musique


Sous rire

26/03/2006 10:16
1.503 lectures
Le vide...
Halètement inutile...
Assourdissant silence...

J'arpente à nouveau la ville à la recherche de ses petits détails. Ici une déclaration amoureuse à la craie sur un mur anodin. Là un vieil autocollant déchiré sur une gouttière sale. Là-bas une petite sculpture discrète contemplant les passants. Prendre la peine de s'arrêter et de regarder...

Malgré l'alcool, la trajectoire du ballon me crucifie. Coup de massue... Dépit et rage reprennent le dessus. Nous hurlons notre frustration...
"Ce soir nous serons vainqueurs
Malgré toutes nos souffrances
Les meilleurs dans la violence
Dans le sang et la démence"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/25.03.06-002-6...

Si tu veux que les rêves sortent
comme un bateau s'inonde
détruis les ombres, détruis les ombres
et répands-toi
comme un éclair sur les rancoeurs
des âmes pudibondes
elles auront toujours de quoi suffoquer, crois-moi

Si tu veux battre le coeur
comme un tonnerre gronde
n'obstine que l'âme, cette seule denrée,
puis défends-toi
contre la vertu de ceux pour qui l'amour
n'est qu'un mouvement que l'on fait de haut en bas

{Refrain: x2}
Oublie le reste du monde
oublie le reste du monde
oublie le reste du monde
car le monde t'oubliera

Ne rate pas cette danse que l'on te propose
que toutes tes nuits vomissent les jours sans lendemains
soit nébuleuse, comète ou albatros
mort au malin {x3}

{Refrain, x2}
Oublie cette vie sous la chaleur des cellophanes
oublie l'esquive des dos courbés, sois matador !
"Pour les impures, pour les profanes"
Merde à la mort (x3)

{Refrain, x4}
Oublie le reste du monde
car le monde t'oublie toujours..

Luke, Le reste du monde

Lille est en vue, le naufrage aussi...

25/03/2006 08:10
509 lectures
L'île... "Il n'y a qu'une seule chose à faire... Trouver quelque chose qui est à soi... Se fabriquer une île..." (...) La croisière ne s'amuse plus... Mauvais itinéraire, erreur de casting à la barre, joueurs mal coordonnées, écueils, naufrage... Panique, Titanic, fuite... Homme à la mer ? My heart will go on...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/photo-122-08cfe.jpg

Petit bilan de fin de rencontre...

"Pas bien" :
- pas de maintien, verdict connu à l'avance mais tout de même difficile à avaler sur le coup
- perdre n'est jamais agréable, surtout quand c'est votre coéquipier qui vous plante
- la défaite peut parfois être élégante... Mais parfois pas du tout...
- on aurait apprécié de pouvoir discuter de la stratégie développée et des méthodes employées, mais les commentaires d'après match, c'est pas donné à tout le monde
- on avait prévu d'autres attaques, mais on regrette toujours après coup de ne pas avoir pu tout donner
- quand on joue, on voudrait toujours que la partie dure plus longtemps
- une fois le match fini, retour au quotidien et à l'incertitude...

"Bien" :
- on savait qu'on allait perdre, donc autant positiver
- on savait que le fair play n'est pas une valeur toujours partagée, ça nous a permis de lever le pied pour prendre moins de coups
- balles au fond, but : même si ça n'a pas suffi, on s'est battu
- au moins, on a joué, et on a pris du plaisir, et on espère en avoir donné
- il y aura d'autres matches intéressants, la partie en appellera d'autres
- la soirée ne s'arrête pas au coup de sifflet final
- la rencontre terminée, on aura de nouveau beaucoup plus de temps pour le reste...


"I've paid my dues
Time after time
I've done my sentence
But committed no crime
And bad mistakes
I've made a few
I've had my share of sand
Kicked in my face
But I've come through
And I need to go on and on and on and on

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions of the world

I've taken my bows
And my curtain calls
You've brought me fame and fortune
And everything that goes with it
I thank you all
But it's been no bed of roses no pleasure cruise
I consider it a challenge before the whole human race
And I ain't gonna lose
And I need to go on and on and on and on

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions of the world

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions" (source)

Queen, We are the champions

Ou pas...

