage au Racing Club de Strasbourg.

"En revenant du Bataillon de Joinville, je suis allé voir Paul Frantz au CREPS. Je voulais des renseignements sur le métier de professeur d'éducation physique. Mais il a fini par se demander pourquoi je ne voulais pas devenir footballeur professionnel. Finalement, je me suis intéressé au métier de kinésithérapeute mais le football m'attirait également. Je me suis laissé convaincre par Paul Frantz qui m'a permis de faire mes études en parallèle. J'ai signé un contrat de quatre ans. Le matin j'allais à l'entraînement, l'après-midi à la fac de médecine et le soir je révisais. La première saison s'est très bien déroulée. Je marque 17 buts en 34 matches et l'équipe se classe 5e du championnat. La deuxième saison fut plus compliquée. Le club fusionne avec les Pierrots Vauban. Sur le terrain, le niveau baisse. Je marque le même nombre de buts mais nous sommes relégués en D2 à la dernière journée. Le Racing n'avait plus connu le deuxième échelon national depuis dix ans, ndlr. Il nous fallait récolter un nul à Marseille qui était déjà sacré champion pour nous maintenir. Finalement, Skoblar en course pour le titre de meilleur buteur, à fait gagner son équipe 6-3. Je n'oublierai jamais la joie dans leur vestiaire et les pleurs dans le nôtre. Cette fusion avait tout détruit.

Horaires aménagés.

Cette saison-là, j'avais plus de soucis d'organisation avec les études. En deuxième année de kiné, les stages matinaux en hôpital se déroulaient en même temps que les entraînements. Ca devenait compliqué. Heureusement nous avions reussi à trouver un arrangement en avançant les horaires de stage. J'allais à l'hôpital de sept à neuf heures et prenais ensuite l'entraînement en cours. Paul Frantz restait une heure de plus avec moi, pour que je conserve la même durée d'entraînement que les autres.

L'appel du PSG, le départ à Nice.

La troisième saison nous faisons un carton en D2. Casimir Novotarski arrive comme entraîneur. Ivica Osim signe et Gérard Hausser revient, après trois saisons à Metz. A la fin de la saison nous remontons en D1. Je finis meilleur buteur avec 40 buts. A cette époque le PSG voulait me faire venir, mais je tenais surtout à finir mes études. Il me restait un an avant le diplôme, alors je suis resté. Nous terminons seizième avec seulement deux points d'avance sur le premier relégable. Je décide de partir à Nice avec Dario Grava ou joue déjà Jean Noel Huck, parti l'année de la descente. Nous avons reconstitué un trio. J'arrêterai ma carrière trois saisons plus tard, à 28 ans en 1976, après quelques problèmes internes. Je reconnais, aujourd'hui, avoir agi sur un coup de tête. J'aurai pu prolonger encore deux saisons jusqu'à la Coupe du Monde 1978 en Argentine (N.D.L.R. Il a été international) mais j'ai décidé de m'installer comme kiné à Nice".

Othon, ou l'avenir du Racing.

26/03/2008 08:33
901 lectures
Il ne compte pour le moment que trois apparitions en Ligue 1. Avec JMF aux commandes, Quentin Othon est devenu, au fil des mois, un sérieux prétendant à l'élite. Milieu défensif de formation, on l'attend sur le flanc gauche de la défense alsacienne dans les années à venir. Il est pro depuis huit mois seulement. Tout pro a été un ancien amateur.

"J'ai commencé le football à l'âge de 5 ans dans mon village du Plessis-Belleville dans l'Oise. J'y ai joué jusqu'à 13 ans. Nous faisions beaucoup de tournois dans la région parisienne et c'est à cette période que les grands clubs de l'Oise se sont intéressés à moi. Je suis d'abord allé à Pont-Sainte-Maxence en 13 ans DH, mais je n'y suis resté qu'une saison. L'année suivante j'étais à Compiègne en 14 ans fédéraux, et en même temps j'étais inscrit aux sports-études de Chantilly. A cette époque un certain monsieur Garat me suivait régulièrement. Cet homme connaît bien Jacky Duguépéroux. Il lui a conseillé de venir me voir jouer. C'est ce qu'il a fait, après avoir envoyé des recruteurs, et tout s'est bien passé. A 15 ans, j'intégrais le centre de formation du Racing.

