"Le mont Parnasse (ou simplement Parnasse, du grec ancien Παρνασσός / Parnassós) est une montagne du centre de la Grèce, qui surplombe la cité de Delphes. Particulièrement vénéré dans l'Antiquité, il était consacré à la fois au dieu Apollon et aux neuf Muses, dont il était l'une des deux résidences." (source)
Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain.
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.
"Te faire mourir de rire
Aspirer tes soupirs
M'enfermer tout le jour
Ecrire des mots d'amour
Boire mon café noir
Me lever en retard
Pleurer sur un trottoir
Me serrer sur ton coeur
Pardonner tes erreurs
Jouer de la guitare
Danser sur un comptoir..."
Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'on croit ?
"Le mal est entré
Meilleur ennemi
Il sait m'abandonner
Me ramener près de lui
Je n'veux pas rester sage
J'aime le souffre et l'envie
Abuser de mon âge
Je n'veux pas rester sage
Le mal est ma lueur
Son ombre est ma couleur
Le mal est ma lueur
Mon parfum son odeur
Prends ton mal en douceur"
Il ne sert de rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre
« Mon père et son peuple disent que le jour où le soleil est né, en même temps que la lune, leur mère mourut. Alors le soleil offrit le corps de sa mère à la terre pour que puisse jaillir la vie. De sa poitrine il fit surgir les étoiles. Et il les lança très haut dans le ciel pour consoler la lune. »
(Le Dernier des Mohicans)
Info ou intox ? Mel Gibson se serait inspiré d'une bataille entre miniers lensois (consanguins ?) et hooligans parisiens à la plaine Saint-Denis pour tourner Braveheart.
"Every man dies. Not every man really lives..."
"L'homme qui réclame la liberté, c'est au bonheur qu'il pense."
(ce n'est pas du William Wallace ni du Dany Boon)
Pas de blague, pas de photo...
Juste quelques extraits, par paresse, même s'ils n'expriment pas forcément la force de l'horreur...
"Shooting Dogs fait référence au seul moment de révolte du père Christopher, quand après avoir découvert les cadavres de soeurs violées et assassinées, celui-ci demande au capitaine Delon si les chiens qui dévorent les cadavres à la sortie de l'école et sur lesquels il s'apprête à faire tirer "pour des raisons sanitaires", lui ont préalablement tiré dessus, puisque le mandat de l'O.N.U. ne leur permet de faire usage de leurs armes qu'en cas de légitime défense.
[...]
Une journaliste de la B.B.C. que Joe est allé chercher, persuadé que "là où est la télévision, rien ne peut arriver", lui avoue qu'en Bosnie, quand elle voyait le cadavre d'une femme, elle pleurait parce qu'elle se disait que cette femme pourrait être sa mère, alors que là, ce ne sont que des Africains, et qu'elle a honte de ne pas pleurer. Quant au bouclier de la télé, il ne durera pas, puisque l'équipe partira dans les fourgons de la Légion..." (source 1)
"C'est aussi pour cela que le film atteint sa cible: il distille un malaise palpable, qui ne tient pas seulement à l'horreur de la situation mais nous renvoie à notre propre lâcheté. L'on a beau savoir que l'on n'est aucunement responsable des évènements ayant conduits au génocide rwandais, ou même de l'absence d'intervention des grandes puissances, rien n'y fait: le film laisse un goût amer dans la bouche. Un sentiment parfaitement stigmatisé durant un épilogue européen dont la sophistication répond de manière glaçante à la poussière, au sang et à la fureur des évènements qui ont précédé. Un voyage dont, à l'instar des protagonistes, on ne ressort pas indemne. Et n'en doutez pas, le choc risque d'être brutal lorsque vous ressortirez du cinéma à l'issue de la projection, et retrouverez les rues propres et bien éclairées d'une France dont la richesse et la garantie de sécurité vous paraîtront, par contraste, presque déplacées." (source 2)
Malgré la pluie persistante, l'horizon s'éclaircit, le feu s'éteint autour de la flamme. Et c'est même pas à cause d'un Chinois cette fois !
On se passe le flambeau, et là il est loin... Nos médias ont donc pu recentrer l'actualité autour de sujets enfin vitaux pour la démocratie et la survie de notre conscience occidentale, comme la carte SNCF famille nombreuse, la grogne lycéenne, les comptes du Medef, le remariage déjà consommé de Cécilia, la Champions League et autres broutilles environnementales...
Un peu plus et on allait faire des banderoles et des pétitions, eh...
Bordel, le Tibet a attendu 50 ans, il allait pas passer devant tout le monde comme ça hein, même les moines doivent faire la queue ! Et Ingrid aussi pour le coup, non mais...
"Rien n'est plus délicieux que l'attente de ce qui paraît inéluctable"
"Enhardi par l'alcool, je plonge longuement mes yeux dans les siens. Quelque part, je savais que ça se passerait comme ça et elle aussi, sans doute. C'est comme ça cette nuit, ça ne se reproduira pas, chacun repartira de son côté, mais c'est inéluctable.
