October 2006


Le livre dort

08/10/2006 10:35
3.019 lectures
"Les livres peuvent se diviser en deux groupes : les livres du moment et les livres de toujours". Peut-on vraiment en dire de même avec les gens ?

Encore beaucoup de pages cette semaine, qui s'est avérée plutôt bonne, même si le temps commence à se faire rare. C'est sans doute bon signe...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-centenaire...

"You are not an open book
I can't do nothing 'bout that
But I'm worried, I'm overdrawn
What am I doing up at the witching hour?
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o

Pick up a book, put down a book
Turn on the TV
It's 2 AM, there's nothing on
I just need something to focus on

Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o

Things are going to slide
Slide out of control
I hope that you come back
I can't eat, can't sleep
When I close my eyes
The thought of you denies
Me, the rest, and the air
That I need

The longer you are far from me
The more I drift away
I didn't see the warning signs
I was falling through the cracks

Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o

Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o
Oh-o-oh-o

You are not
An open book
I am worn and torn
I am overdrawn"

The Rakes, Open book

Spam est là... rose

18/10/2006 00:01
2.367 lectures
Robert dit :

"Spam : envoi d'un même message électronique, souvent de nature publicitaire, à un grand nombre d'internautes sans leur consentement ; ce type de messages"

"Quand j'avais 14 ans, je souhaitais un jour avoir une petite amie.
A 16 ans, j'ai eu une petite amie, mais la passion n'existait pas.
Je décidais alors de trouver une femme passionnée, qui puisse me donner l'envie de vivre.
A la fac je suis sorti avec une fille passionnée, mais trop émotionnelle. Tout était tranchant, c'était la reine des drames, elle pleurait tout le temps et menaçait de se suicider.
Alors j'ai décidé de trouver une femme stable. Quand j'ai eu 25 ans, j'ai trouvé une femme stable, mais lassante. Elle était totalement prédictible et rien ne l'excitait.
La vie fut si pénible que je décidais de chercher une femme exaltante. A 28 ans j'ai rencontré la femme exaltante, mais je n'ai pu suivre son rythme. Elle allait d'un côté à un autre sans jamais s'arrêter. Elle était impétueuse et flirtait avec n'importe qui, elle me rendit misérable autant qu'heureux. Au début c'était amusant et stimulant, mais sans aucun avenir.
Alors j'ai décidé de trouver une femme un peu plus ambitieuse. Quand j'ai eu mes 30 ans, j'ai trouvé une fille intelligente, ambitieuse, les pieds sur terre. Je décidais de me marier.
Elle était tellement ambitieuse qu'elle a demandé le divorce et pris tout ce que j'avais.
Aujourd'hui, à 40 ans, j'aime les connes avec de gros nichons..."

Bon, au moins on m'épargne les problèmes d'élection ou d'érrection... Merci les copains...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/16.06.2006-026...

"Elle mettait des slips tout bleus à ma fenêtre
Et des p'tits éclairs voyous au fond de ses yeux
Sa fermeture à glissière
Fonçait comme le chemin de fer
Elle passait comme Attila sur mon matelas

{Refrain:}
Paméla Paméla
C'est la môme que je préfère
Evidemment faut se la faire
Mais c'est une nana d'enfer

Elle m'a demandé le chemin qui va nulle part
Je lui ai dit ça tombe bien c'est là que je vais
Elle dit j'ai perdu Gaston un magnifique vieillard
Et je serais bien triste si je le retrouvais

{au Refrain}

Pour notre premier rembour ce p'tit chameau
Avait enfilé un pull trois tailles en dessous
Son futal était serré
Son slibar bien amarré
Fallait carrément que j'attaque au chalumeau

{au Refrain}

Elle est venue entre la poire et le chômage
Visiter mon somptueux huit mètres carrés
Elle entra dans mon boudoir
Bien en retard sur ses nibards
Elle me les braquait en plein dessus je me suis rendu

{au Refrain}

Elle me pose ses deux seins j'en retiens un
Je me dis j'aurais toujours l'autre pour demain
Puis elle me roule une saucisse
De quoi appeler la police
Le genre de petit truc qui laisse des cicatrices

{au Refrain}

Elle mettait des slips tout bleus à ma fenêtre
Et des p'tits éclairs voyous au fond de ses yeux
Sa fermeture à glissière
Fonçait comme le chemin de fer
Elle passait comme Attila sur mon matelas" (source)

Pierre Perret, Paméla

V pour Vent d'Etat...

29/10/2006 13:41
1.952 lectures
" - Qui êtes-vous ?

- Qui ? Qui n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu'est-ce que ? », mais ce que je suis, c'est un homme sous un masque.

- Ça, je le vois...

- De toute évidence. Je ne mets pas en doute ton sens de l'observation, je ne fais que mettre en exergue le paradoxe qui est de demander à un homme masqué qui il est.

- Oh... D'accord...

