Après le divorce entre Philippe et Gilbert et le déchirement de Léo, la Famille est en pleine déliquescence.
Tandis que Jacky hésite à reprendre la succession, Roman, réaliste, devient finalement l'actionnaire majoritaire. Grâce à lui, Julien prend le pouvoir mais un nouveau coup de théâtre survient : Roman réécrit l'histoire et vend à Alain, qui devient le nouveau boss, sans l'avoir roulée.
Les différents clans voient d'un mauvais oeil ce changement de direction et là mystère, Julien le perce et en fait vite les frais au profit du chanceux Luc. Mais Alain philosophe, il est prêt à sacrifier Luc à la main trop froide pour que Julien se taise, mais celui-ci neutralise Ralph, tapi comme une souris dans l'ombre. Christophe a crié, crié sur le personnel et gère tant bien que mal les affaires, mais Alain reçoit des menaces de Frédéric et doit appeler du renfort « Jafar, chuis coincé ». Après avoir joué à kashkash, il en profite pour faire disparaître Julien, trop clair, et nommer la sentinelle Luc à la tête de la Famille.
Mais nouveau coup de théâtre, Alain s'abat, sabre Luc au laser et nomme à deux heures moins le quart JC qui, aware, entend faire la paix avec les différents chefs de clans de la ville.
Quelle est la stratégie d'Alain, et de l'autre ?
Sans raison ni sentiment, peut-il avoir à faire un choix cornélie ?
JC sera-t-il crucifié comme Lulu et Juju ?
Quelle sera la chanson des Roland ?
Jacky va-t-il tuner son offre et Egon sortir des siens ?
Ah ça fait du bien de retrouver les copains (fussent-ils norinois !!), l'apéro, l'excitation d'avant match et les premiers frissons à l'entrée des joueurs...
Cette fois ça y est, c'est vraiment reparti...
Ce soir, l'important, c'est le rose... Prochaine étape, en espérant ne pas encore se taper seulement les épines...
"Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouche
De l'homme auquel j'appartiens
{Refrain:}
Quand il me prend dans ses bras,
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose,
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon coeur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause,
C'est lui pour moi,
Moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré
Pour la vie.
Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat.
Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis, des chagrins s'effacent
Heureux, heureux à en mourir
Après avoir massacré Juju, dézingué Lulu et décapité JC, Jaja pète les fenêtres de l'open space et sabre le champagne. Il reçoit le Prix, c'est lui le Prési.
Si vraiment il ne peut en rester qu'un... pourvu que ce ne soit pas celui-là.
Princes of the Universe ?
Victoire ! Mais non, pas les gars en short courant après un ballon, mais bien celle de la lumière sur l'obscurantisme, celle du bien sur le mal, de l'homme sur la femme, de... heu.. oui.. non... enfin... Bref, je m'égare, j'ai de nouveau mon ordi, et toutes mes données, qui plus est ! Fin du complot informatico-windowsien et retour à la "normalité"...
Autre mystère technologique, cette photo... Du flou, oui, mais un flou peu banal, aussi inexplicable qu'un tir cadré de Loué ou une frappe de Pontus ! Si, si....
"T'es beau
T'es beau parce que t'es courageux
De regarder dans le fond des yeux
Celui qui te défie d'être heureux
T'es beau
T'es beau comme un cri silencieux
Vaillant comme un métal précieux
Qui se bat pour guérrir de ses bleus
C'est comme une rengaine
Quelques notes à peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
A présent...
J'ai beau
J'ai beau me dire qu'au fond c'est mieux
Même si c'est encore douloureux
Je n'ai pas de recoin silencieux
C'est beau
C'est beau parce que c'est orageux
Avec ce temps je connais peu
Les mots qui trainent au coin de mes yeux
C'est comme une rengaine
Quelques notes en peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
Quand je pense à toi
Toi qui sort de scène
Sans arme et sans haine
J'ai peur d'oublier
J'ai peur d'accepter
J'ai peur des vivants
A présent...
C'est comme une rengaine
Quelques notes en peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
Quand je pense à toi
Toi qui sort de scéne
Sans arme et sans haine
J'ai peur d'oublier
J'ai peur des vivants
A présent
T'es beau
"I see trees of green........ red roses too
I see 'em bloom..... for me and for you
And I think to myself.... what a wonderful world.