Au milieu des cris, des rires et de la musique, je m'approche donc et lui tends calmement la main en guise d'invitation. Elle l'attrape et se lève, les autres n'existent plus. Je serre ses petits doigts entre les miens et perce la foule en l'entraînant. Malgré la tempête de bruit et de corps qui ondulent, je ne la lâche pas et bientôt nous nous noyons délibérément dans la masse..."
"Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures
Les persiennes, abri des secrètes luxures,
Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés
Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés,
Je vais m'exercer seul à ma fantasque escrime,
Flairant dans tous les coins les hasards de la rime,
Trébuchant sur les mots comme sur les pavés,
Heurtant parfois des vers depuis longtemps rêvés. "
Les fleurs du mal - Le soleil
Il paraît que tout est éphémère... même les jardins tiens !
De toute façon, quand l'éphémère ride, ce n'est pas sain, on a trop traîné...
Donc le Jardin des deux rives, c'est plutôt sympa en ce moment
Allez, pour la peine, y a même le site du Garten
"Plus qu'un simple lien fonctionnel entre deux rives, le jardin offre à la passerelle la capacité de s'inscrire en harmonie avec le paysage. Elle propose un lien organique avec le Rhin, lequel se voit célébré comme un pôle naturel d'un espace de rencontre, de promenade et d'agrément. Déjà dans son imprévisibilité saisonnière, le fleuve constitue à lui seul un extraordinaire spectacle permanent. La passerelle Mimram n'est pas une passerelle parmi d'autres. Elle est unique parce qu'imaginée spécifiquement pour ce lieu."
"Puisque les dauphins sont des rois
Tout seul le silence s'impose
Puisqu'il revient à qui de droit
De tenter les métamorphoses
Puisque les révolutions
Se font maintenant à la maison
Et que lorsque le monde implose
Ce n'est qu'une nouvelle émission, émission..."
Ou comment passer d'une manifestation culturelle avec des oeuvres d'art exposées sur les berges d'un canal au naufrage du Titanic...
"J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir faire mon numéro
Quand l'avion se pose sur la piste
A Rotterdam ou à Rio
J'aurais voulu être un chanteur
Pour pouvoir crier qui je suis
J'aurais voulu être un auteur
Pour pouvoir inventer ma vie
Pour pouvoir inventer ma vie
J'aurais voulu être un acteur
Pour tous les jours changer de peau
Et pour pouvoir me trouver beau
Sur un grand écran en couleur
Sur un grand écran en couleur
J'aurais voulu être un artiste
Pour avoir le monde à refaire
Pour pouvoir être un anarchiste
Et vivre comme un millionnaire
Et vivre comme un millionnaire
J'aurais voulu être un artiste....
Pour pouvoir dire pourquoi j'existe"
Il y a un an, une photo illustrait un billet, suite à la découverte d'un message à la craie sur un mur : "il y a ton sourire"
Un an après, des messages identiques refleurissent, preuve que rien n'a changé...
D'autres l'ont d'ailleurs remarqué, puisqu'un dialogue s'installe, avec notamment un "mais quel sourire ?!" limite excédé, entraînant la réponse de notre amoureux, ou d'un troisième intervenant, compréhensif :
"Ce matin au réveil
Quand j'me suis retournée
Quelle fut pas ma surprise !
C'est sur toi que je suis tombée
Moi qui voulais pas sortir
Y a des jours comme ça
Moi qui voulais juste dormir
Et maintenant, t'es là !
Chut ! Ne dis rien
Reste encore mystérieux
Chut ! Ne bouge pas
Je suis si bien dans tes yeux
Quelle heure et quel jour on est ?
J'oublie toujours
Est-ce l'hiver ? Est-ce l'été ?
Je m'en rappelle jamais
Comment on s'est r'trouvés là ?
Laisse-moi deviner
Pour une fois qu'j't'attendais pas
Et maintenant, ça y est !
Chut ! Ne dis rien
Dans tes yeux, je vois l'jour
Chut ! Ne bouge pas
Reste encore mon amour
Je suis une femme dangereuse
Vraiment infréquentable
Je suis une femme amoureuse
Vraiment incontrôlable
Chut ! Ne dis rien
Reste encore dans mon lit
Chut ! Ne bouge pas
Tu t'appelles chéri et
Dans tes bras je suis bien
Oui ! Ne dis rien
Laisse-moi me réveiller
Chut ! Ne bouge pas
Laisse-moi encore rêver
Chut !" (source)
Oui, bon, c'était histoire de faire mon jeu de mot débile...
"Alea jacta est est une locution latine signifiant « le sort en est jeté ». Selon Suétone[1], ces paroles furent prononcées par César, le 10 janvier -49 lors du passage du Rubicon. Cette rivière marquait la limite qu'aucune armée ne devait franchir. Un tel acte étant contraire à la loi et considéré comme un acte d'agression. Sommé de remettre ses légions au sénat et de rentrer en Italie en tant que civil ordinaire, César décida de braver la puissance du Sénat romain et surtout celle de Pompée, consul unique.