- Mais en cette nuit des plus favorables, daigne me permettre à défaut d'un banal sobriquet, de te présenter les caractéristiques de ce dramatis persona...
Voila ! Vois en moi l'image d'un humble vétéran de vaudeville distribué vicieusement dans les rôles de victime et de vilain par les vicissitudes de la vie. Ce visage plus qu'un vil verni de vanité est un vestige de la vox populi aujourd'hui vacante, évanouie. Cependant cette vaillante visite d'une vexation passée se retrouve vivifiée et a fait voeu de vaincre cette vénale et virulente vermine vantant le vice et versant dans la vicieusement violente et vorace violation de la volition.
Un seul verdict : la vengeance. Une vendetta telle une offrande votive mais pas en vain car sa valeur et sa véracité viendront un jour faire valoir le vigilent et le vertueux.
Hi hi hi hi...
En vérité ce velouté de verbiage vire vraiment au verbeux alors laisse moi simplement ajouter que c'est un véritable honneur que de te rencontrer. Appelle-moi V.

- Etes-vous une sorte de malade mental ?"

V pour vendetta (V for vendetta), le site officiel...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/pto-os-v-03-53...

Robert dit :

Vengeance : action de se venger. Dédommagement moral de l'offensé par la punition de l'offenseur. Besoin, désir de se venger. Action de punir.

Vendetta : coutume corse, par laquelle les membres de deux familles ennemies poursuivent une vengeance réciproque jusqu'au crime.

Lundi fait rance...

04/10/2006 00:01
885 lectures
Mais alors le mardi, je vous raconte pas. Rire gras, sans surprise...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/expo-centenair...

"She was born in November 1963
The day Aldous Huxley died
And her mama believed
That everyone could be free
So her mama got high high high

And her daddy marched on Birmingham
Singing mighty protest songs
And he pictured all the places

Where he knew that she'd belong
He failed and taught her young
The only thing she'd need to know
To carry on
He taught her how to

Run baby run baby run baby run
Past the arms of the familiar
And their talk of better days
To the comfort of the strangers
Slipping out before they say
So long
Baby loves to run

She counts out all her money
In the taxi on the way to meet her plane
Stares hopeful out the window
At the workers fighting
Through the pouring rain

She's searching through the stations
For an unfamiliar song
And she pictures all the places
Where she knows she still belongs
And she smiles the secret smile
Because she knows exactly how
To carry on

So run baby run baby run baby run
From the old familiar faces and
Their old familiar ways
To the comfort of the strangers
Slipping out before they say
So long
Baby loves to run" (source)

Sheryl Crow, Run baby run

Weak end ?

20/10/2006 19:08
799 lectures
Pas vraiment, plutôt strong la semaine, et on ne s'en plaint pas...
Le week end pourra-t-il être à la hauteur ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/21.07.2006-050...

"J'vis toujours des soirées parisiennes,
j'voudrais vivre des soirées belles à Sienne
et vivre au vent, à feu, à ccent, m'ouvrie au sang, tu mens...
Commencer par voir si l'amour bat son plein
et si Lucien, il a perdu son chagrin,
j'voudrais t'emmener au-dessus d'un volcan
brûler mes os faire transpirer mes sentiments
J'vis toujours des soirées parisiennes, j'voudrais vivre des soirées brésiliennes,
et t'emmener haut, t'saluer bas chanter des chansons,
chanter tout bas notre amour pour les quatre saisons...
Commencer par voir si c'est pour aujourd'hui
ou bien tout ça si c'est pas compris,
j'voudrais bénéficier de ton absence,
j'voudrais savoir pour ce soir...
Et j'vis toujours des soirées parisiennes,
j'voudrais vivre des soirées belles à Sienne." (source)

Louise Attaque, Les nuits parisiennes

Ex position

02/10/2006 00:01
785 lectures
"Exposez-vous à vos peurs les plus profondes ; après cela, la peur ne pourra plus vous atteindre" (Jim Morrison ?)

La voilà, cette fameuse semaine... En espérant qu'elle finira mieux qu'elle ne débutera...

En attendant, pour ceux qui ont le temps, faites donc un tour à l'expo sur l'histoire du Racing. Cela fera plaisir aux stubistes qui se sont impliqués dans ce projet, et c'est assez instructif...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/expo-centenair...

"Ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
où est l'ombre des Shadows
des Byrds, des Doors
des Animals
des Moo-
dy Blues
séparés Mac Cartney
Georges Harrison
et Ringo Starr
et John Lennon - ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
Disparus Brian Jones
Jim Morrison
Eddy Cochran
Buddy
Holly
idem Jimi Hendrix
Otis Redding
Janis Joplin
T.Rex
Elvis" (source)

Jane Birkin, Ex fan des sixties

Racing carré

22/10/2006 11:19
623 lectures
Robert dit :

"Equation : relation conditionnelle existant entre deux quantités et dépendant de certaines variables (ou inconnues)"

Exemple : marquer un but et ne pas en encaisser, ou marquer un but de plus que l'autre = victoire.

J'ai toujours aimé les maths... les matchs !

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/28.07.2006-050...