A Strasbourg, j'ai d'abord évolué avec les 18 ans en DH, mais en moins de deux mois, j'ai changé de vestiaire et rejoint celui des 16 ans Nationaux dirigé par Claude Fichaux. Cette anée-là, je participe aussi à un stage de détection en Equipe de France, ponctué par une première sélection contre l'Allemagne en amical. La deuxième saison je reprends avec les 18 ans Nationaux. Je fais toute la saison avec eux et quelques matches en 16 ans. La troisième saison, j'effectue quelques apparitions en CFA, je ne pensais pas trop jouer la saison dernière car je pouvais encore être aligné en 18 ans, mais c'est finalement allé assez vite. J'ai même fait deux apparitions en L2 contre Bastia et Metz. Je vivais ma première titularisation, mais on perd 4-1. Après, la situation est devenue plus dure, car les jeunes comme moi et Schneiderlin ont été écartés de l'équipe. On ne s'entraînait même plus avec le groupe pro. On a vécu cela comme un choc, mais on s'est dit qu'il fallait continuer à travailler. Cela a payé, puisque j'ai signé mon premier contrat pro en juin dernier. Au jourd'hui, je travaille à l'entraînement pour acquérir de l'expérience et être prêt. L'arrivée de Jean Marc Furlan m'a boosté".

Gurtner, de Rehthal au Racing

22/03/2008 23:15
484 lectures
Regis Gurtner est devenu joueur professionnel en juin 2006 à 19 ans. A cette époque, les dirigeants du Racing ne le font signer qu'une saison mais lui refont confiance en 2007. A l'instar de Nicolas Puydebois, numéro 2 au même poste, le Savernois numéro 3 derrière Stéphane Cassard et l'ancien Lyonnais, arrive à nouveau en fin de contrat en fin de saison. Ses prestations en CFA et son sérieux à l'entraînement lui permettent d'être optimiste pour la suite de sa carrière en Alsace. La première discussion avec Jean Marc Furlan s'est avérée "positive" a-t-il confié. Réponse d'ici un mois. a 21 ans, l'Alsacien surnommé "Schnapzi" dans le groupe pro, nous retrace son parcours amateur qui lui a permis d'être aujourd'hui dans la cour des grands. Tout pro a été un ancien amateur. J'ai commencé à six ans en poussins à Rehthal un club qui regroupait les villages de Eschbourg, Schoenbourg et Grauphthal. A cette époque je voulais jouer dans le champ mais les dirigeants avaient rapidement décelé en moi des qualités de gardien. Je n'aimais pas trop mais je m'y suis finalement habitué. Dans ce club, il y avait egalement Yann Schneider, actuellement pro au Racing, mon père était dirigeant et le sien entraîneur. On gagnait presque tout dans la région avec moi au but et Yann en attaque. Je suis resté trois saisons. En benjamin deuxième année, je rejoins Obermodern avec Yann toujours. C'était bien, c'était un club familial avec une bonne ambiance. Je suis resté deux ans avant d'aller à Haguenau. Yann Schneider n'a fait qu'une saison en 13 ans DH et a ensuite signé au Racing. Au FRH, je suis recruté à l'époque par Albert Stoerckel, l'actuel entraîneur des gardiens du centre de formation. Je passe quatre années la-bas des 13 ans DH au 18 ans DH en passant par les 15 ans nationaux. Après Haguenau, le Racing mle recrute. Au départ je devais jouer en 18 en DH, mais je finis la saison en 18 ans nationaux avec François Keller. La saison suivante je m'entraîne quelques fois avec les pros, et l'année d'après, j'intègre le groupe CFA ou j'alterne les rencontres avec Medhi Sennaoui. En fin de saison, l'année de la descente en Ligue 2, je signe pro. Ca s'est joué entre Medhi et moi. Devenir pro était un rêve pour moi. Lorsque j'étais à Haguenau, je n'y ai pas toujours cru car je jouais déjà en 18 ans. Ce n'est qu'à Strasbourg que j'ai commencé à y croire, même si la première année, j'étais plus préoccupé par l'obtention de mon Bac S que par le football. Reussir l'examen m'a libéré, je pense.