Tout d'abord hésitant face à l'énormité de son entreprise, il prit sa décision suite à un signe miraculeux [2] qui lui donna le courage de « franchir le Rubicon » (ici au sens propre, mais c'est une expression signifiant avoir franchi le point de non-retour). César, franchissant à son tour le pont sur le Rubicon avec ses légions, prononça alors la célèbre phrase : « Alea jacta est ». Ce faisant il déclenchait la guerre civile" (source)
Retur des promenades matinales et déjà printanières...
"On se demande parfois si la vie a un sens... et puis on rencontre des êtres qui donnent un sens à la vie"
"C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virages, des trajectoires qui dévient
Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu comme la vie
Evidemment j'étais pas tout seul, j'avais envie d'faire connaissance
Y'avait un tas d'personnes et personne marchait dans l'même sens
Alors j'continuais tout droit mais un doute s'est installé
Je savais pas c'que j'foutais là, encore moins où j'devais aller
Mais en ch'min au fil du temps j'ai fait des sacrées rencontres
Des trucs impressionants, faut absolument qu'j'vous raconte
Ces personnages que j'ai croisé c'est pas vraiment des êtres humains
Tu peux parler avec eux mais jamais leur serrer la main
Tout d'abord sur mon parcours j'ai rencontré l'innocence
Un être doux, très gentil mais qui manque un peu d'expérience
On a marché un p'tit moment, moins longtemps que c'que j'aurais cru
J'ai rencontré d'autres éléments et l'innocence a disparue
Un moment sur mon ch'min, j'ai rencontré le sport
Un mec physique, un peu grande gueule mais auprès d'qui tu d'viens fort
Pour des raisons techniques on a du s'quitter c'était dur
Mais finalement c'est bien comme ça, puis l'sport ça donne des courbatures
J'ai rencontré la poésie, elle avait un air bien prétentieux
Elle prétendait qu'avec les mots on pouvait traverser les cieux
J'lui ai dit j't'ai d'jà croisée et franchement tu vaux pas l'coup
On m'a parlé d'toi à l'école et t'avais l'air vraiment relou
Mais la poésie a insisté et m'a rattrapé sous d'autres formes
J'ai compris qu'elle était cool et qu'on pouvait braver ses normes
J'lui ai d'mandé tu penses qu'on peux vivre ensemble ? J'crois qu'j'suis accroc
Elle m'a dit t'inquiêtes le monde appartient à ceux qui rêvent trop
Puis j'ai rencontré la détresse et franchement elle m'a saoulé
On a discuté vite fait mais rapidement je l'ai r'foulée
Elle a plein d'certitudes sous ses grands airs plein d'tension
Mais vous savez quoi ? La détresse, elle a pas d'conversations
Un moment sur ma route j'ai rencontré l'amour
J'lui ai dit tient tu tombes bien, j'veux t'parler d'puis toujours
Dans l'absolu t'es une bonne idée mais dans les faits c'est un peu nul
Tu pars en couille une fois sur deux faudrait qu'tu r'travaille ta formule
L'amour m'a dit écoute petit ça fait des siècles que j'fais mon taff
Alors tu m'parles sur un autre ton si tu veux pas t'manger des baffes
Moi j'veux bien être gentille mais faut qu'chacun y mette du sien
Les humains n'font aucun effort et moi j'suis pas un magicien
On s'est embrouillé un p'tit moment et c'est là qu'j'me suis rendu compte
Que l'amour était sympa mais que quand même il s'la raconte
Puis il m'a dit qu'il d'vait partir, il avait des rendez-vous par centaine
Que ce soir il d'vait diner chez sa d'mi-soeur : la haine
Avant d'partir j'ai pas bien compris, il m'a conseillé d'y croire toujours
Puis s'est éloigné sans s'retourner, c'était mes derniers mots d'amour
J'suis content d'l'avoir connu, ça j'l'ai bien réalisé
Et je sais qu'un d'ces quatre on s'ra amené à s'recroiser
Un peu plu stard sur mon ch'min j'ai rencontré la tendresse
Ce qui reste de l'amour derrière les barrières que le temps dresse
Un peu plus tard sur mon ch'min j'ai rencontré la nostalgie
La fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie
Assez tôt sur mon parcours j'avais rencontré l'amitié
Et jusqu'à c'jour, elle marche toujours à mes côtés
Avec elle j'ma tape des barres et on connait pas la routine
Maintenant c'est sûr, l'amitié, c'est vraiment ma meilleure copine
J'ai rencontré l'avenir mais il est resté très mystérieux
Il avait la voix déformée et un masque sur les yeux
Pas moyen d'mieux l'connaitre, il m'a laissé aucune piste
Je sais pas à quoi il r'semble mais au moins j'sais qu'il existe
J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie
C'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix
J'suis pas au bout d'mes surprises, là d'sus y'a aucun doute
Et tous les jours je continue d'apprendre les codes de ma route
C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virage, des trajectoires qui dévient
Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu, un peu comme la vie." (source)
"Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres."