"No more carefree laughter
Silence ever after
Walking through an empty house, tears in my eyes
Here is where the story ends, this is goodbye

Knowing me, knowing you (ah-haa)
There is nothing we can do
Knowing me, knowing you (ah-haa)
We just have to face it, this time we're through
(This time we're through, this time we're through
This time we're through, we're really through)
Breaking up is never easy, I know but I have to go
(I have to go this time I have to go, this time I know)
Knowing me, knowing you
It's the best I can do

Mem'ries (mem'ries), good days (good days), bad days (bad days)
They'll be (they'll be), with me (with me) always (always)
In these old familiar rooms children would play
Now there's only emptiness, nothing to say

Knowing me, knowing you (ah-haa)
There is nothing we can do
Knowing me, knowing you (ah-haa)
We just have to face it, this time we're through
(This time we're through, this time we're through
This time we're through, we're really through)
Breaking up is never easy, I know but I have to go
(I have to go this time I have to go, this time I know)
Knowing me, knowing you
It's the best I can do" (source)

ABBA, Knowing me, knowing you

Métro goulot dodo

11/10/2006 00:15
578 lectures
"L'humanité est comme un paysan ivre à cheval : quand on la relève d'un côté, elle tombe de l'autre"

Tchin tchin...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/24.04.06-002-6...

"Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine.
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine" (source)

Apollinaire, Le pont Mirabeau (Alcools)

Grrrr noble

13/10/2006 00:01
541 lectures
"La poésie, c'est la prise en charge du quotidien, c'est la découverte du présent dans ce qu'habituellement on cherche à fuir"

Passés, petits fours et spectacles de plein air
Finis, centenaire... et autres anniversaires...

Certains ont peur du quotidien.
Du coup ils lui préfèrent... rien.
Quête incessante de sensations,
Synonyme finalement de privations.
Fabuleux mirage de l'illusion,
A l'origine de tant de frustration...
Bref, il faut en extraire le bien
De notre bon vieux quotidien...
Apéro, football et alcool,
Que la nuit soit longue et folle...

RCS-Grenoble : début d'un week end bien mérité...

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-eag-06-07--21--2...

"Que ce soit en poésie ou en chant, les artistes puisent leur inspiration dans la vie de tous les jours. Jacques Prévert est l'un des pionniers de ce mouvement qui présente le quotidien. Poète à l'époque du surréalisme, Prévert s'amuse à jouer avec les mots, transforme les banalités de la vie et y glisse un message. Il présente le quotidien et ajoute quelques exagérations, bien de son époque, pour illustrer sa pensée. Jacques Prévert brosse un tableau de la vie et la peint de plusieurs couleurs, sous plusieurs angles." (source)

"Entre les dents d'un piège
La patte d'un renard blanc
Et du sang sur la neige
Le sang du renard blanc
Et des traces sur la neige
Les traces du renard blanc
Qui s'enfuit sur trois pattes
Dans le soleil couchant
Avec entre les dents
Un lièvre encore vivant"

Start flambées

31/10/2006 00:01
513 lectures
Tout recommence à flamber : les normales de chon (alors que les gratinées sont manifestement meilleures), les ambrées de la Lanterne, les bus, les esprits, les coeurs... Même le Racing s'enflamme...

Robert dit : va voir flambage, flambant, flambard, flambe, flambé, flambeau, flambée, flambement, flamber, flambeur, flamboiement, flamboyant, flamboyer. Après c'est flamenco, c'est une autre histoire...

"Bois qui flambe vite ne dure pas longtemps..."

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/enterrement-vi...

"une raya de bambins livre aux flammes leurs
landeaux/Une ribambelle de nains fout le feu
dans l'métro/Une armée de gamins qui brûle les
magasins/Trois millions de lycéens carbonisent
leurs boquins/Une concierge allumée fout le feu
au quartier/Le président fêlé enflamme l'Elysée/
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur direc-
teur/Une tribu de bonnes soeurs incendie l'
Sacré Coeur.
Chorus
Laï laï laï laï Laï laï laï laï Laï laï laï...

Un trio d'grands brûlés fait exploser l'hosto/Et
5000 chimpanzés dynamitent le zoo/Des rastas
éclatés c'est chaud dans le ghetto/Les feux dans
la cité brûlent pour Géronimo/Des soldats canni-
bales rôtissent leur général/300 patrons qui cra-
quent font sauter la baraque/Et un vieux bonze
chinois se pétrole le minois/Le froid tue la fillette
qui n'a plus d'allumettes.
Chorusse

Les hooligans des stades préparent les jerrycans/
Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails
Molotov/Des iraniens inflamment le corps de l'
Oncle Sam/Des squatters s'tapent un boeuf au-
tour d'un grand feu d'keufs/Un gang de pyroma-
nes se croit au paradis/Les pompiers en ont mar-
re c'est la grève aujourd'hui/Il y a le feu partout
c'est la fête des fous/Il y a le feu partout viv' le
feu viv' les fous
Choeurs slaves de la Jeunesse

Un gang de pyromanes se croit au paradis/Les
pompiersen en ont marre c'est la grève aujourd'
hui/Il y a le feu partout c'est la fête des fous/Il y
a le feu partout viv' le feu viv' les fous
Choeur solo
Re-Chorusse" (source)

Berurier Noir, Vive le feu

Mairie me

26/10/2006 00:01
494 lectures
"Le conseil municipal représente les habitants. Ses attributions sont très larges depuis la loi de 1884 qui le charge de régler " par ses délibérations les affaires de la commune ". Cette compétence s'étend à de nombreux domaines. Le conseil municipal donne son avis toutes les fois qu'il est requis par les textes ou par le représentant de l'État.