I see skies of blue..... clouds of white
Bright blessed days....dark sacred nights
And I think to myself .....what a wonderful world.
The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are also on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'......i love you.
I hear babies cry...... I watch them grow
They'll learn much more.....than I'll never know
And I think to myself .....what a wonderful world
(instrumental break)
The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are there on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'...*spoken*(I ....love....you).
I hear babies cry...... I watch them grow
*spoken*(you know their gonna learn
A whole lot more than I'll never know)
And I think to myself .....what a wonderful world
Yes I think to myself .......what a wonderful world" (source)
Où il est question de ressemblances entre l'amour, la femme et le Racing...
« L'amour est aveugle et sa canne est rose »
« La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité »
« Femme : Rose qui prend parfois deux "s" » (hi hi... han)
Le Racing, c'est pareil finalement, et moi cette écharpe, je l'aime...
"Some say love, it is a river
that drowns the tender reed.
Some say love, it is a razor
that leaves your soul to bleed.
Some say love, it is a hunger,
an endless aching need.
I say love, it is a flower,
and you it's only seed.
It's the heart afraid of breaking
that never learns to dance.
It's the dream afraid of waking
that never takes the chance.
It's the one who won't be taken,
who cannot seem to give,
and the sould afraid of dyin'
that never learns to live.
When the night has been too lonely
and the road has been to long,
and you think that love is only
for the lucky and the strong,
just remember in the winter
far beneath the bitter snows
lies the seed that with the sun's love
in the spring becomes the rose" (source)
"Je m'étais abonné, et rapidement, au fil des matchs, mon attention avait commencé à se déplacer du spectacle du terrain à celui des tribunes. Car c'en est un ! On a tendance à opposer les joueurs, acteurs, et les supporters, spectateurs, mais il est indéniable que souvent ces derniers se mettent en scène, captent l'attention et inversent les rôles. Je ne sais à combien de personnes elle fait cet effet, mais la tribune des supporters, le Kop, avait peu à peu totalement monopolisé mon attention. J'aimais le foot, mais cet intérêt pour les vedettes en short se battant pour récupérer le ballon avait été supplanté par cette foule électrisante et l'ambiance qu'elle générait. Une relation passionnelle était en train de naître, sirène terriblement séduisante dont les appels étaient irrésistibles. Je m'étais donc naturellement jeté à l'eau, allant me noyer parmi cette masse grondante et rugissante, tantôt de plaisir et de dépit. La première fois fut éprouvante, perdu dans la tempête de cris et de chants, petit anonyme calme au milieu de centaines d'inconnus à première vue hystériques..."
Eh oui, cette saison on bande drôle aussi... Fucking irony... Alors, heureux ?
Farce macabre avec un humour très décalé de troisième degré footballistique où il est question de souffler le chaud et le froid et de brasser beaucoup d'air, mais aussi de sucer l'affluence, tirer une croix sur la montée, de sang-gênes, de pieu dans le coeur des fans, de cercueil pour le club...
Et celui qui tâte, c'est pas Sharon mais Hilali, ouille, ail !
Featuring Racing Club Strasbourg : The Fearless Vampire Killers or Pardon Me, But Your Teeth Are in My Neck... Nécrologie.
Du destin d'un couple de jeunes intrigants, de leur ascension, de manipulations et de duperies, à leur déchéance dans l'hostile société du football professionnel.
« Il faut le dire ouvertement aux dirigeants : Bougez-vous. Fontenla a peut-être eu la pression depuis son arrivée. Mais là, dans un mois, c'est la fin de saison. Et aucun joueur ne sait s'il va rester ou partir. » (N. Fauvergue)
« Tu sais bien qu'il n'y a pas d'argent dans Racing Investissements » (Hilali)
"Lycée.
1/ Ecole antique où l'on s'entretenait de philosophie.
2/ Ecole moderne où l'on discute de football"
"Tous les mecs se déchainent
Devant la télé
Saint-Etienne, Bourg-la-Reine
Tous des enculés !
Dans les gradins c'est l'enfer !
Ecoutez les supporters :
Football, football, football
Allez, allez, allez !
Courrez ! courrez ! courrez !
Allez, allez, allez !
Tapez ! Dans le ballon !
Tapez ! Sur le voisin !
Football football football..."