Clopin-clopant... Surtout le clip d'ailleurs...
"Si je m'arrête un instant
Pour te parler de ma vie
Juste comme ça tranquillement
Dans un bar rue St-Denis
J'te raconterai les souv'nirs
Bien gravés dans ma mémoire
De cette époque où vieillir
Était encore bien illusoire
Quand j'agaçais des p'tites filles
Pas loin des balançoires
Et que mon sac de billes
Devenait un vrai trésor
Ces hivers enneigés
A construire des igloos
Et rentrer les pieds g'lés
Juste à temps pour Passe-Partout
Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
De la p'tit'école et d'la cour de récré ?
Quand les avions en papier ne partent plus au vent
On se dit que l'bon temps passe final'ment
Comme une étoile filante
Si je m'arrête un instant
Pour te parler de la vie
Je constate que bien souvent
On choisit pas mais on subit
Et que les rêves des ti-culs
S'évanouissent ou se refoulent
Dans cette réalité crue
Qui nous embarque dans le moule
La trentaine, la bedaine
Les morveux, l'hypothèque
Les bonheurs et les peines
Les bons coups et les échecs
Travailler, faire d'son mieux
N'arracher, s'en sortir ("n'arracher" c'est une contraction de "en arracher", avoir de la difficulté)
Et espérer être heureux
Un peu avant de mourir
Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
De not' p'tit passage dans ce monde effréné
Après avoir existé pour gagner du temps
On s'dira que l'on était final'ment
Des étoiles filantes
Si je m'arrête un instant
Pour te parler de la vie
Juste comme ça, tranquillement
Pas loin du Carré Saint Louis
C'est qu'avec toi je suis bien
Et qu'j'ai pu l'goût d'm'en faire
Parce que tsé voir trop loin
C'pas mieux qu'd'regarder en arrière
Malgré les vieilles amertumes
Et les amours qui passent
Les chums qu'on perd dans brume
Et les idéaux qui se cassent
La vie s'accroche et renaît
Comme les printemps reviennent
Dans une bouffée d'air frais
Qui apaise les coeurs en peine
Ça fait que si à soir t'as envie de rester
Avec moi la nuit est douce on peut marcher
Et même si on sait ben que tout dure rien qu'un temps
J'aimerais çà que tu sois pour un moment
Mon étoile filante
Oui bah prendre une jolie photo c'est possible...
Regarder les flocons danser sur la lumière dans la nuit aussi...
"Sans en attendre rien
Mais pour le plaisir
Regarder une fille dans la rue et se dire
Qu'elle est belle
Sans même aller plus loin
Mais pour le plaisir
En passant simplement lui sourire
Pour le plaisir
Il faut savoir prendre le temps
De refaire d'un homme un enfant
Et s'éblouir
Pour le plaisir
S'offrir ce qui n'a pas de prix
Un peu de rêve à notre vie
Et faire plaisir
Pour le plaisir
Ne plus courber le dos
Même pour réussir
Préférer être bien dans sa peau que sourire
Sur commande
Avoir pendant des mois
Trimé comme un fou
Et un soir tout claquer d'un seul coup ...
Pour le plaisir ne plus courir, ne plus compter
Prendre la vie du bon cote
Pour le plaisir
Pour le plaisir
On peut aussi tout foutre en l'air
Faire souffrir comme on a souffert
Et revenir
Pour le plaisir
Oublier qu'on a dit un jour
Ça sert à rien les mots d'amour
Et te les dire
Pour le plaisir" (source)
"Un sourire ne coûte rien, mais il rapporte beaucoup ; il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne"
"When you're smilin'....keep on smilin'
The whole world smiles with you
And when you're laughin'....keep on laughin'
The sun comes shinin' through
But when you're cryin'.... you bring on the rain
So stop your frownin'....be happy again
Cause when you're smilin'....keep on smilin'
The whole world smiles with you
(instrumental break)
Oh when you're smilin'....keep on smilin'
The whole world smiles with you
Ah when you're laughin'....keep on laughin'
The sun comes shinin' through
Now when you're cryin'.... you bring on the rain
So stop that sighin'....be happy again
Cause when you're smilin'....just keep on smilin'
And the whole world gonna smile with
The great big world will smile with
The whole wide world will smile with you" (source)
« Un compromis fait un bon parapluie, mais un mauvais toit »
[NDLA : ceci n'est pas une publicité pour les tentes Quechua, pourtant très à la mode dans nos villes]
Chaque marche éloigne des gens, chaque bourrasque de vent aère la tête et bientôt ne reste plus qu'un tapis de toits blancs, avec en toile de fond les immeubles de l'Esplanade, les grues du nouvel hôpital ou encore plus loin les Vosges enneigées...
« I'm the king of the world », qu'il disait...