Il émet des voeux sur tous les sujets d'intérêt local : il vote le budget, approuve le compte administratif (budget exécuté), il est compétent pour créer et supprimer des services publics municipaux, pour décider des travaux, pour gérer le patrimoine communal, pour accorder des aides favorisant le développement économique.

Le conseil exerce ses compétences en adoptant des "délibérations". Ce terme désigne ici les mesures votées. Il peut former des commissions disposant d'un pouvoir d'étude des dossiers.

Le conseil municipal doit se réunir au moins une fois par trimestre et l'ordre du jour, fixé par le maire, doit être communiqué avant le début de la séance. Celle-ci est ouverte au public sauf si l'assemblée décide le huis clos ou si le maire exerce son pouvoir de "police des séances", notamment en cas d'agitation, et restreint l'accès du public aux débats." (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.06.2006-153...

" Johnny's alway's running around
Trying to find certainty

He needs all the world to confirm
That he ain't lonely

Mary counts walls
Knowns he tires easily

Johnny thinks the world would be right
If it would buy truth from him

Mary says he changes his mind
More than a woman

But she made her bed
Even when the chance was slim

Johnny says he's willing to learn
When he decides he's a fool
Johnny say's he'll live anywhere
When he earns time to

Mary combs her hair
Says she should be used to it

Mary always edges her bets
She never knows what to think
She says that he still acts
Like he's being discovered
Scared that he'll get caught
Whithout a second thought

Johnny feels he's wasting his breath
Trying to talk sense to her
Mary says he's lacking a real sense of proportion
So she combs her hair, knows he tires easily" (source)

Placebo, Johnny and Mary

Temps et rature...

05/10/2006 00:01
492 lectures
"Que de temps perdu à gagner du temps !"

Ayé, l'été s'enfuit lâchement, après avoir fait mine de traîner... Plus de canicule en vue, à nous les températures moins clémentes... Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il fasse froid et qu'il neige, que s'abattent tempêtes et tremblements...
Vivement les longues soirées d'hiver...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.06.2006-051...

"Puisque les dauphins sont des rois
Tout seul le silence s'impose
Puisqu'il revient à qui de droit
De tenter les métamorphoses
Puisque les révolutions
Se font maintenant à la maison
Et que lorsque le monde implose
Ce n'est qu'une nouvelle émission, émission

{Refrain:}
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau

Puisque ce n'est plus qu'un système
Et sa police américaine
De monde meilleur on ne parle plus
Tout juste sauver celui là, celui là

{Refrain x2}

Puisque je suis mon aquarium
Moi le poison, moi le poisson
Changé en homme

{Refrain}

Oh temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Eh

{ Beau temps pour se jeter à l'eau }

Oh temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
De nous jeter à l'eau..." (source)

Jean-Louis Aubert, Temps à nouveau

Art pitre

23/10/2006 00:01
471 lectures
La L2, c'est aussi et surtout au niveau des hommes en jaune...
Et dire que ces mecs sont payés pour ça...
Arbitre... non, rien...
DTC, on a gagné quand même !
Gna gna gna...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-caen-2006-...

"Der Hans im Schnokeloch, hett alles was er will
Un was er hett des well er nitt,
Un was er will des hett er nitt,
Der Hans im Schnokeloch, hett alles was er will

Der Hans im Schnokeloch, saat alles was er will
Un was er saat des denkt er nitt
Un was er denkt der saat er nitt !
Der Hans im Schnokeloch, saat alles was er will

Der Hans im Schnokeloch, düet alles was er will
Un was er düet des soll er nitt
Un was er soll des düet er nitt
Der Hans im Schnokeloch, düet alles was er will

Der Hans im Schnokeloch, kann alles was er will
Un was er kann des macht er nitt
Un was er macht gerot im nitt
Der Hans im Schnokeloch, kann alles was er will

Der Hans im Schnokeloch, geht anne, wo er will
Un wo er isch do bliebt er nitt
Un wo er bliebt do g'fallt's em nitt
Der Hans im Schnokeloch, geht anne, wo er will" (source)

Mais trop boulot dodo ?

10/10/2006 00:01
462 lectures
Cet enfoiré d'Oscar Wilde aurait dit que "le travail, c'est le refuge des gens qui n'ont rien de mieux à faire".

C'est pour ça que les journées sont si longues en ce moment ?
Autrefois, travailler, c'était tourmenter, souffrir. Travail méprisé, car effectué par les esclaves, alors que les hommes libres s'en affranchissaient. Le travail pourrait-il aujourd'hui libérer et donner un sens au quotidien ?