Game ovaire

24/03/2006 00:08
433 lectures
"- Qu'est-ce que tu fabriques ?
- T'as oublié tes chaussures.
- Ça fait quoi au juste, de jamais rien ressentir ?
- [Casse toi avec ta poubelle !! Conard... ]
- Imagine une petite fille, à qui on a toujours appris... à avoir peur depuis qu'elle est en âge de comprendre. Imagine qu'on lui ait appris à avoir peur de la lumière du jour. Qu'on lui ait appris que c'était son ennemie. Que ça lui ferait du mal. Et que par une journée ensoleillée, tu lui demandes d'aller jouer dehors avec toi. Qu'elle ne veuille pas. Tu ne pourrais pas être fâché contre elle.
- Je l'ai bien connue, cette petite fille et j'ai vu la lumière dans son regard. Et tu pourras faire ou dire ce que tu veux, c'est toujours ça que je vois.
- On est comme on est, il ne faut pas croire que les gens changent...

[...]

- Pourquoi ?
- Pourquoi ? Tu as été une expérience pour elle. Elle a pu s'exercer. J'ai jeté une souris au serpent. Estella a appris à chasser et à avaler sa proie toute crue. Tu n'as pas été un défi très difficile à relever... De toute façon... tu as aimé ça. Et je t'avais mis en garde il y a des années. Tu n'étais pas obligé de le faire. Je t'avais dit qu'elle te ferait beaucoup de mal... Tu es d'accord ? C'est toi qui as choisi de ne pas écouter... Eh ben... Tu devrais regarder le bon côté des choses... Nous sommes reliés les uns aux autres, toi, Estella et moi. Une pyramide de douleur... Ce n'est pas de l'amour, mais c'est un vrai lien. Nous sommes ensemble.
- Donnez moi votre main... Vous savez ce que c'est ? C'est mon coeur, et il est brisé...Vous le sentez ?
- [Acquiesçant] Je regrette... Je regrette..."

(De Grandes Espérances - Great Expectations)


Finn a mal. Mais Finn se relèvera, et l'histoire la punira, encore. Au final, on se demandera qui aura été le plus malheureux... Pour ceux qui n'ont pas vu le film, ce sera elle...
Comme lui, j'ai mal. D'autant plus que je le savais. Fucking conscience... Elle voudrait que je la déteste, mon Estella, elle fait tout pour ça et le reconnaît. Ce serait si facile... Il suffirait de penser à ces mensonges, à cette fausseté, à cette lâcheté surtout, à cet ange... Mais non... Je ne vais pas faire ce qu'il serait normal que je fasse... Ce sera dur, mais je vais croire en une certaine sincérité, malgré la situation. Je vais me souvenir de ces sourires, de cette langue, de cette bouche, de cette peau, de ce sein, de ce ventre, de cette odeur, de ces étreintes et de ces gémissements. Ce ne sera pas facile, mais je vais me rappeler sa beauté, ses bons mots, son espièglerie et son charme. Sa magie et le bien qu'elle m'a fait durant ces quelques semaines, même si elle s'est appliquée à tout salir. Je vais ravaler ma fierté (et ça n'arrive pas souvent...) et garder ces bons moments, m'accrocher à l'expérience, tirer le bon de son mal et lui donner une leçon d'honnêteté. Tout en ne faisant pas de concessions et en rendant tous les coups, comme promis. Moi, je tiens parole...
Estella, un jour tu devras arrêter de jouer. Pas forcément pour toi, mais pour elle. Faire mal n'atténuera pas ta propre douleur... Je te souhaite, sincèrement, du fond de ce petit coeur que tu as maladroitement essayé de briser, de trouver un adversaire qui en vaille la peine. Parce que vous devez en valoir la peine, même si tu t'efforces de convaincre du contraire. En attendant, pour moi c'est game over. Salut miss, merci pour la leçon, je t'embrasse... et au joueur suivant (s'il n'a pas déjà commencé la partie...).

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/imgp0901-0299c.jpg

"Don't bother saying you're sorry.
Why don't you come in ?
Smoke all my cigarettes - again.
Every time I get no further.
How long has it been?
Come on in now,
Wipe your feet on my dreams.

You take up my time,
Like some cheap magazine,
When I could have been learning something.
Oh well, you know what I mean.

I've done this before.
And I will do it again.
Come on and kill me baby,
while you smile like a friend.
And I'll come running,
Just to do it again.

You are the last drink I never should have drunk.
You are the body hidden in the trunk.
You are the habit I can't seem to kick.
You are my secrets on the front page every week.
You are the car I never should have bought.
You are the train I never should have caught.
You are the cut that makes me hide my face.
You are the party that makes me feel my age.

Like a car crash I can see but I just can't avoid.
Like a plane I've been told I never should board.
Like a film that's so bad but I've gotta stay til the end.
Let me tell you now,
It's lucky for you that we're friends."