"La cathédrale Notre-Dame de Strasbourg (allemand: "Liebfrauenmünster zu Straßburg") est une cathédrale catholique romaine construite à Strasbourg, en France. Elle est représentative de l'architecture gothique. Avec ses 142 mètres, après avoir été l'édifice le plus haut du monde pendant plusieurs siècles, elle est actuellement la deuxième plus haute de France après celle de Rouen (151 m). 330 marches séparent le sol de la cathédrale de sa terrasse. Elle est reconnaissable par sa seule tour et son clocher surmonté de sa flèche.
« Prodige du gigantesque et du délicat » selon Victor Hugo, la splendeur de la cathédrale est visible de très loin dans la plaine alsacienne et peut être aperçue d'aussi loin que les Vosges ou que de la Forêt Noire." (source)
Hi han...
Rideau sur une année qui ne restera pas dans les mémoires et les coeurs... Pour autant, du jour au lendemain, rien de changé...
Puisqu'il est d'usage de faire le point, disons poliment que 2006 a été professionnellement intéressant. Pour le reste, je tire la chasse...
Je me souhaite donc amour, gloire et santé, le salaire et les amitiés en plus...
En bref, si je suis un peu mieux payé, que mon corps me laisse un peu de répit, que je me prends moins la tête et qu'on m'emmerde moins, ça sera déjà pas mal...
Allez, bonne année à certains quand même...
Bisou pour les filles, bière pour les mecs !
PS : une pensée quand même pour les stars en short qui courent après un ballon. S'ils pouvaient ne pas nous décevoir en 2007, ça serait toujours ça de pris par rapport au reste...
On dit toujours qu'il faut tuer le père. Et la mère ?
Chassez le naturel, il revient au galop...
"Approche-toi petit, écoute-moi gamin,
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y avait rien au début c'était bien
La nature avançait y avait pas de chemin
Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers
Des coups d'pieds dans la gueule pour se faire respecter
Des routes à sens unique il s'est mis à tracer
Les flèches dans la plaine se sont multipliées
Et tous les éléments se sont vus maîtrisés
En 2 temps 3 mouvements l'histoire était pliée
C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière
On a même commencé à polluer le désert
Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
D'ici quelques années on aura bouffé la feuille
Et tes petits-enfants ils n'auront plus qu'un oeil
En plein milieu du front ils te demanderont
Pourquoi toi t'en as 2 tu passeras pour un con
Ils te diront comment t'as pu laisser faire ça
T'auras beau te défendre leur expliquer tout bas
C'est pas ma faute à moi, c'est la faute aux anciens
Mais y aura plus personne pour te laver les mains
Tu leur raconteras l'époque où tu pouvais
Manger des fruits dans l'herbe allongé dans les prés
Y avait des animaux partout dans la forêt,
Au début du printemps, les oiseaux revenaient
Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
Il faut que tu respires, c'est demain que tout empire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
Le pire dans cette histoire c'est qu'on est des esclaves
Quelque part assassin, ici bien incapable
De regarder les arbres sans se sentir coupable
A moitié défroqués, 100 pour cent misérables
Alors voilà petit, l'histoire de l'être humain
C'est pas joli joli, et j'connais pas la fin
T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou
Qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin" (source)
Après la b(a)ise estivale, il est temps d'embrasser l'hiver, et zapper l'automne monotone...
La douceur a laissé place à la fraicheur... Paraît même qu'une tempête se prépare... Glaciale...
Peut-être le prix à payer pour hiberner en paix. Y berner ?
Hystrion pour Istres ? Strions-y, ouais...
"Tout est ta propriété,
Tout ce que mon être a été.
La foi m'a lâché, lâcheté,
Je t'ai laissée m'acheter ;
Et tu m'as laissé m'endetter
Quand j'aurais pu me racheter
Tu m'as regardé regretter,
Le temps de vivre était passé.
Tu vivras mes journées d'été,
Tous les jours une éternité,
Maladie mal identifiée,
Fais à ma vie mes amitiés.
Salue le Mal et la Bonté,
Fais à ma vie mes amitiés,
Salue mes quatre volontés.
Tant pourtant ne t'ont pas cédé
J'ignore encore le procédé
Mon manque de témérité
Me voue-t-il à te mériter ?
Tu vis sous mon identité,
Mes beaux jours en priorité,
Toujours en toute impunité :
Fais à ma vie mes amitiés.
Bonjour à toute adversité,
Fais à ma vie mes amitiés.
Salue le Mal et la Bonté,
Très bon séjour et bons baisers,
Fais à ma vie mes amitiés."
On dit que la musique adoucit les moeurs. Quel est le conard qui a bien pu inventer ça ?
Puisqu'on parle de beau parleur, les baffles crachent haut la haine et la rage...
Pierre qui roule, qui roule, qui roule... Sauf que c'est pas Pierre...
"Once upon a time you dressed so fine
You threw the bums a dime in your prime, didnt you?
Peopled call, say, beware doll, youre bound to fall
You thought they were all kiddin you
You used to laugh about
Everybody that was hangin out
Now you dont talk so loud
Now you dont seem so proud
About having to be scrounging for your next meal.