« On croit d'abord qu'on travaille pour soi, on se figure ensuite qu'on travaille pour sa femme, on est persuadé plus tard qu'on travaille pour ses enfants, on s'aperçoit en fin de compte qu'on travaille pour travailler. » Merde, j'ai sauté des étapes...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/01.09.2006-077...

"Ces gens qui courent au grand galop
En auto, métro ou vélo
Vont-ils voir un film rigolo
Mais non, ils vont à leur boulot

{Refrain:}
Le travail c'est la santé
Rien faire c'est la conserver
Les prisonniers du boulot
N' font pas de vieux os.

Ils bossent onze mois pour les vacances
Et sont crevés quand elles commencent
Un mois plus tard, ils sont costauds
Mais faut reprendre le boulot

Dir' qu'il y a des gens en pagaille
Qui cour' nt sans cesse après le travail
Moi le travail me court après
Il n'est pas près de m'rattraper.

Maint' nant dans le plus p'tit village
Les gens travaillent comme des sauvages
Pour se payer tout le confort
Quand ils l'ont, eh bien, ils sont morts.

Homm's d'affaires et meneurs de foule
Travaillent à en perdre la boule
Et meur' nt d'un' maladie de coeur
C'est très rare chez les pétanqueurs." (source)

Coule, heure bleue

09/10/2006 00:01
462 lectures
On dit qu'au-dessus des nuages, le ciel est toujours bleu...
Tout ne serait donc qu'une question de hauteur !

Sang noble ou signe du débutant, beauté des eaux ou pureté du ciel, couleur primaire ou marque de la douleur, fond européen ou orange chez Tintin, le Bleu a heureusement le bon goût de constituer nos couleurs. Et d'offrir de jolies lueurs féériques...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-centenaire...

"J'ai dans mon coeur un oiseau bleu,
Une charmante créature,
Si mignonne que sa ceinture
N'a pas l'épaisseur d'un cheveu.

Il lui faut du sang pour pâture
Bien longtemps, je me fis un jeu
De lui donner sa nourriture :
Les petits oiseaux mangent peu.

Mais, sans en rien laisser paraître,
Dans mon coeur il a fait, le traître,
Un trou large comme la main.

Et son bec fin comme une lame,
En continuant son chemin,
M'est entré jusqu'au fond de l'âme !"

Vie, eux ?

30/10/2006 00:01
458 lectures
"Mariage plus vieux, mariage heureux" ?

Heure, eux... Bon timing...

Plus marri que mari. Ou marrer ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/22.10.2006--10...

"Bien sûr, nous eûmes des orages
Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol
Mille fois tu pris ton bagage
Mille fois je pris mon envol
Et chaque meuble se souvient
Dans cette chambre sans berceau
Des éclats des vieilles tempêtes
Plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l'eau
Et moi celui de la conquête

{Refrain:}
Mais mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime

Moi, je sais tous tes sortilèges
Tu sais tous mes envoûtements
Tu m'as gardé de pièges en pièges
Je t'ai perdue de temps en temps
Bien sûr tu pris quelques amants
Il fallait bien passer le temps
Il faut bien que le corps exulte
Finalement finalement
Il nous fallut bien du talent
Pour être vieux sans être adultes

{Refrain}

Oh, mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore, tu sais, je t'aime

Et plus le temps nous fait cortège
Et plus le temps nous fait tourment
Mais n'est-ce pas le pire piège
Que vivre en paix pour des amants
Bien sûr tu pleures un peu moins tôt
Je me déchire un peu plus tard
Nous protégeons moins nos mystères
On laisse moins faire le hasard
On se méfie du fil de l'eau
Mais c'est toujours la tendre guerre

{Refrain}

Oh, mon amour...
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime." (source)

Jacques Brel, La chanson des vieux amants

Jeudi mardi noir

24/10/2006 00:01
433 lectures
Je dis surtout beaucoup de conneries... Mais comme j'en entends et j'en lis beaucoup, ça doit s'équilibrer...

24 octobre 1790 : « L'assemblée constituante décrète officiellement le drapeau tricolore, drapeau français, en substitution au drapeau blanc. Le drapeau tricolore apparaît dans la toute jeune république française. Il est largement inspiré par la cocarde que les révolutionnaires arborent depuis 1789. Il reprend le bleu et le rouge, couleurs de la ville de Paris, et le blanc, couleur royale ».

24 octobre 1901 : « A 43 ans, Anna Edson Taylor est la première femme à relever le défi de s'élancer du haut des chutes de Niagara dans un tonneau de bois. Elle ressort indemne de sa chute de plus de 50 mètres ». Malgré la tentation, je m'abstiendrai de tout commentaire...

24 octobre 1929, le jeudi noir (ouf mon jeu de mot débile) : « La bourse de New-York s'effondre. En quelques heures 12 millions de titres sont vendus sur le marché. Constatant la baisse des cours les spéculateurs cherchent à se débarrasser au plus vite de toutes leurs actions. Les cours chutent de 30%. Le "krach" se confirmera le mardi 29. Le "black Thursday" est le commencement de ce qui sera la plus grave crise économique de l'histoire. Les Etats-Unis seront ruinés. Et le monde entier souffrira autant au niveau économique que politique ».