Petit singe...

15/03/2008 23:11
399 lectures
Bébé singe dit a maman singe: Pourquoi sommes-nous moches? La maman dit: Il y a pire, mon fils... Si tu voyais la gueule de celui qui lit ce message!



A hurler!!!!!

24/02/2008 23:51
418 lectures
Présent hier soir à la Meinau, pour un derby entre le RCS et le FC Sochaux, que beaucoup décrivaient comme haletant, je suis une fois de plus resté sur ma faim.

- Défense d'une faiblesse affligeante, premier but encaissé comme des minots à l'entraînement. Bellaid, de plus en plus faible, ou alors eventuellement plus concerné par un hypothétique transfert de fin de saison, Lacour, une nullité affligeante hier soir, constamment dans "le vent", Paisley, l'un des 5 meilleurs défenseurs centraux de Ligue 1, permettez-moi d'en rire, du moins jugé sur sa prestation d'hier soir. En fait, seul Manu Dos Santos a essayé en vain de surnager sur son côté gauche, avec plus ou moins de reussite.

- Milieux de terrains, citant Renaud Cohade, certes diminués par ses adducteurs, mais de loin pas à son aise, aucun abattage, aucune relance digne de ce nom, idem pour Rodrigo. Abdessadki et Mouloungui, d'une faiblesse et d'un apport quasi nul, surtout en ce qui concerne le Marocain, pour Mouloungui, il s'agissait d'un retour de blessure, mais le bougre, par ces courses dans le vide, et son peu de poids sur le jeu, me laisse dire que le Gabonais est loin d'être à 100%

-Attaquants, que dire sur eux? Au fait, en avions-nous?:) Alvaro Santos a définitivement prouvé qu'il ne valait rien en étant titularisé d'emblée, comme si le doute était permis...quant à Mulenga, sur la foi de sa copie d'hier soir, je dirai tout simplement que le Champion Zambien de Motocross n'a pas sa place dans une équipe de Foot de L1...









Nouvel accord d'Entreprise

21/01/2008 22:00
675 lectures
1. Absence pour maladie

Nous n'acceptons plus certificats médicaux en tant que preuve d'une maladie. Si vous êtes capable d'aller chez le médecin, c'est que vous êtes capable d'aller au boulot.

2. Chirurgie

Les opérations sont désormais interdites. Aussi longtemps que vous serez employé ici, vous aurez besoin de tous vos organes. Nous avons signé un contrat lorsque vous étiez intact et une ablation quelconque constituera un manquement grave à votre contrat.

3. Vacances

Chaque employé aura droit à 104 jours de vacances par an. Ces vacances seront appelées samedi et dimanche.

4. Absences pour raisons diverses.

Il n'y a aucune excuse pour ne pas être présent au travail: il n'y a plus rien a faire pour vos amis ou proches décédés. Dans les cas rares ou la participation des employés est nécéssaire, l'enterrement devra être programmé pour la fin de l'après-midi. Nous serons heureux de vous permettre de travailler durant votre pause déjeuner afin de partir une heure plus tôt, si votre travail est terminé.

5. Absence en cas de décès

Dans le cas de votre propre décès, ceci sera accepté comme excuse. Cependant nous avons besoin de recevoir votre préavis au moins deux semaines avant, car il est de notre devoir de vous trouver un remplçant.

6. Utilisation des toilettes

Trop d'heures sont passées aux toilettes. A l'avenir, nous observerons la procédure suivante:
- Chaque employé dont le nom de famille commence par A ira dans la tranche horaire 8h00-8h20. Chaque employé dont le nom de famille commence par B ira dans la tranche horaire 8h20-8h40, et ainsi de suite.
Si vous ne pouvez pas y aller lors du créneau horaire qui vous est imparti, il sera nécéssaire d'attendre le lendemain jusqu'à ce que votre tour arrive de nouveau. Dans les cas d'urgence extrême, les employés peuvent permuter leur tour avec un collègue. En outre, il y a maintenant un délai de trois minutes strict à observer dans les toilettes. A la fin de ces trois minutes, une alarme retentira, le papier toilette se rétractera et la porte s'ouvrira.

