Après-match


Voila ce que l'on attendait!

09/08/2006 12:00
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Une victoire enfin! Le spectre de la saison passée est-il parti? A en croire le match Racing-Monptellier oui!
Mais ne nous emballons pas, connaissant le Racing v'est, gagner, trois match perdu,gagner, trois match perdu. Doc attendont nous au pire!

Un de chute

07/08/2006 19:03
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Sa recommence?

Après son nul de la semaine passée face à Dijon (0-0), le Racing a été battu, vendredi soir à Amiens, lors de la deuxième journée de Ligue 2. Dépassés en première mi-temps, les hommes de Jean-Pierre Papin n'ont pas su rectifier le tir après la pause. Début de championnat difficile, donc, pour un prétendant à la montée.
La victoire devient quasiment impérative mardi à la Meinau contre Montpellier.

Ce n'est pas encore dramatique. Ne pas compter de succès après la deuxième journée n'est pas rédhibitoire dans la perspective de montée en Ligue 1. Toutefois, il faut vite casser cette dynamique négative et passer à autre chose. Ce sera d'ailleurs le mot d'ordre dès mardi, avec la venue de Montpellier à la Meinau (20h).
Le Racing a chuté à Amiens. Face à une formation en pleine confiance après son succès au Havre (1-3) lors de l'ouverture de la L2, les Strasbourgeois ont, comme la semaine passée face à Dijon, connu des difficultés en première période. Ils ont été bousculés et ont, cette fois, craqué.

Deux visages

C'est Nicolas Raynier qui a été le bourreau des Alsaciens, ce vendredi soir. L'attaquant amiénois propulsait, de la tête, un coup-franc excentré de Giresse (24e). Une juste récompense, finalement, pour cette formation picarde dominatrice tout au long de ces quarante-cinq premières minutes. De son côté, le Racing ne réagissait que timidement par Tum (22e) ou Abdessadki (36e). Mais rien de bien folichon.
Les hommes de Jean-Pierre Papin montraient un autre visage au retour des vestiaires. Comme une semaine avant, ils étaient, enfin, plus entreprenants et se créaient quelques occasions. Comme sur cette tête de Tum qui filait juste à côté du poteau de Merville (49e). Ou quand le même Tum frappait mais voyait son tir filer de peu hors du cadre (62e). Réactions peut-être trop tardives pour espérer inquiéter Amiens, qui faisait preuve d'une belle abnégation dans cette seconde mi-temps.

Prendre la mesure de cette Ligue 2


Après le nul face à Dijon, Jean-Pierre Papin avait lâché cette phrase: « La Ligue 2 n'est pas un championnat facile. Pour l'instant, j'estime que l'équipe n'est pas encore à 100% dans ce championnat. Il faut se mettre au niveau. Une fois que nous aurons compris ça, nous comprendrons beaucoup d'autres choses. » Apparemment, ses joueurs n'ont pas encore bien pris la mesure de ce championnat à part.
Voilà donc le Racing avec un seul point au compteur à l'issue de la deuxième journée de L2. Rien d'alarmant évidemment mais une situation à rétablir le plus rapidement possible pour éviter les prises de tête connues lors des deux dernières saisons après des départs loupés. Dès mardi, pour la réception de Montpellier à la Meinau (20h), la seule chose qui comptera sera de prendre les trois points. Et uniquement ça !

Un nouveau visage!

22/04/2006 17:20
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A Deux vitesses!

Les Strasbourgeois ont montré deux visages, hier, lors du match amical contre Lens à Geispolsheim.

Ulrich Le Pen a beaucoup tenté sur l'aile pour son retour sur le terrain après plusieurs semaines d'arrêt.


A ceux qui se demandaient encore à quoi pouvait servir un match de préparation à trois journées de la fin du championnat, on pourrait répondre : à raviver les regrets.
Regrets, notamment, d'avoir vu trop de Strasbourgeois (Devaux, Le Pen, Lacour et on en passe) blessés durant cette saison d'ores et déjà maudite. Regrets aussi de ne pas avoir vu, tout au long de la saison, autant d'envie que celle montrée par les Strasbourgeois hier... en deuxième mi-temps.
Mais en deuxième mi-temps seulement. Car les 45 premières minutes ont été tout à l'avantage des Lensois. Gonflés à bloc par leur prochain derby contre Lille, les Nordistes ont allègrement squatté le camp strasbourgeois dès l'entame de match.
A l'image de Frau, Jussîé et Cousin - secondés par un Jemâa à la forme olympique sur son aile - qui n'ont cessé d'empoisonner la vie d'une défense strasbourgeoise vite débordée. Jeu à une touche de balle, percussion sur les côtés... Lens produit du beau jeu et ouvre logiquement la marque sur une magnifique combinaison Frau-Cousin.