How does it feel
How does it feel
To be without a home
Like a complete unknown
Like a rolling stone ?
Youve gone to the finest school all right, miss lonely
But you know you only used to get juiced in it
And nobody has ever taught you how to live on the street
And now you find out youre gonna have to get used to it
You said youd never compromise
With the mystery tramp, but now you realize
Hes not selling any alibis
As you stare into the vacuum of his eyes
And ask him do you want to make a deal?
How does it feel
How does it feel
To be on your own
With no direction home
Like a complete unknown
Like a rolling stone ?
You never turned around to see the frowns on the jugglers and the clowns
When they all come down and did tricks for you
You never understood that it aint no good
You shouldnt let other people get your kicks for you
You used to ride on the chrome horse with your diplomat
Who carried on his shoulder a siamese cat
Aint it hard when you discover that
He really wasnt where its at
After he took from you everything he could steal.
How does it feel
How does it feel
To be on your own
With no direction home
Like a complete unknown
Like a rolling stone ?
Princess on the steeple and all the pretty people
Theyre drinkin, thinkin that they got it made
Exchanging all kinds of precious gifts and things
But youd better lift your diamond ring, youd better pawn it babe
You used to be so amused
At napoleon in rags and the language that he used
Go to him now, he calls you, you cant refuse
When you got nothing, you got nothing to lose
Youre invisible now, you got no secrets to conceal.
How does it feel
How does it feel
To be on your own
With no direction home
Like a complete unknown
Like a rolling stone ?"
Bob Dylan / The Rolling Stones, Like a rolling stone
Tout recommence à flamber : les normales de chon (alors que les gratinées sont manifestement meilleures), les ambrées de la Lanterne, les bus, les esprits, les coeurs... Même le Racing s'enflamme...
Robert dit : va voir flambage, flambant, flambard, flambe, flambé, flambeau, flambée, flambement, flamber, flambeur, flamboiement, flamboyant, flamboyer. Après c'est flamenco, c'est une autre histoire...
"Bois qui flambe vite ne dure pas longtemps..."
"une raya de bambins livre aux flammes leurs
landeaux/Une ribambelle de nains fout le feu
dans l'métro/Une armée de gamins qui brûle les
magasins/Trois millions de lycéens carbonisent
leurs boquins/Une concierge allumée fout le feu
au quartier/Le président fêlé enflamme l'Elysée/
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur direc-
teur/Une tribu de bonnes soeurs incendie l'
Sacré Coeur.
Chorus
Laï laï laï laï Laï laï laï laï Laï laï laï...
Un trio d'grands brûlés fait exploser l'hosto/Et
5000 chimpanzés dynamitent le zoo/Des rastas
éclatés c'est chaud dans le ghetto/Les feux dans
la cité brûlent pour Géronimo/Des soldats canni-
bales rôtissent leur général/300 patrons qui cra-
quent font sauter la baraque/Et un vieux bonze
chinois se pétrole le minois/Le froid tue la fillette
qui n'a plus d'allumettes.
Chorusse
Les hooligans des stades préparent les jerrycans/
Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails
Molotov/Des iraniens inflamment le corps de l'
Oncle Sam/Des squatters s'tapent un boeuf au-
tour d'un grand feu d'keufs/Un gang de pyroma-
nes se croit au paradis/Les pompiers en ont mar-
re c'est la grève aujourd'hui/Il y a le feu partout
c'est la fête des fous/Il y a le feu partout viv' le
feu viv' les fous
Choeurs slaves de la Jeunesse
Un gang de pyromanes se croit au paradis/Les
pompiersen en ont marre c'est la grève aujourd'
hui/Il y a le feu partout c'est la fête des fous/Il y
a le feu partout viv' le feu viv' les fous
Choeur solo
Re-Chorusse" (source)
"Quand vous aurez cessé de songer au bonheur, vous l'aurez trouvé". C'est toute la différence entre le rêve et la réalité... Entre ceux qui aspirent à vivre, et ceux qui vivent...
A avoir le nez en l'air en quête d'illusion, on trébuche... Attention à la marche... Avant, arrière ? Marche à l'ombre surtout...
Se cacher est un plaisir, mais ne pas être trouvé n'en est pas un. Reste à le comprendre et à le faire comprendre...
"I have climbed highest mountain
I have run through the fields
Only to be with you
Only to be with you
I have run
I have crawled
I have scaled these city walls
These city walls
Only to be with you
But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for
I have kissed honey lips
Felt the healing in her fingertips
It burned like fire
This burning desire
I have spoke with the tongue of angels
I have held the hand of a devil
It was warm in the night
I was cold as a stone
But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for
I believe in the kingdom come
Then all the colors will bleed into one
Bleed into one
Well yes Im still running
You broke the bonds and you
Loosed the chains
Carried the cross
Of my shame
Of my shame
You know I believed it
But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for
But I still havent found what Im looking for..." (source)
"Le bonheur est un délicat équilibre entre ce que l'on est et ce que l'on a."