7. Pause déjeuner

Les personnes de corpulence maigre disposent d'une heure pour la pause déjeuner car elles doivent manger d'avantage afin de sembler en bonne santé. Celles de corpulence moyenne disposent de 30 minutes afin de maintenir leur allure, et les personnes de corpulence forte disposent de cinq minutes: le temps nécéssaire de boire un slimfast et prendre une pillule de régime

8. Habillement

Vous êtezs fortement convié à venir travailler avec un habillement correspondant à votre salaire.
Si nous vous voyons habillé avec fantaisie, cela signifiera que vous êtes à l'aise et que vous n'avez donc pas besoin d'une augmentation de salaire.

Merci de votre loyauté enversd notre société

Votre directeur.
N.SARKOZY



RCS-Valenciennes (0-0)

26/11/2007 21:35
431 lectures
Lors de ma première sortie dans le Kop Strasbourgeois, ravi d'avoir fait la connaissance de vrais supporters,(trices) sur et en dehors du terrain. Expérience, pour ma part à renouveler au plus rapide, merci à tous!

Quizz

07/11/2007 15:58
350 lectures
Dans notre petite série, paroles d'arbitre...


1. Une rencontre est interrompue en raison du brouillard, lequel ne s'est toujours pas estompé 45 minutes plus tard. L'arbitre:

a) Arrête définitivement la rencontre
b) Fait reprendre la rencontre, malgré la présence du brouillard
c) Accorde un délai supplémentaire d'attente dans l'espoir que le brouillard se lève

2. Un joueur, qui se prépare à effectuer une touche, insulte l'arbitre assistant. L'arbitre:

a) Expulse le fautif et fait jouer la touche par l'un de ses partenaires
b) Expulse le fautif et accorde la touche aux adversaires
c) Expulse le fautif et accorde un coup franc indirect à l'adversaire

3. L'arbitre fait sortir un joueur afin qu'il remette son équipement en ordre. Ce dernier revient sur le terrain sans l'autorisation de l'arbitre et retient le maillot d'un adversaire en possession du ballon. L'arbitre:

a) Arrête le jeu, avertit le joueur, vérifie son équipement, puis fait reprendre la rencontre par un coup franc indirect à l'endroit ou se trouvait le ballon lors de l'arrêt de jeu.
b) Arrête le jeu, avertit le joueur, vérifie son équipement, puis fait reprendre le jeu par un coup franc indirect à l'endroit ou le fautif a retenu son adversaire par le maillot
c) Arrête le jeu, avertit le joueur, vérifie son équipement, puis fait reprendre le jeu par une balle à terre à l'endroit ou se trouvait le ballon lors de l'arrêt.

Les Guignols de l'Info: Sebastien Chabal

18/10/2007 22:36
414 lectures

Impossible d'afficher la vidéo YouTube eLzpMRitFjo via l'API [Client error: `GET https://www.youtube.com/oembed?url=https://www.youtube.com/watch?v=eLzpMRitFjo&format=json` resulted in a `404 Not Found` response:
Not Found
]



Parodies de Pub

Impossible d'afficher la vidéo YouTube QdLd5w1qu60 via l'API [Client error: `GET https://www.youtube.com/oembed?url=https://www.youtube.com/watch?v=QdLd5w1qu60&format=json` resulted in a `403 Forbidden` response:
Forbidden
]




L'arbitre à dit...

05/10/2007 10:20
854 lectures
1. Un spectateur donne un coup de sifflet depuis la tribune. Un défenseur se saisit du ballon des mains dans sa propre surface de réparation, croyant qu'il s'agit de la mi-temps. L'arbitre :

a) accorde un penalty à l'équipe adverse
b) accorde un coup franc indirect à l'équipe adverse à l'endroit ou le ballon se trouvait lors de l'interruption
c) siffle une balle à terre à l'endroit ou le ballon se trouvait lors de l'interruption.