« Plus d'envie et deux
occasions très nettes »


En face, Strasbourg souffre et peine à se dégager, même si quelques accélérations éparses de Le Pen ou d'Abdessadki redonnent espoir aux supporters du RCS. Mais les Strasbourgeois peuvent surtout s'estimer heureux de ne pas être déjà menés de deux ou trois buts à la pause. « On a eu du mal, il n'y a pas de liant, on a joué trop éloignés alors que les Lensois étaient offensifs, bien en place », reconnaît Cédric Kanté.
Changement de décor à la reprise. Si Francis Gillot, l'entraîneur lensois, lance Thomert, Rodriguez, Keita et Ekotto, Jacky Duguépéroux décide pour sa part de repartir de zéro, avec une équipe strasbourgeoise entièrement renouvelée. Et rajeunie, avec notamment Krebs, Carlier et Bellaïd.


Cette débauche d'énergie est
tout de même récompensée


Après quelques minutes de flottement, le Racing parvient enfin à s'approcher du but d'Itandjé. Plus offensif, grâce notamment aux percées rageuses d'un Salim Arrache mort de faim sur son flanc gauche. Le Marseillais sera d'ailleurs à l'origine de presque toutes les actions dangereuses de la seconde mi-temps. Comme ces deux centres au cordeau, qui ne trouveront malheureusement pas d'attaquants strasbourgeois au bout.
Mais cette débauche d'énergie est tout de même récompensée à la 77e minute par une égalisation un peu chanceuse, sur une percée de Lacour sur le flanc droit.
« La première mi-temps était difficile, souligne avec justesse Jacky Duguépéroux, mais la deuxième mi-temps est plus encourageante, avec plus d'envie et deux occasions très nettes ».
Une analyse partagée par son homologue Francis Gillot, « globalement satisfait » de son match de préparation. « On a un peu baissé en deuxième période. Strasbourg, avec l'entrée de ses remplaçants, avait plus de fraîcheur sur la fin », a reconnu le coach lensois.
Côté Strasbourgeois, « on s'aperçoit surtout que certains joueurs revenus de blessure nous ont fait cruellement défaut », grimaçait encore Jacky Duguépéroux à la fin du match. Des regrets, on vous dit. Des regrets.

Cassard croit encore!

17/04/2006 18:15
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Personne ne le croit plus vraiment!

Les matches à Sochaux sont toujours particuliers pour Stéphane Cassard. Originaire de Franche-Comté, le gardien du Racing ressent une émotion à part à l'heure de jouer au stade Bonal. Mais la rencontre de ce samedi ne laissera pas la place aux sentiments car ses coéquipiers et lui n'ont plus qu'un mince espoir de maintien.
Qui passe par une victoire en terre sochalienne.

Est-ce le match le plus important de la saison que le Racing dispute ce samedi à Sochaux ?
Je ne sais pas si c'est le match le plus important car nous avons déjà loupé pas mal d'occasions cette saison. En tout cas, mathématiquement, il reste une chance de se sauver. Et pour entretenir cet espoir, il faut gagner.

Que ressentez-vous à l'approche de vos retrouvailles avec le stade Bonal ?
Vu notre situation, ce ne sont pas les meilleures conditions pour retrouver ce stade et cette pelouse. Mais c'est vrai que cela représente toujours un grand plaisir pour moi. J'y ai mes attaches et ma famille sera présente au stade.

« C'est assez tendu »

L'an passé, le Racing s'était imposé.
Oui et cela reste d'ailleurs un bon souvenir. Nous avions obtenu un succès important pour notre maintien. Il faudra s'en souvenir. Et se souvenir, notamment, de notre réaction qui nous avait permis d'égaliser puis de gagner cette rencontre.

Comment est l'état d'esprit actuel du groupe ?
C'est assez tendu, notamment aux entraînements. Mais cela montre aussi que nous avons envie de nous en sortir. A Sochaux, nous allons voir si tout le monde est encore concerné par l'enjeu. Nous avons subi une grosse déception contre Nantes, samedi. Ce n'est pas spécialement cette défaite qui fait mal mais plutôt une accumulation de choses.