Et une partie de jambes en l'air pour finir sur un ton plus léger...
En l'espèce ils doivent être plutôt verts, limite rouge cramoisi......
Le Tours de la souf-france strasbourgeoise...
"Une des figures marquantes de l'histoire de la ville fut saint Martin, deuxième évêque (Gatien est un évêque mythique) qui partagea son manteau avec un démuni à Amiens. Cette histoire et l'importance de Martin dans l'Occident chrétien médiéval firent de Tours une ville de pèlerinage majeur au Moyen Âge, et notamment une étape vers Saint-Jacques de Compostelle."
"Exposez-vous à vos peurs les plus profondes ; après cela, la peur ne pourra plus vous atteindre" (Jim Morrison ?)
La voilà, cette fameuse semaine... En espérant qu'elle finira mieux qu'elle ne débutera...
En attendant, pour ceux qui ont le temps, faites donc un tour à l'expo sur l'histoire du Racing. Cela fera plaisir aux stubistes qui se sont impliqués dans ce projet, et c'est assez instructif...
"Ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
où est l'ombre des Shadows
des Byrds, des Doors
des Animals
des Moo-
dy Blues
séparés Mac Cartney
Georges Harrison
et Ringo Starr
et John Lennon - ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
Disparus Brian Jones
Jim Morrison
Eddy Cochran
Buddy
Holly
idem Jimi Hendrix
Otis Redding
Janis Joplin
T.Rex
Elvis" (source)
Melun, 40 000 habitants, ville connue pour... heu...
« C'est en l'an 52 avant J.C que la cité qui prendra au VIème siècle le nom de Melun, a connu son premier développement. Depuis quatre siècles, la devise de Melun est inchangée "Fidèle à ses murs jusqu'à manger des rats" mais depuis, on préfère le Brie ! Et c'est à la Révolution, que la "Lutèce briarde" devient une préfecture » (Ville de Melun)
Son fromage, donc, le Brie... Bon allez, les bords de Seine et les châteaux non loin, également...
Et aussi, en l'occurrence, accessoirement, sa demi-finale de Coupe Gambardella, à laquelle on s'est mis en tête d'assister...
Nous sommes donc quelques uns... La campagne française défile à travers le pare-brise...
Ils courent vers nous... Misère, va-t-on encore se faire insulter ? Non, non, ils sont hilares et respirent une joie sincère et spontanée. Ils traversent le terrain pour venir saluer cette douzaine de supporters inconnus venus les soutenir aussi loin. Mais ils ne se contentent pas d'un geste lointain et craintif. Non, non, ils s'approchent jusqu'au grillage, viennent taper dans les mains et remercier les présents pour le déplacement... On a beau regarder leur maillot, il s'agit bien de celui du Racing. Incroyable, il y a donc encore des joueurs strasbourgeois qui prennent du plaisir... et qui en donnent... Et même pas à contrecoeur !
On aimerait bien... pouvoir continuer à jouer. Mais là, c'est game over... Fair plaie, oui...
Bref, on n'a pas perdu, mais on n'a pas gagné et on ne s'est pas qualifié. Sinon... Des dossiers à craquer, des mecs qui se tapent, des jeunes futurs chômeurs, des Iraniens, des pyromanes, l'actu quoi !
"Une raya de bambins livre aux flammes leurs landaux
Une ribambelle de nains foutent le feu dans l'métro
Une armée de gamins qui brûle les magasins
Trois millions de lycéens carbonisent leurs bouquins
Une concierge allumée fout le feu au quartier
Le président fêlé enflamme l'Elysée
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur directeur
Une tribu de bonnes soeurs incendie l'Sacré-Coeur !
Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...
Un trio d'grands brûlés fait exploser l'hosto
Et 5000 chimpanzés dynamitent le zoo
Des rastas éclatés, c'est chaud dans le ghetto
Les feux dans la cité brûlent pour Géronimo
Des soldats cannibales rôtissent leur général
300 patrons qui craquent font sauter la baraque
Et un vieux bonze chinois se pétrole le minois
Le froid tue la fillette qui n'a plus d'allumettes
Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...
Les hooligans des stades préparent les jerrycans
Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails molotov
Des Iraniens enflamment le corps de l'oncle Sam
Des squatters s'tapent un boeuf autour d'un grand feu d'keufs
Un gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c'est la grève aujourd'hui
Il y a le feu partout c'est la fête des fous
Il y a le feu partout viv' le feu viv' les fous!"
Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...
Un gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c'est la grève aujourd'hui
Il y a le feu partout c'est la fête des fous
Il y a le feu partout viv' le feu viv' les fous!"
Bérurier Noir, Vive le feu
Sinon, pour la première fois depuis une bonne dizaine d'années, je me suis acheté une merguez au stade. A 4 euros les quatre petites saucisses dans un bout de pain, je sais pourquoi j'avais attendu aussi longtemps. En plus je n'étais même pas ivre, je n'ai aucune excuse...
Le but est de former une chaîne de neuf licenciements consécutifs durant la saison, afin d'augmenter le budget à la « banque ».
Lorsque Jafar ne répond pas correctement à la question posée, la DNCG dit « Pas correct ! ». Une erreur des collaborateurs de Jafar fait perdre à toute l'équipe les points accumulés. Néanmoins, les candidats peuvent aussi, en disant « Hopla Gueye, Banque ! » dès qu'un transfert est réalisé, sauver l'argent accumulé.
Après la fin de chaque match, l'argent qui est mis en banque à Londres est conservé dans la cagnotte (la "maleta" espagnole), tandis que l'argent qui n'est pas mis en banque est perdu (dans des attaquants dijonnais ou en payant l'équipe adverse par exemple).
Ensuite, Jafar vote pour une personne à éliminer, celle qu'il considère comme portant le maillot faible (Alain, Luc ou Jean-Claude), ou qu'il souhaite éliminer pour des raisons "stratégiques" (Julien, Laurent, Milo, les supporters, le chien de son psy, la batterie du blackberry et le reste du Monde).
Pendant le temps où Jafar fait semblant de réfléchir, le supporter entend la voix-off révéler les chiffres clé de la manche, à savoir : qui porte le maillot fort (qui a le mieux répondu et a mis le plus d'argent en banque jamais personne), et qui porte le maillot faible (qui a le moins bien répondu et a fait perdre le plus d'argent toujours Jafar).
Maître de la Décision, Jafar vote seul tour à tour, en retournant une pancarte avec la dernière news du site off' et il est interrogé sur ses choix par la DNCG. Le candidat qui a recueilli le plus de voix de Jafar à son encontre est éliminé et doit quitter le plateau, après la réplique : « Patrick mon ami, tu portes le maillot faible, au revoir ! ».
Jafar, "El Rival Más Débil".
J'espère que tu rentreras les mains vides chez toi, au revoir.
Fidèle à ses valeurs et attentif aux mutations économiques, le Groupe Kop Alsace défend le pouvoir de ses adhérents.
Aujourd'hui, la conjoncture et le contexte sportif et politique sont difficiles. Chaque semaine, les centaines de membres du groupe se battent pour vous offrir les meilleures prestations.
Au plus proche des fans, KOP Alsace se lance le défi quotidien de vous satisfaire par son savoir-faire cher aux Alsaciens et à un club qui a plus de 100 ans.
C'est avec vous que ce défi sera relevé et que, dans 100 ans encore, le Kop Alsace du Racing Club de Football Alsace Rhin sera toujours une "institution" dans la région !
On a voulu y croire. On a eu tort...
Conquis ? Cons qui ? Nous. La conquête ? La quête des cons, oui...
45 minutes de mépris et de dépit. Allez tous vous faire foutre...
Un peu d'avance dans la publication aujourd'hui, histoire d'anticiper. On boira pour se consoler, ou pour enrager, mais quel que soit le résultat, il nous laissera un goût amer. Ironie d'une passion...
Photo souvenir d'une époque où on ne rasait plus les murs...
Si les à-côtés ne vont pas, et le Racing non plus, il nous reste quoi bordel ?
Brigadier Sabari, opération coup de poing, opération coup de poing, opération coût de points !
Citation: Je suis particulièrement inquiet de l'apparition dans le projet d'organigramme du Racing de Me Ralph Isenegger dans le rôle de conseiller sportif. Les objectifs de Me Isenegger me paraissent tout à fait incompatibles avec ceux du club. Il n'est pas irréaliste de supposer que ses objectifs pourraient même, à terme, aller à l'encontre de ceux de M. Fontenla qui lui, en tant qu'actionnaire du club, cherche à le valoriser.