2. L'arbitre siffle un penalty à la fin du temps réglementaire pour l'execution duquel il prolonge la partie. Le tireur s'élance, mais son tir, trop mou, s'immobilise. Son partenaire, régulièrement placé, pénètre dans la surface, reprend le ballon et marque. L'arbitre:

a) valide le but
b) refuse le but et refait tirer le penalty
c) refuse le but et siffle la fin du match

3. A la lutte avec un adversaire, un joueur, balle au pied, tombe et le ballon s'éloigne de lui. Avant que son adversaire s'en empare, il tend la jambe et éloigne le ballon sans toucher son vis-à-vis. L'arbitre:

a) laisse le jeu se poursuivre
b) accorde un coup franc direct à l'adversaire pour jeu au sol
c) accorde un coup franc indirect à l'adversaire pour jeu au sol

Le FC Barcelone en onze questions

04/10/2007 21:16
465 lectures
1. En quelle année fut fondé le club?

a) 1899
b) 1925
c) 1950

2. Comment appelle-t-on les joueurs Barcelonnais?

a) Les Galactiques
b) Les Merengues
c) Les Blaugranas

3. Quel nom porte le stade?

a) Le Camp Nou
b) Le Riazor
c) Le Mestella

4. Quel est le meilleur buteur de l'histoire du club?

a) Samuel Eto'o
b) Johan Cruijff
c) Paulino Alcantara

5. Combien de joueurs français, le Barça, compte-t-il aujourd'hui dans son effectif?

a) 1
b) 2
c) 3

6. Lequel de ces trois joueurs n'a jamais porté le maillot du FC Barcelone?

a) Johan Cruijff
b) Diego Maradona
c) Frank Rijkaard

7. Qui a été le meilleur buteur de l'histoire du club sur une saison en Liga?

a) Rivaldo
b) Ronaldo
c) Ronaldinho

8. A combien de reprises le FC Barcelone a-t-il été sacré champion d'Espagne?

a) 28
b) 18
c) 8

9. lequel de ces trois techniciens n'a jamais dirigé le Barça?

a) Johan Cruijff
b) Louis van Gaal
c) José Mourinho

10. Lequel de ces joueurs est le plus gros transfert de l'histoire du club?

a) Thierry Henry
b) Marc Overmars
c) Ronaldinho

11. Combien de fois le Barça n'a-t-il pas participé à une compétition européenne?

a) 0
b) 2
c) 4

Nettoyez XP en profondeur.

02/10/2007 21:11
495 lectures
Pour accélerer le rendement d'un ordinateur, ne pas laisser de traces ou tout simplement nettoyer son système, peu d'utilitaires d'optimisation sont réellement performants. Revo Uninstaller sort du lot grâce à un ensemble de fonctionnalités variées.


Tout au long de son utilisation, votre PC accumule un grand nombre de fichiers et de programmes inutiles. La base de registre, contenant des données de configutation du système, se charge de fichiers désuets. La liste des programmes abonde, tandis que la mémoire cache de votre navigateur internet augmente sans cesse. Et, au bout du compte, votre PC ralentit et votre travail avec.

C'est pourquoi, il ne sera pas superflu de délester Windows de ces quelques fardeaux avec le logiciel Revo Uninstaller, utilitaire de nettoyage du système dans la lignée de CCleaner. Pour cela, vous aurez tout d'abord la possibilité de supprimer les programmes inutiles installés sur votre PC. Ensuite, en cliquant sur l'icône "tools", vous accederez aux outils de nettoyage proprement dit. Le gestionnaire de démarrage ("autorun manager") n'en fait pas vraiment partie, mais il vous permettra tout de même de définir les programmes à lancer au démarrage du PC, et ainsi de gagner de la mémoire. Le "Junk files cleaner", dans la catégorie "optimization"" supprime les fichiers inutiles qui n'ont pas forcémment été désinstallés avec les programmes qui leur correspondent. Dans la catégorie "track cleaner", vous pourrez vider les traces laissées par vos surfs sur internet avec l'outil "browsers cleaner". Il supprimera les cookies, les adresses tapées dans les barres de recherche et de navigation et videra la mémoire cache qui stocke l'historique de vos navigations. De même, l'outil "MS Office cleaner" supprimera toutes les traces laissées lors de l'utilisation des applications de la suite Office. Enfin, les outils "Windows Cleaner", "evidence remove" et "unrecoverable delete" achèveront d'effacer tous les fichiers et programmes inutiles. A la manière de The Eraser, les deux derniers effaceront d'ailleurs totalement les fichiers sélectionnés afin que ceux-ci ne soient plus accessibles par un logiciel de récupération.

