Spam est là... rose

18/10/2006 00:01
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Robert dit :

"Spam : envoi d'un même message électronique, souvent de nature publicitaire, à un grand nombre d'internautes sans leur consentement ; ce type de messages"

"Quand j'avais 14 ans, je souhaitais un jour avoir une petite amie.
A 16 ans, j'ai eu une petite amie, mais la passion n'existait pas.
Je décidais alors de trouver une femme passionnée, qui puisse me donner l'envie de vivre.
A la fac je suis sorti avec une fille passionnée, mais trop émotionnelle. Tout était tranchant, c'était la reine des drames, elle pleurait tout le temps et menaçait de se suicider.
Alors j'ai décidé de trouver une femme stable. Quand j'ai eu 25 ans, j'ai trouvé une femme stable, mais lassante. Elle était totalement prédictible et rien ne l'excitait.
La vie fut si pénible que je décidais de chercher une femme exaltante. A 28 ans j'ai rencontré la femme exaltante, mais je n'ai pu suivre son rythme. Elle allait d'un côté à un autre sans jamais s'arrêter. Elle était impétueuse et flirtait avec n'importe qui, elle me rendit misérable autant qu'heureux. Au début c'était amusant et stimulant, mais sans aucun avenir.
Alors j'ai décidé de trouver une femme un peu plus ambitieuse. Quand j'ai eu mes 30 ans, j'ai trouvé une fille intelligente, ambitieuse, les pieds sur terre. Je décidais de me marier.
Elle était tellement ambitieuse qu'elle a demandé le divorce et pris tout ce que j'avais.
Aujourd'hui, à 40 ans, j'aime les connes avec de gros nichons..."

Bon, au moins on m'épargne les problèmes d'élection ou d'érrection... Merci les copains...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/16.06.2006-026...

"Elle mettait des slips tout bleus à ma fenêtre
Et des p'tits éclairs voyous au fond de ses yeux
Sa fermeture à glissière
Fonçait comme le chemin de fer
Elle passait comme Attila sur mon matelas

{Refrain:}
Paméla Paméla
C'est la môme que je préfère
Evidemment faut se la faire
Mais c'est une nana d'enfer

Elle m'a demandé le chemin qui va nulle part
Je lui ai dit ça tombe bien c'est là que je vais
Elle dit j'ai perdu Gaston un magnifique vieillard
Et je serais bien triste si je le retrouvais

{au Refrain}

Pour notre premier rembour ce p'tit chameau
Avait enfilé un pull trois tailles en dessous
Son futal était serré
Son slibar bien amarré
Fallait carrément que j'attaque au chalumeau

{au Refrain}

Elle est venue entre la poire et le chômage
Visiter mon somptueux huit mètres carrés
Elle entra dans mon boudoir
Bien en retard sur ses nibards
Elle me les braquait en plein dessus je me suis rendu

{au Refrain}

Elle me pose ses deux seins j'en retiens un
Je me dis j'aurais toujours l'autre pour demain
Puis elle me roule une saucisse
De quoi appeler la police
Le genre de petit truc qui laisse des cicatrices

{au Refrain}

Elle mettait des slips tout bleus à ma fenêtre
Et des p'tits éclairs voyous au fond de ses yeux
Sa fermeture à glissière
Fonçait comme le chemin de fer
Elle passait comme Attila sur mon matelas" (source)

Pierre Perret, Paméla

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