(source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/16.06.2006-046...

"She would never say where she came from
Yesterday don't matter if it's gone
While the sun is bright
Or in the darkest night
No one knows
She comes and goes

Goodbye, Ruby Tuesday
Who could hang a name on you?
When you change with every new day
Still I'm gonna miss you...

Don't question why she needs to be so free
She'll tell you it's the only way to be
She just can't be chained
To a life where nothing's gained
And nothing's lost
At such a cost

Goodbye, Ruby Tuesday
Who could hang a name on you?
When you change with every new day
Still I'm gonna miss you...

There's no time to lose, I heard her say
Catch your dreams before they slip away
Dying all the time
Lose your dreams
And you will lose your mind.
Ain't life unkind?

Goodbye, Ruby Tuesday
Who could hang a name on you?
When you change with every new day
Still I'm gonna miss you...

Goodbye, Ruby Tuesday
Who could hang a name on you?
When you change with every new day
Still I'm gonna miss you..." (source)

The Rolling Stones, Ruby tuesday

La chute du mûr...

03/10/2006 00:01
428 lectures
Le 3 octobre, il y a quelques années, l'Allemagne fêtait sa réunification (après la chute du mur, en novembre 1989)...

"Il vaut mieux s'unir pour obtenir le bonheur sur la terre que de se disputer sur l'existence d'un paradis dans le ciel"

J'ai visité un endroit étrange l'autre jour en Allemagne : le Quartier Vauban à Fribourg, une espèce d'expérience urbaine collective et écologique. Ce qui frappe dans ces "rues" (la notion en serait presque altérée), c'est l'absence de jardins clôturés, verrouillés. Tout semble ouvert sur le voisinage, les affaires sont laissées ça et là, les vélos ne sont pas attachés, et les bambins gambadent dans les allées verdoyantes... Difficilement transposable tel quel dans d'autres cités, comment évoluera ce quartier aussi agréable qu'étonnant, quand les têtes blondes d'aujourd'hui auront dix ans de plus ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/hqe-27.09.2006...

"We don't need no education
We dont need no thought control
No dark sarcasm in the classroom
Teachers leave them kids alone
Hey ! Teachers ! Leave them kids alone !
All in all it's just another brick in the wall.
All in all you're just another brick in the wall.

We don't need no education
We dont need no thought control
No dark sarcasm in the classroom
Teachers leave them kids alone
Hey ! Teachers ! Leave them kids alone !
All in all it's just another brick in the wall.
All in all you're just another brick in the wall.

"Wrong, Do it again !"
"If you don't eat yer meat, you can't have any pudding.
How can you have any pudding if you don't eat yer meat ?"
"You ! Yes, you behind the bikesheds, stand still laddy !""

Rossée matinale

"Quelques gouttes de rosée sur une toile d'araignée, et voilà une rivière de diamants" (Jules Renard)

Même le matin, les gens éprouvent le besoin de s'engueuler dans la rue...

Strasbourg s'éveille doucement. Les premiers touristes débarquent déjà... La place Gutenberg se réveille avec ses tentes de la dégustation de vin... La Petite France respire encore la tranquillité avant le déversement des chasseurs de clichés... La place de la Gare continue ses travaux... L'avenue des Vosges n'est pas encore noyée dans le flux des voitures... La place de la République sommeille dans son coin, un peu à l'écart... La place Broglie ne fête pas encore la science... La rue des Hallebardes se prépare aux passants du dimanche...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/26.08.2006-079...

"Encore un matin
Un matin pour rien
Une argile au creux de mes mains
Encore un matin
Sans raison ni fin
Si rien ne trace son chemin

Matin pour donner ou bien matin pour prendre
Pour oublier ou pour apprendre
Matin pour aimer, maudire ou mépriser
Laisser tomber ou résister

Encore un matin
Qui cherche et qui doute
Matin perdu cherche une route
Encore un matin
Du pire ou du mieux
A éteindre ou mettre le feu

Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin

Encore un matin
Ou juge ou coupable
Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
Matin innocence, matin intelligence
C'est toi qui décide du sens

Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin" (source)

Jean-Jacques Goldman, Encore un matin

Métro boulot bobo

12/10/2006 00:01
392 lectures
"Le terme bobologie est un terme humoristique pour désigner les traitements des traumatismes sans gravité, comme les égratignures et les bleus. Il est composé du terme bobo, qui désigne une petite plaie dans le langage enfantin, et du suffixe -logie qui fait référence aux sciences"

Sopla, sopla...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/29.07.2006-002...

"Yo quiero el aire que tiene tu alma
Yo quiero el aire que, que vive en ti
Yo quiero el aire, aire que derramas
Aire pa´ quererte, aire pa´ vivir

Yo quiero el aire que tiene tu alma
Yo quiero el aire que, que vive en ti
Yo quiero el aire, aire que derramas
Aire pa´ quererte, aire pa´ vivir.