Télécharger des videos en streaming.

02/10/2007 06:59
620 lectures
Les sites de videos diffusées en streaming fleurissent. Mais comment faire pour regarder ces clips sur son PC sans qu'il n'y ait nul besoin d'une connexion internet? La solution consiste à utiliser un petit logiciel du nom de VDownloader.

Youtube, Dailymotion, Google Video. Vous avez certainement déjà entendu ces noms. Ces sites de videos live puisque difusées uniquement via internet (streaming), font beaucoup parler d'eux ces derniers temps. Quelle aubaine pour l'internaute de découvrir ou redécouvrir des videos, qu'il s'agisse de clips musicaux de leurs artistes préférés, de petits documentaires, de créations originales...Et ce gratuitement, le peu que vous ayez une connexion internet. Le hic réside dans le fait que ces films ne sont visualisables qu'en ligne. Or, quoi de plus frustrant que de ne pouvoir les télécharger pour les regarder hors connexion ou encore faire partager vos découvertes à vos proches? C'est là qu'intervient VDownloader. Programme ultime de capture video en ligne, cette application gère de nombreuses plates formes hormis celles telles que Youtube, Dailymotion, Google Video, Stage6 (Divx Networks). Vous trouverez même des sites de videos moins prisés comme Lulu TV, PorKolt, Metacafe, etc. Il intègre un moteur de recherche complet permettant de trouver les clips sur les sites les plus importants. Une fois votre video capturée, le logiciel s'ingénue à la convertir dans le format de votre choix. Au menu, de nombreux modes de compression et de résolution sont proposés comme le AVI, VCD, SCVD, iPod, PSP, ou encore le DVD. L'interface se veut extrêmement intuitive. Ici, les options restent minimalistes. Pas de fioritures, mais un tableau de bord propre et clair, il suffit d'indiquer l'adresse de la page ou se trouve la video ainsi que le format de sortie souhaité pour que le logiciel se charge du reste. Mais attention, la conversion video peut s'avérer fort longue suivant la puissance de votre ordinateur. Voilà un outil qui séduira à coup sûr les fans de clips video!




David Trezeguet en onze questions

11/09/2007 21:55
339 lectures
Petit Quizz pour les supporters de David Trezeguet!

De quelle origine est David Trezeguet?

a) Argentine
b)Bresilienne
c)Chilienne

Dans quel club evoluait-il avant de signer à la Juventus?

a) Marseille
b)Monaco
c)Paris SG

Avec lequel de ces joueurs français n'a-t-il jamais évolué en club?

a) Thierry Henry
b) Zinedine Zidane
c) Sylvain Wiltord

Quel est son surnom?

a) Trezebut
b) Trezegol
c) Trezemagic

Quel numero porte-il à la Juventus?

a) le n°9
b) le n°17
c) le n°20

Contre quelle nation a-t-il fêté sa première cape avec l'Equipe de France?

a) Espagne
b) Italie
c) Portugal

Dans quel club argentin a-t-il débuté sa carrière professionnelle?

a) Boca Juniors
b) River Plate
c) Platense

Quel âge a-t-il?

a) 29 ans
b) 30 ans
c) 31 ans

Combien de buts a-t-il inscrit en Equipe de France?

a) 31 buts
b) 34 buts
c) 39 buts

Contre quelle formation a-t-il effectué ses débuts en Ligue 1?

a) Lens
b) Nantes
c) Paris SG

Lequel de ces entraîneurs français a-t-il connu à la Juventus?

a) Raymond Domenech
b) Didier Deschamps
c) Aimé Jacquet


Bien entendu, j'ose espérer un sans faute de chacun des futurs participants à ce petit quizz footballistique.




Quiz Arbitral!