Pulp, Like a friend (De Grandes Espérances) (source)

Paire due ?

22/03/2006 20:50
853 lectures
Retour au quotidien... Un peu plus déboussolé peut-être...

"Car dans cet ailleurs insaisissable, la rencontre de l'autre, en fait du même, rassure. C'est l'oasis de compréhension au milieu de l'Océan Solitude. Pourtant, il faut bien admettre que Charlotte et Bob ne s'échangent que peu de mots. Leur amitié amoureuse se construit sur des regards, des gestes tendres et attentionnés, de la complicité, de l'écoute, de la liberté, cet échange magique et silencieux qui semble avoir déserté leurs quotidiens bien cadrés. La sourde alchimie se précipite alors sur une partition musicale très soignée, à laquelle ont notamment participé Air (déjà sur Virgin Suicides) et Kevin Shields. Bob et Charlotte semblent d'ailleurs tout aussi dépourvus face à cette rencontre inattendue, incapables de la traduire en mots, tout en sachant qu'ils ne s'oublieront jamais. Car même si elle change leur vie, cette rencontre se doit d'être éphémère, et c'est probablement aussi ce qui en fait sa beauté..." (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/lost-in-transl...

"I could feel at the time
There was no way of knowing
Fallen leaves in the night
Who can say where they're blowing
As free as the wind
And hopefully learning
Why the sea on the tide
Has no way of turning

It was fun for a while
There was no way of knowing
Like dream in the night
Who can say where we're going
No care in the world
Maybe I'm learning
Why the sea on the tide
Has no way of turning

I could feel at the time
There was no way of knowing
Fallen leaves in the night
Who can say where they're blowing
As free as the wind
And hopefully learning
Why the sea on the tide
Has no way of turning" (source)

More than this

Et la version chantée par Bill Murray en prime, sur le site of' : site (rubrique musique, sélectionner un extrait)

Cahin-KA

17/03/2006 17:33
590 lectures
Tant bien que mal, les jours défilent... 17 mars, le jour du trefle...
Sachez-le, Saint Patrick était (non conan, il n'était pas punk ni gothique) allemand ! En tout cas ce soir...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/15-ans-141-a06...

Tiens, puisqu'on parle d'Irish et de dirty....

"I met my love by the gas works wall
Dreamed a dream by the old canal
Kissed a girl by the factory wall
Dirty old town
Dirty old town
Clouds a drifting across the moon
Cats a prowling on their beat
Spring's a girl in the street at night
Dirty old town
Dirty old town
Heard a siren from the docks
Saw a train set the night on fire
Smelled the spring on the smoky wind
Dirty old town
Dirty old town
I'm going to make me a good sharp axe
Shining steel tempered in the fire
Will chop you down like an old dead tree
Dirty old town
Dirty old town" (source)

The Pogues, Dirty old town

Faire play

16/03/2006 23:04
1.399 lectures
On aimerait bien... pouvoir continuer à jouer. Mais là, c'est game over... Fair plaie, oui...
Bref, on n'a pas perdu, mais on n'a pas gagné et on ne s'est pas qualifié. Sinon... Des dossiers à craquer, des mecs qui se tapent, des jeunes futurs chômeurs, des Iraniens, des pyromanes, l'actu quoi !

"Une raya de bambins livre aux flammes leurs landaux
Une ribambelle de nains foutent le feu dans l'métro
Une armée de gamins qui brûle les magasins
Trois millions de lycéens carbonisent leurs bouquins
Une concierge allumée fout le feu au quartier
Le président fêlé enflamme l'Elysée
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur directeur
Une tribu de bonnes soeurs incendie l'Sacré-Coeur !

Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...

Un trio d'grands brûlés fait exploser l'hosto
Et 5000 chimpanzés dynamitent le zoo
Des rastas éclatés, c'est chaud dans le ghetto
Les feux dans la cité brûlent pour Géronimo
Des soldats cannibales rôtissent leur général
300 patrons qui craquent font sauter la baraque
Et un vieux bonze chinois se pétrole le minois
Le froid tue la fillette qui n'a plus d'allumettes

Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...

Les hooligans des stades préparent les jerrycans
Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails molotov
Des Iraniens enflamment le corps de l'oncle Sam
Des squatters s'tapent un boeuf autour d'un grand feu d'keufs
Un gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c'est la grève aujourd'hui
Il y a le feu partout c'est la fête des fous
Il y a le feu partout viv' le feu viv' les fous!"

Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...