Tengo un alma o la tenía
Y no es bastante
Ya sabes tanto tienes tanto vales
Tengo un alma y desafía
Tus andares es
el paisaje donde flota mi fantasía

Y me subo a tu cintura
pero es tan temprano,
Los sueños que se cumplen son tan raros,
el aire roza las palabras que no saben
bien
De tus ojos, tu mirar, eh
por tus andares y tu mirar.

Le he robado el alma al aire
para dártela en este suspiro
soy como la tierra amor,
tú eres el sol
que no se deja ver
no puede ser
cómo va a ser

Le he robado el alma al
aire
para poder llevarte aquí
conmigo
soy como la tierra amor,
tú eres el sol
que no se deja ver; no puede ser
como va a ser

Yo quiero el aire que tiene tu alma
Yo quiero el aire que, que vive en ti
Yo quiero el aire, aire que derramas
Aire pa´ quererte, aire pa´ vivir

Tengo miedo a un alma fría
¿cuánto vale?
comprarle el alma al aire si se descuida
suave, suave se la quitas
tus andares
Ay niña ayay vete tus andares

Porque no tiene cura la locura de mis labios
Ya nada en esta vida me parece raro
El alma rosa despacito el mundo en nuestra piel.
En mi vida caminar... y de tu vida niña, lo que no se ve.
Le he robado el alma al aire
para dártela en este suspiro
soy como la tierra o tú eres el sol
que no se deja ver, no puede ser
como va a ser.

Le he robado el alma al aire
para poder llevarte aquí conmigo
soy como la tierra amor
tú eres el sol
que no se deja ver; no puede ser
como va a ser

Y me subo a tu cintura
pero es muy temprano
De tus ojos tu mirar
Eh, tus andares niña y tu libertad

Le he robado el alma al aire
para dártela en este suspiro
soy como la tierra amor
tú eres el sol
que no se deja ver, no puede ser
cómo va a ser

Le he robado el alma al aire
para poder llevarte aquí conmigo
soy como la tierra amor
tú eres el sol
que no se deja ver, no puede ser, cómo va a ser

Le he robado el alma al aire
para dártela en este suspiro
soy como la tierra amor
tú eres el sol
el alma al aire tu manera en mí de caminar

Le he robado el alma al aire
para poder llevarte aquí conmigo
soy como la tierra amor,
tú eres el sol
que no se deja ver; no puede ser, cómo va a ser" (source)

Alejandro Sanz, El alma al aire

Le temps pète

25/10/2006 00:01
387 lectures
"Les arbres nous enseignent la patience : ils ne baissent pas les bras à la première tempête venue".

O vent, souffle, arrache, détruis, purifie...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/26.08.2006-091...

"Le pétrole infestait la mer,
Les vagues claquaient sur les rochers
Les volets claquaient sur la pierre,
Les robinets flic-floquaient.

Tu disais quoi, tu disais rien
Tu attendais que ça se passe
Tu disais "j'ai peur de rien"

C'est infernal cette affaire,
Comme un coup de bilboquet
La tempête décharnait les arbres,
Et tout le monde qui paniquait
Ou avait peur

Tu disais quoi, tu disais rien
Tu attendais que tout soit terminé
Je disais "Aïe !"
Tu disais "C'est bien fait !"

C'est infernal cette affaire
Comme un coup de bilboquet
Cet interminable enfer,
C'est un coup à se flinguer."

Mickey 3D, La tempête

L'un dit...

16/10/2006 00:01
344 lectures
Et l'autre ?

"Le bonheur est un délicat équilibre entre ce que l'on est et ce que l'on a."

"Le rassurant de l'équilibre, c'est que rien ne bouge. Le vrai de l'équilibre, c'est qu'il suffit d'un souffle pour tout faire bouger."

"La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre."

Début de la semaine. Numéro d'équilibriste pendant cinq jours en perspective...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.06.2006-217...

"Lundi matin
L'emp'reur, sa femme et le p'tit prince
Sont venus chez moi
Pour me serrer la pince
Comm' j'étais parti
Le p'tit prince a dit :
Puisque c'est ainsi nous reviendrons mardi.


Mardi matin ..."

Trouve aie...

17/10/2006 00:01
337 lectures
"Quand vous aurez cessé de songer au bonheur, vous l'aurez trouvé". C'est toute la différence entre le rêve et la réalité... Entre ceux qui aspirent à vivre, et ceux qui vivent...

A avoir le nez en l'air en quête d'illusion, on trébuche... Attention à la marche... Avant, arrière ? Marche à l'ombre surtout...

Se cacher est un plaisir, mais ne pas être trouvé n'en est pas un. Reste à le comprendre et à le faire comprendre...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/31.08.2006-009...

"I have climbed highest mountain
I have run through the fields
Only to be with you
Only to be with you

I have run
I have crawled
I have scaled these city walls
These city walls
Only to be with you

But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for

I have kissed honey lips
Felt the healing in her fingertips
It burned like fire
This burning desire

I have spoke with the tongue of angels
I have held the hand of a devil
It was warm in the night
I was cold as a stone

But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for

I believe in the kingdom come
Then all the colors will bleed into one
Bleed into one
Well yes Im still running

You broke the bonds and you
Loosed the chains
Carried the cross
Of my shame
Of my shame
You know I believed it

But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for..." (source)

U2, I still haven't found what I'm looking for

Grand Coeur Malade

06/10/2006 00:01
332 lectures
"Qu'est-ce que la poésie ? Une pensée dans une image"

C'est aussi un concert de mots, un débit mélodieux, une musique verbale...