(décembre 2009)
Citation: il n'a pas respecté les règles. Je ne ferai plus appel à lui
(Sur le cas Isenegger, votre position est-elle définitive ?)
Oui. Ses méthodes sont contestables. Ses résultats aussi.
(janvier 2010) (A. Fontenla)
Citation: Plessis peut-il réussir là où Fournier et Dayan ont échoué, donc avoir les coudées vraiment franches ? « J'en suis convaincu », prétend-il. Il compte ainsi réduire le champ d'action de Ralph Isenegger, l'avocat suisse au coeur du dossier depuis trois mois et demi et qui pourrait entrer au nouveau directoire.
(mars 2010)
Citation: Hilali souhaite organiser mercredi un match amical avec la réserve qui permettrait de tester une demi-douzaine de joueurs sélectionnés par ses soins. Ou peut-être par Adil El Barkaoui. Voire par l'avocat suisse Ralph Isenegger, revenu en cour.
Une tumeur douloureuse et persistante ou l'art de s'y prendre comme un pied et d'user les autres par sa connerie...
Citation: Si tu me chambres je m'en bats les reins, parfois je me sens inattaquable
Parce que je suis vraiment serein et je suis pas prêt de péter un câble
La vie c'est gratuit je vais me resservir et tu devrais faire pareil
Moi je me couche avec le sourire et je dors sur mes 2 oreilles
Citation:
(...)
Sous un chêne aussitôt il va prendre son somme.
Un gland tombe ; le nez du dormeur en pâtit.
II s'éveille ; et portant la main sur son visage,
Il trouve encore le Gland pris au poil du menton.
Son nez meurtri le force à changer de langage ;
"Oh, oh, dit-il, je saigne ! et que serait-ce donc
S'il fut tombé de l'arbre une masse plus lourde,
Et que ce Gland eût été gourde ?
Dieu ne l'a pas voulu : sans doute il eut raison ;
J'en vois bien à présent la cause."
En louant Dieu de toute chose,
Garo retourne à la maison.
Puisse notre direction très pesante mettre sa connerie en sommeil éternel...
Chiche ?
Citation: alors ca suffit ce cinéma de dire que tout est trouble
ce climat délétère ne sert pas le Racing a un moment ou il a plus que jamais besoin de tous dariusliffe, le 6.06.2010
Une grenouille vit un boeuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf,
Envieuse, s'étend, et s'enfle, et se travaille,
Pour égaler l'animal en grosseur.
Disant : " Regardez bien ma soeur;
Est-ce assez ? dites-moi; n'y suis-je point encore ?
Nenni. - M'y voici donc ? - Point du tout.
M'y voilà ?
Vous n'en approchez point "
La chétive pécore.
S'enfla si bien qu'elle creva.
Citation: Cher Presidant, s'il vous reste une onsse de lucidité, soyer conscien que je m'eforceré d'allé jusquau bou de ses procédures. Il faut bien conprendre que j'ai fai le deuil de mon investissemant dans se club. Dorenavent, nous voulon des actes et le viremant de ce que vous nous devé avant d'allé plus loin. Je tené enfin à vous dire que sait le dernié à pelle que je vous fais. Je ne laisseré plus personne joué avec mes intéréts. Salutassions, Jaffar hilali.
Le requin est un animal cruel et mythique qui ne se trouve plus guère que dans les basses eaux de la finance.
Le nôtre ressemble plutôt à une mangouste essorée à la sortie de son bain.
Cela fait longtemps qu'on le sait, la bête est sur sa fin. Mais c'est surtout le club qui l'est.
Le prédateur de la finance est prêt à achever le petit Racing et ses fans à l'agonie...
Cette fois c'est sûr, on boira le calice jusque Hilali...
"Une symphonie de la terreur"...
C'est la fête au Racing ! Le président ne préside plus, les licenciées sont réembauchées, l'assistante devient directrice et l'actionnaire caché veut aller sur le devant de la scène...
Un muet comme symbole du film d'épouvante, rien que ça !
(Une ombre inquiétante plane sur la maison bleue...)
Ça chauffe en cuisine, et quand la lanterne vire au rouge, le serviteur prend la porte. Une incision dans le croupion du Racing, et au suivant, président !
"Il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages."
Ni les dirigeants pour des gens compétents.