Un gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c'est la grève aujourd'hui
Il y a le feu partout c'est la fête des fous
Il y a le feu partout viv' le feu viv' les fous!"

Bérurier Noir, Vive le feu

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-basel-008-...

Sinon, pour la première fois depuis une bonne dizaine d'années, je me suis acheté une merguez au stade. A 4 euros les quatre petites saucisses dans un bout de pain, je sais pourquoi j'avais attendu aussi longtemps. En plus je n'étais même pas ivre, je n'ai aucune excuse...

Version in

Dans une phrase, l'inversion est une construction qui n'est pas conforme à l'ordre habituel des mots. Un mot ou un groupe de mots a été déplacé. Exemple : l'inversion du sujet dans la phrase. Cela vaut également pour les idées, et peut parfois avoir des conséquences inattendues...
Mais tout n'est finalement qu'une question de point de vue ou d'interprétation... L'important étant de se réveiller et de rétablir l'ordre...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/20.09.05--12--...

"How can you see into my eyes like open doors
leading you down into my core
where I've become so numb without a soul my spirit sleeping somewhere cold
until you find it there and lead it back home

(Wake me up)
Wake me up inside
(I can't wake up)
Wake me up inside
(Save me)
call my name and save me from the dark
(Wake me up)
bid my blood to run
(I can't wake up)
before I come undone
(Save me)
save me from the nothing I've become

now that I know what I'm without
you can't just leave me
breathe into me and make me real
bring me to life

(Wake me up)
Wake me up inside
(I can't wake up)
Wake me up inside
(Save me)
call my name and save me from the dark
(Wake me up)
bid my blood to run
(I can't wake up)
before I come undone
(Save me)
save me from the nothing I've become

Bring me to life
(I've been living a lie, there's nothing inside)
Bring me to life

frozen inside without your touch without your love darling only you are the life among the dead

all this time I can't believe I couldn't see
kept in the dark but you were there in front of me
I've been sleeping a thousand years it seems
got to open my eyes to everything
without a thought without a voice without a soul
don't let me die here
there must be something more
bring me to life

(Wake me up)
Wake me up inside
(I can't wake up)
Wake me up inside
(Save me)
call my name and save me from the dark
(Wake me up)
bid my blood to run
(I can't wake up)
before I come undone
(Save me)
save me from the nothing I've become

(Bring me to life)
I've been living a lie, there's nothing inside
(Bring me to life)" (source)

Evanescence, Bring me to the life

FootBâle

"[...] Notre première motivation a surtout été de faire partager à tous cette formidable aventure humaine que sont les Ultra Boys 90, en rappelant les origines, les débuts chaotiques dans le virage, l'apparition de la mentalité ultra, les crises, les joies, les peines, ou comment un groupe parti de rien est devenu l'incontestable leader des gradins de la Meinau. C'est pour que chacun puisse aussi se rappeler que nous n'avons pas toujours été aussi nombreux, aussi bien organisés, ni aussi bien compris. Bien sûr, l'autre leçon à tirer est que rien n'est jamais acquis, beaucoup sont conscients de tout ce qu'il reste à faire, ne serait-ce que pour faire tourner le groupe au quotidien. Chacun en tirera donc ce qu'il veut au gré des souvenirs qu'il pourra y puiser, en se rappelant de tel match, tel déplacement ou tel tifo."

Ultra Boys 90, 1990-2005

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-troyes-011...

"T'as grandi près des docks
Et dès ton plus jeune âge
L'alcool et le pub rock
Cotoyaient le chômage
Debout sur la tribune
Tu clames les chants de guerre
Comme tu n'as pas une thune
Tu oublies la misère

Tout l'espoir de la ville
Repose sur ce ballon
Qui va taper dans le mille
Comme une révolution
Journalistes et médias
Disent n'importe quoi
Hooligan ou Ultra
Ils ne te connaissent pas

Les caméras se braquent
Car sur le front des stades
T'es passé à l'attaque
Comme tous tes camarades
Debout dans le virage
Il n'y a plus de chômage
Il n'y a que des supporters
Qui chantent et qui sont fiers !

Allez allez allez allez !" (source)

Molodoï, UHT

Au vert dose...

08/03/2006 20:32
280 lectures
Feu vert : on avance. Encore un bout de chemin... Météo pluvieuse, mais route dégagée, a priori...
Sous les dossiers, la plage ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/photos-113-096...