Pas vraiment une chanson, plutôt un récit artistique, de la poésie, tout simplement : « Toucher l'instant », c'est la conscience immédiate, à la première écoute d'être frappé par l'évidence. Comme un coup de foudre. C'est la certitude d'avoir ces quelques notes de piano dans la tête depuis toujours, et d'entendre cette voix monotone et grave résonner comme la nôtre, martelant des banalités tellement évidentes qu'elles en sont touchantes...

On peut entendre le début de la chanson ici.... Le site est d'ailleurs plutôt bien fait, on se sent proche de l'artiste...

Poésie urbaine, peut-être, poésie humaine, certainement...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.06.2006-151...

"On a trempé notre plume dans notre envie de changer de vision
De prendre une route parallèle, comme une furtive évasion
On a trempé notre plume et est-ce vraiment une hérésie
De se dire qu'on assume et qu'on écrit de la poésie
Il existe paraît-il, un instant dans l'écriture
Qui oublie la page blanche et efface les ratures
Un véritable état second, une espèce de transe
Qui apparaît mystérieusement et s'envole en silence
Que l'on rape ou que l'on slame, on recherche ce moment
Il allume une flamme qui nous éclaire brièvement
Cette flamme est la preuve, laisse moi t'en faire une démo
Qu'il est possible de combattre le mal par les mots
C'est tout sauf une légende, on espère juste toucher l'instant
Les quelques secondes du poète qui échappent à l'espace-temps
Les moment rares et irréels que la quiétude inonde
Rouda, n'oublie jamais notre parole du bout du monde
On ressent comme une coupure dans la vie, comme un rêve
On oublie les coups durs de la vie, comme une trêve
C'est un phénomène puissant, je ne te parle pas d'inspiration
Mais d'un souffle plus profond comme une seconde respiration
On voit et on entend l'encre devenir vivante
On goûte et on sent la saveur d'une rime errante
On touche du doigt l'instant qui nous enveloppe de sa puissance
C'est sans cesse la renaissance de l'essence même de nos cinq sens
C'est le moment où on passe de l'autre côté des paysages
On sympathise avec le vent et on tutoie les nuages
Il fait jour en pleine nuit et il fait nuit en plein jour
Profite de cet instant, il ne durera pas toujours
C'est tout sauf une légende, on espère juste toucher l'instant
Les quelques secondes du poète qui échappent à l'espace-temps
Le moment où le voile se lève et la magie s'élance
Là où j'ai croisé Souleymane au bout du sixième silence
Si on a pas atteint le Nirvana, on doit en être au seuil
Pourtant je suis simplement assis là devant ma feuille
Peut-être que cet instant n'existe que dans mon esprit
Et que je suis complètement mythomane lorsque j'écris
Mais laisse moi mon stylo, y'a pas moyen que je m'arrête
J'ai une envie d'écrire comme t'as une envie de cigarette
Et pour m'enlever ce désir je te demanderais de repasser
Car tant que je pourrais écrire je continuerai de penser
Que c'est tout sauf une légende, on espère juste toucher l'instant
Les quelques secondes du poète qui échappent à l'espace-temps
Les moments que l'on redécouvre, que l'on connaît plus ou moins
Tu l'as déjà touché Jacky, j'en suis témoin
On a trempé notre plume dans notre envie de changer de vision
De prendre une route parallèle, comme une furtive évasion
On a trempé notre plume et est-ce vraiment une hérésie
De se dire qu'on assume et qu'on écrit de la poésie" (source)

Grand Corps Malade, Toucher l'instant

Rive hier

14/10/2006 13:32
328 lectures
Enfin non, pas hier, j'aurais sans doute eu un peu de mal à réussir cette photo cette nuit...

On va dire une autre fois alors, à déambuler dans la nuit strasbourgeoise en quête d'obscurité et de lumière...

"Qui ose traverser les grands fleuves ne craint pas les petites rivières"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/21.07.2006-051...

"Quand la nuit s'étend, elle se laisse tomber au hasard
Elle enveloppe et elle sape les carcasses atroces
Et si tu peux te perdre du côté du fleuve
Il te calmera jusqu'à ce que tu ne puisses plus respirer

Comme elle est belle la ville et ses lumières seulement pour
les fous
Celui qui veut, il la découpe en tableaux
Là c'est l'heure ou le silence balance sur les eaux du fleuve
Le rythme des horloges qui pourissent

Y a là-bas cette fille qui enfle son souffle et ses jupes
Ouvertes comme des corolles en suspens
Plus elle danse, plus elle flambe, plus il l'aime, lui, comme il sent
Que no se puede, la Vida no vale Nada." "source)

Noir Désir, Le fleuve

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