31/07/2007 16:14
651 lectures
1. Avant le coup d'envoi d'une rencontre, l'arbitre procède au tirage au sort entre les deux capitaines. Le vainqueur:

a) choisit son camp ou procède au coup d'envoi
b) choisit obligatoirement son camp
c) donne obligatoirement le coup d'envoi de la rencontre


2. En cours de match, un piquet de coin se casse et n'atteint plus la hauteur reglementaire de 1,50m. Le club recevant ne peut le remplacer. L'arbitre:

a) arrête immédiatement la rencontre
b) accorde un délai de 15 minutes au club recevant pour remplacer le piquet, faute de quoi la rencontre sera annulée
c) fait retirer le piquet défectueux, poursuit la rencontre et rédige un rapport à l'issue du match


3. Lors d'un coup franc direct, le ballon rebondit sur le poteau avant de revenir vers le tireur: Celui-ci frappe à nouveau le ballon qui est détourné en corner par le gardien. L'arbitre:

a) accorde le corner
b) fait rejouer le coup-franc
c)accorde un coup franc indirect à l'équipe adverse à l'endroit ou le joueur a repris le ballon

Evènement Ligue 1 - Strasbourg

30/07/2007 17:05
410 lectures
+ Bridé par un budget modeste, le club alsacien à misé sur la stabilité pour assurer son maintien, objectif déclaré du président Ginestet. Le groupe est uni et solidaire. Les jeunes Cohade, Gameiro, Mouloungui...) sont prometteurs. En outre, la Meinau est redevenue un bastion difficile à conquérir. En dépit de sa relégation avec Troyes, Jean Marc Furlan a la réputation d'un entraîneur qui propose un football agréable. Son crédo n'a pas changé: c'est par le jeu que le maintien sera assuré. Atout non négligeable: Furlan à été nommé manager général avec un rôle élargi; Une marque de confiance et la possibilité pour lui d'avoir vraiment les coudées franches.


- En se séparant de Jean Pierre Papin, l'entraîneur qui a assuré le retour en Ligue 1, Strasbourg n'a pas fait l'économie d'une révolution de palais. C'est une habitude au sein d'un club surnommé le "Marseille de l'Est"! A Jean Marc Furlan maintenant de reussir là ou ses prédecesseurs ont échoué: pérenniser la présence du club parmi l'élite. Il doit, par ailleurs, tenter de bonifier le niveau de jeu de sa nouvelle équipe. L'an dernier, les critiques contre JPP s'étaient en effet cristalisées sur la pauvreté du collectif.


LE CHIFFRE

Les Alsaciens sont les rois du Yo-Yo. Ils sont montés dix fois en Ligue 1, et ont été relégués à neuf reprises. C'est un record en la matière.

Source: Onze Mondial.


Kevin Gameiro: retour d'enfer

03/07/2007 21:23
1.187 lectures
Auteur d'un mémorable triplé en finale face à la Chine (3-1), Kevin Gameiro n'a plus assez de mains pouyr soulever tous ses trophées. "Goleador" du tournoi, auteur de 5 des 15 buts des "Bleuets", le jeune strasbourgeois a fort logiquement été désigné "meilleur joueur". Une belle revanche sur le sort pour cet attaquant de poche (1,68m) originaire de Senlis, qui vient de fêter ses 20 ans. Emu, il ne réalise pas encore la portée de son exploit. "C'est inespéré! En janvier dernier, je me suis gravement blessé (rupture des ligaments croisés du genou). Pour ce tournoi, j'ai été appelé au dernier moment. Je m'y attendais pas et je pensais plus aux vacances, mais une sélection, ça ne se refuse pas!" Arrivé au Racing à l'âge de 15 ans, celui que ses coéquipiers surnomment affectueusement "Cochonou" a grandi, crampons aux pieds, à Marly-la-Ville puis à Chantilly. Poursuivant sa formation en Alsace, il débute en Ligue 1 le 10 septembre 2005, contre le PSG au Parc des Princes (0-1) Trois mois plus tard, pour sa première titularisation chez les Pros, il double le score contre... L'Etoile Rouge de Belgrade en Coupe de l'UEFA et permet aux Strasbourgeois d'arracher le match nul aux Serbes (2-2). Malgré sa blessure et sa longue absence, il n'a disputé que seize matches, il a activement participé a la remontée du Racing parmi l'élite. Dès le mois d'aout prochain, les amateurs de ballon rond découvriront le lutin alsacien dans ses oeuvres. La Meinau en frémit d'avance.

Source: Onze Mondial
Flux RSS Le stublog de katzo68 : billets, photos, souvenirs, activité racingstub.com, livre d'or...
Bayern.jpg

katzo68

Voir son profil complet

Chargement... Chargement...