"Le rassurant de l'équilibre, c'est que rien ne bouge. Le vrai de l'équilibre, c'est qu'il suffit d'un souffle pour tout faire bouger."
"La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre."
Début de la semaine. Numéro d'équilibriste pendant cinq jours en perspective...
"Lundi matin
L'emp'reur, sa femme et le p'tit prince
Sont venus chez moi
Pour me serrer la pince
Comm' j'étais parti
Le p'tit prince a dit :
Puisque c'est ainsi nous reviendrons mardi.
"Quelques gouttes de rosée sur une toile d'araignée, et voilà une rivière de diamants" (Jules Renard)
Même le matin, les gens éprouvent le besoin de s'engueuler dans la rue...
Strasbourg s'éveille doucement. Les premiers touristes débarquent déjà... La place Gutenberg se réveille avec ses tentes de la dégustation de vin... La Petite France respire encore la tranquillité avant le déversement des chasseurs de clichés... La place de la Gare continue ses travaux... L'avenue des Vosges n'est pas encore noyée dans le flux des voitures... La place de la République sommeille dans son coin, un peu à l'écart... La place Broglie ne fête pas encore la science... La rue des Hallebardes se prépare aux passants du dimanche...
"Encore un matin
Un matin pour rien
Une argile au creux de mes mains
Encore un matin
Sans raison ni fin
Si rien ne trace son chemin
Matin pour donner ou bien matin pour prendre
Pour oublier ou pour apprendre
Matin pour aimer, maudire ou mépriser
Laisser tomber ou résister
Encore un matin
Qui cherche et qui doute
Matin perdu cherche une route
Encore un matin
Du pire ou du mieux
A éteindre ou mettre le feu
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Encore un matin
Ou juge ou coupable
Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
Matin innocence, matin intelligence
C'est toi qui décide du sens
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin" (source)
"La poésie, c'est la prise en charge du quotidien, c'est la découverte du présent dans ce qu'habituellement on cherche à fuir"
Passés, petits fours et spectacles de plein air
Finis, centenaire... et autres anniversaires...
Certains ont peur du quotidien.
Du coup ils lui préfèrent... rien.
Quête incessante de sensations,
Synonyme finalement de privations.
Fabuleux mirage de l'illusion,
A l'origine de tant de frustration...
Bref, il faut en extraire le bien
De notre bon vieux quotidien...
Apéro, football et alcool,
Que la nuit soit longue et folle...
RCS-Grenoble : début d'un week end bien mérité...
"Que ce soit en poésie ou en chant, les artistes puisent leur inspiration dans la vie de tous les jours. Jacques Prévert est l'un des pionniers de ce mouvement qui présente le quotidien. Poète à l'époque du surréalisme, Prévert s'amuse à jouer avec les mots, transforme les banalités de la vie et y glisse un message. Il présente le quotidien et ajoute quelques exagérations, bien de son époque, pour illustrer sa pensée. Jacques Prévert brosse un tableau de la vie et la peint de plusieurs couleurs, sous plusieurs angles." (source)
"Entre les dents d'un piège
La patte d'un renard blanc
Et du sang sur la neige
Le sang du renard blanc
Et des traces sur la neige
Les traces du renard blanc
Qui s'enfuit sur trois pattes
Dans le soleil couchant
Avec entre les dents
Un lièvre encore vivant"
"Le terme bobologie est un terme humoristique pour désigner les traitements des traumatismes sans gravité, comme les égratignures et les bleus. Il est composé du terme bobo, qui désigne une petite plaie dans le langage enfantin, et du suffixe -logie qui fait référence aux sciences"
Sopla, sopla...
"Yo quiero el aire que tiene tu alma
Yo quiero el aire que, que vive en ti
Yo quiero el aire, aire que derramas
Aire pa´ quererte, aire pa´ vivir
Yo quiero el aire que tiene tu alma
Yo quiero el aire que, que vive en ti
Yo quiero el aire, aire que derramas
Aire pa´ quererte, aire pa´ vivir.
Tengo un alma o la tenía
Y no es bastante
Ya sabes tanto tienes tanto vales
Tengo un alma y desafía
Tus andares es
el paisaje donde flota mi fantasía
Y me subo a tu cintura
pero es tan temprano,
Los sueños que se cumplen son tan raros,
el aire roza las palabras que no saben
bien
De tus ojos, tu mirar, eh
por tus andares y tu mirar.
Le he robado el alma al aire
para dártela en este suspiro
soy como la tierra amor,
tú eres el sol
que no se deja ver
no puede ser
cómo va a ser
Le he robado el alma al
aire
para poder llevarte aquí
conmigo
soy como la tierra amor,
tú eres el sol
que no se deja ver; no puede ser
como va a ser
Yo quiero el aire que tiene tu alma
Yo quiero el aire que, que vive en ti
Yo quiero el aire, aire que derramas
Aire pa´ quererte, aire pa´ vivir
Tengo miedo a un alma fría
¿cuánto vale?
comprarle el alma al aire si se descuida
suave, suave se la quitas
tus andares
Ay niña ayay vete tus andares
Porque no tiene cura la locura de mis labios
Ya nada en esta vida me parece raro
El alma rosa despacito el mundo en nuestra piel.