Bellaid a signé!

Samedi soir, Habib Bellaid a donc signé son premier contrat professionnel d'une durée de trois ans. Le jeune défenseur, formé à l'INF Clairefontaine et au Racing, revient sur cette signature qui n'a rien changé pour lui, assure-t-il. Cela lui a toutefois permis d'apprécier le chemin parcouru et de faire une sorte de bilan de ces années de formation.
Il revient aussi sur cette saison qui aura été marquée par ses premiers pas en pro et beaucoup d'autres premières.

As-tu fêté ton premier contrat pro, samedi soir ?
Non, je n'ai pas eu le temps de fêter ça car dimanche je jouais en CFA. J'ai fait un petit resto avec mes parents le soir même. Ma famille était heureuse et c'est le principal. Pour l'instant, je ne réalise pas très bien. Je pense que je réaliserai quand je retournerai dans mon quartier avec mes potes. Samedi soir et dimanche, j'ai reçu plein de messages. C'est important pour moi que les miens soient fiers.

Ce contrat a-t-il changé quelque chose ?
Non, absolument rien. Je m'entraîne toujours comme avant, je suis la même personne. Ce n'est pas sous prétexte que j'ai signé un bout de papier que je vais me prendre pour un autre. Ce contrat n'est qu'une étape. Personnellement, je n'ai pas envie de stagner. Pour ça, je sais qu'il faudra du travail pour en avoir d'autres, des contrats.

« Pas pour rien »

As-tu repensé au chemin parcouru depuis le début ?
Oui, samedi soir, avant de signer, j'ai repensé à certains moments vécus tout au long de ma formation. J'ai passé trois ans à l'INF Clairefontaine et je suis au Racing depuis quatre ans. Quand je suis parti de chez moi à 13 ans, le but était de signer pro. J'y suis arrivé. Et quand je vois le chemin parcouru, je me dis que tout ça n'était pas pour rien. Je vais d'ailleurs appeler mon formateur à l'INF parce que je crois être le troisième ou quatrième de ma génération à avoir signé pour l'instant. Ca va lui faire plaisir, je pense.

Quels sont les moments qui t'ont marqué durant ta formation ?
En fait, la première image à laquelle j'ai pensé samedi soir, c'est que je me suis retrouvé dans le même bureau où j'avais signé mon entrée au Centre de formation de Strasbourg. Ensuite, dimanche, j'ai aperçu Jacky Canosi au bord du terrain. C'était mon premier entraîneur ici. C'était un joli clin d'oeil, j'ai trouvé. Je vais leur faire une petite surprise, prochainement, au Centre en amenant une bouteille de champagne.

Quels sont les matches qui t'ont marqué dans ta formation ?
Il y a d'abord la rencontre INF-Strasbourg en 16 ans Nationaux alors que je venais de m'engager avec le Racing. C'était particulier pour moi. Ensuite, lors de ma première saison ici, je me retrouve en finale de la coupe Gambardella. C'a d'ailleurs été une grosse saison avec ce parcours en coupe et en équipe de France des moins de 17 ans, l'élimination de justesse pour le championnat d'Europe. Cette année m'a fait décollé, je pense. La saison suivante, je faisais mes débuts en CFA. Mais j'ai vraiment franchi un cap à 18 ans, lors de ma deuxième saison en CFA. Après, il y a ce premier match avec les pros en coupe de la Ligue à Troyes. J'étais heureux de vivre ça même si l'expérience n'avait pas été super concluante.

« Garder que le meilleur »

De cette saison, que garderas-tu ?
En fait, c'est un tout. J'ai fait mon premier match en Ligue 1, mon premier match en coupe d'Europe, j'ai signé mon premier contrat pro. Il y a eu beaucoup de premières, cette année. Je ne veux garder que le meilleur. Et si nous parvenons à nous maintenir, ce serait extraordinaire. Cela aura été une super saison.

Est-ce que ton but à Rome, en coupe UEFA, restera aussi comme un moment à part dans ta carrière ?
Bien sûr ! C'était mon premier but avec les pros et je pense que je n'en marquerai pas beaucoup d'autres. Celui-là, vu le contexte et tout, il va rester longtemps.

Le plongeon!