"Where have all the good men gone
And where are all the gods?
Where's the street-wise Hercules
To fight the rising odds?
Isn't there a white knight upon a fiery steed?
Late at night i toss and i turn and i dream of what I need

(Chorus)
I need a hero
I'm holding out for a hero 'til the end of the night
He's gotta be strong
And he's gotta be fast
And he's gotta be fresh from the fight
I need a hero
I'm holding out for a hero 'til the morning light
He's gotta be sure
And it's gotta be soon
And he's gotta be larger than life(larger than life)

Somewhere after midnight
In my wildest fantasy
Somewhere just beyond my reach
There's someone reaching back for me
Racing on the thunder and rising with the heat
It's gonna take a superman to sweep me off my feet

Up where the mountains meet the heavens above
Out where the lightning splits the sea
I could swear that there's someone somewhere
Watching me

Through the wind and the chill and the rain
And the storm and the flood
I can feel his approach
Like the fire in my blood(like a fire in my blood x4)

hero

i need a hero
I'm holding out for a hero 'til the morning light
and he's gotta be sure
And it's gotta be soon
And he's gotta be larger than life

hero

oh I need a hero
I'm holding out for a hero 'til the end of the night
He's gotta be strong
And he's gotta be fast
And he's gotta be fresh from the fight
i need a hero" (source)

Shrek, Holding out for a hero

Ouf, il est flou Afflelou !

06/03/2006 21:51
809 lectures
Victoire ! Mais non, pas les gars en short courant après un ballon, mais bien celle de la lumière sur l'obscurantisme, celle du bien sur le mal, de l'homme sur la femme, de... heu.. oui.. non... enfin... Bref, je m'égare, j'ai de nouveau mon ordi, et toutes mes données, qui plus est ! Fin du complot informatico-windowsien et retour à la "normalité"...

Autre mystère technologique, cette photo... Du flou, oui, mais un flou peu banal, aussi inexplicable qu'un tir cadré de Loué ou une frappe de Pontus ! Si, si....

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-lovech-020...

"T'es beau
T'es beau parce que t'es courageux
De regarder dans le fond des yeux
Celui qui te défie d'être heureux

T'es beau
T'es beau comme un cri silencieux
Vaillant comme un métal précieux
Qui se bat pour guérrir de ses bleus

C'est comme une rengaine
Quelques notes à peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
A présent...

J'ai beau
J'ai beau me dire qu'au fond c'est mieux
Même si c'est encore douloureux
Je n'ai pas de recoin silencieux

C'est beau
C'est beau parce que c'est orageux
Avec ce temps je connais peu
Les mots qui trainent au coin de mes yeux

C'est comme une rengaine
Quelques notes en peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
Quand je pense à toi

Toi qui sort de scène
Sans arme et sans haine
J'ai peur d'oublier
J'ai peur d'accepter
J'ai peur des vivants
A présent...

C'est comme une rengaine
Quelques notes en peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
Quand je pense à toi
Toi qui sort de scéne
Sans arme et sans haine
J'ai peur d'oublier
J'ai peur des vivants
A présent
T'es beau

T'es beau..."

Pauline Croze, "T'es beau" (Source)

Le nous vaut monde

20/02/2006 20:00
1.671 lectures
Intriguant film, que ce Nouveau Monde ! M'étant précipité au ciné pour recevoir une claque comme pour La ligne rouge, force est de confesser que ma première impression fut plutôt mitigée, pour ne pas dire plus...
Le temps est omniprésent. D'abord sur la durée, comme dans La ligne rouge : le film est lent ou long, selon les avis. Puis sur la météo, avec l'étrange impression qu'il fait toujours gris. Le terne l'emporterait donc ?
On retrouve certains éléments de La Ligne rouge (l'omniprésence de la nature, l'eau, le questionnement sur l'homme et son environnement, le choc des cultures avec en fond de toile l'immersion chaotique des arrivants opposée à l'harmonie du monde "sauvage"), certains clichés aussi, évidemment... Le scénario ? Pas une grande fresque historique, des critiques, quelques clins d'oeil, des invitations à la réflexion, une trame semblant se réduire à une banale (?) relation amoureuse... Un grand fourre-tout et à la fois une grande simplicité, voulue...
En effet, malgré une certaine frustration, on sent que tout est délibéré, pour n'attirer l'attention que sur elle. Incarnant la femme et la nature, la beauté, elle est le film et le résume en quelque sorte. Le nouveau monde est un prétexte, une métaphore, c'est un film d'amour, sur l'amour, avec en fond de toile quelques incantations humanistes. La ligne rouge insistait sur la violence et la saleté des hommes pour leur opposer la beauté de la nature, de la paix. Le Nouveau Monde rappelle ce lien à la terre, mais l'épure. De ce vide fait autour du personnage, renforcé par la rareté et la simplicité des dialogues, émerge la force des sentiments laissés à la contemplation. Ce n'est pas la psychologie des personnages qui importe, mais leur présence... Via la femme, c'est un film sur l'Homme...
Lisant ça et là quelques critiques, je suis un peu étonné : on reproche beaucoup au film sa longueur, en lui reconnaissant la beauté de ses images. Soupçonnant le génie du réalisateur quant au choix des paysages et des couleurs (La ligne rouge...), on ne peut que penser que cette beauté suggérée mais voilée est délibérée, tout comme le rythme du film... J'en attendais sans doute l'inverse, mais peut-être n'est-ce pas spécialement un beau film, mais un bon film ? Ou un beau film sur le fond, pas forcément sur la forme... D'où ce sentiment de perplexité teinté de frustration, mélangé à une impression de toucher la grâce et le génie...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/imgp0755-01fb0.jpg