En mi vida caminar... y de tu vida niña, lo que no se ve.
Le he robado el alma al aire
para dártela en este suspiro
soy como la tierra o tú eres el sol
que no se deja ver, no puede ser
como va a ser.
Le he robado el alma al aire
para poder llevarte aquí conmigo
soy como la tierra amor
tú eres el sol
que no se deja ver; no puede ser
como va a ser
Y me subo a tu cintura
pero es muy temprano
De tus ojos tu mirar
Eh, tus andares niña y tu libertad
Le he robado el alma al aire
para dártela en este suspiro
soy como la tierra amor
tú eres el sol
que no se deja ver, no puede ser
cómo va a ser
Le he robado el alma al aire
para poder llevarte aquí conmigo
soy como la tierra amor
tú eres el sol
que no se deja ver, no puede ser, cómo va a ser
Le he robado el alma al aire
para dártela en este suspiro
soy como la tierra amor
tú eres el sol
el alma al aire tu manera en mí de caminar
Le he robado el alma al aire
para poder llevarte aquí conmigo
soy como la tierra amor,
tú eres el sol
que no se deja ver; no puede ser, cómo va a ser" (source)
Cet enfoiré d'Oscar Wilde aurait dit que "le travail, c'est le refuge des gens qui n'ont rien de mieux à faire".
C'est pour ça que les journées sont si longues en ce moment ?
Autrefois, travailler, c'était tourmenter, souffrir. Travail méprisé, car effectué par les esclaves, alors que les hommes libres s'en affranchissaient. Le travail pourrait-il aujourd'hui libérer et donner un sens au quotidien ?
« On croit d'abord qu'on travaille pour soi, on se figure ensuite qu'on travaille pour sa femme, on est persuadé plus tard qu'on travaille pour ses enfants, on s'aperçoit en fin de compte qu'on travaille pour travailler. » Merde, j'ai sauté des étapes...
"Ces gens qui courent au grand galop
En auto, métro ou vélo
Vont-ils voir un film rigolo
Mais non, ils vont à leur boulot
{Refrain:}
Le travail c'est la santé
Rien faire c'est la conserver
Les prisonniers du boulot
N' font pas de vieux os.
Ils bossent onze mois pour les vacances
Et sont crevés quand elles commencent
Un mois plus tard, ils sont costauds
Mais faut reprendre le boulot
Dir' qu'il y a des gens en pagaille
Qui cour' nt sans cesse après le travail
Moi le travail me court après
Il n'est pas près de m'rattraper.
Maint' nant dans le plus p'tit village
Les gens travaillent comme des sauvages
Pour se payer tout le confort
Quand ils l'ont, eh bien, ils sont morts.
Homm's d'affaires et meneurs de foule
Travaillent à en perdre la boule
Et meur' nt d'un' maladie de coeur
C'est très rare chez les pétanqueurs." (source)
On dit qu'au-dessus des nuages, le ciel est toujours bleu...
Tout ne serait donc qu'une question de hauteur !
Sang noble ou signe du débutant, beauté des eaux ou pureté du ciel, couleur primaire ou marque de la douleur, fond européen ou orange chez Tintin, le Bleu a heureusement le bon goût de constituer nos couleurs. Et d'offrir de jolies lueurs féériques...
"J'ai dans mon coeur un oiseau bleu,
Une charmante créature,
Si mignonne que sa ceinture
N'a pas l'épaisseur d'un cheveu.
Il lui faut du sang pour pâture
Bien longtemps, je me fis un jeu
De lui donner sa nourriture :
Les petits oiseaux mangent peu.
Mais, sans en rien laisser paraître,
Dans mon coeur il a fait, le traître,
Un trou large comme la main.
Et son bec fin comme une lame,
En continuant son chemin,
M'est entré jusqu'au fond de l'âme !"
Ayé, l'été s'enfuit lâchement, après avoir fait mine de traîner... Plus de canicule en vue, à nous les températures moins clémentes... Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il fasse froid et qu'il neige, que s'abattent tempêtes et tremblements...
Vivement les longues soirées d'hiver...
"Puisque les dauphins sont des rois
Tout seul le silence s'impose
Puisqu'il revient à qui de droit
De tenter les métamorphoses
Puisque les révolutions
Se font maintenant à la maison
Et que lorsque le monde implose
Ce n'est qu'une nouvelle émission, émission
{Refrain:}
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Puisque ce n'est plus qu'un système
Et sa police américaine
De monde meilleur on ne parle plus
Tout juste sauver celui là, celui là
{Refrain x2}
Puisque je suis mon aquarium
Moi le poison, moi le poisson
Changé en homme
{Refrain}
Oh temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Eh
{ Beau temps pour se jeter à l'eau }
Oh temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
De nous jeter à l'eau..." (source)