16/04/2006 17:36
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C'est FINI

Il fallait une victoire en terre sochalienne au Racing, ce samedi soir, pour entretenir le mince espoir de maintien. Avec le succès de Troyes sur Ajaccio, lors de cette 35e journée de L1, le nul rapporté de Bonal est donc insuffisant.
Même si mathématiquement l'affaire est encore jouable, l'espoir, dans le camp alsacien, est proche du néant. On parle de descente en Ligue 2, maintenant.

Les mots reflètent le sentiment général. Il y a d'abord ceux de Jacky Duguépéroux, l'entraîneur: « Maintenant, je crois que le problème est réglé. C'est dommage. Il faudra bien analyser les raisons de cet échec. »
Il y a ceux, ensuite, de Philippe Ginestet, Président du Racing. « C'est une grande déception pour l'ensemble du club et pour les supporters. Je crois que les carottes sont cuites. Désormais, il va falloir reconstruire. La place du Racing Club de Strasbourg est en Ligue 1, ce sera l'objectif numéro 1 du club la saison prochaine. Même si remonter directement n'est jamais une chose facile. »

Occasions ratées...

Voilà, le terme Ligue 2 n'est pas explicitement employé, comme on éviterait de citer un ennemi, mais c'est de ça dont il est question. Avec sept points de retard sur le premier non-relégable à trois journées de la fin, le RCS semble bel et bien devoir se résoudre à voir son avenir proche en L2. Mathématiquement, l'affaire n'est pas encore réglée mais c'est tout comme.
« Vivre une descente est quelque chose de rageant, dit même Amara Diané. Nous avons loupé plusieurs occasions tout au long de la saison. Il y a des saisons comme ça... » Celle du Racing aura été une longue succession d'occasions ratées, effectivement, combinée à une incroyable malchance avec ces blessures à répétition.

Terminer dignement

A l'image de leur parcours hexagonal, les Strasbourgeois auront bien joué lors de ce match à Sochaux. Ils auront réalisé une première mi-temps très intéressante, ponctuée par quelques franches occasions (Johansen sur le poteau, 15e; arrêts de Richert sur des tentatives d'A. Farnerud et Nemeth). Mais leur manque d'efficacité offensive aura permis à leurs adversaires de reprendre confiance et d'ouvrir même la marque (Ilan, 80e). Une frappe puissante de Pontus Farnerud leur donnera un point pas immérité (88e).
Il reste donc trois matches au Racing avant la fermeture de la saison. Dans quinze jours, il reçoit Nancy, pour le dernier bal à la Meinau, avant de se déplacer à Marseille et Auxerre. « Maintenant, il y a une saison à bien terminer », disait Duguépéroux dans les couloirs de Bonal. La tâche du groupe strasbourgeois sera, en effet, de terminer dignement ce championnat pour que la fierté du Racing reste intacte.

Le racing en L2!

15/04/2006 22:54
157 lectures
C'EST FINI!!!

Le racing à signé son arret de la L1! En effet le racing ce soir, malgré son nul face à sochaux, le racing ne peux plus éspéré le maintien en L1. Les absents, encore nombreux ne font que endicapés le Racing qui ne manque pas de malchance cette saison. L'année prohaine les dirigeants du racing veulest faire une boulette de plus! Oui! Ils veulent garder Jacky Duguépéroux comme entraineur! Cela va nous amenés en national! Super! Le matche de la saison:
Strasbourg-Mulhouse!
Mais le pire c'est que, comme on va en L2, les joueurs clefs vont partir dans des clubs ou ils vont êtres tellement fort qu'ils vont se retrouvés à Liverpool ou à Barcelone!
C'est toujours comme sa avec le racing club distributeur de joueurs! On aurait dut s'appelés le RCDJ!
Moi je voudrait cette composition si j'étais entraineur:



Puydebois

Deroff Haggui Kanté Boka



Keita


A.Farnerud Johansen Arache



Diané





Remp:Cassard-Devaux-P.Farnerud-S.Nemeth-Gmamdia


[/equipe][classement]

Defaite!!

11/09/2005 09:48
169 lectures
Pourquoi a t-on vendu niang?

Encore une erreur !!!

Vendre Niang a été une erreur de plus!!

C'était pareil pour ljuboja on ne sais pas conserver les joueur!

ON EST PAS DISTRIBUTEUR!!!!!


[g]1-0 ON A PERDU 1-0!!!!!
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