"...cruzaron por primera vez el oceano y vieron el alba del nuevo mundo"
El descubrimiento... El otro... Un nuevo territorio, una nueva vida...


"These mist covered mountains
Are a home now for me
But my home is the lowlands
And always will be
Some day you'll return to
Your valleys and your farms
And you'll no longer burn
To be brothers in arms

Through these fields of destruction
Baptisms of fire
I've watched all your suffering
As the battles raged higher
And though they did hurt me so bad
In the fear and alarm
You did not desert me
My brothers in arms

There's so many different worlds
So many differents suns
And we have just one world
But we live in different ones

Now the sun's gone to hell
And the moon's riding high
Let me bid you farewell
Every man has to die
But it's written in the starlight
And every line on your palm
We're fools to make war
On our brothers in arms" (source)

Dire Straits, Brothers in arms

Win her

19/02/2006 16:31
704 lectures
Balles au fond, victoire. Le feu est en nous...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/strasbourgg-17...

"I see trees of green........ red roses too
I see 'em bloom..... for me and for you
And I think to myself.... what a wonderful world.

I see skies of blue..... clouds of white
Bright blessed days....dark sacred nights
And I think to myself .....what a wonderful world.

The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are also on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'......i love you.

I hear babies cry...... I watch them grow
They'll learn much more.....than I'll never know
And I think to myself .....what a wonderful world

(instrumental break)

The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are there on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'...*spoken*(I ....love....you).

I hear babies cry...... I watch them grow
*spoken*(you know their gonna learn
A whole lot more than I'll never know)
And I think to myself .....what a wonderful world
Yes I think to myself .......what a wonderful world" (source)

Louis Armstrong, What a wonderful world

Borne Toulouse

18/02/2006 16:17
1.076 lectures
Ce soir, l'important, c'est le rose... Prochaine étape, en espérant ne pas encore se taper seulement les épines...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/06.08.05-102-f...

"Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouche
De l'homme auquel j'appartiens

{Refrain:}
Quand il me prend dans ses bras,
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose,
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon coeur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause,
C'est lui pour moi,
Moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré
Pour la vie.
Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat.

Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis, des chagrins s'effacent
Heureux, heureux à en mourir

{Refrain}" (source)

"La vie en rose"

D'essence

17/02/2006 18:54
359 lectures
"- Ces trois mots réunis reflètent ce que je ressens."
"- Mon épée, prends-la. Maître Sans Nom devra repartir avec elle. Flocon de Neige et moi ne serons jamais séparés. Qu'il en soit de même pour nos épées..."
"- Noble guerrier, je souhaiterais dire un mot pour mon Maître. Avec tout le respect que je vous dois, en tant que servante je suis aux côtés de mon Maître depuis l'âge de 8 ans. Il m'a enseigné l'art de l'épée. Il m'a inculqué l'honnêteté. Quelque voie qu'il choisisse, elle est empreinte de droiture. Ce qu'il vient de vous écrire est lourd de signification. Maître Sans Nom, je vous supplie de l'écouter."
"- Qu'a-t-il écrit ? Qu'a-t-il tracé à ton intention ?"
"- Unis sur terre..."

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/09.10.05-091-a...

"Quand je suis ivre, ivre de tristesse,
Quand je suis ivre, ivre de détresse,
Je voudrais tant dégriser et retrouver les couleurs,
Qui se sont effacées, ne sont plus que des ombres.

Quand je suis ivre, ivre de d'insouciance,
Quand je suis ivre, ivre d'espérance,
J'en reprends une gorgée, me pardonne mes déboires,
Jusqu'à les oublier, les chasser de ma mémoire.

Quand je suis ivre, ivre de douceur,
Quand je suis ivre, ivre de tendresse,
J'en savoure le goût intense, qui envahit mon palais,
J'aimerais qu'à tout jamais, il y tienne résidence.

Quand je suis ivre, ivre de plaisir,
Quand je suis ivre, ivre de bonheur,
Je ne veux pas dessoûler, je garde en secret la source,
Qui m'a tant exaltée, pour m'y désaltérer,

Encore, encore..." (source)

Pauline Croze, Quand je suis ivre

Rayo, nan !

16/02/2006 22:51
543 lectures
Il parle... Ajuster... Rationaliser... Le sourire et le message qui se veulent rassurants ne le sont pas... Au contraire... Mais tout me passe au-dessus... Je les regarde, crispés... Cela ne m'affecte pas... Je suis ailleurs... Le ciel gris et la pluie m'indiffèrent également...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/photo-105-6d2d7.jpg

"Besame
Besame mucho
Como si fuera esta noche la ultima vez

Besame
Besame mucho
Que tengo miedo pederte, perderte otra vez

Quiero tenerte muy cerca
mirarme en tus ojos
verte junto a mi

Piensa que tal vez manana yo ya estare lejos
muy lejos de ti.

Besame
Besame mucho
Como si fuera esta noche la ultima vez

Besame
Besame mucho
Que tengo miedo pederte, perderte despues" (source)

Evora Cesaria, Besame mucho (De Grandes Espérances)

Des enchantements..

Misère, encore un déménagement... Heureusement qu'il y a l'apéro... A peine le temps de rentrer, que déjà il faut repartir. L'ambiance est morose, on s'en rend compte en entrant dans la pièce. La discussion n'est pas plus joyeuse... Heureusement qu'il y a l'apéro... Le timing est serré, me revoilà à traverser la ville. A bout de souffle, le premier comme toujours... Heureusement qu'il y a l'apéro... Puis un autre... Bientôt il n'y en aura plus avec lui. Je suis un peu triste, même si je ne le montre pas, et les apéros à répétition m'insufflent une certaine légèreté... C'est l'heure, il faut repartir. Il fait froid, humide. Ils ont du retard. Je suis gelé... Heureusement qu'il y a l'apéro. Ils n'en sont pas à leur premier non plus. Sacrée bande de soiffards... Le timing, encore. Je cours, mais n'arrive pas à l'heure malgré tout, la banderole a déjà disparu. Heureusement, il y en a une deuxième peu après. Je ne rate pas cette seconde chance... 20h05, ouf, fini de courir. Le reste est habituel : joie, puis déception. Au coup de sifflet final, la classique gueule de bois. Mes apéros n'y sont pour rien... Heureusement, je vais me réchauffer physiquement et moralement...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-ajacc-007-...

"I heard there was a secret chord
That david played and it pleased the lord
But you don't really care for music, do you?
Well it goes like this:
The fourth, the fifth, the minor fall and the major lift
The baffled king composing hallelujah

Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah

Well your faith was strong but you needed proof
You saw her bathing on the roof
Her beauty and the moonlight overthrough ya
She tied you to her kitchen chair
She broke your throne and she cut your hair
And from your lips she drew the hallelujah

Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah

Well, maybe I've been here before
I've seen this room and I've walked this floor
I used to live with leonard before I knew ya
I've seen your flag on the marble arch
But love is not a victory march
It's a cold and it's a broken hallelujah

Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah

There was a time when you let me know
What's really going on below
But now you never show that to me do ya
But remember when I moved in you
And the holy dove was moving too
And every breath you drew was hallelujah

Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah

And maybe there's a God above
But all I've ever learned from love
Was how to shoot somebody who outdrew ya
Well it's not a cry that you hear at night
It's not somebody who's seen the light
It's a cold and it's a broken hallelujah

Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, halle...
It's not what you're told
It's not her face
It's not his touch
In the room you both share
Where he's gone when he loved
When your time and your memory fills your dreams
When you're honest and together
Together no more
No more
Hallelujah, until you're nothing
Hallelujah, baby, until she's everywhere
Hallelujah, until together you are somewhere I'd lost
Hallelujah, hallelujah." (source)

Jeff Buckley, Hallelujah

Anesthésié...

07/02/2006 18:45
402 lectures
I'm sick and tired...
Gasp, malgré la fatigue, impossible de trouver le sommeil... Le lit et ma conscience deviennent une prison. J'ai beau attendre, espérer, me tourner et me retourner dans tous les sens, me relever plusieurs fois, arpenter la pièce dans l'obscurité, je fulmine contre moi-même... incapable de sombrer dans un repos aussi mérité que libérateur. Le réveil n'en est donc pas un, et la journée est longue, mais longue, à masquer la lassitude physique et psychique, à rendre les sourires hypocritement et m'efforcer de rester calme... J'aimerais hurler, mais est-ce que ça me soulagerait vraiment ? Pas ça, pas comme ça...
Bref, au moins, je suis arrivé tôt au boulot...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/17.10.2005-030...

"Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien

Le vent l'emportera

Ton message à la grande ourse
Et la trajectoire de la course
A l'instantané de velours
Même s'il ne sert à rien

Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera

La caresse et la mitraille
Cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain

Le vent les portera

Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant lui

Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera

Ce parfum de nos années mortes
Ceux qui peuvent frapper à ta porte
Infinité de destin
On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?

Le vent l'emportera

Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi

Le vent les portera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera"

Noir Désir, Le vent l'emportera

Tel aphone

05/02/2006 19:53
420 lectures
Le jour s'est levé... Réveillé avec un drôle de goût dans la bouche... La tarte flambée peut-être, voire le vin ou la bière ? Le snake bite ? Non, non, autre chose... Un coup de spleen dominical... La peur d'un lendemain qui déchante ? Un vide en tout cas... La tête ailleurs peut-être... Les Côtes du Rhône de midi et le sourire de la serveuse n'y changeront rien...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/05.02.06-015-2...

Le jour s'est levé
Sur une étrange idée
Je crois que j'ai rêvé
Que ce soir je mourrais
Le jour s'est levé
Plein de perplexité
Si ce n'était pas un rêve
Qu'il faille s'en aller
S 'en aller

Comme le jour avançait
En moi je pensais
Si ce n'était pas un rêve
J'ai tout à aimer
Quand le jour s'est couché
J'ai réalisé
Que ce n'était qu'une trêve
Dans ma réalité
Nous sommes ici pour croire
Rien d'autre à laisser croire
Croire que l'on meurt ce soir
Pour qui veut bien voir

Le voile est levé
Sur ma pauvreté
Qu'ai-je donc à garder
Qui ne sera soufflé
Oui, le voile est levé
Tout est si coloré
Qu'ai-je donc à donner
Que la nuit n'm'a soufflé
Nous sommes ici pour croire
Rien d'autre à laisser croire
Croire que l'on meurt ce soir
Pour qui veut bien voir
Et qu'il est déjà tard
Déjà tard, mais pas trop tard
A toi de voir, à toi de croire

Le jour s'est levé
Sur cette étrange idée
La vie n'est qu'une journée
Et la mort qu'une nuit
La vie n'est ajournée
Que si la mort lui nuit

(Téléphone, "Le jour s'est levé")

Beaux dégâts...

De la Lanterne à La Grotte... Bouteilles, décibels et belles... Où est ma lumière ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/80-ans-036-2b6...

" Aie, bodeg', bodega
Chante nos joies et nos folies
Aie, bodeg', bodega
Tu es l'étoile de nos nuits

Si tu as la cucaracha
Sacrées bestioles, cancrelas
Fais un pactole, ligotes-la
Au gré du vent, du haut du mât
C'est un raz-de-marée que voilà
N'hésitons pas hissons-la

Elle se noiera, quel débarras
Car un vent d'fête nous fait savoir
Qu'une tempête va déferler
Sur la mer boire de Bodega
Tonnerre de Dieu c'est Dyonisos
Bénis ma chair, bénis mes os
Tonnerre de Dieu, toi Dyonisos
Bénis ma chair, bénis mes os

Aie bodeg', bodega
Chante nos joies et nos folies
Aie, bodeg', bodega
Tu es l'étoile de nos nuits
Aie, bodeg', bodega
Brûle mon coeur et mes soucis
Il sera toujours midi
Sous le soleil de bodega

Fou de bagou le plus beau des gars
Est à genoux au pastaga
J'entends hurler le mellino
Sans picador ni corrida
Lorsque tangua la sangria
Succomba l'capitaine Tracas

Aie, bodeg', bodega
Chante nos joies et nos folies
Aie, bodeg', bodega
Tu es l'étoile de nos nuits
Aie, bodeg's, bodega
Brûle mon coeur et mes soucis
Il sera toujours midi
Sous le soleil de bodega

A la bodega"

Les Négresses Vertes, Sous le soleil de bodega (Source)
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